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Ernst
Les zappeurs -1- Complètement accros !
De nos jours, dans le Gers, la télévision bouleverse la vie d’une famille tranquille…
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Une femme d’argent
Un jour, la chance décide de sourire à Victoria secrétaire dans une banque à New York, elle rencontre Richard, l’un des directeurs du siège londonien. Il tombe sous le charme. Mariage d’amour, traversée idyllique de l’Atlantique, l’avenir s’annonce radieux… Mais là-bas, un monde cruel les attend : face à la famille de Richard pour qui cette union représente une scandaleuse mésalliance, quel est le poids de l’amour ? Et quand Richard meurt brutalement, Victoria doit lutter avec acharnement pour défendre ses intérêts et ceux de son fils. Et puis, un jour, la chance… Grâce à Taylor, Victoria va reprendre goût à la vie. Mais les cousins sont toujours là, dans l’ombre, et ne reculeront devant rien pour tenter de l’abattre… Face au pouvoir de l’argent, gagnera-t-elle cet épuisant bras de fer ? L’amour qui lui sourit de nouveau lui donnera-t-il la force de combattre la haine ?
Ces enfants d’ailleurs
Ces enfants d’ailleurs sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s’appellent Jerzy, Elisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur Tomasz, professeur d’histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur. Car désormais pour cette famille, rien ne sera plus comme avant. La paix en Pologne est sérieusement menacée et les bruits de la guerre, Tomasz les entend déjà. Bientôt ces bruits envahissent la ville et le pays. Ils marquent douloureusement la mesure des premiers temps de ce roman, où nous vivons avec les Pawulscy les heures sombres de la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que même les oiseaux se sont tus… Mais bien vite, une autre cadence s’installe alors que nous accompagnons Jan et Elisabeth, puis Jerzy, de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada.
Moi, Capitaine Dreyfus
En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.
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« La Russie est une maison de fous. Personne ne sait ce qui s'y passe, pas même Eltsine. » A la DIA – les services secrets de la Défense américaine – on n'hésite pas à dire brutalement ce que les autres feignent d'ignorer. Et en particulier que les armes nucléaires disséminées sur tout le territoire de l'ex-URSS sont à vendre au plus offrant. Mais qui les vends ? Et à qui ? C'est pour le savoir, à tout prix, que Jake Grafton débarque à Moscou. Et le trafic qu'il va découvrir, où des éléments de la CIA n'ont pas hésité à faire alliance avec la vieille garde communiste, donnera froid dans le dos à cet officier de valeur qui a méthodiquement appris, naguère, comment exterminer plusieurs millions d'être humains en quelques secondes. Jamais, depuis la chute du régime soviétique, le monde n'avait été aussi près de la désintégration finale. Et jamais le romancier du Vol de l'Intruder et État de siège ne s'était montré aussi bien renseigné, aussi terriblement convainquant…