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Ernst
Les zappeurs -1- Complètement accros !
De nos jours, dans le Gers, la télévision bouleverse la vie d’une famille tranquille…
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Une femme d’argent
Un jour, la chance décide de sourire à Victoria secrétaire dans une banque à New York, elle rencontre Richard, l’un des directeurs du siège londonien. Il tombe sous le charme. Mariage d’amour, traversée idyllique de l’Atlantique, l’avenir s’annonce radieux… Mais là-bas, un monde cruel les attend : face à la famille de Richard pour qui cette union représente une scandaleuse mésalliance, quel est le poids de l’amour ? Et quand Richard meurt brutalement, Victoria doit lutter avec acharnement pour défendre ses intérêts et ceux de son fils. Et puis, un jour, la chance… Grâce à Taylor, Victoria va reprendre goût à la vie. Mais les cousins sont toujours là, dans l’ombre, et ne reculeront devant rien pour tenter de l’abattre… Face au pouvoir de l’argent, gagnera-t-elle cet épuisant bras de fer ? L’amour qui lui sourit de nouveau lui donnera-t-il la force de combattre la haine ?
Cabale
Que faisait le prince Ludovico Ruspanti au Vatican avant de plonger du haut de la coupole de la basilique Saint-Pierre de Rome ? Sous la protection de qui avait-il trouvé refuge alors même qu’il était recherché pour répondre ce diverses indélicatesses financières auxquelles la banque du Saint-Siège se trouvait mêlée ? S’est-il suicidé ou l’a-t-on poussé ? Le risque de scandale et les multiples interrogations soulevées par cette mort obligent – fait exceptionnel – les autorités vaticanes à collaborer avec la police criminelle italienne.Le détective Aurelio Zen verra le mystère s’épaissir au fur et à mesure de son enquête et les témoins disparaître les uns après les autres, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il n’a aucune chance de faire la lumière sur cette affaire s’il ne réussit pas à pénétrer la plus hermétique de toutes les sociétés secrètes de la Ville éternelle : la Cabale.
Moi, Capitaine Dreyfus
En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.
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