Sixième et dernier épisode. Tu dois te sortir de là, Paul. Il faut te sortir de là ! Tenter une évasion, mentir, prendre des risques. John Caffey doit sortir de sa cellule. Janice, la femme de Paul, l’a compris. Tous le savent. Cet homme est pur. Comme l’agneau qui vient de naître, comme le Fils venu sauver les hommes. Ma tragédie est en marche. Au bout du couloir, l’odieuse machine attend une victime. Le sacrifice doit être consommé. Alors quand vient son tour de remonter la ligne verte, qui sauvera John Caffey ? Paul Edgecombe voudrait oublier. Oublier que, parfois, il n’existe aucune différence entre le salut et la damnation éternelle. Et, lorsqu’il cherche le sommeil, ce qu’il voit, ce sont les yeux toujours humides de John Caffey, l’homme miraculeux aux larmes éternelles. Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Le singe
Foutu singe au sourire grimaçant ! Tout en dents ! L’œil vitreux. Un diable qui sort d’une boîte. Hal l’avait l’avait précipité au fond d’un puits. Et voilà qui resurgit vingt ans plus tard. Le même. Avec ces ailes noires. Et comme un écho venu de l’enfer, ces horribles cymbales qui s’entrechoquent, signant à chaque fois un arrêt de mort. Partout, l’ombre de la mort plane. Quand elle ne s’incarne pas dans le jouet le plus innocent, elle elle rôde dans le chenal, attirant par son chant, les vivants en sursis. Stella, quand viendras-tu de l’autre côté, sur le continent? Traverser le chenal à 95 ans! Une invitation certes, mais au grand voyage. Chez Stephen King, un rien dérape et le décor qui nous était familier prend soudain un avant-goût d’apocalypse.
La cible
Elle tuera, implacablement. Elle attendra son heure aussi longtemps qu’il le faudra. Elle ne peut ni hésiter, ni se tromper, ni échouer : quand sa cible sera devant elle, l’assassinat sera immédiat. Iris est une machine. Une machine à tuer qui, une fois programmée, peut agir sans intervention humaine. Dans sa mémoire vive, le visage de la victime désignée. En l’occurrence une personnalité politique dont la mort, sur les pelouses de la Maison-Blanche, torpillerait le processus de paix et embraserait le Proche-Orient. Après Tempête sur Babylone trois millions d’exemplaires vendus dans vingt pays -, David Mason utilise ici sa parfaite connaissance des services spéciaux, et des recherches technologiques les plus confidentielles, pour imaginer un scénario de politique-fiction tout à fait plausible. Et qui donne froid dans le dos.
Les visages
La plus grande œuvre d’art jamais créée dort dans les cartons d’un appartement miteux. Ethan Muller, un galeriste new-yorkais, décide aussitôt d’exposer ces étranges tableaux, qui mêlent à un décor torturé, d’innocents visages d’enfants. Le succès est immédiat, le monde crie au génie. Mais un policier à la retraite croit reconnaître certains visages : ceux d’enfants victimes de meurtres irrésolus.
Millénium 4 – Ce qui ne me tue pas
Elle est une hackeuse de génie. Une justicière impitoyable qui n’obéit qu’à ses propres lois. Il est journaliste d’investigation. Un reporter de la vieille école, persuadé qu’on peut changer le monde avec un article. La revue Millénium, c’est toute sa vie. Quand il apprend qu’un chercheur de pointe dans le domaine de l’intelligence artificielle détient peut-être des informations explosives sur les services de renseignements américains, Mikael Blomkvist se dit qu’il tient le scoop dont Millénium et sa carrière ont tant besoin. Au même moment, Lisbeth Salander tente de pénétrer les serveurs de la NSA. Dix ans après la publication en Suède du premier volume de Millénium, David Lagercrantz livre un thriller d’une actualité brûlante et signe les retrouvailles des personnages cultes créés par Stieg Larsson. La saga continue.
La dernière tribu
Pourquoi le corps d’un homme, assassiné il y a deux mille ans au Tibet, se retrouve-t-il aujourd’hui dans un temple shintoïste de Kyoto ? Pourquoi tient-il dans sa main le fragment d’un manuscrit de Qumran ? Qui avait intérêt à ce qu’on le découvre là ?
Chargé par les services spéciaux israéliens d’élucider le mystère, Ary Cohen se retrouve lancé dans la mission la plus périlleuse qui lui ait jamais été confiée. Thriller autant qu’aventure spirituelle, « La dernière tribu » explore les arcanes du judaïsme et du bouddhisme tibétain et japonais. Érudition, intelligence, invention: avec le talent d’une grande romancière et le sens de l’intrigue d’un maître du suspense, l’auteur de Qumran et du Trésor du Temple joue avec les textes sacrés, les religions, l’Histoire et le temps.
Plus jamais seul
Premières vacances pour Mc Cash et sa fille, Alice. L’ex-flic borgne à l’humour grinçant – personnage à la fois désenchanté et désinvolte mais consciencieusement autodestructeur – en profite pour faire l’apprentissage tardif de la paternité. Malgré sa bonne volonté, force est de constater qu’il a une approche très personnelle de cette responsabilité. Pour ne rien arranger, l’ancien limier apprend le décès de son vieux pote Marco, avocat déglingué et navigateur émérite, heurté par un cargo en pleine mer. Pour Mc Cash, l’erreur de navigation est inconcevable. Mais comment concilier activités familiales et enquête à risque sur la mort brutale de son ami?
