Azazel
Moscou, mai 1876 – Par un superbe après-midi de printemps, les promeneurs du parc Alexandre sont témoins d’un incident surprenant : un jeune homme se précipite aux pieds d’une demoiselle et lui demande abruptement de lui donner un baiser, menaçant de mettre fin à ses jours en cas de refus. Econduit par la belle, il sort un revolver de sa redingote et se brûle la cervelle. La police moscovite découvre très vite qu’il ne s’agit là que du premier acte d’une série de disparitions aussi sanglantes qu’inexplicables. Un jeune fonctionnaire débutant du nom d’Eraste Fandorine est inopinément mis sur l’affaire.
La loi de la tribu
« Napoléon Bonaparte, détective du « bush » australien, est né de la plume d’un Anglais voyageur au début des années cinquante. L’inspecteur « Bony » est passé maître dans l’art de résoudre des énigmes de « chambre close » au beau milieu d’un désert de plusieurs milliers de kilomètres carrés. Arthur Upfield (1888-1964) est considéré par Tony Hillerman comme l’un des précurseurs du « polar ethnologique ».
Mort d’un orfèvre
Dans un appartement miteux de la Piazza Santo Spirito, un jeune orfèvre reçoit l’extrême onction avant de prononcer ces mystérieuses paroles : » Ce n’était pas elle « . Les carabiniers appelés sur les lieux concluent rapidement à un suicide. Mais Guarnaccia ne croit pas à cette version. Tandis qu’augmente la pression pour classer l’affaire, il entend bien prouver qu’il s’agit d’un meurtre, au risque de compromettre sa carrière. Quand les révélations de deux témoins viennent bouleverser ce scénario trop simple…Dans une Florence étouffée par la canicule estivale et les hordes de touristes, le célèbre adjudant fera tomber le mur du silence d’une communauté unie par un code de loyauté inviolable et une méfiance à toute épreuve.
La mort au fond du jardin
D’abord, elle avait eu l’impression qu’on l’avait poussée dans l’escalier. Puis il y eut cette assiette de velouté de champignons empoisonnés. Le comprimé douteux dans son flacon de somnifères finit de l’inquiéter. Adriana Ford, comédienne célèbre et propriétaire de Ford House, décide alors de consulter Miss Silver. Maud Silver, avec une logique implacable, lui apprend que la personne qui tente de l’assassiner habite sous son toit. Et quelques jours plus tard, à Ford House, on découvre un premier cadavre…
Un anneau pour l’éternité
Un soir, alors qu’elle fait une promenade dans le bois de Dean Man’s Copse, Mary Strokes découvre le corps d’une jeune femme enveloppée dans un manteau noir, sans chapeau, mais avec à l’oreille un anneau sertie de pierres précieuses, symbole de la pérennité des liens du mariage. Mary alerte immédiatement la police. Or, lorsqu’elle revient sur les lieux en compagnie du Sergent Abbott, le corps a disparu. Si les autorités doutent bientôt du témoignage de Mary, Miss Silver est certaine de sa bonne foi, et elle entend le démontrer.
La pire des trahisons
Atticus Kodiak, 1 m 90, deux anneaux à l’oreille gauche, est un garde du corps au grand cœur. La mort de son ami Rubin lors d’une fusillade dans un cimetière l’a beaucoup affecté. Et ses collègues, le jugeant responsable, lui battent froid. Réduit à jouer les videurs dans une boîte de bondage du Lower East Side, il y rencontre Erika Wyatt, adolescente révoltée et fugueuse. Le colonel Wyatt le charge de ramener sa fille à la maison. Facile à première vue, mais ça se complique quand un redoutable commando de SAS cherche à kidnapper la gamine. Contraint d’appeler ses anciens associés à la rescousse, Atticus doit en plus composer avec Diana, la femme du colonel, avec laquelle il a eu autrefois une aventure. Diana aussi veut récupérer sa fille, mais s’il n’y avait que ça… L’action s’engage sur les chapeaux de roues, violente et rapide, tandis qu’Atticus confronté à son passé contemple avec stupeur un abîme de vérités enfouies et de trahisons insoupçonnées qui mettent son ego à rude épreuve.
Hush
Lorsque Lake Warren apprend que son ex-mari exige la garde de leurs enfants, elle est persuadée que sa situation ne peut pas empirer. Le bon côté des choses, c’est qu’elle vient de passer la nuit avec le séduisant Dr Keaton, avec qui elle travaille dans une clinique d’insémination artificielle. Mais au matin, elle découvre le cadavre de Keaton dans une mare de sang… Pour ne pas risquer la garde de ses enfants, elle doit mentir à la police et découvrir elle-même la vérité. Elle ne tarde pas à comprendre qu’elle est dangereusement proche des secrets sordides de la clinique et de Keaton. Peut-elle tout arrêter avant qu’il ne soit trop tard ?
