Fille du destin
Abandonnée sur le port de Valparaiso en 1832, adoptée par la famille Sommers, Eliza va mener une existence de petite fille modèle, jusqu’au jour de ses 16 ans où elle s’éprend de Joaquin, un jeune homme pauvre et entreprenant qui la quitte bientôt pour gagner la Californie. Enceinte, Eliza s’embarque clandestinement sur un voilier afin de le retrouver. En Californie, c’est le temps de la ruée vers l’or. La jeune femme va découvrir un univers sans foi ni loi, peuplé d’aventuriers, de prostituées, de bandits. Un jeune médecin chinois, Tao Chien, la prend sous sa protection. Autour d’eux, San Francisco grandit, le commerce entre les deux Amériques est intense, un nouveau pays naît, brutal, ambitieux, bien éloigné des traditions de la vieille Europe, tellement plus libre aussi…
Roman d’amour, roman d’aventures, roman historique avec ce nouveau livre, Isabel Allende égale son chef d’œuvre, La Maison aux esprits, best-seller international dès sa parution en 1982.
L’éducation sentimentale
De 1840 à 1867, la vie fait L’Éducation sentimentale de Frédéric Moreau et de toute une jeunesse idéaliste qui a préparé dans la fièvre la révolution de 1848. Le roman s’ouvre sur des rêves exaltés et s’achève sur la médiocrité des uns et des autres. Entre temps, la vie s’est écoulée autour de Frédéric, qui semble n’avoir pas plus participé aux mutations de son temps qu’à l’édifice de sa propre destinée potentielle. Au cours de cette existence, Madame Arnoux, dont les apparitions sont autant de surgissements mystiques, tient lieu au jeune homme d’absolu insaisissable. Lui qui rêvait de terres lointaines et d’ouvrages romantiques déchirants dont il se voyait l’auteur génial, se retrouve, en guise de destination exotique, à Nogent, la ville de son enfance. Au terme de son parcours, que peut-il faire d’autre que ponctuer sa conversation avec Deslauriers, le pragmatique non moins malheureux, de te souviens-tu ? Flaubert éclaire ses personnages d’une lumière tantôt ironique, tantôt sympathique, et s’il adopte parfois une vision panoramique des choses, c’est semble-t-il pour mieux se couler dans l’esprit de son héros afin de faire vivre au lecteur les velléités de son caractère.
Depuis qu’un soleil bleu est apparu au-dessus de la ville, les choses vont mal ! Les mauvais élèves sont devenus plus savants que les professeurs, les chiens jouent aux échecs, les chats lisent dans les pensées. Quant aux chaussures, elles parcourent les rues avec la ferme intention de botter les fesses de leurs anciens propriétaires ! Peggy Sue, la collégienne aux lunettes magiques, sent la catastrophe imminente. Elle est la seule à savoir que des êtres invisibles traversent les murs pour accabler les pauvres hommes de « farces » souvent mortelles. A cause de ces fantômes, le chaos s’installe : un chien errant gouverne désormais la cité ! Les animaux ont décidé de se venger des humains ! Le piège se referme. Peggy Sue parviendra-t-elle à en triompher.
Créer et aménager son jardin
Un guide complet qui vous permettra de créer un jardin personnalisé qui corresponde à vos besoins et à votre budget. Des conseils pratiques pour la réalisation de 50 plans regroupés par styles de jardins très différents : jardin japonais, jardin d’entretien facile, jardin potager, terrasses et balcons. Une multitude d’astuces, de suggestions pratiques et de descriptions illustrées par plus de 1000 photographies en couleurs.
Questions au psy
La façon d’élever les enfants a énormément évolué depuis vingt ou trente ans. Aussi, les parents se posent beaucoup de questions sur l ‘éducation de leurs enfants et trouvent peu de réponses. Ce livre permet de garder le cap, donne des conseils et aide chacun à trouver ses propres réponses. Spécial tout-petits, de 3 mois à 3 ans.
Le voyage inspiré
A partir de 12 ans
Grenade, 1492. Au détour d’une rue, Pedro Alvarez tombe nez à nez avec un homme étrange. Et pour cause, il s’agit de Christophe Colomb ! Celui-ci lui propose d’embarquer sur la Santa-Maria à la découverte des Indes. Mais la traversée s’annonce mouvementée et si longue que tous se demandent s’ils reverront un jour la terre ferme.
Guide Parker des vins de France
Depuis plus de vingt ans, Robert Parker sillonne le monde à la recherche non seulement des meilleurs vins, mais aussi de parfums nouveaux, de saveurs inédites. Il reste que, de son propre aveu, la terre du vin est la France, dont il continue de nous faire découvrir les multiples richesses, les innombrables nuances. Bordelais, Bourgogne, Champagne, vallées du Rhône et de la Loire, Alsace, Languedoc-Roussillon, Provence… trouvent dans ce nouvel ouvrage leur plus fin analyste, leur plus grand exégète. Loin des polémiques et des modes, ce dégustateur incomparable présente, décrit, commente plus de 10 000 vins et nous offre, par le biais de sa célèbre notation sur 100, une échelle de valeur précise tenant compte de tous les paramètres d'évaluation d'un vin.
