
Autobiographie d’un amour
A trente-deux ans, Alexandre Rivière découvre que Jeanne, sa femme, se sent seule dans leur mariage, incomprise, saturée de rancœurs. Bouleversé de l’avoir si mal aimée, Rivière retombe amoureux de celle qu’il pensait connaître. Mais il est trop tard ; Jeanne a trop souffert de l’aimer et ne croit plus en ses baisers. Alexandre quitte sa famille, les Nouvelles-Hébrides, son métier d’instituteur, et s’évapore brusquement. Deux ans plus tard, Octave Rivière – son frère jumeau – débarque dans l’archipel. Il est très exactement l’homme que n’était pas Alexandre. En lui reparaît le mari de Jeanne, remanié, rectifié de tout ce qui la décourageait. Je désire ne jamais vous plaire, vous dégoûter de m’aimer ! lui lance-t-il dès leur première rencontre. Par un habile marivaudage, Octave soignera toutes les laideurs qu’Alexandre lui avait laissées dans le cœur. Il soulagera Jeanne de ses culpabilités, de ses peurs tenaces, la libérera du piège des ressentiments et lui enseignera l’art de satisfaire ses propres attentes. Loin de se contenter de l’aimer, Octave Rivière lui permettra de s’aimer. Mais qui est ce Rivière venu la délivrer d’elle-même ? Manipulateur au service de l’amour, Octave est la création la plus déroutante de l’auteur du Zubial, du Zèbre, du Petit Sauvage, de L’île des Gauchers… (prix Femina, 1988), du Petit Sauvage et de L’île des Gauchers.
Indianoak
Christian Laborde est un écrivain, poète, chroniqueur et pamphlétaire français. Il est célèbre pour avoir vécu l’une des dernières censures littéraires en France. En 1987, son livre « L’Os de Dionysos » est interdit pour « pornographie, lubricité, danger pour la jeunesse en pleine formation physique et morale, invitation au désordre et à la moquerie, trouble illicite… ». Le livre sera finalement réédité en 1989 et deviendra un roman culte. Laborde est également l’un des biographes de Claude Nougaro et Renaud. Il est connu pour son engagement pour la protection de l’ours des Pyrénées aux côtés de ces deux chanteurs. Il tient une chronique « Livres » sur France 3 Sud et est chroniqueur pour la Nouvelle République des Pyrénées. Christian Laborde a consacré plusieurs livres aux héros du Tour de France. Il est l’auteur, chez Plon, du « Dictionnaire amoureux du Tour de France » (2007). « Tour de France, nostalgie » (2012) obtient le Prix Louis Nucéra 2013.
Le premier cercle
» Quand on décrit les prisons, on s’attache toujours à en noircir les horreurs. N’est-ce pas encore pire quand il n’y a pas d’horreurs ? Quand l’atroce naît de la grisaille méthodique des semaines ? Et du fait qu’on oublie que la seule vie dont on dispose sur terre est brisée ? » Pour les zeks, les détenus politiques qui peuplent les charachkas, ce premier cercle de l’enfer pénitentiaire, la notion du temps devient abstraite ; chaque jour, chaque heure, c’est la même chose, c’est le silence, l’ennui. Les charachkas, c’est oublier qu’on est en vie. Sous la plume d’Alexandre Soljenitsyne coulent des souvenirs douloureux. Avec un cynisme brûlant et une violence voilée, l’auteur décrit le régime concentrationnaire soviétique en un long cri de rage, celui d’un homme qui n’a jamais cessé de lutter pour la liberté.
Marianne (Saga en 6 volumes)
La vie prodigieuse de Marianne d’Asselnat de Villeneuve commence en Angleterre, dans le paisible domaine de sa tante Ellis Selton qui l’a recueillie après la mort de ses parents, guillotinés sous la Terreur. Son adolescence prend fin brutalement le jour même où elle épouse le beau Francis Cranmere dont elle est secrètement éprise depuis longtemps. Au cours d’une nuit de noces effroyable elle perd à la fois son amour, sa fortune et sa sécurité. Marianne doit fuir, abandonner tout ce qu’elle aime, revenir en France où règne l’homme qu’on lui a appris à haïr jour après jour : Napoléon. …..
