Jeane Manning, Nick Begich
Les anges ne jouent pas cette Haarp
Le but du Projet HAARP est d’étudier, de stimuler et de diriger des processus ionosphériques pour altérer l’efficacité des systèmes de communication et de surveillance, de générer un bouclier protecteur capable de repérer les cibles nucléaires et de les traiter de façon adéquate. Ce projet aura des répercussions sur le climat et la couche d’ozone, entre autres…
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Un mensonge français est une plongée historique et autobiographique dans le dernier trou noir de l’histoire de notre pays. Ce livre emprunte autant à l’autobiographie – l’auteur avait cinq ans au moment des faits – qu’à l’investigation historique – la mise en scène d’une époque romanesque – ou qu’au journal de bord idéologique – c’est le « retour gidien » sur ce que Pierre Nora appelait, déjà en 1963, « l’anticolonialisme totalitaire » qui participa, avec le gaullisme, à l’occultation d’une tragédie humaine et politique. Celle qui nous intéresse.
Mon père, ce harki
Enfant, j'ai adoré mon père. Adolescente, je l'ai détesté. Parce qu'il était harki, parce qu'il a soutenu l'armée française pendant la guerre d'Algérie, j'ai longtemps cru que mon père était un traître. Il n'a jamais nié. Il ne m'a jamais rien dit. Devant son silence, j'ai décidé de partir sur les traces d'un fellah et d'une bergère, mes parents, dont la vie a basculé un matin de juin 1962. Quarante ans après, j'ai refait leur parcours dans les camps où la France les a parqués : leur passé et mon présent se sont tissés, noués, intimement mêlés. Ces pages sont leur histoire et ma quête. Dans ce voyage au bout de la honte, j'ai découvert une horrible machinerie d'exclusion sociale et de désintégration humaine. Et puis j’ai traversé la Méditerranée, En Algérie, j'ai poursuivi ma quête, dans une une région en guerre contre l'islamisme, j'ai retrouvé des membres de ma famille et le village de mes parents qu'ils n'ont jamais revu. Là-bas, j'ai compris qui étaient vraiment les harkis, leur rôle dans la guerre d'Algérie, leurs tiraillements, leurs secrets aussi.
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A Kurajo, petit village albanais, les habitants ne connaissent qu’une seule loi, le Kanoun : « Une victime pour une victime, un sang pour un sang. » En juin 1944, Dino Christo, fils de chef et déjà redoutable guerrier à dix ans, est contraint de fuir pour n’avoir pas respecté ce code. C’est dans les bas-fonds de Marseille qu’il trouve refuge et va désormais tenter de reconstruire sa vie. Mais croit-il réellement que les Aga, ses ennemis jurés, vont le laisser en paix pour quelques malheureux milliers de kilomètres ? Non, la traque incessante a commencé, et la saga extraordinaire des deux clans va durer plus d’un demi-siècle, entre la France et l’Albanie, mais aussi sur le continent américain et jusqu’au fin fond de l’Asie. Qui pourra arrêter cette épopée sanglante, qui n’a rien à envier ou Parrain de Morio Puzzo, et dont les maîtres mots sont famille, sexe, drogue et vengeance ?
Lumière morte
L'ex des Homicides Harry Bosch n'a plus le badge qui lui ouvrait toutes les portes et le couvrait en cas d'ennui. Mais rien à faire : il élucidera le meurtre d'Angella Benton, jeune assistante de production retrouvée morte quelques jours avant un des plus gros hold-up de Hollywood. Sauf que, dès le départ, « on » lui ordonne de renoncer. Obstiné, Bosch va voir un des deux policiers ayant enquêté sur le braquage. Celui-ci lui révèle qu'un agent du FBI, une femme, a jadis téléphoné à son collègue pour l'informer d'une anomalie dans les numéros de billets recensés par la banque, puis volés. Ainsi commence un des romans les plus sombres et inquiétants de Michael Connelly. Difficulté de l'enquête et présence obsédante d'une force inconnue qui tire toutes les ficelles et entraîne Bosch dans une terrible descente aux enfers, Lumière morte marque le grand retour de Harry Bosch au travail d'enquête.