- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Taxi girl – Vous êtes libre ?
Laudec, Cauvin
Taxi girl – Vous êtes libre ?
Vous êtes libre ? est le volume 1 de la série Taxi Girl par Raoul Cauvin et Laudec, paru en 1994. Selon Bande Dessinée Info, il n’en existe qu’une seule édition, publiée par Dupuis.
Vous aimerez aussi
Mitterrand et les 40 voleurs
7 avril 1994 : François de Grossouvre est retrouvé mort, suicidé dans son bureau à l’Élysée. Nouvelle affaire d’État. Conseiller et vieux compagnon du président de la République dont il est depuis trente-cinq ans l’éminence grise, Grossouvre connaît les moindres secrets de François Mitterrand. Depuis 1982 et mes premières grandes enquêtes sur la corruption socialiste, je le rencontre régulièrement, à l’abri des regards. Durant toutes ces années, il devient un ami et me livre d’inquiétantes confidences sur les coulisses de l’État PS, les réseaux de l’affairisme politique et les « 40 voleurs… » que le président de la République tolère autour de lui, encourage parfois, protège toujours.
L’enfant en héritage
Désemparée et sans ressources, Cecil, une jeune étudiante texane répond à une petite annonce offrant une très importante somme d'argent pour un travail non précisé. Sélectionnée grâce à sa beauté, l'avocat chargé de gérer le dossier lui propose un contrat de « mère porteur » au profit d'une des plus riches dynasties d'Europe : les Schomberg… Si ce bébé est follement désiré par ses futurs parents, il n'en va pas de même pour le reste de la famille : intrigues, menaces, tentatives de meurtre… Cecil, dans une course folle à travers la France, sent peu à peu les mailles du filet se resserrer autour d'elle, jusqu'au jour où le père et la mère réels trouvent la mort dans un accident de leur jet privé au-dessus du Massif Central. La voilà donc, elle, la mère porteuse, avec un héritier que personne ne désire et que tous ont intérêt à faire disparaître…
Moi, Capitaine Dreyfus
En mars 1896, le lieutenant-colonel Georges Picquart, devenu chef du service de renseignements (section de statistique) en juillet 1895, intercepte un document, le « petit bleu », qui ne laisse aucun doute sur les accointances de son auteur, le commandant Esterhazy, avec l'ambassade d'Allemagne. Il découvre par ailleurs que le dossier secret comportant des pièces couvertes par le secret militaire, communiqué au Conseil de guerre pendant le délibéré, à l'insu de la défense, est vide de preuves. L'affaire Dreyfus naît à ce moment-là, à la suite de l'acquittement du véritable traître, Ferdinand Walsin Esterhazy, au moment où Émile Zola publie « J'accuse…! » dans l’Aurore du 13 janvier 1898, une lettre adressée au président Félix Faure où il affirme que Dreyfus est innocent. L'État engage alors un très médiatisé procès en diffamation à rebondissements, au terme duquel Émile Zola est condamné au maximum de la peine.
Cabale
Que faisait le prince Ludovico Ruspanti au Vatican avant de plonger du haut de la coupole de la basilique Saint-Pierre de Rome ? Sous la protection de qui avait-il trouvé refuge alors même qu’il était recherché pour répondre ce diverses indélicatesses financières auxquelles la banque du Saint-Siège se trouvait mêlée ? S’est-il suicidé ou l’a-t-on poussé ? Le risque de scandale et les multiples interrogations soulevées par cette mort obligent – fait exceptionnel – les autorités vaticanes à collaborer avec la police criminelle italienne.Le détective Aurelio Zen verra le mystère s’épaissir au fur et à mesure de son enquête et les témoins disparaître les uns après les autres, jusqu’à ce qu’il comprenne qu’il n’a aucune chance de faire la lumière sur cette affaire s’il ne réussit pas à pénétrer la plus hermétique de toutes les sociétés secrètes de la Ville éternelle : la Cabale.