Sherwood Anderson
Pauvre blanc
Placé sous le double signe d’Huckleberry Finn et d’Abraham Lincoln, le héros de ce roman – que la critique anglo-saxonne place parmi les plus grandes réussites de l’auteur de Winesburg, Ohio (1919) – s’appelle Hugh McVey. Ce garçon nonchalant est converti aux vertus de l’autodiscipline par Sarah Shepard, une femme à l’esprit combatif. Hugh devient inventeur et sa machine à planter les choux va engager sa petite ville sur la voie de l’industrialisation.
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Tome 2 – Aux trois gentilshommes mousquetaires Athos, Porthos et Aramis, toujours prêts à en découdre avec les gardes du Cardinal de Richelieu, s’associe le jeune gascon d’Artagnan fraîchement débarqué de sa province avec pour ambition de servir le roi Louis XIII.
Engagé dans le corps des mousquetaires, d’Artagnan s’éprend de l’angélique Constance Bonacieux. En lutte contre la duplicité et l’intrigue politique, les quatre compagnons trouveront en face d’eux une jeune anglaise démoniaque et très belle, Milady, la redoutable espionne du Cardinal.
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Le Lys rouge raconte la liaison d’une femme du monde, mariée à un homme politique, avec un artiste. Un voyage à Florence (que symbolise le titre) couronne cette union charnelle et mystique. Bientôt, la jalousie s’insinue dans le cœur de l’amant, qui met fin à la liaison. Ce roman, unique en son genre dans l’œuvre, maintenant réhabilitée et revenue à la mode, d’Anatole France, est partiellement autobiographique, parce qu’il est fondé sur la liaison, d’abord passionnée, de l’auteur avec Mme de Caillavet.
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Celestino Marcilla, Madrilène de famille bourgeoise, a milité à gauche pendant les années qui précédèrent la guerre civile, puis combattu avec une bravoure remarquée dans les milices, puis s'est réfugié en France au moment de la défaite de 1939. Alors une fille – son unique enfant – lui est née, Pascualita, et sa femme est morte. Celestino a emmené sa fille avec lui à Paris, qu'il n'a pas quitté depuis. En 1959, elle a vingt ans, et il en a soixante-sept. Celestino, à Paris, vit de ses rentes, qui lui donnent une certaine aisance. Il ne fait rien, que penser ou rêver politique, passant ses journées à lire et à annoter des journaux et des livres, à écrire des articles de politique ou de sociologie qui sont refusés partout, et un ouvrage qui n'avance pas – au côté de Pascualita, qui n'a qu'indifférence et dédain pour les préoccupations ou plutôt l'obsession de son père.