Le lit d’Aliénor
Le premier best-seller de Mireille Calmel. Une aventure où magie et sensualité se mêlent merveilleusement à la grande Histoire
Poitiers, 1137. Aliénor d’Aquitaine, yeux verts, cheveux d’or, tempérament de feu, trépigne d’impatience. Aujourd’hui, Loanna de Grimwald, 15 ans, fait son entrée à la cour. Un peu fée, un peu sorcière, celle-ci est envoyée par les siens pour faire en sorte que la jeune duchesse épouse Henri, le futur roi d’Angleterre. Entraînée dans un tourbillon de fêtes, Loanna noue une tendre amitié avec Aliénor mais le destin contrarie ses plans. à la suite d’une traîtrise, Aliénor est donnée en mariage à Louis VII. Qu’à cela ne tienne, Loanna la suit à la cour de France… Car tant qu’Aliénor ne donne pas d’héritier mâle à Louis, rien n’est perdu pour Henri !
« Piquant, poétique, sensuel, épique » ELLE « Un roman magique » Le Parisien. Vendu à plus de 1 million d’exemplaires, le roman a été traduit dans toute l’Europe. Cette édition collector célèbre les 20 ans de sa publication. Elle est accompagnée d’illustrations de Pierre Legein représentant, à la manière d’un tableau, les différentes scènes du livre.
En dépit de ses origines bâtardes, le jeune Thibaut de Courtenay ne doute pas de sa bonne étoile : il est l’ami et l’écuyer en titre du prince héritier Baudouin IV. Jamais la cour de Jérusalem n’avait connu un personnage royal d’une telle noblesse ! Dès le début de son règne, en 1176, le peuple entier l’aime et le vénère comme un saint. Seul son génie est capable de tenir en échec les furieux assauts de l’armée de Saladin contre les terres chrétiennes. Hélas, une lèpre ronge le corps de Baudouin depuis qu’il a neuf ans ; il dépérit et partage en secret son pouvoir avec Thibaut. Mais qu’arrivera-t-il si le fidèle compagnon est fait prisonnier par l’ennemi et que le fragile roi se retrouve seul à protéger Jérusalem et tous les saints trésors qu’elle abrite ?
On ne réveille pas un juge qui dort
« Pour dépeindre les maux de la Justice qui n’en manque pas, les mots ne font pas défaut. Ceux que j’emploie, j’en conviens, ne sont guère employés par les conférenciers sélectionnés pour aller discourir lors des séminaires organisés par l’Ecole nationale de la magistrature. Mais, par-delà les termes, le programme est le même : statut, indépendance, juge d’instruction, droits de la défense, relation presse/justice, justice et politique, affaires « affairistes », affaires « criminelles », terrorisme, perspectives, etc… » L’un des grands juges de la « lutte antiterroriste », l’un des magistrats les plus protégés, les mieux informés et les moins bavards de France, Gilbert Thiel, nous livre ici un témoignage exceptionnel et la profession de foi d’un « croisé de la justice ». Outre les réseaux de financement politique clandestins, il évoque pour la première fois dans un ouvrage les affaires Simone Weber, Guy Georges, qu’il a traitées, mais aussi les dossiers basque et breton, les réseaux islamistes implantés en France, sans oublier la Corse et l’enquête sur le meurtre du préfet Erignac. Né à Metz en 1948, Gilbert Thiel a intégré l’Ecole nationale de la magistrature en février 1976, et obtenu son premier poste de juge d’instruction à Nancy en 1978. Après quatre années au parquet général de Metz il revient à l’instruction à Paris en 1994. Il est affecté à la section « antiterroriste » depuis 1995. Daniel Carton est journaliste. Il fut pendant dix ans journaliste politique au Mondeet grand reporter au Nouvel Observateur.
Robert des noms propres
Les tueurs ont des fragilités plus ou moins incompréhensibles. Et l’on n’imagine pas l’influence du hoquet d’un fœtus sur une fillette de dix-neuf ans enceinte, à fleur de peau ! A fortiori après huit heures d’insomnie. Ajoutez à cela une petite querelle sur le choix du prénom… et hop, voilà Lucette qui vide le chargeur d’un revolver sur la tempe de son mari endormi ! Rien de tel pour faire disparaître le hoquet ! Vite fait, bien fait… D’ailleurs, tout file sur les chapeaux de roue dans ce nouvel opus d’Amélie Nothomb. Robert des noms propres est l’histoire de cette enfant née en prison, dont la mère a flingué sèchement le père avant de baptiser sa fille Plectrude et de se suicider dans sa cellule. Il y a mieux comme géniteurs ! Surtout quand par la suite on est recueilli par un oncle et une tante qui vous élèvent comme une princesse, à tort et à travers, avec qui tous les coups sont permis, les plus excentriques, les plus capricieux. C’est là l’itinéraire d’une gamine hors norme, belle et farouche, rebelle et prodigieusement intelligente, cancre et douée à la fois, qui se voit danseuse et petit rat à l’Opéra, se nourrit des pages du dictionnaire Le Robert, sombre dans l’anorexie avant de connaître les révélations de sa naissance, de vivre avec « l’homme de sa vie » et de rencontrer… l’auteur ! Conduisant son récit avec légèreté et une distance ironique, Amélie Nothomb démontre bien encore (à raison d’un roman par an !) qu’elle possède le feu de l’écriture. Le feu de Dieu et des démons à en croire la touche finale de ce Robert des noms propres, au titre aussi subtil que Cosmétique de l’ennemi ou Hygiène de l’assassin… –Céline Darner
Mille femmes blanches
En 1874, à Washington, le président Grant accepte la proposition incroyable du chef indien Little Wolf : troquer mille femmes blanches contre chevaux et bisons pour favoriser l’intégration du peuple indien. Si quelques femmes se portent volontaires, la plupart viennent en réalité des pénitenciers et des asiles… l’une d’elles, May Dodd, apprend sa nouvelle vie de squaw et les rites des Indiens. Mariée à un puissant guerrier, elle découvre les combats violents entre tribus et les ravages provoqués par l’alcool. Aux côtés de femmes de toutes origines, elle assiste à l’agonie de son peuple d’adoption…
« Un roman splendide, puissant et engagé » – Jim Harrison.