Ce livre de 1344 pages représente les 3 tomes « La jeune mariée » « La fière américaine » « La Princesse Mandchoue »
Les péripéties amoureuses de Mélanie, 15 ans, depuis ce soir de l’été 1905 où, s’aventurant en chemise de nuit dans le jardin de son aristocratique voisine qui donnait un bal, elle tomba par hasard dans les bras du marquis de Varennes. Alexandra adore les voyages. Son mari les déteste. Alors, un jour de 1904, la belle Américaine embarque seule sur un paquebot et fait route pour la France, bien décidée à s’amuser. Mais elle ne sait pas que la France est le pays de l’amour et que le destin va mettre sur son chemin le plus bel homme que la terre ait porté. Tout à son amour, Orchidée, la petite princesse mandchoue, avait oublié la Chine et son impératrice qui lui ordonne de rentrer. Effondrée, Orchidée prend la fuite. Direction Marseille, puis… À bord du Méditerranée-Express, elle rencontre enfin l’homme providentiel qui réussira peut-être à l’aider…
La vie que tu t’étais imaginée
« Le bonheur ne me tentait guère. Je voulais avant tout que la vie me surprenne, je voulais des aventures, des accidents, des voyages » Au début des années 1930, Elissa Landi est une étoile filante d’Hollywood. Dans cette usine à rêves, la jeune actrice semble prolonger le glorieux héritage familial : sa mère, Karoline, a toujours prétendu être la fille cachée de l’impératrice Sissi. Fantasme ou réalité ? Fascinée par le mystère qui entoure les deux femmes, Nelly Alard enquête. À partir de lettres et de documents authentiques, elle lève le voile sur un secret bien gardé de l’Histoire et retrace les destins hors du commun de cette mère et cette fille unies par un amour fusionnel.
On achève bien les chevaux
Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d’avoir réalisé leurs rêves, ils n’ont eu qu’un long parcours chaotique semé d’échecs. Désœuvrés et sans argent, ils décident de s’inscrire à un marathon de danse dans l’espoir de décrocher les 1 000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu’à tournoyer des semaines entières au rythme de l’orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, « On achève bien les chevaux » est le premier roman noir d’Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n’a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s’attache à explorer l’envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. Christophe Dupui
Alors que jusque-là je marchais normalement sur ce que je pensais être mon propre chemin, voilà que soudain celui-ci a disparu sous mes pas, et c’est comme si j’avançais simplement dans un espace vide sans connaître de direction, sans plus aucune sensation. Une jeune fille a disparu. Une jeune fille dont le narrateur avait entrepris de faire le portrait. Une jeune fille aux yeux comme une flamme gelée. Une jeune fille qui l’intrigue et qui pourrait être liée à Menshiki. Il va rendre visite au vieux peintre Tomohiko Amada. Là, dans la chambre d’hôpital, apparaît le Commandeur. Le Commandeur est prêt à offrir sa vie pour que la jeune fille soit retrouvée. Il faut faire revivre la scène du tableau, le Commandeur doit être poignardé. Le narrateur lui plante un couteau dans le cœur. Une trappe s’ouvre dans un coin de la chambre. Un personnage étrange en surgit, qui l’invite à entrer dans le passage souterrain. Le début d’un périple qui va conduire le narrateur au-devant des forces du mal… Deuxième livre d’une œuvre exceptionnelle, dans la lignée du monumental 1Q84, un roman somme, ambitieux, profond. Deux tomes pour une odyssée initiatique étrange, inquiétante, envoûtante, où le maître Murakami dévoile ses obsessions les plus intimes.
Les effondrements se multiplient, de plus en plus impressionnants: Babel, le Pôle, Anima… aucune arche n’est épargnée. Pour éviter l’anéantissement total il faut trouver le responsable. Trouver l’Autre. Mais comment faire sans même savoir à quoi il ressemble ? Plus unis que jamais, Ophélie et Thorn s’engagent sur des chemins inconnus où les échos du passé et du présent les mèneront vers la clef de toutes les énigmes.
