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- Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Découvrez enfin tout ce que vous vouliez savoir sur les infirmières sans jamais oser le demander : comment font-elles pour supporter les malades capricieux, pour aider les docteurs aussi pénibles que les malades, pour consoler la famille éplorée qui, généralement, traîne dans leurs pieds.
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Aujourd’hui, se sentir vieux à 45 ou 50 ans n’est plus une fatalité ! l’homme est légitimement désireux de conserver sa jeunesse, de goûter à tous les plaisirs, y compris les joies de la sexualité, le plus longtemps possible. Avec la précision du scientifique, le savoir du médecin, la connaissance du praticien, le docteur Elia donne à chacun les moyens de mieux se connaître et de mieux préparer son corps au vieillissement.
Et la force d’aimer
Mona surgit un soir au bord du canal Saint-Martin, jolie fille seule, épuisée. Lorsqu'il la voit, Emmanuel, installé mais célibataire, séducteur mélancolique, lui offre l'hospitalité, sans vraiment savoir pourquoi. Quelle force l'amène à protéger et à cacher la criminelle en fuite, jugée pour le meurtre de Tom, son amant ? Quelle force habite Mona, capable après neuf ans de détention, après une évasion mystérieuse, de tenter l'impossible pour s'approcher d’Éveline, sa fille, jamais revue depuis sa naissance en prison ? Emmanuel se décide à l'emmener au sud, où vit la petite, mais il ne trouve pas la bonne route, et les saisons passent dans un pays soudain vaste comme l'Amérique.
Institutrice au coeur du siècle
1943 : » Dans ma classe, cet octobre-là, trois petits garçons portaient, sur leur vêtement, l’étoile jaune. Un matin, une femme de service, affolée, vint me prévenir que « »la Gestapo était dans le bureau du directeur ». La Gestapo était devenue le symbole de la terreur. Par le gymnase dont je possédais la clé, j’ai fait passer les trois petits garçons dans la cour de l’école des filles … » Pupille de la nation, Alix Lataillade débute à dix-neuf ans, dans une petite commune bordelaise, une vie d’institutrice formée dans la tradition Jules Ferry. Mais au coeur du siècle, les événements se précipitent : l’école devient un refuge où les orphelins de la guerre civile espagnole retrouvent le goût de vivre. Plus tard, dans le Vincennes de l’Occupation, la jeune femme devra non seulement égayer et protéger ses élèves, mais aussi ses enfants, car un mari enrôlé dans » l’armée des ombres » la laisse sans nouvelles, sans argent, et lui fait courir des risques insensés. Au courage ordinaire, celui de tous les jours, elle ajoute une participation active à la Résistance. Comment le grand amour d’un chirurgien allemand qui dirige depuis Paris la Résistance hongroise lui permettra-t-il d’échapper à Auschwitz ? Une fois encore, la réalité dépasse la fiction.
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