Les orphelines (4) – Rebecca
Son père l’ a abandonnée à sa naissance ; sa mère, qui a sombré dans l’alcool et la drogue, se retrouve en prison.
A douze ans, Rebecca ne peut vivre seule et est recueillie par son oncle et sa tante.
L’oncle Reuben est un homme injuste et violent, qui la traite comme une domestique et n’hésite pas à la frapper.
Certes, la tante Clara est une brave femme, mais trop terrorisée par son mari pour prendre la défense de Rebecca.
Quant à Jennifer, sa cousine, d’un an son aîné- c’est une vraie peste. Finalement, cette » vie de famille » est un enfer qui ne vaut guère mieux que l’orphelinat.
Le jour où son professeur de gymnastique découvre par hasard les marques qu’elle porte sur le corps, Rebecca ose parler. Le tribunal pour enfants décide alors de la placer dans une maison d’accueil. Où elle fait la connaissance de Janet, de Crystal et de Brenda, dont la vie juqu’à présent n’a pas été plus drôle que la sienne.
Les orphelines (3) – Brenda
Pamela et Peter Thompson voulaient adopter une fillette. Elancée, dotée d’un jolie teint, cheveux blonds et yeux bleus.
Tout le portrait de Pamela. Leur objectif : la présenter à des concours de beauté pour qu’elle remporte un jour le titre de Miss America que Pamela a raté de peu, quelques années plus tôt. Une sorte de revanche en somme.
Alors ils sont allés dans un orphelinat comme on va dans un magasin de jouets et ils ont choisi Brenda. Le physique correspondait à leurs souhaits; le moral, ils se faisaient fort de le façonner.
Cours de maintien, esthéticienne, leçons de piano, vêtements hors de prix. Pamela s’en donne à coeur joie, rectifie, estompe, rembourre. Elle n’avait pas prévu, que la jolie petite poupée se rebellerait : Brenda déteste le piano et les franfreluches. Sa passion, c’est le base-ball -sport pour lequel elle est très douée-, mais qui ne fait pas partie des critères de sélection pour une raine de beauté.
Les orphelines (2) – Crystal
Crystal a treize ans. Née de père inconnu, fille d’une malade mentale, elle est pupille de l’Etat. Avec un tel dossier, elle n’a pas le droit de faire la difficile. Aussi, lorque Karl et Thelma lui affirment qu’ils vont la rendre heureuse et gommer en un rien de temps toutes les cicatrices laissées par ce passé douloureux, elle accepte de jouer le jeu, même si leur optimisme la laisse sceptique.
Leur objectif à tous les trois est simple : former une vraie famille. Discuter, dîner, faire les courses, regarder la télévision, être heureux ensemble. Simple, mais pas si facile quand on n’a pas l’habitude du bonheur.
La confiance et l’amour ne se décrètent pas, ils s’inspirent. Tranquillement, jour après jour, avec des ratés, des reculs et des compromis. Karl et Thelma sont pleins de bonne volonté et Crystal si avide de tendresse que leur tentative devraient réussir. Mais le destin s’acharne sur Crystal, comme pour la punir d’une faute qu’elle n’a pas commise.
Les orphelines (1) – Janet
Quand Céline et Sanford Delorice se présentent à l’orphelinat et décident d’adopter Janet, elle n’ose y croire.
Elle, l’adolescente frêle et timide dont personne ne voulait, va vivre dans cette somptueuse villa, aura une immense chambre pour elle seule. Elle croit rêver. Un rêve qui bientôt devient cauchemar : Céline, ancienne danseuse étoile, est désormais clouée dans un fauteuil roulant. Grâce à Janet, elle va pouvoir vivre par procuration, concrétiser ses espoirs déçus. » Tu seras danseuse étoile, ma fille. Danser, c’est s’envoler dans l’espace tel un papillon.
S’enivrer de la musique, des applaudissements, de la gloire. » Mais danser, c’est muscler et assouplir un corps rebelle. Le forger, en faire un instrument parfaitement maîtrisé. Au prix d’un entraînement impitoyable et de mille souffrances, jusqu’à l’épuisement. Janet est prête à tous les sacrifices pour se faire aimer de sa nouvelle famille. Mais satisfaire une mère aussi exigeante n’est pas tâche facile.
