- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Oknam -2- Que ta volonté soit faite
Benoit Roels
Oknam -2- Que ta volonté soit faite
Que ta volonté soit faite est le volume 2 de la série Oknam par Benoît Roels et Pascal Renard, paru en 1996. Il n’en existe qu’une seule édition, publiée par Dargaud.
Vous aimerez aussi
Ces enfants d’ailleurs
Ces enfants d’ailleurs sont nés à Cracovie en Pologne, dans les années 20. Ils s’appellent Jerzy, Elisabeth et Jan. Leur mère, Zofia, est musicienne et leur Tomasz, professeur d’histoire. Nous faisons leur connaissance en 1939, le jour de la fin des classes, le dernier jour de bonheur. Car désormais pour cette famille, rien ne sera plus comme avant. La paix en Pologne est sérieusement menacée et les bruits de la guerre, Tomasz les entend déjà. Bientôt ces bruits envahissent la ville et le pays. Ils marquent douloureusement la mesure des premiers temps de ce roman, où nous vivons avec les Pawulscy les heures sombres de la Deuxième Guerre mondiale dans une Europe si triste que même les oiseaux se sont tus… Mais bien vite, une autre cadence s’installe alors que nous accompagnons Jan et Elisabeth, puis Jerzy, de l’autre côté de l’Atlantique, au Canada.
Moi, Capitaine Dreyfus
En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.
De mémoire de femme
Quand tu auras lu mon journal, tu comprendras tout… promets-moi de faire ce que je te demande. Jure-le… Au chevet de sa mère, victime d’un grave accident, Sofia venait de lui promettre de lire le mystérieux journal intime dont elle n’avait jamais soupçonné l’existence. Le fait que Liz ait demandé à la voir ébranlait le bouclier d’indifférence derrière lequel Sofia se protégeait depuis des années, depuis le jour où Liz avait fini de détruire l’amour douloureux qu’elle continuait à lui vouer en dépit de tout. Mais malgré la rancœur, l’amertume et l’humiliation, Sofia sentait qu’il y avait là un mystère : si sa mère, l’invulnérable, l’indestructible, la sublime Liz, avait élevé à la perfection sa fille rebelle, turbulente et fantasque, elle ne lui avait jamais prodigué la moindre affection. Une barrière mystérieuse, infranchissable, les avait toujours séparées. Alors que signifiait cette requête stupéfiante, et pourquoi Sofia était-elle saisie d’une terreur instinctive à l’idée de fouiller le passé de Liz ?
The cereal murders
Thanks to her recent adventures in Dying for Chocolate, Goldy Bear, the premier caterer of Aspen Meadow, Colorado, is no stranger to violence — or sudden death. But when she agrees to cater the first College Advisory Dinner for Seniors and Parents at the exclusive Elk Park Preparatory School, the last thing she expects to find at the end of the evening is the battered body of the school valedictorian. Who could have killed Keith Andrews, and why? Goldy’s hungry for some answers — and not just because she found the corpse. Her young son, Arch, a student at Elk Park Prep, has become a target for some not-so-funny pranks, while her eighteen-year-old live-in helper, Julian, has become a prime suspect in the Andrews boy’s murder. As her investigation intensifies, Goldy’s anxiety level rises faster than homemade donuts. . .as she turns up evidence that suggests that Keith knew more than enough to blow the lid off some very unscholarly secrets. And then, as her search rattles one skeleton too many, Goldy learns a crucial fact: a little knowledge about a killer can be a deadly thing.