CeCe d’Aplièse ne s’est jamais vraiment sentie à sa place. Et à la suite du décès de son père adoptif, l’excentrique milliardaire Pa Salt surnommé ainsi par ses filles, adoptées aux quatre coins du monde elle se retrouve complètement perdue. Désespérée, n’ayant que les quelques indices laissés par son père, une photographie en noir et blanc et le nom d’une pionnière ayant traversé le monde, CeCe part à la recherche de ses origines… jusque dans la chaleur et la poussière du centre rouge de l’Australie. Cent ans auparavant, Kitty McBride, fille de pasteur, abandonne sa vie bien rangée pour accompagner une vieille dame d’Édimbourg jusqu’à Adélaïde. Son ticket pour cette terre inconnue apportera le grain d’aventure dont elle avait toujours rêvé… ainsi qu’un amour qu’elle n’avait jamais imaginé. Alors que CeCe découvre des secrets enfouis depuis bien longtemps, elle commence à penser que ce vaste et sauvage continent pourrait lui offrir quelque chose qu’elle a toujours cru impossible : un sentiment d’appartenance et un foyer…
Le sens de la nuit
« Depuis des années, la fin du jour condamnait Marge à une petite mort. Quand le soleil sombrait, elle se rendait compte combien son existence était vague, nuageuse, fragile, et son anxiété incommunicable. Pendant quelques instants, où qu’elle fût, Marge s’éclipsait. Pour certains esprits sensibles, c’est un passage qui révèle la dualité du clair et de l’obscur, du connu et de l’inconnu. Mais à d’autres, qui en sont franchement bouleversés, ce mystérieux passage dénonce un combat plus ambigu encore : le pur contre l’impur, le Bien contre le Mal. J’ai approché un assassin qui, dans la tradition des grands monstres du crime, devenait fou à la tombée du soir. « Le crépuscule excite les fous », écrit Baudelaire dans l’un de ses petits poèmes en prose ; puis il évoque la nuit comme un vrai moment d’espoir et d’apaisement. (Faut-il le croire ?…). On imagine plus volontiers Baudelaire, pris dans la fièvre nocturne de ses désirs, palper les ténèbres et se livrer à de sombres orgies. Mais revenons à mon assassin… »
L’Impératrice de la soie (en 3 volumes)
TOME 1 – LE TOIT DU MONDE – En 655, sous la dynastie des Tang, la Chine détient une somptueuse richesse : la soie. Sa finesse chatoyante en fait une matière précieuse convoitée. Bouddhistes et chrétiens, moines et brigands, tous, sur la légendaire Route de la Soie, rêvent de s’emparer du secret de sa fabrication.
De Peshawar au Tibet, en passant par le palais impérial, les tensions s’exacerbent. Mais l’étoffe moirée n’attise pas que la convoitise, elle préside aussi à la destinée des cœurs purs : ainsi Cinq Défenses, paisible moine bouddhiste, se voit-il confier brusquement deux mystérieux nourrissons par un lama tibétain. Le visage de l’un des enfants est à demi recouvert de poils, ce signe ne trompe pas, ils sont les jumeaux Célestes sur lesquels repose l’avenir de l’Empire…
TOME 2 – LES YEUX DE BOUDDHA – Sur la route montagneuse où ils fuient la menace du brigand Majib, Cinq Défenses et Umara, la jeune chrétienne nestorienne, savent que leur amour a la puissance du Yin et du Yang. Et ce n’est pas un hasard s’ils ont entre leurs mains ces deux sublimes nourrissons, les Jumeaux Célestes, précieux fardeaux qui accentuent néanmoins leur vulnérabilité. La rumeur concernant les enfants divins les suit partout, du plus petit village jusqu’à la capitale impériale, Chang’An, où le couple vient s’abriter. Or la lutte entre l’impératrice rebelle, Wuzhao, et son époux Gaozong déchaîne les intrigues. Sans le savoir, le jeune couple risque ses pas au c?ur d’une terrible tourmente où seule pourra les sauver la pureté de leurs sentiments?
TOME 3 – L’USURPATRICE – Les sublimes Jumeaux Célestes ont grandi et se nomment Lotus et Joyau. Des foules entières viennent les honorer à Luoyang. Car depuis que Cinq Défenses et Umara lui en ont confié la garde, l’impératrice Wuzhao élève ces enfants avec une délicate tendresse. D’ailleurs, elle devine que leur présence dans son palais préfigure la réussite de ce rêve qu’elle caresse depuis si longtemps : devenir le premier empereur de Chine ! Alors, elle pourra dénouer les fils sinueux qui se sont emmêlés le long de la Route de la Soie entre chrétiens et bouddhistes, Chinois et Tibétains. Et enfin, autour d’elle, comme sur un mandala, chacun pourra retrouver sa place, en un Parfait Équilibre.
