
La trilogie des fourmis
Tranche du livre détériorée – Nous ne sommes pas seuls sur Terre. A côté de nous, à nos pieds, entre nos maisons, vit une autre civilisation. Les fourmis. Elles étaient sur Terre bien avant nous. Il y a plus de 100 millions d’années, alors que nos plus lointains ancêtres ne sont apparus qu’il y a 3 millions d’années. Elles ont su, au cours des siècles, développer leur propre technologie, leur propre agriculture, leur propre architecture, leur propre politique. Mais nous les méprisons juste à cause de leur taille. Un savant génial, le professeur Edmond Wells, a décidé enfin de susciter la rencontre. Le dialogue peut commencer malgré les méfiances et les peurs. Avec le souffle d’une saga aux décors d’autant plus hallucinants qu’ils sont vrais, avec la complexité d’un monde d’autant plus extraordinaire qu’il existe réellement à côté de nous, nous sommes emportés dans les aventures de la fourmi 103 683e. La Trilogie des Fourmis va nous faire découvrir les 3 ” C ” nécessaires à la rencontre avec toute civilisation étrangère : premier volume (Les Fourmis) : le Contact ; deuxième volume (Le jour des Fourmis) : la Confrontation; troisième volume (La Révolution des Fourmis) : la Coopération. Mais, bien au-delà du thème de la découverte de ces insectes étonnants, Bernard Werber nous invite à une réflexion philosophique sur la place de l’Homme sur Terre, sur sa capacité à comprendre ce qui lui est différent, – et à se comprendre lui-même…
Troisième humanité
Nous sommes à l’ère de la deuxième humanité. Il y en a eu une avant. Il y en aura une… après. En Antarctique, le paléontologue Charles Wells et son expédition découvrent, tout au fond d’un lac souterrain, les restes de squelettes humains d’environ 17 mètres de long. A Paris, le projet d’étude de son fils David sur le rapetissement humain est sélectionné par un tout nouveau programme de recherches, consacré à « l’évolution de notre espèce ». Wells père a retrouvé l’ancienne humanité, Wells fils entrevoit la prochaine humanité, mais ils sont loin encore de savoir la vérité. C’est grâce au soutien et à la passion amoureuse d’une femme, Aurore Kammerer, spécialiste dans la connaissance des Amazones, que sera révélé le plus surprenant des secrets et réalisée la plus folle des expériences, modifiant à jamais l’avenir des générations futures.
Le rire du Cyclope
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du Tout-Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à l’Olympia. Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire… La journaliste Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Quant à son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, il est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête… Où l’on retrouve Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, déjà croisés dans Le Père de nos pères et L’Ultime Secret. Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
La révolution des fourmis
Que peuvent nous envier les fourmis ? L’humour, l’amour, l’art. Que peuvent leur envier les hommes ? L’harmonie avec la nature, l’absence de peur, la communication absolue. Après des millénaires d’ignorance, les deux civilisations les plus évoluées de la planète vont-elles enfin pouvoir se rencontrer et se comprendre ? Sans se connaître, Julie Pinson, une étudiante rebelle, et 103e, une fourmi exploratrice, vont essayer de faire la révolution dans leur monde respectif pour le faire évoluer. Les Fourmis était le livre du contact, Le Jour des Fourmis le livre de la confrontation. La Révolution des Fourmis est le livre de la compréhension. Mais au-delà du thème des fourmis, c’est une révolution d’humains, une révolution non violente, une révolution faite de petites touches discrètes et d’idées nouvelles que nous propose Bernard Werber. À la fois roman d’aventures et livre initiatique, ce couronnement de l’épopée myrmécéenne nous convie à entrer dans un avenir qui n’est peut-être pas seulement de la science-fiction…
Vingt petites histoires sous forme de contes, de légendes, de minipolars. Bernard Werber nous offre avec L’Arbre des possibles des récits fantastiques où les dieux vont à l’école pour apprendre à bien gouverner leurs troupeaux d’humains, où les objets sont soudainement remplacés par leurs noms, où les gens ont l’esprit limité pour ne compter que jusqu’à vingt, où l’on part en vacances au XVIIe siècle après s’être fait vacciner contre la peste. Les hypothèses scientifiques les plus extraordinaires sur la conscience des végétaux, les probabilités de futurs de l’humanité ou les voyages spatiaux côtoient les théories philosophiques les plus amusantes. Foisonnant d’idées poétiques, de décors grandioses, de personnages drôles et truculents, ce livre révèle un nouvel aspect de l’œuvre de l’auteur des Fourmis et de L’Empire des anges.
Le rire du Cyclope
Darius, humoriste célèbre et coqueluche du Tout-Paris, s’effondre dans sa loge à l’issue d’une représentation à l’Olympia. Quelques minutes avant sa mort, le pompier de garde l’a pourtant entendu éclater de rire… La journaliste Lucrèce Nemrod est sûre qu’il ne s’agit pas d’une mort naturelle. Quant à son complice, Isidore Katzenberg, qui vit toujours dans son château d’eau, il est persuadé qu’il faut remonter aux origines du rire pour mener à bien cette enquête… Où l’on retrouve Lucrèce Nemrod et Isidore Katzenberg, déjà croisés dans Le Père de nos pères et L’Ultime Secret. Après le chaînon manquant et le cerveau, l’étrange phénomène du rire est au centre de leur nouvelle enquête.
