- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Bercovici, Cauvin
Les Femmes en blanc – Tome 15 – Avant que le corps ne m’use !
Découvrez enfin tout ce que vous vouliez savoir sur les infirmières sans jamais oser le demander : comment font-elles pour supporter les malades capricieux, pour aider les docteurs aussi pénibles que les malades, pour consoler la famille éplorée qui, généralement, traîne dans leurs pieds.
Vous aimerez aussi
Le testament français
Charlotte, une femme d’origine française émigrée en Sibérie avec sa mère entre les deux guerres, raconte à son petit-fils Aliocha le Paris et la France de son enfance, où elle a grandi. Peu à peu, celui-ci s’imprègne de culture française à travers la langue et les récits de sa grand-mère. Cette France devient pour lui une véritable Atlantide, où par exemple au bistro Au ratafia de Neuilly ledit ratafia est servi dans des coquilles d’argent… Cette double sensibilité franco-russe, îlot d’altérité au-dedans de lui, lui pèsera (ses camarades russes perçoivent et sanctionnent cette différence) puis l’enrichira, l’élèvera et le poussera vers la France.
Ce roman d’un Russe francophone n’est pas seulement l’histoire de sa relation avec la France, mais aussi une vaste fresque tragique de la vie des populations à travers les immenses plaines de Sibérie sous l’ère soviétique. Famines, viols, conditions de vie extrêmes, misère, mais aussi chaleur des relations humaines, premières amours, joie et espérance s’entremêlent.
Les frères Malory – Magicienne de l’amour
Que faites-vous ici, Amy ? C’est trop fort ! Juste au moment où Warren montait à l’étage avec une jolie rousse, il a fallu que cette gamine insupportable surgisse ! Depuis qu’il est arrivé à Londres, elle n’a cessé de le poursuivre de ses assiduités. Jusqu’à lui proposer le mariage ! Et jusqu’à le suivre dans ce bouge… Allez-vous répondre ou préférez-vous rester plantée là ? Vous voulez prendre la place de la putain ? Merci bien. Je préfère m’en tenir à cette fille. Elle, au moins, ne me demande que quelques pièces en échange du bon temps que je vais prendre. Votre prix est trop élevé, lady Amy. Je n’ai nulle envie de me marier. Les yeux violets d’Amy étincellent de rage. Des cinq frères Andersen, elle a choisi le pire : Warren a vraiment un fichu caractère ! Mais Amy est une Malory. Et les Malory ne renoncent jamais…
L’île des esclaves
Marivaux n'est pas seulement le magicien des ravissements, des confusions et des conspirations amoureuses. Notre siècle, qui a le goût des paraboles sociales, redécouvre ses pièces en un acte, comme cette Colonie subversive où les femmes ont l'idée de prendre le pouvoir… L'île des esclaves est aussi une utopie, entre la fable philosophique et la comédie à l'italienne. Sur l'île de » nulle part « , deux couples de maîtres et d'esclaves échangent leur condition le temps d'un » cours d'humanité « . Le serviteur se donne trois ans pour corriger le seigneur de sa barbarie et de sa superbe, trois ans pour le rendre humain, sensible et généreux. Venu d'une époque qui ne connaissait pas la lutte des classes, ce conte étonne par son amertume et sa souriante cruauté.
Petite sœur
Lorsque la mort de son père ramène Beth à Oldham, dans le Maine, elle ne s’attend guère à retrouver autre chose que de mauvais souvenirs, dans cette maison qui n’a jamais été un foyer. Et surtout, il y a Francie, sa jeune soeur de quatorze ans, de qui tant de choses la sé-parent… Pourtant le contact se renoue. Au point que Francie est prête à quitter Oldham pour aller vivre avec sa soeur aînée à Philadelphie. Alors surgit Andrew, le petit ami de Francie. Un garçon de vingt et un ans, agressif et déséquilibré, porteur d’un passé tragique… Et qui n’entend pas partager Francie. Le suspense implacable et l’insoutenable angoisse qui s’instaurent à partir de là confirment la place de tout premier plan, aux côtés d’une Mary Higgins Clark, de l’auteur d’Un étranger dans la maison.