Les romans de Virginia C. Andrews se sont vendus à des millions d’exemplaires et ont été traduits en seize langues. Après sa mort, sa famille, s’inspirant de l’extraordinaire créativité de la romancière et travaillant en étroite collaboration avec un écrivain de talent, a lancé de nouveaux cycles V. C. Andrews. Avec Janet voici le premier volet d’une série inédite, Les orphelines.
A visage couvert
À Martingale, la belle demeure des Maxie dans la campagne anglaise, on est assez tolérant pour admettre une domestique mère célibataire, et qui ne veut pas être séparée de son enfant. Mais rien ne va plus lorsque celle-ci arbore la même robe que la fille de la maison et annonce ses fiançailles avec le « jeune maître ». Un meurtre est commis le soir même chez les Maxie. Et le policier Dalgliesh, spécialement mandaté par Scotland Yard, va entrer dans une des affaires les plus troublantes de sa carrière.
Ce n’est déjà pas facile d’être à la fois lycéenne à New York et princesse héritière de la principauté de Genovia. Voilà qu’en plus, Mia est amoureuse du frère de sa meilleure amie, Michael, qui ne semble pas du tout s’intéresser à elle… Que faire ? Se désespérer, faire semblant de s’intéresser à Kenny pour rendre Michael jaloux ? Renoncer ? Non, une Princesse ne renonce jamais !
L’île des promesses
Ce secret avait hanté son enfance. Ce que Grace et Melanie redoutaient depuis longtemps est arrivé : deux jours avant Noël, leurs parents, neurasthéniques, égocentriques et vieillissants, ont mis fin à leurs jours. Mais pourquoi ont-ils légué à Grace Barnett, leur fille aînée, cette maison perdue sur une île au milieu d’un lac des Adirondacks, à la frontière canadienne ? Renonçant à ses projets de vacances avec sa fille et son mari, Grace décide d’aller découvrir son héritage. Elle trouve non seulement une maison, mais aussi un pan entier de son passé, et l’explication des angoisses qui la poursuivent depuis l’enfance. Toutefois, son histoire familiale dramatique n’est qu’une des révélations de ce voyage. Elle goûte dans ce lieu, éloigné de tout, un mode de vie à l’opposé de son existence citadine. Le monde qui était le sien n’a soudain plus aucun sens, et poursuivre sa vie commune avec le célèbre Dr Barnett lui semble devenu impossible. C’est alors que celui-ci tombe gravement malade. Un roman intelligent, sensible et profond. Si vous cherchez un livre fort et plein d’émotions, lisez L’Ile des promesses !
Pour toi, Nicolas
Editrice, Katie Wilkinson croyait avoir trouvé l’amour en la personne de Matt, dont elle s’apprêtait à publier le recueil de poèmes. Mais ce dernier disparaît brusquement, lui laissant pour toute explication un journal intime. Suzanne, une jeune mère, s’y adresse à son fils, Nicolas. Au fil des pages, Katie découvre que l’homme dont elle est tombée amoureuse n’est autre que le mari de Suzanne, le père de Nicolas… Matt, qui prétendait vivre seul, lui a-t-il menti ? Mène-t-il une double vie ? Pourquoi lui infliger un tel supplice ? Malgré sa douleur, Katie poursuit sa lecture… James Patterson a tenu à dédier ce roman, inspiré par la disparition de sa femme, à tous ceux qui ont aimé, tout perdu, et aimé de nouveau.
L’incendiaire de Highgate
Le paisible quartier de Highgate a été le théâtre d’un terrible incendie qui a coûté la vie à Clemency Shaw, l’épouse d’un médecin reconnu. L’inspecteur Thomas Pitt et sa femme, Charlotte, auront à déterminer s’il s’agit là d’un simple accident ou d’un acte criminel. Méthodiquement, le célèbre duo de détectives tente de tracer un portrait du couple afin de rendre justice. « Anne Perry a un secret. Elle est capable de conférer au roman policier historique une véritable profondeur humaine. Le moins que le lecteur puisse attendre de ce genre de livres, c’est la perfection du décor et la fidélité à l’esprit d’une époque. Sur ce point, Anne Perry est irréprochable. Elle fait revivre à la perfection l’Angleterre victorienne. »
Un roi sans divertissement
Qui donc a profité des neiges pour égrainer un chapelet de cadavres? Dans ce village du Dauphiné, l’arrivée du printemps rejette ses secrets et ses morts : au bout de trois victimes, on finira par faire appel à un spécialiste, le commandant Langlois, qui découvrira bien vite la vérité. Mais pourra-t-il y survivre ? Étranges personnages que ceux de ce récit; étrange roman, qui tient du théâtre de l’absurde, du conte séculaire et de la parabole. Parabole laïque sur un seul thème, dont la pensée de Pascal « Un roi sans divertissement est un roi plein de misère » donne la clef : l’ennui existentiel guette les hommes, s’ils ne s’inventent pas des divertissements efficaces, consistants. C’est ce qu’avait bien compris l’assassin des neiges ; c’est ce que finira par comprendre Langlois, à son corps défendant. Avec ce drame d’une vie en trois actes, Giono inaugurait une série romanesque très noire, centrée sur l’analyse du mal et de la misère humaine, bien loin du cycle provençal de « Regain ». –Karla Manuele
Ce livre retrace l’itinéraire d’une des pensées les plus originales de notre génération, qu’elle s’exprime sur les arbres ou sur le zen. D’abord philosophe, Jacques Brosse, animé par une curiosité inlassable, aiguillonné par une constante quête spirituelle, a suivi une psychanalyse didactique. Il s’interroge dans cet ouvrage, qu’il tient pour l’un des plus importants qu’il ait écrits, sur son cheminement de philosophe et de chrétien, au carrefour du bouddhisme – des substances hallucinogènes à l’enseignement des chamans sud-américains, puis à celui des moines bouddhistes. Il évoque sa rencontre avec de nombreuses personnalités : Albert Camus, Gaston Bachelard, Claude Lévi-Strauss, Henri Michaux, Jean Cocteau, Jean Malaurie, et les maîtres du bouddhisme. Enseignant-errant du zen en France et en Europe, il témoigne d’une acceptation joyeuse de la vie et de son terme, sans cesser de plaider pour un retour à l’ordre naturel menacé par la rentabilité et la médiocrité des gouvernants.