Les micro humains
Demain, l’espèce sera Plus petite Plus féminine Plus résistante Plus solidaire… A l’ère de la 3e Humanité, Que restera-t-il de nous ?
Composée de chercheurs et de militaires, la société française Pygmée Prod commercialise les services d’une nouvelle race d’humains créée de toute pièce : les Emachs, des femmes et des hommes ne dépassant pas 17 cm. Ces êtres réduits servent sur la planète entière à diverses tâches : leur petite taille et la minutie de leurs gestes font des merveilles ; certains se sont même illustrés dans des actes héroïques. Tout pourrait continuer ainsi, si un fait divers sordide ne venait tout bouleverser. En Autriche, un adolescent se filme en train de torturer trois de ces Emachs. Sur internet, la vidéo fait un buzz. Le Dr Wells, à l’origine du projet, prend alors conscience que ses créatures ne sont pas considérées comme des êtres humains. Il milite activement pour que les grands de ce monde changent leur point de vue sur ces minis humains et leur donnent des droits. De leur coté, les Emachs prennent le maquis et entrent en résistance…
Le père de nos pères
L’homme descend du porc ! C’est moins chic que le singe évidemment et les partisans de la théorie classique qui butent toujours sur le problème du chaînon manquant ne sont pas prêts à accepter cette hypothèse. Ils vont d’ailleurs jusqu’à assassiner le professeur Adjémian, père de la théorie porcine pour l’empêcher de divulguer ses travaux. Mais une courageuse journaliste va tenter de résoudre une double énigme : celle du meurtre du professeur et celle de la naissance de l’humanité. Les deux intrigues s’entrecroisent, mêlant les folles poursuites, les rebondissements, les combats contre les singes, les hyènes ou les chefs de rubrique…
Les Thanatonautes
L’homme a tout exploré : le monde de l’espace, le monde sousmarin, le monde souterrain; pourtant il lui manque la connaissance d’un monde: le continent des morts. Voilà la prochaine frontière. Michael Pinson et son ami Raoul Razorbak, deux jeunes chercheurs sans complexes, veulent relever ce défi et, utilisant les techniques de médecine mais aussi d’astronautique les plus modernes, partent à la découverte du paradis. Leur dénomination ? Les thanatonautes. Du grec Thanatos (divinité de la mort) et nautès (navigateur). Leur guide ? Le livre des morts tibétain, le livre des morts égyptien mais aussi les grandes mythologies et les textes sacrés de pratiquement toutes les religions qui semblent depuis toujours avoir su ce qu’étaient le dernier voyage et le « véritable » paradis. Peu à peu les thanatonautes dressent la carte géographique de ce monde inconnu et en découvrent les décors immenses et mirifiques. Le mot terra incognita recule en même temps que, jour après jour, on apprend ce qui nous arrive après avoir lâché notre dernier soupir.
L’Ultime secret
Deux histoires parallèles. D’un côté, le meurtre du neuropsychiatre français de renommée, Samuel Fincher (par ailleurs très récent champion du monde des échecs contre l’ordinateur Deep Blue IV) ; de l’autre, la vie brisée d’un modeste employé de banque à Nice, Jean-Louis Martin, victime suite à un accident d’un Locked-In Syndrome (“Emmuré vivant”, le cerveau de celui qui en est atteint continue seul de fonctionner, le reste du système nerveux étant paralysé). Reliant les deux récits, le couple d’enquêteurs déjà rencontré dans Le Père de nos pères : l’anti-violent “Sherlock Holmes de la science”, Isidore Katzberg, et Lucrèce Nemrod, belle journaliste scientifique du journal Le Guetteur moderne. Clef de voûte de leurs investigations : la recherche de “l’ultime secret” au nom duquel Fincher, apparemment mort de plaisir orgasmique dans les bras de sa mie, a été assassiné. Ce que confirme bientôt le meurtre du médecin-légiste ayant prélevé le cerveau de Fincher pendant son autopsie…
Le papillon des étoiles
“Cette planète est notre berceau mais nous l’avons saccagée. Nous ne pourrons plus jamais la soigner ni la retrouver comme avant. Quand la maison s’effondre, il faut partir. Recommencer tout, ailleurs et autrement. Le Dernier Espoir, c’est la Fuite.” Le plus beau des rêves : Bâtir ailleurs une nouvelle 6 humanité qui ne fasse plus les mêmes erreurs. Le plus beau des projets : Construire un vaisseau spatial de 32 km de long propulsé par la lumière et capable de faire voyager cette humanité pendant plus de 1000 ans dans les étoiles. La plus folle des ambitions : Réunir des pionniers idéalistes qui arrivent enfin à vivre ensemble en harmonie. Et au final la plus grande des surprises…