Gérard de Nerval
Œuvres – Tome I – 9 récits complets
Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris. Figure majeure du romantisme français, il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie) et de sonnets (Les Chimères) publié en 1854.
9 récits : Petits châteaux de bohême – Les illuminés – Les nuits d’octobre – Promenades et souvenirs – Les filles du feu – Les chimères – La pandora – Aurélia – Lettres à Aurélia
Vous aimerez aussi
Le rosier de Madame Husson
Un ami du narrateur, très imbu de l’histoire locale, raconte l’anecdote suivante : Mme Husson, modèle de vertu de Gisors, s’est mis en tête de promouvoir la chasteté dans sa ville en couronnant une rosière. Mais aucune fille ne résiste à l’enquête de mœurs, aussi Mme Husson se rabat-elle sur l’esprit simple du village, Isidore, qui est couronné « rosier ». Or celui-ci utilise sa récompense pour s’encanailler à Paris.
Que la vie est douce à l’ombre des palmes
Saviez-vous qu’aux dernières nouvelles d’Égypte, Ramsès serait toujours vivant et qu’on peut même l’apercevoir à l’heure du déjeuner à Louxor ? Que, du côté de Lycopolis, une alchimiste du nom de Cléopâtre détiendrait le secret de la haute science ? Drôles, merveilleuses, poétiques ou mystérieuses, les vingt-trois nouvelles que Christian Jacq présente ici pour la première fois sous forme de recueil ne cessent de nous surprendre. Situées au temps des pharaons ou de nos jours, écho de textes égyptiens anciens ou souvenirs d’aventures vécues, toutes invitent à une séduisante rêverie entre étrange et réalité. Et qu’ils soient bergers ou puissants, artistes ou aventuriers, guerriers ou divinités, les héros de ces récits nous entraînent, par-delà le temps et l’espace, à réfléchir au sens de nos vies…
Les Diaboliques
« Quant aux femmes de ces histoires, pourquoi ne seraient-elles pas les Diaboliques ? N'ont-elles pas assez de diabolisme en leur personne pour mériter ce doux nom ? Diaboliques ! il n'y en a pas une seule ici qui ne le soit à quelque degré. Il n'y en a pas une seule à qui on puisse dire le mot de « Mon ange » sans exagérer. Comme le Diable, qui était un ange aussi, mais qui a culbuté, – si elles sont des anges, c'est comme lui, – la tête en bas, le… reste en haut ! » – Il fallut près de vingt-cinq ans à Barbey pour le voir paraître : il y travaillait déjà en 1850. À la fin de la Commune, Barbey revint en Normandie. Il y acheva le livre en 1873.
Mademoiselle Fifi
Mademoiselle Fifi est publiée pour la première fois dans le Gil Blas du 23 mars 1882, puis reprise dans un recueil homonyme. Dans cette œuvre, Maupassant reprend les thèmes de la guerre et de la prostitution qui ont fait son succès. Il reprend également les thèmes du libertinage, prend parfois des aspects macabres et pose des interrogations sur la mort.