L’évangile selon satan
2006, Hattiesburg, dans le Maine. Rachel, l’assistante du shérif du comté, enquête sur la disparition de quatre jeunes serveuses. Elle disparaît à son tour. Marie Parks, profileuse au FBI qui possède des dons de médium et s’est spécialisée dans la traque des cross-killers – les tueurs en série qui voyagent, est chargée d’enquêter sur la disparition de Rachel. Elle retrouve son corps torturé et la dépouille des quatre disparues crucifiées dans une crypte. Le tueur, abattu par le FBI, est un moine qui porte les signes du Diable. Quelques jours plus tard, au Vatican, le cardinal Oscar Camano, patron de la congrégation des Miracles, apprend que les quatre jeunes femmes assassinées sont les religieuses qu’il avait envoyées aux États-Unis pour enquêter sur la vague de meurtres qui frappent l’ordre des Recluses, un ordre très ancien, chargé depuis le Moyen Âge de protéger et d’étudier les manuscrits interdits de la chrétienté. Il confie au meilleur de ses exorcistes, le père jésuite Carzo, le soin de retrouver la trace de cet évangile que l’Église a perdu six siècles plus tôt. Avec L’évangile selon Satan », Patrick Graham fait une entrée spectaculaire dans le club des grands écrivains de thrillers.
Le dernier secret du Vatican
Le nouveau chef d’œuvre de l’auteur de L’Héritage des Templiers.
325. L’empereur Constantin convoque à Nicée un concile général des évêques de l’Empire romain afin de fixer les dogmes de l’Église chrétienne.
1070. L’Ordre religieux et militaire de Saint-Jean de Jérusalem est créé. Après l’expulsion des croisés de Terre sainte, il s’installe à Malte et reçoit, en 1312, les biens des Templiers. En 1798, sur les traces d’un secret bien gardé, Bonaparte arrive dans l’île et provoque l’éclatement de l’Ordre.
2019. À la mort du pape, un conclave se réunit. Une conspiration se trame alors autour de mystérieux documents, datant du concile de Nicée, qui, s’ils étaient dévoilés, pourraient mettre l’Église en péril. En quête de ceux-ci, Cotton Malone va devoir affronter une société occulte et décrypter bon nombre d’énigmes historiques et religieuses pour percer le dernier secret du Vatican.
Le cercle
Pourquoi la mort s’acharne-t-elle sur Marsac, petite ville universitaire du Sud-Ouest ?
Une prof assassinée, un éleveur dévoré par ses propres chiens… et un mail énigmatique, peut-être signé par le plus retors des serial killers
Confronté dans son enquête à un univers terrifiant de perversité, le commandant Servaz va faire l’apprentissage de la peur, pour lui-même comme pour les siens.
Bikini
Lors d’une séance photo à Hawaii, une top-modèle à la beauté renversante disparaît. Alarmés par un étrange coup de fil nocturne, ses parents prennent le premier avion, sans imaginer une seule seconde le spectacle effroyable qui les attend. Ben Hawkins, reporter au Los Angeles Times, chargé de couvrir l’affaire, leur propose de mener l’enquête ensemble. Très vite, le décor paradisiaque se transforme en enfer, et quand ils comprennent qu’ils affrontent un pervers psychopathe à l’appétit insatiable, il est trop tard pour faire marche arrière. Traduit de l’anglais (Etats-Unis) par Philippe Hupp.
Midnight runner
Lady Kate Rashid est l’une des femmes les plus riches du monde, mais aussi la plus dangereuse. Unique survivante d’un immense empire pétrolier du Golfe persique, elle a échappé par miracle aux services secrets américains lorsqu’ils ont déjoué l’attentat que les Rashid préparaient contre le Président des États-Unis.La seule erreur de la CIA a sans doute été d’avoir laissé la vie sauve à Lady Kate. Prête à tout pour venger les siens, elle n’acceptera aucun compromis. Et elle seule sait où et quand elle frappera.Tom Clancy a dit de lui que c’était notre maître à tous : après Danger imminent, Jack Higgins le prouve avec ce thriller redoutable.
Saison en enfer
En 1983, un étudiant anglais est retrouvé assassiné à Paris, sur les quais de la Seine. Désespérée par sa mort, Sarah Talbot, sa belle-mère, se heurte au silence et à l’hostilité de la justice, et décide donc de chercher seule la vérité. Aidée par Sean Egan, jeune et mystérieux agent du SAS, son enquête va la conduire des banlieues de Paris à la Forteresse où s’il abrite un parrain sicilien, en passant par l’illustre MI 5 londonien. Face à elle, l’énigmatique « M. Smith », avec l’aide de Jago, un tueur à gages, tire les ficelles d’un sinistre jeu. Car Sarah Talbot, sans le savoir, est entrée en conflit avec des institutions aussi puissantes que secrètes.
L’œil du Typhon
10 Downing Street. La résidence du Premier Ministre, au cœur de Londres. Une attaque au mortier l’ébranle alors que John Mayor a réuni son cabinet de guerre, en plein conflit du Golfe. Pour les services secrets britanniques, le légendaire MI5, l’homme à abattre se nomme Sean Dillon : tueur à gages à la solde des organisations terroristes internationales et véritable génie dans l’art du travestissement. Un seul homme peut l’identifier, un homme animé par de puissants mobiles personnels. Des bas-fonds de l’East End, à l’Irlande et à la France, L’œil du Typhon nous précipite au cœur d’un guet-apens dont l’issue sera peut-être fatale. Un grand Jack Higgins.