L’année criminelle (1)
Notre vie quotidienne est peuplée de faits divers dont les journaux, la radio et la télévision nous donnent le récit. Histoires vraies, histoires de sexe ou d’argent, de désespoir ou de haine, où des êtres apparemment « ordinaires » deviennent, par fureur ou de sang-froid, des meurtriers… Pour la première fois, Pierre Bellemare et son équipe font le tour du monde pour nous raconter les faits divers d’une année, ceux qui firent la une : Simone Weber, les infirmières de Lainz mais aussi bien d’autres, moins connus mais pas moins effrayants. Après Les Dossiers d’Interpol et Les Grands Crimes de l’histoire, une plongée hallucinante, au rythme des meilleures histoires de Pierre Bellemare, dans les drames qui chaque jour se jouent tout près de nous.
A froid
Découvertes macabres sur le campus universitaire de Grant County. Sara Linton, pédiatre et médecin légiste de cette petite ville du sud des Etats-Unis, est dépêchée sur place. Le chef de la sécurité du campus et son adjointe, une ex-flic, semblent vouloir brouiller les pistes pour des raisons inexplicables…
Le Magnat
Ancien élève de Harvard, le narrateur, David Cantor, est devenu rédacteur en chef du mensuel Révélations, sous-titré « La bible du tout Washington », un journal à potins qui traverse une grave crise financière. Pour alimenter la rubrique « Portraits », David réussit à rencontrer Carl Galvin, récemment installé dans la ville. Ayant sympathisé avec cet homme d’affaires au passé apparemment mystérieux, David le sollicite pour renflouer son mensuel. Galvin refuse car il caresse le projet plus ambitieux de racheter le Washington Sun & Tribune, un quotidien prestigieux réputé pour son honnêteté et sa déontologie rigoureuse, mais qui ne cesse de perdre des lecteurs depuis dix ans. Galvin estime que l’aspect et le contenu ennuyeux du journal en sont les causes et il a bien l’intention d’y remédier. Après avoir organisé un coup fourré pour devenir propriétaire du respecté quotidien, il s’efforce d’en transformer le contenu. Il peut compter sur David qu’il a embauché comme chef de la rubrique « société » et espère aussi le soutien de Candace Ridgway qui dirige le service politique et dont il fut l’amant à l’université. Roman de mûrs, Le Magnat met en scène un de ces capitaines d’industrie, comme il en existe des dizaines dans le monde, qui rachètent nombre de sociétés, de journaux, d’équipes sportives afin d’engranger de juteux profits. Journaliste lui-même, David Ignatius décrit de façon très convaincante cette prise de pouvoir qui se double d’une chronique mordante de la haute société de Washington (DC).
L’inconnu du Pont Notre-Dame
Nicolas Le Floch est saisi par Le Noir, nouveau directeur de la Bibliothèque du roi, de la disparition d’un conservateur au cabinet des médailles. Quelle est l’identité du cadavre décapité découvert dans une maison démolie du pont Notre-Dame ? Qu’augurent les informations transmises par Lady Charwel, alias La Satin, concernant un complot anglais visant Louis XVI ? Existe-t-il un lien entre les deux affaires ? D’autres meurtres suivront au cours d’une minutieuse enquête qui conduira le policier breton dans le Paris des receleurs et des maisons de jeu et jusqu’à la rade de Cherbourg. Au milieu des intrigues de cour et des dangers de la ville et, face à des suspects équivoques, mus par le lucre et la trahison, il finira par résoudre une sombre énigme en usant d’une découverte étonnante des Lumières.
Liberty
Alerte rouge : quatre têtes nucléaires vendues par un général russe véreux au groupe terroriste « Sword of Islam, » lié à Ben Laden, viennent d’être récupérées sur le sol américain par des cellules dormantes. NSA, CIA, FBI… à Washington, sous l’autorité de l’amiral Jake Grafton, les services de sécurité entrent immédiatement en action. Leur mission : démasquer à tout prix les terroristes et neutraliser les bombes. Fût-ce au mépris des sacro-saintes libertés individuelles. Mais ce que Grafton ignore encore, c’est la cible des criminels. Un symbole pour les États-Unis, comme pour le monde entier : la statue de la Liberté… Un techno-thriller stupéfiant de réalisme par l’un des maîtres du genre, qui dévoile les connexions terroristes mondiales, de l’Égypte à la Russie, de l’Afghanistan au Viêtnam, sur fond d’après-11 septembre.
L’envol des anges
Brutalités, racisme, corruption…
Howard Elias, le défenseur des droits civiques et de la communauté noire, s’est fait une spécialité de traîner devant les tribunaux la police de Los Angeles.
Quand il est retrouvé assassiné dans le funiculaire de l’Angels Flight, à la veille d’un procès, c’est Harry Bosch qui est chargé de l’enquête.
