Teresa Crane
Le talisman d’or
Non, non et non ! Pour rien au monde Cathy ne quittera Sandlings, sa maison perdue sur la côte du Suffolk, cernée par la mer et les marais, qu’elle adore. Comme elle adore Léon, son Grec de mari ! Mais il est si imprévisible, toujours absent, retenu ici ou là par de mystérieuses affaires. Non, non et non ! Elle n’ira pas s’installer à Londres ! Elle est tellement heureuse ici. Et puis, il y a Sandy, le chien, son vieux voisin Bert, et son fils, Adam, qui vient parfois lui rendre visite.
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Parvenu à l'heure des bilans, le narrateur, directeur d'hôpital, se souvient que, trente ans auparavant, on avait exhibé devant les étudiants, dans un amphithéâtre déjà vétuste, aujourd'hui disparu, sa mère, presque mourante, un écriteau sur la poitrine. Et d'autres souvenirs reviennent qui font affleurer quelques figures d'Argentins : Gabriel, le kinésithérapeute aveugle, Nicolas, le frère, et même Eva Perón, haranguant du haut d'un tracteur une foule de miséreux. Mais très vite, sur la scène de la mémoire, c'est l'extravagant M. Moralès qui s'impose. Ancien grand couturier, tour à tour avide d'absolu et succombant à l'abjection, il entraîne dans son sillage un cortège d'excentriques. Seul le souvenir de la mère, une femme aux yeux gris, pénétrée de la sagesse des humbles, revient apaiser le tumulte de la mémoire. Et les ombres, enfin, peuvent se dissiper.
Claude Gueux
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