Power Games (04) – Frappe biologique
Ce n’est plus un cauchemar.
C’est peut-être déjà la réalité.
L’arme parfaite. Celle qui a le pouvoir de détruire l’humanité entière mais permet de cibler ses victimes.
Un virus dormant qu’une simple injection de microcapsules permet d’activer.
Toutes les capitales du monde sont en état d’alerte. Il faut trouver la riposte à ce fléau qui menace la planète.
Maintenant ou jamais.
Avec Dette d’honneur et Sur ordre, Tom Clancy avait malheureusement deviné et décrit l’horreur et le terrorisme aveugle d’aujourd’hui. Frappe biologique, dont la vraisemblance géopolitique rattrape la pire des actualités, ne fait que confirmer que toute ressemblance avec des situations ou des personnages réels n’ont plus rien d’imaginaire.
Classe de Lune
Classe de neige, de mer ou classe verte, c’est dépassé. Le CM2 de Christophe se prépare à une grande première : une classe de lune ! Formés et informés, entraînés, habillés et conditionnés pour cette expérience unique, les élèves semblent fin prêts pour que le voyage se passe dans les meilleures conditions. Mais la lune réserve bien des surprises et une drôle de musique aux jeunes terriens.
La marraine de guerre
A partir de 12 ans – Pendant la guerre de 14-18 un jeune poilu enfoncé jusqu’au cou dans sa tranchée boueuse et sanglante, ne garde le moral que grâce au courrier de sa marraine de guerre. Malgré la misère de ses camarades de feu, le jeune homme rêve de rencontrer celle-ci tout en redoutant cette visite qui lui enlèvera tout le mystère qui l’auréole.
« Chère Marie-Pierre,
Hier, mon bataillon est monté à l’assaut. Quelle misère de voir les camarades tomber à la renverse dans le boyau touchés avant même d’avoir eu le temps d’armer leur fusil! Il faut sauver sa peau, du moins le plus longtemps possible.
Votre pauvre poilu qui vous embrasse bien fort. Etienne ».
Largo Winch – Tome 12 – Shadow
Les affaires vont mal pour le groupe « W ». Largo est en prison, accusé d’un viol qu’il n’a pas commis. Il a pour compagnon de cellule le numéro 2 du groupe, Cochrane, piégé par l’I. R. S. pour fraude. Alors que Sarah Washington, de la division « Networks », est torturée dans une cave envahie par les rats ! Et dire que tout cela a débuté par un feuilleton télé, Shadow, avec Simon Ovronnaz dans le rôle principal…
L’euphorie perpétuelle
Un nouveau stupéfiant collectif envahit les sociétés occidentales : le culte du bonheur. Soyez heureux ! Terrible commandement auquel il est d’autant plus difficile de se soustraire qu’il prétend faire notre bien. Comment savoir si l’on est heureux ? Et que répondre à ceux qui avouent piteusement : je n’y arrive pas ? Faut-il les renvoyer à ces thérapies du bien-être, tels le bouddhisme, le consumérisme et autres techniques de la félicité ? Qu’en est-il de notre rapport à la douleur dans un monde où le sexe et la santé sont devenus nos despotes ? J’appelle devoir de bonheur cette idéologie qui pousse à tout évaluer sous l’angle du plaisir et du désagrément, cette assignation à l’euphorie qui rejette dans l’opprobre ou le malaise ceux qui n’y souscrivent pas. Perversion de la plus belle idée qui soit : la possibilité accordée à chacun de maîtriser son destin et d’améliorer son existence. C’est alors le malheur et la souffrance qui sont mis hors la loi, au risque, à force d’être passés sous silence, de resurgir où on ne les attendait pas. Notre époque raconte une étrange fable : celle d’une société vouée à l’hédonisme, à laquelle tout devient irritation et supplice. Comment la croyance subversive des Lumières, qui offrent aux hommes ce droit au bonheur jusqu’alors réservé au paradis des chrétiens, a-t-elle pu se transformer en dogme ? Telle est l’aventure que nous retraçons ici.
Rien ne va plus
À Hollywood, comme chacun sait, tout va plus vite, plus haut, plus fort! Les succès peuvent être soudains et tonitruants, les chutes foudroyantes. David Armitage, scénariste en quête de reconnaissance va en faire la redoutable expérience. Alors qu’il écrit depuis plus de dix ans des textes qui ne recueillent que l’indifférence des grands pontes de l’usine à rêves, l’impensable se produit : son dernier scénario est acheté par une chaîne branchée du câble.