La loire, Agnès et les garçons
C’est à Saint-Louis, à l’ombre des vieux marronniers et dans l’odeur de pâtisserie chaude et d’absinthe de la fête foraine, que Daniel Bailleul et son ami Jeanneret virent Agnès pour la première fois. Deux garçons et une fille de forains. C’est une belle histoire de la jeunesse, l’apprentissage de la jalousie, les premiers tourments du cœur et des sens. C’est un roman sensible, tendre, plein d’un charme secret, mystérieux, prenant, auquel les bords de la Loire, ce fleuve qui hante toute l’œuvre de Maurice Genevoix, apportent leur lumière et leur transparence heureuse. Car chez ce grand romancier, la nature est présente et vivante, inséparable de nos destins.
Court serpent
Un petit peuple issu d’Europe s’est établi » au Nord du monde « , dans une solitude glacée où il s’acharne à survivre. Mais, au fil des siècles, les communications s’espacent, puis s’interrompent. L’oubli et l’abandon menacent. Court Serpent est le navire spécialement commandité et construit selon un savoir ancestral, à la fin du XVIe siècle, pour aller à la recherche de cette communauté pendue et lui porter secours. L’abbé Montanus, chargé de conduire l’expédition, de relever le diocèse et d’y ranimer la foi, raconte les épreuves inouïes qu’il a dû affronter pour parvenir au but. Son récit est aussi celui d’une aventure politique et spirituelle, que traverse un amour sacrilège. Il donne la clé de cette aventure fascinante dont débattent encore aujourd’hui historiens et archéologues.
Le retour du bonheur
Avec la franchise sans détour qui a fait le succès de La Maison de jade, Madeleine Chapsal raconte ici son expérience de la psychanalyse. A l’époque, jeune divorcée confrontée à la solitude et à l’impossibilité d’avoir des enfants, elle n’a pas encore découvert sa vocation de romancière. Elle est simplement une femme qui ne veut pas » se laisser avoir » par le destin, les hommes, le temps. Beaucoup reconnaîtront leurs problèmes dans ce témoignage. Et ceux ou celles qui hésitent devant la psychanalyse trouveront ici, à côté de portrait de grands analystes comme Serge Leclaire et Françoise Dolto, une réponse aux questions qu’ils se posent : comment choisir son psychanalyste, quelles sont les règles qui régissent le traitement, etc. Retour du bonheur ? En tout cas, retour à la vie.
La femme à l’écharpe
Mona est une belle femme, éléguante et très parisienne, à qui la vie sourit : elle mène une existence sans nuage avec son mari, Max.
Mais très attachée à Saintes, elle ne peut se résoudre à mettre en vente la maison familiale dont elle vient d’hériter. Qu’il est agréable d’être proche de la nature, et la vie à la campagne a tellement de charme ! La rencontre d’un homme sincère et vrai va lui ouvrir les yeux… un magnifique portrait de femme.
Rachel et son amie Alison, dix ans, sont très intriguées par la maison du 11, Needless Alley, et par sa propriétaire qu’elles surnomment la Folle à l’Oiseau. D’autant plus lorsqu’elles aperçoivent une étrange silhouette à travers la fenêtre de la cave. Val Doubleday, la mère d’Alison, s’obstine quant à elle à vouloir percer dans la chanson, après un unique succès oublié de tous. En attendant, elle travaille – de moins en moins, restrictions budgétaires obligent – dans une bibliothèque et trouve refuge dans le bus numéro 11, pour profiter de son chauffage et de sa chaleur humaine. Jusqu’à ce qu’un appel inespéré lui propose de participer à une émission de téléréalité. Quelques années plus tard, dans un quartier huppé de Londres, Rachel travaille pour la richissime famille Gunn, qui fait bâtir onze étages supplémentaires… souterrains.
After – Saison 4
Avant, personne n’aurait osé les déchirer… Grâce à Zed, Tessa échappe au pire et soulagée, elle peut commencer une nouvelle vie indépendante à Seattle. Hardin se rapproche de plus en plus de Richard, le père de Tessa, jusqu’à l’héberger dans leur ancien appartement pour l’aider à s’en sortir ! L’occasion parfaite pour prouver qu’il a changé et que, peut-être, il peut devenir quelqu’un de bien. Ou est-ce une manipulation de plus à son actif ? Reste-t-il un espoir pour Tessa et son incorrigible bad&loveboy ? Les nuits entre les deux amants sont plus passionnées que jamais, et Tessa se jette à corps perdu dans cette liaison tumultueuse. Pourtant son entourage semble croire que sa relation avec Hardin va la plonger dans une spirale destructrice dont elle ne pourra sortir indemne. Grâce au soutien de Landon, elle va mener sans doute l’un de ses plus durs combats pour sauver son couple. C’est sans compter sur un cruel coup du destin qui va faire ressortir les pires démons d’Hardin… Tessa arrivera-t-elle à chasser les ténèbres dans l’esprit torturé de son homme ?
