- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- L’Ordre de Cicéron 4 – Verdicts
Malka, Gillon, Ponzio
L’Ordre de Cicéron 4 – Verdicts
Lorsqu’après plus de soixante ans, Émilie de Veyrac retrouve sa terre natale, il lui faut expliquer la mort de son fils, la fondation du cabinet MacRae sur les débris du maccarthisme et surtout refermer les portes de l’enfer. Mais lorsque de vieilles haines s’épuisent, d’autres naissent, plus frénétiques encore. Dans l’Amérique des années cinquante, dans la France des années soixante dix ou par la main d’Anissa Taniss, la peine de mort croisera souvent le chemin de deux familles d’avocat à l’histoire lie…Jean-Michel Ponzio reprend le flambeau de son illustre prédécesseur Paul Gillon, pour conclure ce thriller juridico-financier de Richard Malka, devenu un classique.
Vous aimerez aussi
L’Embellie
En ce ténébreux mois de novembre, la narratrice voit son mari la quitter sans préavis et sa meilleure amie lui confier son fils de quatre ans. Qu'à cela ne tienne, elle partira pour un tour de son île noire, seule avec Tumi, étrange petit bonhomme, presque sourd, avec de grosses loupes en guise de lunettes. Avec un humour fantasque et une drôlerie décapante, l'Embellie ne cesse de nous enchanter par cette relation cocasse, de plus en plus attentive, émouvante entre la voyageuse et son minuscule passager. Ainsi que par sa façon incroyablement libre et allègre de prendre les fugaces, burlesques et parfois dramatiques péripéties de la vie, et de la vie amoureuse, sur fond de blessure originelle. Et l'on se glisse dans l'Embellie avec le même bonheur immense que dans Rosa candida, en une sorte d'exultation complice qui ne nous quitte plus.
Trente ans et des poussières
C’était à Manhattan, dans les années 80. Corrine était courtière en Bourse ; Russell éditeur. Ils avaient trente ans et des poussières. Leurs amis les trouvaient beaux et spirituels. Mais … Mais Corrine a voulu des enfants et Russell n’était pas prêt. Jeff s’est remis à prendre de la dope, Trina Cox est arrivée, et soudain, tout s’est mis à déraper. Ce n’est pas grave, ont-ils pensé. Juste une petite erreur de script. Ils n’avaient oublié qu’une seule chose : dans la vie, on ne tourne pas une deuxième fois les scènes ratées. Le 18 octobre 1987, les golden boys se jetaient du haut des immeubles, à Wall Street.
Miracle en Alaska
7 octobre 1988. Un chasseur inuit découvre trois baleines prises au piège sous la banquise en Alaska. Aucun espoir ne semble permis pour elles. Mais contre toute attente, un formidable élan de solidarité va changer leur destin. Esquimaux, militaires, compagnies pétrolières, activistes de Greenpeace, et même l'URSS et les Etats-Unis, adversaires inconditionnels en pleine guerre froide, unissent leurs forces pour tenter le sauvetage le plus spectaculaire de tous les temps. Et après plusieurs jours de lutte acharnée contre des kilomètres de glace, le miracle se produit. Une extraordinaire leçon d'humanité et une ode à la vie.
L’Enfant témoin
Terrance Wyler, héritier d'une riche dynastie canadienne, est retrouvé mort chez lui le jour de l'ouverture du procès de son divorce. Tout accuse sa femme, Samantha. Possessive et jalouse, elle a également un mobile : la lutte pour la garde de leur enfant. Le témoignage de Simon est décisif : il déclare avoir vu sa mère le soir du meurtre, chez son père. Devant un dossier aussi accablant, Ted DiPaulo, l'avocat de Samantha, lui conseille de plaider coupable d'homicide involontaire. Il souhaite éviter un procès à l'issue duquel la sentence serait encore plus lourde. Quand tout nous accuse, vaut-il mieux plaider coupable pour réduire sa peine ou défendre son innocence coûte que coûte ?