- Home
- >
- Fantastique
- >
- Shikanoko (3 et 4) – L’Empereur invisible – L’Héritier de l’Arc-en-ciel
Lian Hearn
Shikanoko (3 et 4) – L’Empereur invisible – L’Héritier de l’Arc-en-ciel
Shikanoko, le guerrier au masque de cerf, est désormais le seul susceptible de renverser le pouvoir. Au-dessus de l’Empire des Huit Iles, le ciel est plus menaçant que jamais. Les pièces de l’échiquier tombent une à une tandis que l’étau se resserre sur chacun des personnages confronté à son destin. Shikanoko choisit alors de livrer son ultime combat pour la justice …
Remontant aux origines mythiques du clan des Otori, Lian Hearn nous entraîne dans l’épopée fantastique et envoûtante des premiers samouraïs avec l’Enfant du cerf et La Princesse de l’Automne.
Vous aimerez aussi
La légion de la colombe noire – Tome I
Kennedy, dévastée par la mort de sa mère, apprend que ce drame est lié à des forces surnaturelles. Deux frères jumeaux, Jared et Lukas, qui la sauvent d’un dangereux esprit envoyé pour la tuer, lui révèlent qu’elle devra prendre la place de sa mère au sein de la Légion, une société secrète de chasseurs de fantômes dont les cinq membres ont été assassinés et dont les enfants sont les héritiers.
Arria Marcella
Trois jeunes gens, trois amis, Max, Fabio et Octavien visitent les ruines de Pompéi au XIXème siècle. L’un d’eux, Octavien, lors d’une visite au musée des Studj, musée archéologique de Naples, aperçoit la silhouette d’une jeune femme à jamais prisonnière de la cendre. Le soir, après un dîner bien arrosé, Octavien revient seul dans la ville antique. Il se rend compte qu’il se promène dans la Pompéi antique, sur laquelle ne sont passées les cendres et la lave du Vésuve. La ville vit et les habitants, dont l’accueillant Rufus Holconius se rendent tous au théâtre. Et si la jeune femme qu’il avait vue dans le musée, prisonnière de la cendre, était encore en vie…
Savez-vous ce que c’est qu’une « chèvre blanche » ? Eh bien, en jargon vaudou, c’est un doux euphémisme pour désigner la victime d’un sacrifice humain. Et quand ces types sont venus me demander de relever un mort de deux cents ans et des poussières, j’ai tout de suite compris ce que ça impliquait. Je veux bien égorger des poulets, un mouton, voire un buffle dans les cas désespérés… mais ça, non ! Pas question… Mais je les ai envoyés promener, eux et leur chèque d’un million de dollars. L’ennui, c’est que tout le monde n’a pas mon sens moral. Que ces salauds vont bien dégoter quelqu’un pour faire le boulot. Qu’on va se retrouver avec un mort-vivant raide dingue, tout sauf végétarien, et semant la panique. Et que c’est encore la petite Anita qui va devoir se le coltiner ! Comme si je n’avais pas déjà assez de problèmes avec les vampires…
L’Eve future
L’Ève Future (1886) est au roman ce que les « Poésies » de Mallarmé sont à la poésie : le chef-d’oeuvre de l’époque symboliste, l’anti-Zola, l’anti-Goncourt.
Villiers est le plus grand conteur fantastique français. La donnée est fantastique, ou de science-fiction, puisqu’il s’agit de créer une femme artificielle, qui évite les inconvénients des femmes réelles. Ce livre traite de l’amour impossible, pour une femme qui n’existe pas. C’est aussi un roman de la révolte, qui se termine sur le frisson du créateur de l’automate. Edison, face au silence glacé, à « l’inconcevable mystère » des cieux ; un roman proche du mythe de Faust autant que de Jules Verne, par l’anticipation scientifique ; un ouvrage philosophique parce qu’il médite sur l’être et le paraître. Le style est brillant, somptueux, insolite et ironique, comme Mallarmé l’a relevé : il mène « l’ironie jusqu’à une page cime, où l’esprit chancelle. »