After – Saison 3
Le caractère ombrageux d’Hardin continue à lui jouer des tours, et il échappe de peu à l’expulsion de l’université. De son côté, Tessa retrouve son père par hasard au détour d’une rue. Hardin, toujours aussi ingérable, ne facilite pas cette entrevue inopinée. Tessa va devoir affronter la plus douloureuse des questions : Hardin pourra-t-il s’ouvrir un jour ? Un week-end chez le père d’Hardin est l’occasion rêvée pour se recentrer sur leur histoire. La rencontre de Riley et de Lillian va leur en apprendre bien plus que toutes leurs querelles. Pourtant, le départ pour Seattle approche… C’est le moment de prendre les bonnes décisions. Mais Hardin est-il seulement capable de mettre ses démons de côté pour suivre Tessa ? Le besoin passionné d’être ensemble sera-t-il plus fort que tous les obstacles ?
Allmen et les libellules
Johann Friedrich von Allmen, la quarantaine élégante, collectionne les œuvres d’art. Une occupation devenue dangereuse pour ce dilettante séducteur et raffiné depuis qu’il a dilapidé la fortune familiale et s’est attiré la rancœur de certains proches, victimes de ses trafics. Il doit se résoudre à se séparer de bon nombre d’œuvres et s’installe dans la maison du jardinier en compagnie de Carlos, son fidèle majordome guatémaltèque.
After – Saison 5
La vie n’a jamais été rose pour Tessa et Hardin, mais chaque nouveau défi auquel ils doivent faire face renforce leur amour et le lien passionné qui les unit est de plus en plus solide. Mais quand un pan de son passé, qu’il n’aurait pu imaginé, lui est révélé, Hardin est touché au cœur. Tessa de son côté subit une tragédie. Les deux amants vont-ils résister à tant de cruauté ? Finalement leur histoire familiale, si elle est choquante, ne semble pas très différente l’une de l’autre. Et Tessa n’est plus la douce et gentille fille qu’elle était quand elle a rencontré Hardin, pas plus qu’il n’est le cruel et sombre garçon dont elle est tombée amoureuse. Elle comprend toutes les troublantes émotions sous la carapace d’Hardin et sait qu’elle est la seule qui peut le calmer. Il a besoin d’elle. Mais plus le passé d’Hardin resurgit, plus il est inquiet et triste, et plus il repousse Tessa et
tous les autres au loin. Tessa n’est pas sûre de pouvoir le sauver sans se sacrifier. Elle refuse de l’abandonner sans se battre, mais combattre qui : Hardin ou elle-même ?
Blessée à jamais
Le message d’espoir d’une femme dont l’enfance fut assassinée, et qui veut pourtant croire au bonheur. Comment guérit-on de son enfance quand elle vous a été volée, arrachée, piétinée de la plus atroce façon ? Patricia Pattyn, qui a bouleversé la France avec le récit de son martyre, a aujourd’hui quatre enfants, une vie heureuse et un rêve pour lequel elle se battra de toutes ses forces : celui d’un monde où les enfants vivront en paix, dans la gaieté et l’innocence… Et pourtant, avant de croire enfin que le bonheur peut exister, il lui aura fallu de longues années de lutte contre elle-même et les démons qui l’assaillent, d’allers et venues entre l’espoir et le découragement absolu. Pour obliger le malheur à lâcher sa proie, elle aura fait preuve d’une volonté de chaque instant, d’une infinie persévérance. Mais son vrai combat ne fait que commencer. Maintenant la force est en elle. Patricia est née, et plus rien ne pourra l’abattre.
