Chris Pellant
Roches et minéraux
500 spécimens de roches et de minéraux du monde entier sont présentés dans ce guide d'identification, à la fois beau et pratique. Plus de 500 magnifiques photographies, toutes commentées, permettent une identification rapide et sûre. Le texte, clair et précis, présente pour chaque spécimen les informations indispensables sur les caractéristiques du cristal, sur sa formation et sur les tests chimiques confirmant l'identification.
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Un thriller aux multiples rebondissements, fondé sur des faits réels et qui nous entraîne dans l’inquiétante Russie d’aujourd’hui.
Destinée
Au premier regard, ils surent qu’ils étaient faits l’un pour l’autre. Pourtant tout les opposait. Il était à la tête d’un immense empire joaillier, il ne comptait plus ses conquêtes. Elle arrivait d’Angleterre avec son seul sourire, son mystère et sa jeunesse. Hélène a subjugué Edouard de Chavigny. Il lui offre son amour et l’entraîne dans un tourbillon de luxe et de volupté. Il ignore encore les sombres manigances du destin… Quelque temps après, Hélène disparaît. Fou de douleur, Edouard met tout en oeuvre pour la retrouver. Tâche délicate, car désireuse d’échapper à son douloureux passé, Hélène s’est forgé une nouvelle identité.
Les sanguinaires
Jack l’Éventreur, l’Étrangleur de Boston, le Vampire de Düsseldorf, le Boucher de Hanovre… ces criminels ont tous un point en commun : ils séduisent leurs victimes avant de les sacrifier. Et s’ils ont le goût du sang, ils ont aussi humour, charme, sensibilité et intelligence. Contre toute logique ils sont à notre image… Mais un jour, ces « Messieurs-Tout-le-Monde » sont passés à l’acte. Ils ont abattu, torturé, mutilé. Pour quelle raison, ou par quelle déraison ? Jacques Vergés ne se satisfait pas de l’explication habituelle, qui consiste à qualifier d’inhumains tous les comportements qui révoltent. Qu’il s’agisse de crimes collectifs ou individuels, l’inhumain, selon lui, fait encore partie de l’humanité. Et c’est bien ce qui nous dérange…
Un lit dans l’hexagone
Une passion aussi violente qu’inattendue s’abat sur deux êtres que tout sépare, hormis un certain sens de l’humour et de la comédie. Elle n’attend rien, sinon de conserver sa chambre d’hôpital, d’y languir paisiblement jusqu’à la fin de ses jours. Une gentille petite vie de mort après avoir enduré toutes les calamités du siècle (Auschwitz, goulag, exil…). Lui, son psy, est un célibataire endurci, débordant de jeunesse, d’énergie, et aux appétits vigoureux. Il pratique de multiples sports, trouve son plaisir tantôt du côté des filles, tantôt du côté des garçons. Leur amour s’insinue lentement, comme certaines maladies, presque à leur insu. Un amour sous forme de guérilla, sans merci, entre la force d’inertie d’une malade et la volonté forcenée du médecin de la tirer de là. « Vous m’avez possédé par exaspération », dira-t-il plus tard. Ils vivront, vieilliront dans la stupeur de leur passion, persuadés que le saut qu’ils ont fait du « je » au « nous » est la plus grande distance que des êtres aient jamais parcourue.