L’aigle a disparu
Angleterre, novembre 1943. Un officier allemand, Kurt Steiner, est au secret dans la tour de Londres. Il est le survivant d’une mission nom de code Aigle qui aurait pu changer le cours de l’Histoire. Pour le général SS Schellenberg, engagé dans une lutte secrète avec Himmler, seul un homme peut réussir à le faire évader : Liam Devlin, mercenaire irlandais aussi séduisant que dangereux. Mais celui-ci doit tout ignorer des intérêts en jeu. Le romancier d’Exocet et d’ Opération Cornouailles nous donne ici un cocktail détonant de suspense et d’action, où se croisent dignitaires nazis, agents de renseignements des Alliés et gangsters de la pègre londonienne.
Pas de pitié
Grièvement blessée lors d’une opération antiterroriste, Hannah Bernstein, un agent des services secrets britanniques, n’a pas survécu. Ses ennemis l’ont achevée sur son lit d’hôpital. Fous de rage, Dillon et ses hommes jurent de la venger. Entre eux et les Russes, alliés aux derniers survivants de l’IRA, le combat sera impitoyable. De l’Irlande à l’Algérie, de l’Angleterre à Moscou, rien ne pourra les arrêter. Ni l’acharnement de leurs adversaires, ni cette étrange guerre qui va les changer à jamais. Suspense très noir, personnages complexes et passionnés, Jack Higgins démontre une fois encore qu’il est toujours un des maîtres incontestés du thriller.
L’exil des anges
Sur le point de révéler leurs découvertes scientifiques sur la mémoire, deux chercheurs, les Destrel, sont abattus par les services secrets. C’est du moins la version officielle. Mais leur mort n’est qu’un exil. Vingt ans plus tard, le même rêve réunit trois jeunes gens autour d’une chapelle écossaise. Quel secret lie donc ces événements?
Le détroit de la mort
2012. La Troisième Guerre mondiale oppose les forces de l’axe Berlin-Boer aux Alliés. Une opération est sur le point de mettre hors service tous les moyens de communication alliés à l’aide d’une invention technologique révolutionnaire. Mais son concepteur allemand, un certain Zénon, fait savoir qu’il est disposé à livrer ses armes à condition de pouvoir s’échapper. C’est Jeffrey Fuller, le commandant de l’USS challenger, sous-marin à la pointe de la technologie, qui est chargé par la Maison Blanche de mener à bien cette mission délicate. Or rien ne prouve la bonne foi de Zénon… Le capitaine Fuller, rompu à des offensives navales qui ne manquent jamais leur cible, est contraint, cette fois, de livrer une lutte spéciale, sans un seul tir. Il devra s’adapter à un territoire inconnu, celui de l’espionnage, où les traîtres sont légion et où l’arme de destruction massive est le mensonge.
Minuit en plein jour
Avec son programme novateur (légalisation de l’avortement, restrictions au port d’arme, abolition de la peine de mort, etc.), Joel Waterstone est devenu le premier président juif de l’histoires des États-Unis. Après une année de pouvoir, il a commencé à appliquer quelques-unes de ses promesses. En tournée en Europe, le président visite un petit village anglais, ignorant que ce lieu a été investi depuis plusieurs mois par une secte de fanatiques religieux. Ses gardes du corps sont abattus et Joel Waterstone enlevé avec son épouse Rebecca et Tina, la petite fille de Laura, un agent spécial, morte dans l’embuscade. Aux États-Unis, différentes mesures sont mises en œuvre pour identifier les kidnappeurs, mais les choses progressent lentement. Le père de Tina, le major Jim Crawford, qui cherche à savoir où en est l’enquête, se heurte sans cesse au slogan « secret défense ». Il se fait même agresser dans la rue par des inconnus qui lui conseillent de ne plus se mêler de cette affaire. Perplexe, Jim fait appel à l’un de ses vieux amis officier des Marines. Avec son aide et celui de Holly, une jeune informaticienne de génie, il va se lancer sur la piste des ravisseurs pour tenter de retrouver sa fille. Comme dans tous ses romans, Daniel Easterman a bâti une captivante intrigue pleine de rebondissements. S’il dépeint la nocivité des fanatismes en tous genres, il met aussi l’accent sur le système d’écoute mis au point par les États-Unis et la Grande-Bretagne pour espionner électroniquement la planète. Et même si ses héros arrivent à pirater cette immense toile d’araignée, on a quand même froid dans le dos ! –Claude Mesplède
L’alternative du diable
Au large de Brindisi, un bateau recueille un naufragé qui ne parvient à dire qu’un mot, dans une langue inconnue. À la Maison-Blanche, on découvre sur des photos-satellite la mystérieuse maladie qui s’est attaquée aux blés soviétiques, compromettant dramatiquement la récolte à venir. A Londres, un employé d’origine ukrainienne rêve d’abattre les maîtres du Kremlin. A Stockholm, le marin Thor Larsen se dispose à prendre le commandement du plus gigantesque pétrolier jamais construit. À Moscou, Adam Munro, employé de l’ambassade britannique et agent secret, voit ressurgir Valentina. Apparemment sans rapports entre eux, ces faits et gestes convergent pourtant. Et leur intrication va placer le président américain Bill Matthews devant le plus terrifiant dilemme.
