Jean-Marie Pelt
Nouveau tour du monde d’un écologiste
Sous un titre à la Jules Verne, voici un document qui n’a rien d’une anticipation : le périple planétaire, en quarante étapes, d’un défenseur de l’environnement. Du Rhin au lac Baikal, de la Sibérie à Mexico puis à l’Amazonie, du Bangladesh au Ténéré et à la Côte d’Azur, chaque station évoque les ravages causés par l’homme à l’écosystème planétaire : pollution des fleuves, déforestation, déchets, mégapoles, destruction de l’atmosphère. Et aussi les combats, les multiples initiatives, les réussites et les échecs de ceux qui luttent pour la sauvegarde de notre planète. Dans un style clair, alerte et imagé, Jean-Marie Pelt, professeur de biologie, président de l’Institut européen d’écologie, nous propose un passionnant voyage au coeur d’un des plus urgents débats de notre temps.
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A trop fréquenter la littérature, il arrive qu’on tombe dedans. Lecteur invétéré, époux d’une écrivaine nantie d’un petit renom, architecte en rupture de plans, le héros de ce premier roman n’est pas avare de confidences sur son grand projet : écrire un livre, lui aussi. Mais son écran d’ordinateur ne se remplit que d’images qui ralentissent son travail tout en accélérant son flux sanguin…Les affres de la création deviennent de terribles compagnons dont on se distrait d’un poignet actif. Alors, le jour où par ennui ou par dépit, notre homme commet l’incorrection de parcourir le journal intime de sa femme, il en est puni par une découverte qui porte un nom : Léon, et par une révélation : c’est un amant hors normes. Affolé, vexé mais stimulé, il se lance dans une enquête qui a tout d’une quête : pourquoi chez lui sexualité et littérature sont-elles autant liées ? Cet amateur de théories cocasses s’épanche et nous entraîne, l’air de rien, dans la dernière des grandes aventures : celle qui mène à soi.
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