Le golf au féminin
Débutante ou confirmée, grâce à ce livre, le golf n’aura plus aucun secret pour vous. Il vous guidera étape par étape à chaque moment du jeu, vous donnant les conseils les plus simples mais aussi les astuces des professionnels. Illustré de nombreuses photos, il recense les erreurs courantes à éviter et vous explique comment les corriger. Des encadrés synthétiques décrivent le matériel indispensable, les moindres détails des techniques du golf et les différents terrains.
La chambre
« Le tour de l’île : vingt-quatre pas. Six du nord au sud et d’est en ouest, depuis la porte d’entrée jusqu’à la fenêtre. Les cloisons de planches, la cheminée de marbre et, comme un lac suspendu, le grand miroir – la géographie de la chambre, ses rivages, ses déserts, sa faune, j’en sais tout. Mais le décor, cet étrange décor, acajou et pavé, brocart et chaises dépaillées, qui l’a composé ? Qui, surtout, a donné l’ordre de condamner les portes, puis la fenêtre, la cheminée, de poser des serrures, des verrous, je l’ignore… Et l’enfant ? Lorsqu’on a détaché sa chambre du continent, pourquoi n’a-t-il pas crié ? Pourquoi s’est-il laissé couler ?
À l’origine du crime, qu’y avait-il ?
Quand la foi soulève des montagnes, elle écrase des enfants. Est-ce la foi qu’on trouve au commencement de cette histoire ? Ou bien la peur, la bêtise, le hasard ? Qu’y avait-il « au commencement » ?»
Le Hugo
» Dix-neuf poèmes, c’est à la fois bien peu, parmi l’oeuvre immense de notre bicentenaire favori, et beaucoup, tant est riche leur lecture : le choix des anthologistes parvient à rendre compte de l’étonnante diversité des textes, engagés, légers, drôles, visionnairesà Les peintures et les lavis de Christine Lassara, le jeu des traces et des couleurs, la qualité du papier, l’ampleur du format participent à la réussite du livre. (publié dans La Revue des livres pour enfants. Sélection annuelle).
Voyages autour du monde
320 pages – Comme neuf » Le voyage pour moi, ce n’est pas arriver, c’est partir. C’est la saveur de la journée qui s’ouvre, c’est l’imprévu de la prochaine escale, c’est le désir jamais comblé de connaître sans cesse autre chose, […] c’est demain, éternellement demain. Je pars » (Roland Dorgelès). Périple à travers le temps et les continents, ce livre propose un voyage en images et en littérature cent cinquante ans de photographies, ponctuées de citations d’écrivains et de voyageurs, témoignent d’un monde enfui d’une émouvante beauté, fragile et de plus en plus menacée. L’esprit du voyage souffle sur ces pages qui sont une invitation à prendre le large sur les pas des » chercheurs d’ailleurs » d’hier et d’aujourd’hui.
Argentine, Buenos Aires, années trente. Le fortuné Ricardo Vacarezza a un problème de taille : depuis peu, des rêves récurrents l’assaillent, où il s’exprime avec la voix d’un autre homme dans une langue inconnue et fait l’amour avec une femme mystérieuse… La rencontre de l’indien Yanpa le désignant comme chaman malgré lui n’arrange rien à l’affaire ; et voilà notre héros condamné à se confronter à une psychanalyste d’obédience jungienne afin d’interpréter propos oniriques et visions impromptues ! En est-il des songes de Ricardo comme des remous politiques qui secouent l’Argentine d’alors ? De fait, à la tête de l’État comme dans les interstices du psychisme, « il y a des remises en ordre plus assassines que les plus grands désordres ». Pour redevenir « maître dans la maison », Ricardo doit entamer un voyage jusqu’en Grèce où l’attend selon lui l’élue de son cœur, dont il est séparé depuis rien moins que trois mille ans… Gilbert Sinoué surprend par ce récit plus « moderne », sinon moins enlevé, que ses précédents opus, l’inoubliable Livre de Saphir et L’Enfant de Bruges. Chacun jugera sur pièces cette histoire qui mêle, jusqu’au vertige, temporel et existentiel, réincarnation et amour absolu. En gardant à l’esprit une phrase dont la passion humaine vient ici sublimer la facture anodine : « Nous rêvons tous. Combien sommes-nous à réaliser nos rêves ? Frédéric Grolleau
Assimil – L’espagnol des affaires
Si le monde des affaires et les relations avec l’Espagne et l’Amérique du Sud vous intéressent, voici un ouvrage qui vous permettra d’atteindre le niveau requis pour les discussions et les négociations avec vos partenaires hispanophones !
