Caroline Juler
Les orientalistes de l’école italienne
Plus de cent cinquante artistes de l’École orientaliste italienne sont illustrés en monographies complétées par leurs expositions et par un index bibliographique individuel. Leurs œuvres, qui sont plus particulièrement des aquarelles, démontrent la féconde imagination de ces peintres, dont certains ont voyagé en Afrique du Nord et au Moyen-Orient, mais qui pour la plupart n’ont travaillé qu’en « chambre ». Ce livre a pour objet d’éclairer le grand public, comme les collectionneurs, sur les différents aspects de cet art italien qui trouve ses sources à la Renaissance.
Vous aimerez aussi
Far West
Extraordinaire iconographie qui encadre l’histoire des indiens au XIX° siècle. 192 pages avec de nombreuses illustrations en couleur et en grand format retraçant la « conquête de l'Ouest ».
The cereal murders
Thanks to her recent adventures in Dying for Chocolate, Goldy Bear, the premier caterer of Aspen Meadow, Colorado, is no stranger to violence — or sudden death. But when she agrees to cater the first College Advisory Dinner for Seniors and Parents at the exclusive Elk Park Preparatory School, the last thing she expects to find at the end of the evening is the battered body of the school valedictorian. Who could have killed Keith Andrews, and why? Goldy’s hungry for some answers — and not just because she found the corpse. Her young son, Arch, a student at Elk Park Prep, has become a target for some not-so-funny pranks, while her eighteen-year-old live-in helper, Julian, has become a prime suspect in the Andrews boy’s murder. As her investigation intensifies, Goldy’s anxiety level rises faster than homemade donuts. . .as she turns up evidence that suggests that Keith knew more than enough to blow the lid off some very unscholarly secrets. And then, as her search rattles one skeleton too many, Goldy learns a crucial fact: a little knowledge about a killer can be a deadly thing.
Le dauphin et le régent
Edouard, Jacques : deux enfants de Georges Pompidou ? Bien sûr. Un aîné qui aime l'ombre et un cadet qui piaffe d'impatience ? Nul n'en doute. Des « amis de trente ans ? Peut-être. Deux complices qui ne sauraient devenir des rivaux ? Rien, désormais, n'est moins sûr. Car, dans l'histoire d'Edouard et de Jacques, il y a eu beaucoup de malentendus, quelques illusions et un certain nombre de duperies. Assez, en tout cas, pour que cette belle histoire tourne mal et conduise, inéluctablement, à un affrontement qui risque d'être fatal à l'un – ou à l'autre. C'est donc cette histoire, ses coulisses, ses enjeux, et son climat parfois cocasse, parfois douloureux, que Catherine Nay a voulu raconter dans ce livre.
Soleils rouges
Kyôto, 27 août 1935. Kaï O’Hara, treizième du nom, un mètre quatre-vingt-dix, cent dix kilos, arrive de France où il a interrompu de brillantes études. Sa seule idée : retrouver son père, «le Capitaine», disparu en mer avec sa goélette, le Nan Shan. Bien des rencontres l’attendent dans ce japon livré aux démons du militarisme et de l’alliance nazie. Celle du cruel Tadoshige, l’homme des services secrets. Celle, fascinante, de Boadicée, qui n’est autre que la fille du plus mortel ennemi de sa famille… Arrive la guerre sino japonaise, et bientôt la Seconde Lierre mondiale. Kaï, fugitif, va aller d’île en île, poursuivant la vengeance, l’amour et la liberté… Dans la foulée de L’Enfant des Sept Mers, l’auteur de Fortune et de Berlin nous entraîne dans un prodigieux périple romanesque, bourré de péripéties, de personnages, de surprises… D’humanité aussi.