L’arme à l’œil
S’infiltrer chez l’ennemi pour découvrir leurs plans afin de les contrecarrer en temps utile, la méthode est vieille comme les nations. L’Allemagne a eu l’astuce d’envoyer ses espions en Angleterre dès avant 1939 et, aussitôt la guerre déclarée, les Anglais ont eu la chance de leur mettre la main au collet. A tous, sauf un, le plus dangereux : Die Nadel. En 1944, le M.I. 5 est sur la piste d’un agent efficace qui signe toujours Meilleur souvenir à Willi des renseignements d’une précision inquiétante pour la sécurité de l’Angleterre. Laquelle essaie de faire croire à Hitler que les Alliés vont débarquer à Calais alors que leur choix s’est porté sur les côtes de Normandie. Que Die Nadel aille se promener en East Anglia et voie que la concentration de troupes et de matériel n’est qu’un décor – et le monde libre perdra la guerre. Identifier Die Nadel, l’Aiguille, voilà le travail auquel s’attellent le professeur Godliman et l’inspecteur Bloggs. Ils ont pour seul indice ce surnom qu’il a choisi parce que son arme favorite est le stylet pointu comme une aiguille. Avec ses victimes comme jalons, ils commencent à le traquer. Le rattraperont-ils avant qu’il rejoigne le sous-marin qui l’attend au large de l’Écosse ? Pourra-t-il apporter lui-même à Hitler les précieuses photos révélatrices d’East Anglia ? Telles sont les deux faces de l’extraordinaire suspense d’un roman d’espionnage qui a bien mérité son succès mondial.
Une invitation pour Matlock
James Barbour Matlock est un homme tranquille, jusqu’au jour où le directeur de l’université de Carlyle, où il enseigne la littérature anglaise, le convoque dans son bureau. Là, il apprend que cette petite ville sans histoire est en réalité l’une des plaques tournantes du trafic de drogue du Nord- Est des États-Unis. Certains de ses collègues sont des pions sur l’échiquier de Nemrod, une organisation criminelle dont les agissements représentent une menace pour le pays tout entier. Une réunion secrète doit se tenir dans la région de Carlyle. Averti des détails de l’affaire par Ralph Loring, un agent fédéral, Matlock entre en possession d’une invitation qui lui permettra de s’infiltrer parmi les participants. Mais Ralph Loring est tué le soir même. Matlock panique. Cependant, malgré la violence des gens de Nemrod, malgré l’opposition officielle des services de sécurité, il ira jusqu’au bout. Tantôt chasseur, tantôt animal traqué, de clubs privés en maisons de jeu clandestines, il va remonter la filière jusqu’à la tête de l’organisation. Une invitation pour Matlock, par Robert Ludlum, un des grands maîtres mondiaux du suspense.
Le signe
Alors qu’une équipe de télévision effectue un reportage en direct sur les conséquences du réchauffement climatique en Antarctique, une gigantesque sphère de lumière apparaît au-dessus des glaces, avant de se volatiliser au bout de quelques minutes. Les images, diffusées dans le monde entier, mettent la planète en émoi. Est-ce le présage d’une catastrophe écologique imminente ? Un message divin ? Un ovni ? Une gigantesque supercherie ? Tandis que la communauté scientifique se mobilise pour tenter d’interpréter cette apparition, en Egypte, un moine reconnaît le signe : il s’agit du motif que dessine inlassablement le père Jérôme, un célèbre ermite. La journaliste Gracie Logan décide de se rendre dans le désert égyptien afin d’élucider le mystère… Sur fond de menace écologique et de montée des fanatismes religieux, le nouveau best-seller de Raymond Khoury met en scène les liaisons dangereuses entre politique, science et religion dans un thriller à l’efficacité redoutable.
Le jeu des ombres
A Vienne, à Mexico, à Toronto, à Sydney, dix hommes âgés de soixante-dix ans disparaissent sans laisser de traces. Un mystère qui frappe de plein fouet Erika : son propre père, ex-agent du Mossad, fait partie des victimes. Avec Saul, son compagnon, Erika se lance sur les traces des disparus. Un seul point commun entre eux : tous ont connu les camps nazis. Durant leur enquête, Erika et Saul semblent toujours précédés de quelques minutes par des tueurs mondialement connus ; ils vont les conduire droit au clan Nuit et brouillard et à son terrible secret.
Les conjurés de la flamme
Tout commence par des exécutions : le commandant d’un pétrolier pollueur, le conducteur imprudent d’un convoi d’ammoniaque liquide, l’équipage d’un chalutier qui n’hésite pas à ramener dans ses filets des espèces protégées. Qui donc fait justice au nom de l’écologie ? Tess, une journaliste, bouleversée par l’assassinat d’un jeune cinéaste, va être mise sur la piste de ceux qui, depuis sept siècles, poursuivent le combat des Cathares, eux-mêmes héritiers du culte de Mithra. Face à eux, l’Inquisition, officiellement dissoute au XIXe siècle, mais qui n’a pas non plus renoncé à son combat. Après Les Conjurés de la pierre et La Fraternité de la rose, un nouveau thriller où les enjeux de l’écologie moderne recoupent des passions religieuses venues du fond des âges.
Des clous dans le cœur
Il y a des affaires qui te pourrissent la vie, elles restent en toi, plantées dans ton cœur comme un clou qu’un mauvais plaisant s’amuserait à manipuler. Miné par ses excès et la maladie, le commandant Revel crache le sang et sa haine de l’hypocrisie. Bourru, taiseux et rogue, il enrage devant les affaires non résolues à la PJ de Versailles : morts suspectes, disparitions. Comment la vérité pourrait-elle sortir de la bouche d’un enfant autiste ? Son équipe respecte les mystères du « patron » et, au-delà de la simple « vérité due aux familles », la vérité complexe d’un grand flic dont le courage en impose à la mort, celle des autres comme la sienne !
Au pays des ombres
Un policier PJPP est victime d’une machination qui l’implique avec son arme professionnelle dans un assassinat, à deux pas de sa résidence secondaire normande. Il prend un an de prison, sort la semaine dernière, et fonce se faire tuer devant chez moi. Que venait-il me dire ? Un an plus tôt, sa femme s’est-elle vraiment suicidée ? Coupable ? Culpabilisé ? Il s’est mis à boire. La police locale diffère sa décision de mettre en garde à vue un collègue apprécié de ses supérieurs du 36. Pour prouver son innocence, celui-ci met à profit cette hésitation en menant sa propre enquête et en doublant ceux qui en ont la charge. Au terme d’épreuves professionnelles et affectives accablantes, cet homme est déstabilisé dans l’amour qu’il portait à sa femme et dans celui qu’il réserve à sa fille. Isolé et victime d’un faisceau de suspicions, il trouve la force de cesser de boire et celle de faire éclater une vérité particulièrement violente. L’amitié y est perdante, mais l’honneur de la police sort renforcé de cette intrigue émouvante et mouvementée où il apparaît que la principale qualité du policier n’est pas forcément l’orthographe mais la confiance en sa hiérarchie. A l’ombre d’une jeune fille en…pleurs, un policier qui n’a plus peur de son ombre, tire plus vite qu’elle et s’en tire… Maintenant que la vérité n’est plus dans le whisky, à quoi peuvent bien se mettre à rêver les jeunes filles ?
Atlantis
En 9000 avant J.-C., selon Platon, se dressait, au milieu de l’Atlantique, une île peuplée par des guerriers, les Atlantes. En quelques heures funestes, elle fut engloutie par les flots. De nos jours, au large de la Grèce. Lors de l’exploration sous-marine d’une épave, l’archéologue Jack Howard trouve un disque en or qui donnerait la clé de la cité perdue. Au même moment, dans une nécropole égyptienne, le professeur Hiebermeyer découvre un papyrus rédigé en grec ancien qui mentionne Atlantis et révèle son emplacement. Ces deux découvertes remettent en couse toute la science archéologique. Et même les plus sceptiques doivent se rendre à l’évidence : l’Atlandide n’est peut-être pas un mythe.
Le chandelier d’or
La menorah, l’immense chandelier d’or à sept branches, l’un des objets les plus sacrés du peuple juif… Retrouver ce trésor perdu depuis des siècles constituerait à coup sûr l’une des plus extraordinaires découvertes archéologiques de tous les temps. Quelques mois après avoir localisé l’Atlantide, c’est en tout cas un défi à la mesure de Jack Howard et de son équipe. De Constantinople aux glaces du Groenland, leurs recherches sous-marines confirment peu à peu les étonnantes révélations d’une carte médiévale. Mais, entre la chute de l’Empire romain et l’apogée du régime nazi, la sainte relique a suscité bien des convoitises. Et dans l’ombre se réveillent ces appétits, loin d’être purement scientifiques.
Le masque de Troie
1876, Mycènes, Grèce, lors d’une fouille secrète, l’archéologue Heinrich Schliemann découvre le masque d’or d’Agamemnon et un autre artefact extraordinaire, dont il ne parlera jamais. 1945, Allemagne, la libération d’un camp de concentration révèle des indices menant à des antiquités volées par les nazis, mais aussi à une arme plus terrifiante que toutes celles jamais conçues. De nos jours, en mer Égée. Jack Howard fouille l’épave d’un navire de guerre qui aurait fait partie de la flotte d’Agamemnon et se lance dans une chasse au trésor de tous les dangers. Mais, de la guerre de Troie à la Solution finale, l’Histoire dissimule des secrets monstrueux. Et à vouloir les exhumer, Jack prend le risque de perdre ce qu’il a de plus précieux au monde.
Tigres de guerre
Turkménistan, 19 avant Jésus-Christ.. Des légionnaires romains, échappés de la forteresse parthe de Merv où ils étaient retenus prisonniers, rencontrent sur la route de la Soie un marchand et lui dérobent un mystérieux joyau. Ils sont depuis poursuivis par un redoutable guerrier, qui a l’apparence d’un tigre. Près de 2000 ans plus tard, en 1879, le lieutenant John Howard, officier en Inde, tente de juguler la rébellion d’un peuple tribal. C’est lors d’une expédition au cœur de la jungle qu’il découvre un temple troglodyte, dans lequel se trouve une étrange épée. Quelques années plus tard, il disparaît en Afghanistan. Que s’est-il passé ? C’est ce que tente de découvrir Jack Howard, archéologue de renommée internationale et arrière-arrière-petit-fils de John Howard. De son aïeul, il garde une étrange épée à gantelet en forme de tigre, ainsi que son journal. Jack se rend alors au Rajasthan, sur les traces de son ancêtre, dans un des temples de la jungle. Là, il découvre la tombe d’un Romain, ainsi qu’une étrange inscription faisant référence à un joyau disparu.
Le 7è fléau
Deux ans après avoir disparu dans le désert soudanais, le professeur Harold McCabe, à la tête d’une expédition archéologique britannique, réapparaît au milieu des sables, mais s’effondre avant de pouvoir raconter son histoire. L’autopsie met au jour une étrange découverte : quelqu’un aurait commencé à momifier le corps du professeur, alors qu’il était encore en vie. Peu après, des nouvelles alarmantes arrivent d’Égypte : l’équipe médicale ayant pratiqué l’analyse du corps du professeur est contaminée par un virus inconnu, qui se propage bientôt dans tout Le Caire. L’inquiétude grandit et certaines rumeurs laissent entendre que les dix plaies d’Égypte, dont le professeur McCabe cherchait des preuves, sont en train de recommencer. Le commandant Gray Pierce et son équipe devront lutter contre une menace venue du passé et rendue réelle par la science moderne. Un danger capable de décimer l’humanité entière.
Noire providence
Alors qu’une étrange comète s’approche de la Terre, au Vatican, un mystérieux colis est livré au préfet des Archives secrètes ; à l’intérieur, un crâne humain gravé de phrases en araméen ancien et un livre relié en peau humaine. Un test ADN révèle qu’il s’agit de la peau de Gengis Khan, le grand conquérant mongol dont la tombe disparue contiendrait d’inestimables trésors parmi lesquels une croix au pouvoir surnaturel. Au même moment, un satellite d’exploration américain s’écrase en Mongolie après avoir envoyé une ultime photo montrant la côte Est des États-Unis intégralement détruite. Toute la Sigma Force se mobilise das une course contre la montre pour retrouver le satellite et la croix sacrée afin d’empêcher le déclenchement de l’apocalypse annoncée. Mais alors que la comète se fait de plus en plus menaçante, un ennemi aussi invisible qu’implacable semble bien décidé à les tenir en échec, quitte à ce que le pire se déchaîne.
Le complot des immortels
Sur un yacht de luxe, au large des Seychelles, des pirates enlèvent une femme enceinte. Et pas n’importe laquelle : cette jeune Américaine est la fille du Président des États-Unis. Accompagné d’une équipe de choc, le commandant Gray Pierce est chargé de récupérer l’otage. Mais est-ce vraiment la mère qui intéresse les ravisseurs ? Ne serait-ce pas plutôt l’enfant ? Dans le même temps à Washington, Painter Crowe enquête sur une guilde secrète infiltrée au sein même du gouvernement. Des couloirs de la Maison Blanche aux déserts africains, la clé de l’immortalité semble liée à une famille : celle du Président des États-Unis. Un thriller époustouflant, unique en son genre.
Les veilleurs de l’apocalypse
Au cœur des Alpes autrichiennes est établi un sanctuaire, une forteresse, la base militaire d’un sinistre mouvement, la Fraternité de la Veille. Harry Latham, un des plus brillants espions américains, réussit à infiltrer cette organisation néonazie qui a étendu ses tentacules dans l’ensemble du monde occidental. Il en revient porteur d’un document explosif : la liste des partisans secrets de la Fraternité de la Veille, au nombre desquels figurent de hauts dirigeants européens et américains. Ce document, s’il est authentique, est susceptible de faire basculer le monde occidental. Mais peut-on croire Harry ? Comment a t-il réussi à s’enfuir avec ce document alors que la Fraternité de la Veille l’avait pratiquement démasqué ? Drey Lathan veut connaître la vérité. En se faisant passer pour son frère Harry, il se retrouve alors au cœur d’un jeu de miroirs, de vrais espions et de faux alliés, où le moindre faux pas est mortel.
La bible de Darwin
Dans les décombres du IIIe Reich agonisant, un physicien allemand porteur des résultats de recherches ultrasecrètes menées pour Heinrich Himmler, le tout-puissant chef de l’ordre noir SS, fuit l’avancée soviétique. Aujourd’hui, quelque part dans l’Himalaya. Au Népal, les moines d’un monastère bouddhiste ont été décimés par un mal inconnu. Sur place, Lisa Cummings, médecin, et Painter Crowe, agent de la Sigma Force, découvrent un pur cauchemar : les moines semblent avoir sombré dans la folie, le meurtre, et le cannibalisme. Au même moment, à Copenhague. L’exemplaire de la Bible ayant appartenu à Charles Darwin doit être mis aux enchères et déchaîne une lutte meurtrière pour sa possession. Quel secret recèlent ces pages soigneusement annotées ? Et quel lien peut-il y avoir entre Darwin et un laboratoire troglodyte en Pologne, oublié depuis 1945 ? Soixante ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, les monstres dont rêvaient d’accoucher les maîtres du IIIe Reich sont sur le point de voir le jour.