A propos d’un gamin
Pour Marcus, douze ans, une mère divorcée, dépressive et baba cool, la vie n’est pas toujours facile. Surtout quand de surcroît cette mère végétarienne n’écoute que des tubes des années soixante-dix, vous attife de vêtements ringards et que les durs de l’école ne jurent que par le hip-hop. Quant à Will, la trentaine, branché, riche, oisif et fier collectionneur d’amours épisodiques, il a du mal à trouver sa place dans la société. Malgré leur méfiance réciproque, l’homme et l’enfant que tout oppose vont finir par se trouver et s’épauler pour affronter l’adolescence et des liens sociaux distendus. Cette rencontre paradoxale entre un mâle solitaire prototype de l’homme moderne ! et un gosse tendre et marginal est magistralement orchestrée par Nick Hornby. Une histoire de parents célibataires, d’enfants solitaires, de fringues, de foot et de musique. Après les succès de Haute fidélité et Carton jaune, l’auteur signe là son livre le plus accompli. Le ton est sarcastique et drôle, les situations d’un réalisme désarmant et les émotions sincères. C’est enfin un regard d’une grande lucidité sur les désordres amoureux de cette fin de siècle. –Stellio Paris. Adapté au cinéma sous le titre » : Pour un garçon » de C Weitz, avec Hugh Grant, Toni Collette, Rachel Weisz et Nicolas Hoult ( le garçon de 12 ans …)
Le vengeur
Une connaissance parfaite de la situation géopolitique et militaire internationale, un sens infaillible de l’action, un génie de la prospective : Frederick Forsyth est sans nul doute le maître du roman d’espionnage. De l’enfer du Vietnam aux charniers de Bosnie et aux jungles de l’Amérique centrale, ce récit infernal d’une double traque nous entraîne dans les arcanes de la diplomatie. Un cauchemar d’une totale actualité où l’angoisse se mêle au meilleur suspense politique. Le grand retour de Frederick Forsyth.
Le vétéran
Quelle que soit l’histoire : vengeance tardive, espionnage, international, escroquerie au miracle, trafic de drogue ou trafic d’art… le talent de l’auteur du Quatrième protocole et de L’Alternative du diable est incontestable. Plus efficace que jamais, la «mécanique Forsyth» a encore frappé !
Maroc – Le guide du routard
Le Maroc est riche autant de ses grands espaces que de ses villes : arpentez l’Atlas, perdez-vous dans les souks, découvrez les palais luxueux de la médina de Marrakech, avant de vous ébahir devant la moderne mosquée Hassan-II à Casablanca ou dans la kasbah des Oudaïa à Rabat. Dans Le Routard Maroc, mis à jour par nos spécialistes, vous trouverez : Une première partie en couleurs pour découvrir le pays à l’aide de photos et de cartes illustrant les coups de cœur de nos auteurs ; des itinéraires thématiques et géographiques, avec toutes les infos et astuces dont vous avez besoin pour réussir et profiter pleinement de votre voyage ; des activités (randonner dans les vallées de l’Atlas le matin, se perdre dans les ruelles des souks à Marrakech…), des visites (partir à la découverte de la palmeraie de Tineghir, flâner sur les remparts d’Essaouira…), à partager en famille, entre amis ou en solo ; près de 50 cartes et plans avec toutes les bonnes adresses du Routard positionnées ; et, bien sûr, le meilleur de la destination et des pas de côté pour découvrir le Maroc hors des sentiers battus. Merci à tous les Routards qui sont solidaires de nos convictions depuis bientôt 50 ans : liberté et indépendance d’esprit ; découverte et partage ; sincérité, tolérance et respect des autres.
Apocalypse sur commande
Une catastrophe naturelle peut-elle être fabriquée volontairement ? Lorsqu’un groupe terroriste, Les soldats du paradis, menace de provoquer un tremblement de terre dans un coin bien précis de Californie, personne ne le prend au sérieux. Et pourtant, le cataclysme a bien lieu… La police et le FBI bâclent l’affaire ; et un second tremblement de terre est annoncé. Dans une vallée perdue de la côte californienne, vit depuis vingt ans une bande de hippies oubliés de tous. Ils ont installé là un véritable petit paradis sur terre : culture biologique, vignes productives, éducation communautaire. Les vieux préceptes de Mai 68 appliqués pour le bien de tous. Hélas, le paradis est mis en danger par un nouveau projet gouvernemental. Et le second tremblement de terre a lieu. Avec mort d’hommes. Qui sont ces terrifiants Soldats du Paradis, capables de créer de toutes pièces ce qui, d’habitude, ne relève que de la seule nature ? Judy Maddox, jeune agente du FBI désavouée par ses supérieurs, et Michael Quercus, un sismologue original, étudient les tracés sur ordinateur de la grande faille de Californie. Ils repèrent les points d’impact susceptibles d’être utilisés par les terroristes : en les frappant à l’aide d’un vibrateur sismique, ceux-ci peuvent déclencher des chocs en série et créer un séisme. Or Les Soldats du Paradis envoient un dernier ultimatum.
Derrière les ponts
Dans chaque ville, il existe ces quartiers éloignés du centre où les rues ne sont pas encore goudronnées, où le ruisseau sert de dépotoir. C’est là-bas « Derrière les ponts ». Il n’y a rien à voir. Mais tout est à vivre. Car l’enfance fait feu de tout bois pour construire l’imaginaire. De la période la plus lointaine, celle des toutes premières années, avec l’école et la maison, jusqu’à l’entrée dans l’adolescence avec ses découvertes de l’amour platonique et de la sensualité de l’été, en passant par les servitudes qu’impose l’économie domestique en ses lieux favoris (cuisine, cave, réserve alimentaire, W.-C., etc.) ou encore par ces espaces de liberté que sont les zones inventées pour le jeu, tous les jeux, Derrière les ponts explore, dans une langue riche de moments éclatants, l’ordinaire des jours, les émois du sexe et du cœur, tente de retrouver, non pas le temps perdu, mais ce qui était en train de s’élaborer peu à peu dans le silence de l’expérience intime et qui faisait sens à travers ce vécu.
