Betty Mahmoody, Jean-Pierre Sasson
Sultana
Un document sur la condition de la femme musulmane, et la réalité de la vie cachée derrière la richesse. Ouvrage présenté par Betty Mahmoody. Protégée par un pseudonyme, une femme musulmane lève, pour la première fois, le voile sur les secrets de son pays, l’Arabie Saoudite. Sultana est née princesse, mais la vie qu’elle retrace dans ce témoignage bouleversant est celle de l’esclavage auquel sont soumises toutes les Saoudiennes. Enfance dominée, mariages forçés, lapidations, enfermement à vie, humiliations, soumission, exclusion… La liste est longue, tout aussi longue que les interdits qui pèsent sur ces femmes dépourvues de tout droit. Mais pour Sultanna, princesse féministe, ce livre est le commencement du changement, et un message d’espoir.
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Aztec and Maya Myths
En Anglais – The myths of the Aztec and Maya derive from a shared Mesoamerican cultural tradition. This is very much a living tradition, and many of the motifs and gods mentioned in early sources are still evoked in the lore of contemporary Mexico and Guatemala. Professor Taube discusses the different sources for Aztec and Maya myths. The Aztec empire began less than 200 years before the Spanish conquest, and our knowledge of their mythology derives primarily from native colonial documents and manuscripts commissioned by the Spanish. The Maya mythology is far older, and our knowledge of it comes mainly from native manuscripts of the Classic period, over 600 years before the Spanish conquest. Drawing on these sources as well as nineteenth- and twentieth-century excavations and research, including the interpretation of the codices and the decipherment of Maya hieroglyphic writing, the author discusses, among other things, the Popol Vuh myths of the Maya, the flood myth of Northern Yucatan, and the Aztec creation myths.
La malédiction de Manderley
J’ai révé l’autre nuit que je retournais à Manderley… Ainsi commence Rebecca, l’inoubliable roman de Daphné du Maurier immortalisé par le célèbre film d’Alfred Hitchcock. Manderley, c’est le magnifique chateau des Winter, toujours habité par le souvenir obsédant de Rebecca, la première femme de Maxim ; Manderley, ravagé par les flammes dans les dernières pages du roman. L’incendie n’était-il qu’un accident ? Quest-il advenu de Maxim et de sa nouvelle femme ? L’ombre maléfique de Rebecca sera-t-elle toujours un obstacle à leur bonheur ? Comme des millions de lecteurs, Susan Hill, l’une des plus grandes romancières anglaises actuelles, a longtemps été hantée par le chef-d’oeuvre de Daphné du Maurier. Recréant avec un talent étonnant l’atmosphère mystérieuse de Manderley, elle divient à son tour la douce Mme de Winter, la narratrice de cette fascinante histoire, pour nous dévoiler enfin dans La malédiction de Manderley , les secrets de Rebecca.
Ennemi
Analystes de renom, rivaux (l’un est lacanien, l’autre freudien) mais secrètement complices, Bruno Brunschwig et Gilles d’Avertin partagent femmes, richesses et honneurs. Ainsi que ce pouvoir sur les consciences que donne l’exercice de leur discipline… Apparaît alors Maria Solar, dix-neuf ans, riche héritière, seule au monde. Maria qui, au bord de la folie, appelle l’amour… Qui, de Gilles ou de Bruno, l’emportera ? C’est compter sans le troisième homme, celai qui parsème de cadavres la route de la jeune fille. Le psychopathe de génie qui se veut le rédempteur des sans-espoir, celui qui va exorciser le Diable – la psychanalyse -, l’ennemi. Le romancier de Voyante et des Enfants de Salonique signe ici un de ses meilleurs livres, à la fois thriller haletant et satire amusée des sectes, des rites et des sorciers de la psychanalyse.
La part d’ombre
Ce livre navigue entre confession et colère. Confession d’un journaliste qui rend des comptes, livre ses doutes et ses contradictions, dit ce que, jusqu’ici, il n’avait pas écrit. Colère d’un citoyen qui, explorant les coulisses d’un règne présidentiel, ses secrets et ses mensonges, se surprend à affronter des valeurs étrangères à la gauche. Il ne s’agit pas ici de l’homme Mitterrand mais d’un système, le mitterrandisme, où les courtisans devancent les militants, où les fidélités priment l’éthique, où l’engagement s’efface devant l’arrangement. Sans en démentir la part de vérité, cette part d’ombre éclaire la cohérence d’une politique convenablement bourgeoise mais, à coup sûr, rien moins que socialiste.