Une nouvelle fois, après le passage à tabac de Rodney King et les émeutes qui ont suivi l’acquittement des policiers impliqués, le pays va avoir les yeux rivés sur Los Angeles où tout faux pas risque d’embraser les quartiers noirs.
La proie de l’instant
Une opération policière organisée par Lucas Davenport, chef adjoint de la police de Minneapolis, tourne mal. Deux braqueuses sont tuées. Dick Lachaise, le frère et le mari des deux jeunes femmes, veut les venger. Et ce n’est que lorsque les policiers comprendront à quelle logique implacable il obéit qu’ils pourront tenter de le stopper.
Baignade interdite
Amanda n’a eu aucune peine à reconnaître la jeune noyée qu’on lui demande d’identifier: il s’agit de Kelly, une patiente de son cabinet de psychiatrie. Mais surtout, les circonstances de ce drame ressemblent étrangement à celles de la mort de sa mère, 20 ans auparavant, sur cette même plage ultra-chic de Grand Cove… Coïncidence ? Aidée par le médecin-légiste Peter Barron, Amanda entreprend de chercher la vérité, et c’est bientôt autour d’elle que l’étau se resserre. Qui se cache derrière une mise en scène apparemment destinée à la terroriser ? La réponse est tout près, sans doute, enfouie dans sa mémoire…Un suspense psychologique d’une rare qualité, applaudi à sa parution par la grande Mary Higgins Clark
Coup de théâtre au Dauphin
Un mystérieux mécène offre à Peregrine Jay le Théâtre Au Dauphin et un gant ayant appartenu à Shakespeare. Inspiré, Peregrine écrit une pièce le mettant en scène et rencontre un grand succès. Mais un jour, un meurtre se produit et le gant est volé
Cible à abattre
Ancien du SAS, l’unité spéciale de l’armée britannique, Neil Slater espérait enfin se ranger. Une vie tranquille, un travail normal, une femme, des amis… Mais ses tentatives pour revenir à la vie civile sont autant d’échecs et il finit à contrecoeur par rempiler au sein d’une division des services secrets à la mission aussi simple que terrible : «éliminer les problèmes». Cette fois-ci, le problème s’appelle Antoine Fanon-Khayat, un marchand d’armes franco-libanais en affaires avec la Serbie. Et la mission, qui devait se dérouler discrètement à Paris, se révèle plus délicate que prévu. Une fois de plus, Neil va devoir survivre en territoire hostile…
Quand sort la recluse
«- Trois morts, c’est exact, dit Danglard. Mais cela regarde les médecins, les épidémiologistes, les zoologues. Nous, en aucun cas. Ce n’est pas de notre compétence.
– Ce qu’il serait bon de vérifier, dit Adamsberg. J’ai donc rendez-vous demain au Muséum d’Histoire naturelle. Je ne veux pas y croire, je ne veux pas y croire. Revenez-nous, commissaire. Bon sang mais dans quelles brumes avez-vous perdu la vue? Je vois très bien dans les brumes, dit Adamsberg un peu sèchement, en posant ses deux mains à plat sur la table. Je vais donc être net. Je crois que ces trois hommes ont été assassinés- Assassinés, répéta le commandant Danglard. Par l’araignée recluse?»
Le singe et le tigre
Qu’est-ce qui fait le grand détective ? Hercule Poirot par exemple n’a rien d’attirant.
S’il a plu, c’est sans nul doute parce que Agatha Christie lui a donné des attributs policiers très caractéristiques ; Hercule Poirot, c’est avant tout une méthode de travail, pour ne pas dire une méthodologie – et la plupart de ses illustres confrères ont précisément la leur et ont, chacun, une manière propre de conduire une enquête, de penser, d’agir, de poser des questions, de débrouiller les fils d’un mystère ou d’une énigme. C’est le cas du juge Ti.
Buckingham Palace Gardens
Thomas Pitt, agent des services très secrets de la reine Victoria, la Spécial Branch, et son supérieur, le glacial Narraway, sont convoqués de toute urgence au palais de Buckingham. L’impensable vient de se produire : un crime barbare a été commis sur la personne d’une prostituée, retrouvée au petit matin dans un placard. La jeune femme était «invitée» à une fête très privée donnée par le prince de Galles…Le coupable doit être désigné et l’affaire étouffée au plus vite, avant que le scandale ne s’ébruite hors du palais, au risque de mettre la Couronne en péril…
Le cuisinier de Talleyrand
En cet automne 1814, toute l’Europe s’est donné rendez-vous à Vienne. A l’instigation des vainqueurs de Napoléon, un grand congrès va s’ouvrir pour régler la succession de l’Empire et la capitale autrichienne grouille de diplomates, d’espions, de courtisanes et de filous de tous poils aux intérêts les plus divers. Inquiète de cette effervescence, la police se serait bien passée d’un meurtre particulièrement sordide qui éveille les craintes d’un ultime complot napoléonien. Aussi, l’inspecteur Vladeski va-t-il devoir mener son enquête au sein même de la délégation française, dirigée par le très habile Talleyrand et son plus précieux atout pour séduire les congressistes, Antonin Carême, le meilleur cuisinier du monde…
L’homme au ventre de plomb
On retrouve Nicolas Le Floch moins d’un an après sa première enquête, L’Énigme des Blancs-Manteaux. Nous sommes toujours dans le Paris de la fin de l’année 1761 et le jeune commissaire de police du Châtelet a pris quelques galons suite à ses réussites antérieures sous l’autorité de M. de Sartine, l’homme des enquêtes spéciales de Louis XV, avec l’aide de son adjoint l’inspecteur Bourdeau. Au départ de cette aventure, Le Floch est à l’Opéra, où l’on donne Les Paladins de Rameau, quand un couple de courtisans, le comte et la comtesse de Ruissec, apprennent le suicide de leur fils. Les premières constatations font plutôt pencher Nicolas Le Floch pour la thèse d’un assassinat déguisé. L’affaire va le mener tout droit à des complots qui pourraient menacer jusqu’à la vie du roi. Pour la seconde fois, Jean-François Parot explore son XVIIIe siècle parisien.