La pissotière
Ez, Reynolds et Jason, trois immigrants jamaïcains, sont » hommes de ménage » dans des Toilettes Messieurs, situées dans le centre de Londres.
L’endroit est fréquenté essentiellement par des homosexuels, qui en ont fait un lieu de rendez-vous très actif. La réputation de l’établissement public se dégrade de jour en jour. Décidant de réagir, la municipalité charge Ez, Reynolds et Jason de se débarrasser des indésirables. Les conséquences seront plutôt inattendues…
Drôle et peu conventionnelle, traversée par des personnages de femmes jouant un rôle capital dans l’histoire, cette fable donne à réfléchir sur toutes les formes de racisme.
» Je ne peux que faire l’éloge de ce livre merveilleusement écrit. » Gay Times.
» Un récit subtil, amusant et discrètement subversif. » Times Literary Supplément.
Shanghaï : Opium, Jeu, Prostitution
Shanghai méritait bien son surnom de Sodome et Gomorrhe de l’Asie.
C’est la ville des aventuriers, des fumeries d’opium, des cercles de jeu, des chanteuses et des bordels à la chinoise. La ville devint, dans les années trente, le lieu de tous les trafics, de toutes les débauches, de toutes les corruptions.
Mais la réalité était encore bien plus effroyable.
Ce livre passionnant est le résultat d’un long travail d’enquête d’historiens qui éclairent sous un jour nouveau les réalités de cette métropole mythique et attestent d’un siècle de colonisation et des désordres qui gangrenaient toute la société chinoise.
Le Concile de pierre
Diane Thiberge est un drôle d’animal : grande, belle, blonde, elle a été, adolescente, victime d’une horrible agression. Résultat : elle est maintenant solitaire, championne en arts martiaux et spécialiste du comportement des animaux prédateurs.
À 29 ans, pour sortir de sa citadelle, elle décide d’adopter dans un orphelinat en Thaïlande, un petit garçon de cinq ans. Lu-Sian, dit Lucien, va changer sa vie… pour le meilleur et pour le pire !
Suite à un accident de voiture qui laisse Lucien cliniquement mort, des meurtres vont se succéder autour de Diane. Peu à peu, les contours d’une terrifiante machination se font jour et vont entraîner Diane jusqu’en Mongolie, dans une ethnie aux étranges pouvoirs. Tout se jouera au centre d’un cercle de pierre témoin d’atroces expériences…
Je l’aimais
À soixante-cinq ans, il est à l’âge des bilans. Elle en a moitié moins et rumine son chagrin. Celui d’avoir été plantée là avec ses deux filles par un mari volage parti pour une « femme moins usée. » A priori, Pierre et Chloé n’ont pas grand chose à partager. Il en décide pourtant autrement, emmenant sa belle-fille sur un coup de tête pour quelques jours à la campagne. Au fil d’un long dialogue, ils vont peu à peu se livrer. Tombe alors le masque du « vieux con » autoritaire et hautain attribué un peu hâtivement par Chloé à son beau-père. L’homme renfermé aux jugements définitifs révèle une blessure et une sensibilité à fleur de peau, tandis que la jeune femme pleine de vie reprend le dessus sur l’épouse éplorée.
La constance du jardinier
Tessa Quayle, jeune et belle avocate anglaise, a été sauvagement assassinée près du lac Turkana dans le nord du Kenya. Son compagnon de voyage et amant supposé, médecin africain d’une organisation humanitaire, a disparu sans laisser de trace. Justin, l’époux de Tessa, diplomate de carrière au haut-commissariat britannique de Nairobi et jardinier amateur, se lance dans une quête solitaire à la recherche des tueurs et de leur mobile. Sa quête l’entraîne à Londres, puis à travers l’Europe et au Canada, pour le ramener en Afrique jusqu’au Sud-Soudan et se terminer sur les lieux mêmes du crime. Une odyssée pleine de violence et de fureur où se trament les sombres machinations de multinationales pharmaceutiques, où se nouent d’étranges alliances politiques.
Et tandis que s’éveille la conscience de Justin, tandis qu’il se rallie à la cause de Tessa, allant jusqu’à achever la mission qu’elle s’était assignée, sa plus grande révélation sera la découverte de cette femme qu’il n’a guère eu le temps d’aimer. La Constance du jardinier mêle l’histoire bouleversante d’un homme grandi par la tragédie et l’impitoyable exploration de la face cachée de la mondialisation par l’un des romanciers les plus incisifs de notre époque.
Vendredi ou la vie sauvage
Robinson, parti faire fortune en Amérique du Sud échoue, au gré d’un naufrage, sur une île déserte, que nulle carte ne signale. Il s’aperçoit alors très vite qu’il ne doit s’en remettre qu’à lui-même et à son ingéniosité pour survivre, dans une nature pas toujours très accueillante. Comment parviendra-t-il à supporter sa solitude ? Arrivera-t-il à imposer ses règles d’homme civilisé à cette nature sauvage et à la domestiquer ou bien est-ce elle, finalement, qui aura le dernier mot ?