La bibliothèque des cœurs cabossés
Traduit du suédois par Carine Bruy. Tout commence par les lettres que s’envoient deux femmes très différentes : Sara Lindqvist, vingt-huit ans, petit rat de bibliothèque mal dans sa peau, vivant à Haninge en Suède, et Amy Harris, soixante-cinq ans, vieille dame cultivée et solitaire, de Broken Wheel, dans l’Iowa. Après deux ans d’échanges et de conseils à la fois sur la littérature et sur la vie, Sara décide de rendre visite à Amy. Mais, quand elle arrive là-bas, elle apprend avec stupeur qu’Amy est morte. Elle se retrouve seule et perdue dans cette étrange petite ville américaine. Pour la première fois de sa vie, Sara se fait de vrais amis – et pas uniquement les personnages de ses romans préférés –, qui l’aident à monter une librairie avec tous les livres qu’Amy affectionnait tant. Ce sera pour Sara, et pour les habitants attachants et loufoques de Broken Wheel, une véritable renaissance. Et lorsque son visa de trois mois expire, ses nouveaux amis ont une idée géniale et complètement folle pour la faire rester à Broken Wheel.
Pour venger la mort prématurée de sa soeur, Alain Nsona force les portes de la société secrète des ewusus qui régit la communauté depuis des millénaires selon un code aussi immuable qu’implacable. Enrôlé par Ada, puissant sorcier à la tête d’une académie de sages, il est contraint à un voyage dans le temps, avec pour mission de rapporter la formule de la dématérialisation des objets. Soucieux de mettre leurs connaissances occultes au service du progrès, ces ewusus projettent en effet de réaliser une révolution scientifique… Dans ce roman fantastique, à l’écriture maîtrisée, Mutt-Lon interroge le devenir de l’Afrique dans la confrontation de deux périodes – l’ère précoloniale et la modernité – reliées par l’empreinte permanente du surnaturel.
Le destin d’une femme
A travers le destin d’une femme, Célia, et les espoirs provoqués par un nouveau médicament, c’est l’univers de la santé publique qui est ici mis en cause et si laboratoires et hôpitaux sont américains, les situations sont universelles et les problèmes ceux de chacun.
Célia est séduisante et ambitieuse, elle lutte pour s’imposer dans les milieux fermés de la recherche médicale. Résolue à faire carrière dans un monde d’hommes, elle ne l’est cependant pas à tout prix. Son métier la passionne, mais elle n’hésite pas à dénoncer magouilles et corruptions au sein de la société pharmaceutique qui l’emploie. Elle veut tout, même le bonheur et, là aussi, elle va réussir.
Oublier Klara
Mourmansk, au Nord du cercle polaire. Sur son lit d’hôpital, Rubin se sait condamné. Seule une énigme le maintient en vie : alors qu’il n’était qu’un enfant, Klara, sa mère, chercheuse scientifique à l’époque de Staline, a été arrêtée sous ses yeux. Qu’est-elle devenue ? L’absence de Klara, la blessure ressentie enfant ont fait de lui un homme rude. Avec lui-même. Avec son fils Iouri. Le père devient patron de chalutier, mutique. Le fils aura les oiseaux pour compagnon et la fuite pour horizon. Iouri s’exile en Amérique, tournant la page d’une enfance meurtrie. Mais à l’appel de son père, Iouri, désormais adulte, répond présent : ne pas oublier Klara ! Lutter contre l’Histoire, lutter contre un silence. Quel est le secret de Klara ? Peut-on conjurer le passé ? Dans son enquête, Iouri découvrira une vérité essentielle qui unit leurs destins. Oublier Klara est une magnifique aventure humaine, traversé par une nature sauvage.
Le sang des éditeurs
Théophile, jeune homme désorienté, rêve de publier un premier roman. Mais il se heurte à d’innombrables embûches, perd les pédales et décide d'assassiner tous les éditeurs parisiens.
Après son dernier roman plus intime, Mehdi Omaïs nous offre ici une farce macabre et drolatique. A savourer sans modération !
