- Home
- >
- Biographie/Autobiographie
- >
- La promesse de l’aube
Romain Gary
La promesse de l’aube
À l’aube de la vie, le narrateur se fait une promesse: ces années qui l’attendent, il les déposera aux pieds de sa mère pour réparer toutes les souffrances qu’elle a endurées. Il tâchera de combler tous ses désirs et de compenser par la gloire les humiliations que cette Russe immigrée, seule et sans un sou, a dû subir pour pouvoir déposer avec fierté, tous les jours, le bifteck du déjeuner dans l’assiette de son fils unique et adoré, ne se réservant que le gras de la cuisson. Avec admiration, humour et lucidité, ce fils fait le récit de leur parcours de la Pologne à la France.
Vous aimerez aussi
Moi, Christophe Rocancourt, orphelin, play-boy et taulard
Christophe Rocancourt, “ l'Arsène Lupin des stars ”, “ le faussaire de la jet-set ”, “ le play-boy français le plus recherché d'Amérique ”, “ le prince de l'illusion ”. Débarque à Los Angeles en 1991 sans un sou et sans connaître un mot d'anglais, il devient en quelques mois la coqueluche d'Hollywood, dîne avec Elton John et Michael Jackson, séduit Mickey Rourke et Jean-Claude Van Damme. Se faisant passer tour à tour pour producteur, pilote de F1, membre du club Rockefeller ou ami de la mafia, il monte des tonnes d'affaires qui lui permettent de brasser 35 millions de dollars en 10 ans. Finalement recherché par le FBI et Interpol, il se lance dans une cavale fantastique à travers les États-Unis, continuant néanmoins de rouler en Rolls et de coucher dans les palaces…
Stendhal par lui-même
Un portrait biographique du grand écrivain, Stendhal, par le journaliste Claude Roy en 1951.
Réseaux d’ombres
Le Colonel Rémy, de son vrai nom Gilbert Renault, est l’un des résistants français les plus connus durant la Seconde Guerre mondiale. Il organise, développe et perfectionne le réseau de renseignements créé par Louis de La Bardonnie, réseau qui devient la Confrérie Notre-Dame, un des plus importants réseaux de la zone occupée. Il est également connu sous différents autres pseudonymes comme « Raymond », « Jean-Luc », « Morin », « Watteau », « Roulier » et « Beauce ».
Profession : menteur
François Perier a eu très tôt la vocation. Enfant déjà, ce qu’il aimait par-dessus tout, c’était inventer des histoires, embellir la réa-lité par le jeu de l’imagination… ce que les grandes personnes appellent mentir. De cette passion, il a fait son métier: il est devenu menteur professionnel, autrement dit comédien. Cinquante ans et dix mille représentations plus tard, le plaisir de jouer demeure intact. Celui qui fut l’ami de Louis Jouvet, de Jean-Paul Sartre et de Simone Signoret, fait ici une bouleversante déclaration d’amour au théâtre. Un théâtre auquel François Perier s’est donné entièrement. A tel point qu’il se demande parfois si sa vie n’est point une illusion. Une illusion qui aurait pour cadre les plus belles scènes de théâtre, celles où vibrent à jamais les grands textes dramatiques…