La fortune de l’échevin
Hiver 1476. Roger Le Colporteur a déserté pour un temps les grands-routes, s’apprêtant à passer l’hiver à Bristol, dans le cottage de sa belle-mère Margaret. Mais son repos est de courte durée. Clement Weaver, le fils d’un des plus riches marchands de la ville, donné pour mort il y a plus de six ans, serait de retour en ville. Sans doute affaibli par l’âge et aveuglé par la joie de revoir son fils tant regretté, le vieux Weaver a immédiatement reconnu Clement. Mais Alison, sa soeur, et son mari, William, sont formels : l’individu est un imposteur, et son complice ne peut-être qu’un proche de leur famille.Le couple a donc décidé de faire appel aux talents de Roger, afin qu’il découvre les responsables de cette duperie.
Le mystère Clementina
Engourdie par la canicule d’août, Florence semble désertée par ses habitants. Au poste de garde du palais Pitti, l’adjudant Guarnaccia est appelé à enquêter sur la mort d’une vieille femme, Clementina, qu’il a rencontrée dans des circonstances singulières quelques jours plus tôt. Il ne fait aucun doute pour lui qu’elle a été assassinée, d’autant que Clementina avait tenté de le joindre d’urgence la veille de sa mort. Sans le moindre indice, l’adjudant va tenter de reconstruire le passé de la victime. Ses recherches vont l’entraîner au cœur des foyers de San Frediano, ainsi qu’à l’hôpital psychiatrique, désormais fermé. Et, tandis qu’il brosse peu à peu le portrait de la défunte, il va revivre par procuration des événements tragiques qui se déroulèrent vingt-cinq ans plus tôt.
Sur ordre – Tome I
Un Boeing 747 s’écrase sur le Capitole, entraînant dans la mort le Président, les membres du Sénat et de la Cour suprême. Telle est la déclaration de guerre d’un dictateur islamiste fou de Dieu au «Grand Satan» américain. Plus que jamais, Jack Ryan est l’homme de la situation, le seul capable d’enrayer la machine de guerre et d’expansion conçue par un cerveau mégalomane, résolu à unifier l’ensemble du monde musulman et à déclencher la guerre totale contre l’Occident libre. Documentation hors pair, parfaite vraisemblance géopolitique, maîtrise absolue du récit et du suspense : l’auteur d’octobre rouge et de La Somme de toutes les peurs nous offre une anticipation planétaire d’une vérité à couper le souffle.
Half Moon Street
En cet automne 1891, Londres sembles bien triste au commissaire Thomas Pitt, depuis que sa chère Charlotte est partie se reposer à Paris. Mais il n’a guère le temps de sombrer dans le spleen, car la découverte du corps d’un homme habillé en femme dans une barque, sur la Tamise, l’entraîne dans une nouvelle aventure pleine de mystère. Qui était la victime et pourquoi cette mise en scène macabre ? Aidé de l’irascible sergent Tellman, Pitt fouille les consciences et les coeurs de la haute société, arpentant les coulisses des théâtres où se jouent les pièces d’un certain Oscar Wilde. Gentlemen et ladies irréprochables peuvent parfois cacher de bien dérangeantes vérités…
Celui que tu cherches
Keye Street, ex-profileuse du FBI devenue enquêtrice privée, n’a pas perdu le goût du danger. Quand un tueur en série sème la terreur à Atlanta, le chef de la police fait appel à elle. Face à un inconnu qui assassine et mutile sauvagement ses victimes avant d’annoncer ses crimes par lettre aux médias, Keye, munie de son Glock 10 mm et de son intelligence, se lance dans une chasse à l’homme infernale. Mais très vite, de chasseur, elle devient gibier. Arrivera-t-elle à trouver le meurtrier avant qu’il ne la trouve ?