Envoyé un peu spécial
À mi-chemin entre le « touriste professionnel » et le « reporter à temps partiel », Julien Blanc-Gras se revendique « envoyé un peu spécial ». Armé de son détachement salutaire et de son humour indéfectible, il nous embarque dans un nouveau tour du monde, avec la curiosité et la joie de la découverte pour seules boussoles. Tout peut arriver en voyage. Au fil de ses aventures dans une trentaine de pays, Julien Blanc-Gras raconte les galères et les instants de grâce, les no man’s land et les cités tentaculaires, les petits paradis et quelques enfers. On y rencontre un prêtre shintoïste et un roi fantasque, une star du cinéma nigérian et un écrivain américain, un gardien de phare et un héros national – parmi tant d’autres portraits qui peuplent ces récits et cette planète. Sur une montagne sacrée du Népal ou sur une île déserte d’Indonésie, au fin fond du Kansas ou dans l’agitation de Kinshasa, Julien Blanc-Gras rend compte de notre époque sans jamais asséner, démontrer ou pontifier. « En s’éloignant de chez soi, on se rapproche de l’universel. » À lire Julien Blanc-Gras, on comprend que, vu de près, le monde n’est pas aussi moche qu’il en a l’air.
Black Lies
Tout va bien dans votre petite famille. Jusqu’au jour où rentrant gaiement chez vous, vous trouvez l’Homme effondré sur le canapé – « Qu’est-ce qui ne va pas, mon bébé ? » Il vient d’être poliment viré de son très important poste de PDG au profit d’un crétin de quarante ans et quelque. La mode est au « jeunisme ». Certes, votre mari va recevoir beaucoup d’argent pour adoucir son départ, mais il adorait son travail et il est au bord du suicide. Pourtant le pire est peut-être pour vous. Toutes vos copines vous préviennent. Un homme qui n’a pas préparé sa deuxième vie est un véritable calvaire. Egaré, il traînasse dans les couloirs comme un môme qui s’embête. Vous dérange toutes les cinq minutes. Oublie son portable dans le frigo. Vous lui suggérez plein d’activités : jogging (il a mal au pied gauche), tennis (il souffre du coude droit), piscine (tous les enfants des écoles font pipi dans l’eau), écrire le livre de sa vie (quelle vie ? mais elle est finie, sa vie !), visiter le Louvre avec son petit-fils Attila (et des milliers de Japonais qui empêchent de voir la Joconde), etc. Rien ne lui plaît. Si ! le golf. Si vous aviez su… Après Chéri, tu m’écoutes ?, retrouvez les personnages désopilants et l’humour cent pour cent pur rire de Nicole de Buron.
Cockpit
Cockpit est le récit d’une longue et tortueuse mission. L’agent que nous connaissons sous le nom de Tarden a appartenu à une puissante agence de sécurité du gouvernement, à laquelle il se réfère désormais comme au « Service ». Depuis sa désertion, Tarden a réussi à effacer sa présence du monde des dossiers et des tables d’écoute et peut en toute liberté chercher l’aventure dans le paysage contemporain. Tarden est un homme aux déguisements contradictoires : millionnaire et mendiant, vengeur et sauveur, juge et escroc, pilote et passager d’un vol de nuit qui mène au lieu du suspense. Au cours de ses vagabondages, il intervient dans la vie des autres, les rendant par la force complices d’escapades aux actions dynamiques et à l’intrigue complexe. Dans l’arène de Tarden, ceux qui souffrent en silence sont discrètement récompensés et les injustes sont punis sans merci. Hommes et femmes miroitent dans le monde de l’immanence, et rien n’est prévisible, sauf le hasard. Ses pièges attirent amis et inconnus, de même son récit prend le lecteur au dépourvu. Avant que nous en ayons pris conscience, Tarden a fait tomber l’une après l’autre nos illusions de sécurité, nous laissant seuls dans une étendue lunaire jonchée des épaves de nos systèmes de protection essentiels : la famille, l’amitié, le sexe, l’amour, la carrière, les sports, l’art, la médecine, la propriété et la justice. Dépouillés de toutes nos défenses, nous percevons enfin la portée de son intervention : puisque nos fortifications ne sont que façades croulantes, notre force doit surgir du plus profond de nous. Voici un roman d’espionnage d’une puissance obsédante, dans lequel le lecteur devient son propre agent secret avec la difficile mission de se reconquérir.
Le Diable en tête
« Au bout de ce visage, il y avait le siècle », écrit le narrateur dès les premières lignes du roman.
Ce visage, c’est celui de Benjamin, le héros, dont la destinée tragique et sombre traverse le Paris de l’Occupation, le New York dles années cinquante, la Rome des poseurs de bombes, les barricades de Mai 68, le Beyrouth en flammes des Palestiniens ou la Jérusalem d’aujourd’hui.
Le lecteur retrouvera là, sans doute quelques-uns des thèmes familiers à BHL. