- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 10 – Machine à coudre
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 10 – Machine à coudre
La plupart d’entre nous n’ont jamais fréquenté les hôpitaux que comme patients, sans vraiment soupçonner ce qui arrive dans les coulisses. Et c’est tant mieux. Car, si l’on en croit Bercovici et Cauvin, le petit monde des chirurgiens, infirmières, médecins et autres spécialistes ne manque ni de dévouement, ni de cynisme, ni d’imagination, ni de loufoquerie. Sur un sujet parfois grave, une succession de gags qui réconciliera les patients que nous sommes tous un jour ou l’autre avec le monde hospitalier, qui a fort à faire pour ne pas perdre la tête.
Vous aimerez aussi
Notre homme à la Maison-Blanche
Comment un petit gangster d’origine italienne, Sam Giancana, a-t-il pu décider de faire assassiner John F. Kennedy qu’il avait pourtant contribué à faire élire cinq ans plus tôt ? De quelles complicités a-t-il bénéficié au sein d’une CIA traumatisée par l’échec de « la baie des Cochons » ? Pourquoi Jack Ruby, l’assassin de Lee H. Oswald, avait-il ses entrées au siège de la police de Dallas ? Notre homme à la maison-blanche – c’est ainsi que Sam Giancana appelait le président- nous montre pour la première fois la mafia vue de l’intérieur et dévoile le mystère qui régnait depuis près de trente ans autour de cette tragédie. Faisant ses débuts dans le Chicago de la prohibition dominé par Al Capone, Sam Giancana reculera devant aucun moyen pour construire son empire dont les frontières s’étendront bien au-delà des États-Unis dans les années 60. Cette description assez effrayante du double jeu entre le pouvoir et le crime organisé, qui va bouleverser l’opinion, bouscule bien des légendes. On y découvre une haute société où le père d’un futur président fait allégeance à l’un des parrains du Milieu, s’engageant au nom de son fils pour sauver sa propre vie. Hollywood apparaît aussi comme un monde sous influence : les relations étroites de Sam Giancana avec Frank Sinatra ou Marilyn Monroe en témoignent. On ne commence pas ce livre sans le terminer : au-delà des révélations, c’est en effet le mythe d’une époque, d’une dynastie, et d’une certaine Amérique qui s’effondre. Chuck Giancana, soixante-dix ans, directeur d’hôtel puis promoteur, ne fut jamais mêlé directement aux affaires de son frère aîné, Sam, dont il était cependant le confident. Samuel M. Giancana est le neveu du gangster. Il a trente-six ans et a fondé une société de relations publiques.
Les enfants du matin
Elle est apparue dans son viseur sur Oxford Street. Calmement il a pressé la détente. Comme dans un jeu de massacre, Linda Bowman s’est effondrée. Première victime d’une longue série. Pour Robin Culley, policier peu orthodoxe, le cauchemar vient de commencer. De Londres à l’Arizona, du milieu politique britannique à celui du trafic d’art international, Culley s’engage dans une hallucinante chasse à l’homme et découvre peu à peu les tenants d’une machination où sont impliqués des commanditaires au-dessus de tout soupçon. Portrait saisissant d’un véritable ange exterminateur…
Ces singes qui embrassent un arbre en gémissant, au neuvième jour de l’automne
Nous sommes au IIIe siècle avant notre ère, sous le règne de Ts’in Che Hoang Ti, empereur de Chine, constructeur de la Grande Muraille, et responsable de la première Révolution culturelle de l’Histoire. Après une adolescence troublée, deux jumelles, de famille noble, Lune de Mai et Lune d’Avril, sont enlevées par le général Mong Yué. Il entend se réserver l’une, et donner l’autre à l’empereur, pour son harem. Comme elles sont parfaitement identiques, il leur laisse le choix du futur époux. Lune de Mai, la sentimentale, espère trouver l’amour auprès du général. Lune d’Avril, l’ambitieuse, veut, elle, se hisser au sommet du pouvoir : si elle donne un héritier à l’empereur, sa puissance sera assurée. Or, Ts’in Che Hoang Ti, obsédé par la mort, a découvert, dans un grimoire, un moyen d’accéder à l’immortalité, grâce à des bizarreries sexuelles qui excluent toute fécondation. Il les expérimente sur Lune d’Avril, laquelle parviendra toutefois à ses fins : être enceinte. Elle se trouvera alors confrontée à un dilemme effrayant. Elle pensera le résoudre en prenant secrètement la place de sa jumelle auprès de Mong Yué, tandis que Lune de Mai s’installera au harem. Mais les machinations les plus ingénieuses ne sont pas à l’abri de circonstances imprévues… Drames, enlèvements, substitutions, luttes pour le pouvoir ou pour l’amour, pratiques sexuelles étranges, sombres intrigues au gynécée impérial… : c’est une fresque étonnante de la Chine ancienne que brosse l’auteur. Une Chine raffinée à l’extrême, sur tous les plans : celui de l’art, comme ceux de l’érotisme ou de la cruauté.
Dormir au soleil
Bordenave, employé de banque congédié à la suite d’une grève malencontreuse, est devenu horloger. Il mène une existence paisible dans sa maison du quartier populaire de Buenos Aires. Soudain, et pour des raisons inconnues, sa femme Diana est enfermée dans une clinique psychiatrique. Dès lors, la vie de l’horloger, faite de conventions, va être bouleversée par une série de péripéties bizarres et inquiétantes, entre autres l’intervention de sa belle-sœur, des entretiens avec le fascinant Reger Samaniego, directeur de la clinique, et l’apparition dune chienne qui curieusement s’appelle Diana comme sa femme. Enfin, le comportement, de la vraie Diana, sortie de clinique, lui fait prendre conscience, petit à petit qu’autour de lui se produisent d’étranges transferts et des mutations d’âmes et de corps…