Le messager du temps
Historienne de renom, Ann Dukthas se penche sur les grandes énigmes qui ont traversé les siècles en emportant avec elles leurs secrets. Pour l’heure, l’affaire qui la passionne se résume en une seule question : la belle Marie Stuart, reine d’Écosse, a-t-elle assassiné son mari en cette nuit de février 1567 ou a-t-elle été la victime d’un complot ? Sa conférence sur le sujet à peine achevée, elle fait la connaissance d’un bien curieux personnage qui prétend pouvoir lui apporter son aide : Nicholas Segalla. Mais qui est-il ? Derrière une élégante silhouette de parfait gentleman anglais, ce bel homme au regard las lui révèle son incroyable secret : éternel passager du temps, tour à tour prêtre jésuite, émissaire du gouvernement anglais, agent secret, il a arpenté de siècle en siècle les arcanes du pouvoir en témoin des pires turpitudes de l’âme humaine.
Un écrivain mord la poussière
Entre deux verres d’alcool, Mervin Blake, célèbre romancier et critique, président de l’Association littéraire australienne, s’ouvre auprès de la journaliste mondaine Nancy Chesterfield des sentiments fort contrastés qu’il éprouve à l’égard de nombre de ses collègues écrivains. Le lendemain de cette soirée alcoolisée quoique littéraire, Blake est retrouvé mort à son domicile. Banal suicide ? Rien n’est moins sûr pour l’inspecteur Bonaparte qui décide de s’installer quelque temps chez la voisine du défunt… Acide, drôle, fort bien construite comme toujours chez Upfield, cette vingt-cinquième enquête de l’inspecteur métis Napoléon Bonaparte plonge le lecteur dans les méandres du milieu de l’édition. L’auteur se venge peut-être de quelques déconvenues dont il a eu lui-même à pâtir, par exemple de collègues snobant volontiers le roman policier parce que seule la prétendue « grande littérature » est noble à leurs yeux. Un thème ultra-classique mais particulièrement bien traité ici. –Bruno Ménard
Le gentleman Florentin
À Florence, la veille de Noël, Langley Smythe, un diplomate retraité d’origine anglaise, est découvert mort dans son appartement. Au terme de son enquête, l’adjudant Guarnaccia, malgré une grippe envahissante et un stagiaire encombrant, va mettre au jour une sombre affaire de trafic d’objets d’art. Ce Maigret florentin (il officie au palais Pitti où il commande les carabiniers) est d’origine sicilienne. Gastronome notoire, doté d’un tempérament réservé, il compense son flegme inattendu par une opiniâtreté tenace. En mettant en scène ce personnage, héros depuis 1981 d’une douzaine d’enquêtes, dans le cadre enchanteur de Florence – ses ruelles encombrées, ses petits commerçants de quartier – sa mère spirituelle s’est attiré les louanges, d’autant plus flatteuses que rares, de Georges Simenon soi-même !
Le chemin de la falaise
Rachel Treherne est très angoissée. Depuis quelques mois, on en veut à sa vie. Il y a d’abord eu ces lettres anonymes, et puis un escalier trop bien ciré, des chocolats au goût amer, des vipères dans son lit… À chaque fois, les membres de sa famille étaient tous présents. Des membres qui, financièrement, dépendent entièrement d’elle. La jeune femme se décide à contacter Miss Silver, le célèbre détective privé londonien. Rachel refuse de voir un criminel en l’un des siens, mais Miss Silver, toujours aussi lucide, est convaincue du contraire. De nouvelles menaces lui donnent raison : Rachel est vraiment en danger ! La vieille fille détective pourra-t-elle arrêter le criminel à temps ? Patricia Wentworth excelle à dépeindre une atmosphère véritablement oppressante avec des scènes d’une formidable tension. Des personnages redoutablement bien croqués, du suspense jusque dans les toutes dernières pages et un dénouement inattendu pour couronner ce très bon roman. Un auteur à redécouvrir absolument ! –Sophie Colpaert
Un dernier Baiser
Une mère aimante, une meurtrière démente, qui est la véritable Thea Harper ? Théa Harper aimerait se réveiller de ce cauchemar. Après avoir été jugée pour le meurtre de son amant et déclarée irresponsable, elle n’arrive pas à reprendre une vie normale, en dépit du suivi psychiatrique dont elle fait l’objet. Comment, en effet, renouer avec le quotidien quand de nombreux meurtres sont commis dans son entourage. Surtout lorsque certains indices lui laissent à penser qu’elle a pu en être l’auteur dans les moments d’absence auxquels elle reste sujette… Les rebondissements de l’intrigue et son dénouement inattendu tiendront l’amateur de suspense en haleine et le lecteur cinéphile retrouvera dans ce thriller un rythme et des personnages dignes de Hitchcock dont rien n’assure décidément qu’ils pourront échapper à la psychose du dédoublement.
Lagune morte
Venise, ville de carnaval, propice aux déguisements de toutes sortes, a aussi ses fantômes. C’est du moins ce que prétend la Contessa Ada Zulian, qui se dit persécutée par des spectres. Pour lui venir en aide, le commissaire Aurelio Zen débarque dans sa ville natale et résout rapidement l’énigme en arrêtant les neveux de la vieille aristocrate, qui voulaient la rendre folle pour s’approprier sa fortune. En réalité, le policier est chargé d’une autre mission plus complexe : retrouver un riche Américain d’origine yougoslave qui a disparu. Pour cela, il devra remonter bien des pistes, élucider quelques meurtres et il croisera même un autre fantôme avant de découvrir la vérité. Zen, qui mène ici sa quatrième enquête, est un attachant personnage amer et désabusé qui tente malgré tout d’accomplir sa tâche le mieux possible. Le récit, servi par une construction rigoureuse, est riche en notations sur la vie politique et sociale italienne, ainsi que sur les répercussions du conflit yougoslave.
Une saison au purgatoire
Parce qu’il était pauvre et fasciné par la riche famille Bradley – des parvenus d’origine irlandaise -, Harrison Burns est entré au service de Constant, le fils préféré, son camarade de collège, que ses parents destinent à une haute carrière politique. Harrison découvre trop tard que les Bradley, pour assouvir l’ambition du clan, sont prêts à ne reculer devant aucun moyen. Même s’il s’agit de dissimuler à tout prix un meurtre particulièrement atroce… Et Harrison accepte de se taire. Jusqu’au jour où il ne pourra plus reculer devant ce choix : crier la vérité ou vendre définitivement son âme. En même temps qu’un suspense impeccablement maîtrisé, Dominick Dunne nous offre, avec ce roman de l’amitié brisée, des illusions perdues, une peinture lucide et forte de la haute société américaine, de ses sourires, de ses hypocrisies, de ses férocités.
Menace mortelle
Comment une bactérie enfermée depuis 65 millions d’années dans un iceberg peut-elle être encore dangereuse ? C’est la question posée à Joanna et à ses collègues biologistes, isolés sur le Global Explorer II, un bateau-laboratoire de l’armée, en plein coeur de l’Alaska. Au plus fort de la tempête, les accidents mortels s’enchaînent curieusement. Est-ce toujours la malchance qui s’acharne sur les scientifiques impuissants ? Si les marins, fatalistes, voient dans la mer déchaînée l’esprit de vengeance des icebergs, Joanna, plus réaliste, se battra jusqu’au bout pour sauver les membres de la mission ETOX.
Folie meurtrière
Une bombe fait quatre morts en plein centre de Los Angeles. Maladresse d’artificiers ou commando suicide ? La mission de Joanna Blalock, médecin légiste : identifier les corps. Celle du lieutenant Jake Sinclair : retrouver les responsables du carnage. Leur enquête les mène hors des frontières de la ville, sur les traces d’Eva. l’égérie d’un groupuscule ultranationaliste. Force et ténacité seront nécessaires à nos deux héros pour anéantir un complot machiavélique visant la démocratie.
Sang froid
Onze mois après sa disparition durant le carnaval de La Nouvelle-Orléans, Anne-Louise Caley, la fille d’un milliardaire et d’une ancienne star de cinéma, reste introuvable, en dépit des recherches policières et des millions de dollars offerts par ses parents aux meilleurs détectives privés. Elizabeth, la mère de la jeune fille, a perdu tout espoir. Elle accepte cependant de faire une dernière tentative avec Page Investigations : une agence minable, dont la fondatrice, Lorraine Page, est bien connue des lecteurs de Coup de froid, le précédent thriller de Lynda La Plante. Après le drame qui l’a fait chasser de la police et son douloureux combat contre la déchéance de l’alcoolisme, Lorraine Page a tout à prouver. Galvanisés par cette dernière chance, elle et ses coéquipiers, Rooney et Rosie, vont réussir là où tous ont échoué, découvrant une histoire familiale scabreuse et plongeant, au cœur des bas quartiers de La Nouvelle-Orléans, dans les mystères du vaudou et du trafic de drogue…
Peak Park
Alors que les premières bourrasques annonciatrices dl’hiver décoiffent les arbres de Peak Park, le cadavre d’une jeune cycliste est découvert par un ranger dans une étrange posture, au centre d’un cercle de pierres levées datant de l’âge de bronze et connu dans la région sous le nom des Neuf Vierges. Or une autre femme a été victime du tueur de la lande de Ringham. Atrocement défigurée, elle a survécu, mais n’a aucun souvenir de son agresseur. Diane Fry, brillante enquêtrice citadine parachutée dans la brigade rurale d’Edendale, va s’employer à ressusciter ses souvenirs, au prix de révélations douloureuses pour l’une comme pour l’autre. De son côté, Ben Cooper met à profit sa connaissance du terrain et des mœurs paysannes pour démêler certains mystères qui pourraient avoir un lien avec l’affaire : quel rôle jouent au juste les rangers dans les agressions ? Qui sont réellement les deux marginaux gentiment allumés qui squattent au cœur du parc dans une camionnette déglinguée ? Diane Fry et Ben Cooper s’affrontent une fois de plus sur une certaine conception de l’honneur de la police
Sanction secrète
Ancien des Forces spéciales devenu avocat des services juridiques de l’armée américaine, le commandant Drummond est chargé par ses supérieurs d’enquêter sur le massacre de trente-cinq militaires serbes, imputé à une unité de Bérets verts infiltrés au Kosovo. Les corps des victimes ont été criblées de balles américaines et l’affaire fait grand bruit en Serbie où Milosevic tente d’alerter l’opinion internationale. Drummond doit se rendre dans une base américaine installée en Italie où les coupables présumés sont détenus. Il est accompagné par deux autres juristes militaires, tous deux capitaines, James Delbert et Lisa Morrow. Leur mission consiste à réaliser un dossier complet de l’affaire et à décider si les soldats incriminés doivent être déférés devant un tribunal militaire ou non. À peine arrivé, Drummond se rend compte que les accusés, restés plusieurs jours ensemble, ont élaboré une version inattaquable des faits. Mais ils ne sont pas les seuls à mentir. Tous les gradés de la base s’ingénient à contrarier l’enquête. L’assassinat au garrot d’un journaliste new-yorkais retrouvé dans les toilettes quelques heures après avoir eu un entretien avec Drummond n’est pas de nature à simplifier la situation. Malgré toutes ces embûches l’avocat réussira-t-il à mettre à nu la vérité ? L’auteur, Brian Haig, ancien lieutenant-colonel et fils du général Alexander Haig, ex-secrétaire d’État américain, aurait pu laisser craindre que cette enquête ne devienne une apologie de l’armée américaine. Heureusement, il n’en est rien. Non seulement le suspense reste préservé jusqu’au bout, mais la découverte de la vérité par Drummond est une occasion de passer au peigne fin certains comportements militaires lamentables tout en insistant sur l’hypocrisie et le cynisme d’une hiérarchie qui commande une enquête en faisant agir dans l’ombre traîtres et manipulateurs pour l’empêcher d’aboutir. Passionnant !
Etat d’urgence
À San Francisco, le milliardaire George Morton s’écrase du haut d’une falaise à bord de sa Ferrari quelques minutes seulement après avoir annoncé qu’il retirait son soutien à un mouvement écologiste international…Avant de disparaître, George avait laissé un message énigmatique. Peter, son avocat, et Sarah, son assistante, le décryptent… et se trouvent emportés dans une course-poursuite qui va les précipiter des glaces de l’Antarctique aux forêts vierges de Mélanésie. Face à eux, un ennemi insaisissable prêt à détruire la planète pour prouver qu’elle est en danger. Tremblement de terre, tsunami, cyclone : si les idéalistes fous ne sont pas neutralisés, des milliers de gens vont mourir dans une série de catastrophes naturelles d’une ampleur sans précédent…
L’instinct du mal
Kay Scarpetta, experte en sciences légales sur CNN, est conseillère auprès du médecin en chef de l’institut médico-légal de New York. Le producteur de CNN souhaite que Scarpetta lance une nouvelle émission. Mais cette notoriété accrue semble à l’origine d’une série d’événements inattendus. Quand elle intervient en direct au sujet d’une affaire médiatique, la disparition et la mort présumée d’une millionnaire, elle reçoit un appel surprenant d’une téléspectatrice, ancienne patiente de son mari Benton Wesley. De retour chez elle, il y a un inquiétant paquet. La menace, qui pèse sur la vie de Scarpetta, l’entraîne dans une enquête haletante qui implique un acteur célèbre accusé d’un crime sexuel, et également sa nièce Lucy, qui aurait eu des liens avec la millionnaire disparue…
La peur derrière la porte
Une comtesse allemande est réduite en cendres pour avoir trop aimé les liqueurs fortes. Un chien assassin guette ses proies, la nuit, dans les ruelles sombres et désertes d’une ville tunisienne. Au contact de son mari, la peau d’une jeune femme se couvre de brûlures. Un chirurgien esthétique mutile les patientes qu’il a escroquées. Un savant transformé en machine vivante meurt lorsque sa secrétaire le quitte… Ce pourrait être vous, cet homme, cette femme au destin tranquille qui bascule soudain dans l’horreur. Une fois de plus, Pierre Bellemare nous entraîne dans les méandres effrayants de quarante histoires vraies recueillies aux quatre coins du monde.
