- Home
- >
- Bande dessinée
- >
- Barbe-Rouge – Le vaisseau de l’enfer
Charlier , Hubinon
Barbe-Rouge – Le vaisseau de l’enfer
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
Vous aimerez aussi
Uri geller
Par la seule force de son esprit, Uri Geller parvient à tordre des objets métalliques, entre autres exploits. Qui est cet homme dont les étranges pouvoirs défient les lois de notre physique traditionnelle, dont les facultés supranormales passionnent à la fois les savants du monde entier et le grand public ? Un mutant? Un messager? Ou bien, plus simplement, a-t-il développé des dons que chacun de nous posséderait, enfouis et inutilisés ? A toutes ces questions, Andrija Puharich, témoin d’innombrables expériences, apporte de stupéfiantes réponses.Plein de verve et de spontanéité, son témoignage est précieux pour qui cherche à mieux connaître, à travers les étapes importantes de sa vie, un Uri Geller inattendu, mystérieux et fascinant.
Le silence des armes
Guérit-on jamais de la guerre ? De quel combat meurtrier l’homme peut-il être fier ? Engagé pour cinq ans, Jacques Fortier a cru un temps à la noblesse des armes. Blessé, moralement détruit par les atrocités vécues en Algérie, il revient dans son village du jura pour quelques jours de convalescence. Repartir dans les Aurès, c’est accepter la haine et le sang, admettre l’absurde. C’est renier l’enseignement d’un père incompris, refuser les leçons de sa terre natale. Jeter son uniforme, c’est dire non à l’horreur, choisir la vie, mais aussi devenir traître et déserteur aux yeux de la société. Assassin ou proscrit, Jacques doit choisir. » Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis. » Cette phrase résume le drame du Silence des armes, l’une des œuvres majeures de Bernard Clavel.
Le noeud gordien
Humaniste, homme de réflexion et homme d’action, Georges Pompidou a écrit Le Noeud gordien après les événement de Mai 1968. Dans cet ouvrage, le lecteur trouvera avant tout de quoi nourrir ses interrogations actuelles sur l’évolution des idées et de la société. La notion de dialogue, le destin du marxisme, les problèmes économiques et sociaux, ceux de l’Université forment la trame de cet essai politique dans lequel on retrouve la Corce, mêlée d’une lucidité parfois brutale, de l’homme qui devait être amené à exercer les plus hautes fonctions. Bien plus que d’un testament politique, il s’agit d’une remise en question de l’Homme dans le monde moderne. Le Noeud gordien est un message d’authenticité : » La République doit être celle des « politiques » au sens vrai du terme, de ceux pour qui les problèmes humains l’emportent sur tous les autres. » Comme l’indique Georges Pompidou lui-même dans sa préface: » Ceux qui me liront trouveront à l’état brut et sans aucune adjonction ultérieure divers éléments de ma pensée, telle qu’elle cherchait à se définir au moment où le destin allait me précipiter dans l’action et les responsabilités. «
Ornifle ou le courant d’air
« Vous ne la connaissez pas ? C’est vrai ? Mon cher, c’est un lapin qui passe sur le Quai Conti et qui rencontre un Académicien en grande tenue. Il s’arrête sidéré. L’Académicien s’arrête aussi, met son lorgnon et murmure « Mais c’est un lapin ! » Le lapin regarde l’Académicien et murmure: « Mais c’est de la salade ! »