Hotel Brasil
En quelques mots : Hôtel Brasil est un roman policier à double détente : entre deux tranches d’histoire traditionnelle à base de crime mystérieux et d’enquête difficile, se trouve une tranche de Brésil – cru et saignant – peut être pas des plus faciles à avaler mais d’une saveur incontestable. Richard Roux. Le roman commence par la découverte d’un cadavre qui a subi de bien étranges mutilations et aucune piste ne permet aux enquêteurs d’élaborer la moindre hypothèse. Rio de Janeiro, théâtre du crime, se prête totalement au mystère : la dictature, les mouvements de foules, l’arbitraire policier viennent se joindre à ce kaléidoscope du Brésil qu’est la pension de famille où se déroulent ces crimes mystérieux. Vie quotidienne, critique sociale, intrigue bien menée, personnages nombreux et variés, flash back historique pour mieux situer les personnages, Frei Betto nous fait voyager dans le Brésil contemporain et partager le quotidien des Cariocas.Homme engagé depuis sa jeunesse dans les mouvements sociaux, homme d’église, journaliste et avant tout homme d’action : aux cotés des habitants des favelas où il vit et aussi dans le domaine politique . Il aide les militants pourchassés par le régime . arrêté sur dénonciation il connaît la prison pendant 4 ans. Il fonde avec Lula da Silva le syndicat CUT, s’engage dans le “mouvement des sans terre”. Il est aujourd’hui conseiller du Président Lula.
Danger imminent
Higgins est un maître du genre. Sunday Telegraph. L’un des empires pétroliers les plus puissants du golfe Persique, une manne convoitée par le monde entier. A sa tête, Paul Rashid, un homme menacé par une conspiration internationale fomentée par les États-Unis et la Russie. Pour défendre ses gisements et la fortune familiale, Rashid est prêt à tout, même à éliminer le président des États-Unis. Chargés de contrer son projet, Sean Dillon et Blake Johnson, un agent spécial de la Maison Blanche, se lancent dans une redoutable chasse à l’homme. Depuis l’Irlande jusqu’aux confins du désert du Hazar, ils devront faire face à ce danger imminent. Cocktails détonants de suspense et d’action, les best-sellers de Jack Higgins séduisent des millions de lecteurs dans le monde. Dans ce nouveau thriller, il entraîne son héros favori, Sean Dillon, dans la mission la plus périlleuse de sa carrière.
L’homme aux rubans noirs
Avec L’Homme aux rubans noirs, Jean d’Aillon nous entraîne au côté de son célèbre héros Louis Fronsac lors de cinq enquêtes sous la Régence d’Anne d’Autriche. D’un atelier d’alchimiste à la cour des miracles, des coulisses du théâtre du Marais au cœur secret du Pont-Neuf, le notaire Louis Fronsac percera d’étonnants mystères dans une ville qui gronde contre Mazarin.
Sous la plume savante et précise de Jean d’Aillon,
on découvre la belle Roxanne de Cyrano sous un jour nouveau et les tours de passe-passe d’un descendant de Nicolas Flamel ou encore les inspirations d’un jeune dramaturge qui deviendra Molière.
Le vol des aigles
Américain casse-cou, Jack Kelso, engagé en 1916 dans l’aviation militaire britannique, a épousé son infirmière, la baronne Elsa von Halder, une jeune Allemande désargentée. Ils ont eu Max et Harry, des jumeaux. Mais Jack se tue lorsqu’ils ont douze ans. Elsa repart en Allemagne avec Max, vivre dans son château grâce au soutien financier du grand-père Abe, qui garde Harry près de lui, à Boston. Durant des vacances où les deux frères se retrouvent aux États-Unis, Abe leur offre des cours de pilotage. Un briscard de la Grande Guerre leur enseigne les ficelles du métier, et les adolescents, à l’image de leur père disparu, deviennent pilotes d’élite. Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate en Europe, Max, rentré en Allemagne, ne tarde pas à faire parler de lui. Surnommé « le baron noir », il est de tous les combats aériens et grimpe vite en grade dans la Luftwaffe. Harry, engagé dans la RAF, a un parcours similaire. Un jour, les deux frères vont se retrouver face à face, piégés par une monstrueuse machination de Himmler. De leur attitude va dépendre le cours de la guerre et l’avenir du monde ! Au début de son ouvrage, Jack Higgins indique avoir recueilli cette histoire auprès d’un ancien agent des services secrets. Vrai ou pas, ce récit retrace de façon vivante certains épisodes de la bataille aérienne entre Allemagne nazie et Angleterre, avec, à la clé, un rebondissement qui, dans le dernier tiers du livre, crée un suspense de belle facture.
Opération Cornouailles
1944. Dans le château breton où vivent la comtesse de Voincourt et sa nièce Anne-Marie, qui collaborent en apparence avec l’ennemi, une importante conférence militaire doit se tenir en présence du maréchal Rommel. Cependant, à Cold Harbour, de l’autre côté de la Manche, les services secrets alliés se sont juré de percer les secrets de défense du « Mur de l’Atlantique. » Une opération d’infiltration est lancée. Nom de code : Cornouailles. Mais rien ni personne n’est ce qu’il paraît être dans ce jeu de masques, et l’opération Cornouailles nous réserve bien des surprises, ménagées avec un art consommé par l’auteur de L’Aigle s’est envolé, spécialiste de romans d’action et d’espionnage dont l’intrigue se situe pendant la Seconde Guerre mondiale.