Les écailles d’or
Le Caire, 1981. Alice, la petite fille d’une junkie anglaise de bonne famille, est enlevée dans les ruelles du souk. 1998. Un milliardaire cairote issu de la pègre, Hafani, sollicite les services du détective privé Makana pour retrouver la star de son équipe de foot, Adil, qui s’est volatilisée du jour au lendemain. Makana, ancien policier qui a fui le régime intégriste soudanais, vivote au Caire sur une awana, sorte de péniche déglinguée, et si son costume défraîchi fait mauvais effet dans l’entourage d’Hafani, son esprit affûté fait mouche. De plus, il entretient de bonnes relations avec un commissaire local et un journaliste politiquement engagé. L’enquête le mène des bistrots crapoteux et des rues poussiéreuses de la capitale aux résidences somptueuses des nantis du régime, et croise la route de la mère d’Alice, sauvagement assassinée alors qu’elle continuait obstinément à chercher son enfant disparue.
Gorky Park
Moscou. Dans la neige qui recouvre le parc Gorki, un milicien découvre trois cadavres abattus par balles : deux hommes et une femme, le visage et les membres mutilés. L’enquête est confiée au commissaire Arkadi Renko, de la brigade criminelle de la ville. Flic intègre, il est cependant sans illusion. Si le KGB s’intéresse aussi à ce triple meurtre, c’est que l’affaire doit mettre en cause de hautes personnalités de la Nomenklatura. S’attendant à tout moment à se voir retirer le dossier, Renko, malgré les obstacles et les dangers, ira jusqu’au bout dans sa quête qui s’achèvera aux États-Unis.Salué par la critique à sa sortie comme un chef-d’œuvre, Gorki Park vaut d’abord pour sa vraisemblance : cette reconstitution de l’univers moscovite des années quatre-vingt reste d’une grande crédibilité. L’autre intérêt du récit tient au personnage de Renko, un passionné vertueux confronté à la corruption. On peut le retrouver dans L’Étoile polaire, Red Square et Havana Bay. Claude Mesplède
La vengeance du Grec
Quand, comment, où éclatera la Troisième Guerre mondiale ? Un scénario saisissant qui repose sur des données stratégiques, militaires et politiques réelles. William J. Caunitz est un auteur de romans policiers américain. Il a servi parmi les Marines, a travaillé dans les assurances puis a été engagé dans la police new-yorkaise où s’est déroulée une passionnante carrière qui lui a fourni les éléments de ses polars à succès, à la fois la vie quotidienne des new-yorkais et les techniques policières pour enquêter sur un meurtre.
Mort à l’opéra
Années 30. Dans une école privée anglaise, on décide de monter la représentation d’une opérette, Le Mikado. Miss Calma Ferris, professeur d’arithmétique, en est fort aise : voici des années qu’elle espérait un rôle dans une de ces pièces jouées par la Société de musique d’opéra et d’art dramatique de l’école. Le Mikado est bien donné, mais Miss Ferris n’y survivra pas : elle est retrouvée morte, la tête dans un lavabo plein d’eau, lavabo dont l’évacuation a été bouchée à la terre glaise. La thèse du suicide ne tiendra pas longtemps. C’est une affaire en or pour la célèbre psychologue et détective Beatrice Adela Lestrange Bradley. Plus connue sous le nom de Dame Beatrice, celle-ci aura du fil à retordre, puisque, comme elle le dit elle-même, « nous sommes tous capables de meurtre »
Le cadavre anglais
Paris 1777, la révolte des colonies d’Amérique divise Anglais et Français. Alors qu’un mystérieux prisonnier meurt en tentant de s’évader de Fort-l’Évêque, une intrigante fait chanter la reine Marie-Antoinette. Escroquerie, espionnage et secrets politiques : à Nicolas Le Floch, commissaire au Châtelet, de démêler les arcanes de ces affaires extraordinaires.
» Le cadavre anglais mêle avec un bonheur virtuose érudition historique, personnages hauts en couleurs, recettes gourmandes, intrigue ténébreuse, coups fourrés et complots impitoyables. On savoure sans modération. » Christian Gonzales, Madame Figaro
La malédiction des Hale
Lorsque Callie, journaliste, est appelée en pleine nuit sur les lieux d’un suicide, elle ne se doute pas de ce qu’elle va découvrir : tombé du dix-neuvième étage, le corps de Wilton Hale, qu’elle a aimé puis quitté six mois auparavant, n’est plus qu’un pantin désarticulé. Loin de partager la thèse de la mort volontaire de cet homme qui s’apprêtait à hériter de la fortune familiale, Callie choisit d’axer son article sur la malédiction qui semble peser sur les Hale de père en fils, tous morts avant leur quarantième anniversaire. De concert avec Ezra Chapin, un policier aux manières quelque peu abruptes, elle entend bien réhabiliter son ex-amant et comprendre le mystère qui règne autour de cette puissante famille. Mais, fragilisée par des cauchemars incessants et des menaces réelles, Callie est sur la brèche : qui cherche à lui faire peur ? Callie serait-elle également le jouet d’une malédiction ?