Sphinx
Ils sont neuf. Neuf représentants d’une confrérie mystérieuse dénommée Sphinx. Neuf détenteurs des secrets de la vie, disséminés à travers le monde. Neuf condamnés à mort par les nouveaux maîtres de la technologie, adeptes de l’argent-roi, dont l’objectif fait froid dans le dos: la prise de contrôle définitive du cerveau humain par les machines. Depuis New York ces derniers ont engagé une traque implacable pour éliminer, un à un, les membres de Sphinx. C’est compter sans la détermination d’un journaliste écossais, Bruce Reuchlin, redoutable enquêteur, prêt à prendre tous les risques pour déjouer leur plan diabolique.
Pour Bruce, désormais, chaque pas est un danger de mort. Plus il avance dans son enquête, plus la question l’effraie : qui gouverne vraiment notre monde?
Portrait de l’assassin en artiste
Un thriller historique brillant de David Morrell, le père de John Rambo. 1850. Thomas de Quincey, célèbre pour son livre Les Confessions d’un Opiomane anglais, est le principal suspect d’une série de meurtres sanglants qui ont terrorisé Londres quarante-trois ans plus tôt, et dont le mode opératoire semble être inspiré d’un essai dont Quincey est également l’auteur : De l’Assassinat considéré comme un des beaux-arts. Déterminé à laver son nom de tout soupçon mais ravagé par les effets de l’opium, de Quincey reçoit l’aide de sa fille dévouée, Emily, et d’une paire de détectives de Scotland Yard tenaces. David Morrell fait ressurgir avec brio des méandres de l’histoire Thomas de Quincey, le Londres victorien et les meurtres de Ratcliffe Highway. Les rues perdues dans le brouillard deviennent le théâtre d’un duel entre une star du monde littéraire et un meurtrier habile, dont les vies sont liées par des secrets enfouis dans leurs passés.
La fraternité de la rose
On l’appelle l’homme aux yeux tristes. Son nom: Edward Francis Eliot. Sa fonction : chef du contre-espionnage, CIA. Son rôle : former des jeunes gens à l’art de tuer. En faire de super-assassins. Béret vert et corde à piano. Radio-piège et close-combat. Un arsenal d’une très haute technicité. De cette école, Saul et Chris, orphelins que l’infortune a unis comme frères de sang, deviennent rapidement l’élite, as parmi les as. Pour eux, Eliot est mieux qu’un professeur : un père qui leur demande, par amour, d’aller verser le sang de par le monde, un père qui, pourtant, n’hésitera pas à donner l’ordre de sacrifier ses «enfant. Entre Saul, Chris et Eliot commence alors une mortelle partie de cache-cache, en forme de sanglant master-mind. La partie s’achèvera en apothéose dans le « Sanctuaire’ de l’Hermitage, un de ces fameux refuges pour espions de tous bords où – en principe — nul n’a le droit de tuer.
Le pacte Holcroft
L’enjeu du Pacte Holcroft est la coquette somme de 700 millions de dollars, déposée en 1945 dans une banque suisse par trois nazis repentis : les généraux Clausen, von Tiebolt et Kessler. L’argent est destiné à leurs descendants, afin qu’ils l’utilisent en dédommagement des crimes d’Hitler contre l’humanité. C’est ainsi qu’un beau matin, Noël Holcroft, le fils de Clausen, reçoit une lettre écrite quarante ans après l’effondrement du IIIe Reich. S’il veut blanchir son père, Holcroft doit retrouver les enfants de von Tiebolt et de Kessler et, avec eux, signer le Pacte. Le rendez-vous est fixé à Genève. Mais les associations nazies et les services secrets anglais, américains, israéliens ne l’entendent pas de cette oreille.
La règle de quatre
Depuis 1499, des savants tentent de décoder un chef-d’œuvre de la Renaissance, Le Songe de Poliphile.
Écrit en cinq langues, orné de gravures érotiques et violentes, ce texte a résisté à tous les assauts, brisé des destins, des amitiés et des vies.
Pourtant, deux étudiants de Princeton osent s’y mesurer et, au fil de messages cachés, découvrent l’histoire d’un prince du Quattrocento et l’existence d’une crypte secrète qui recèle des trésors inouïs. Ils croyaient échapper à la malédiction de cette énigme. Mais pour la défendre, certains sont prêts à mourir, et à tuer…
L’élixir du diable
Et si une plante miraculeuse avait le pouvoir de repousser les frontières entre la vie et la mort ? Mexique, 1741. Un missionnaire jésuite découvre l’existence d’une plante légendaire. D’après les croyances amérindiennes, quiconque s’en emparerait deviendrait l’égal d’un dieu. Entre de mauvaises mains, elle pourrait changer la face du monde. Etats-Unis, de nos jours. Sean Reilly, agent du FBI, reçoit un coup de téléphone d’une ex-petite amie, Michelle Martinez, rencontrée cinq ans auparavant lors d’une mission au Mexique. Attaquée chez elle par un gang, elle appelle Reilly à la rescousse. En Californie, le chemin de ce dernier ne tarde pas à croiser celui de Navarro, un baron de la drogue en quête d’une plante aux vertus mystiques. Surnommé « El Brujo » – le sorcier –, il est bien décidé à ne laisser rien ni personne lui barrer la route.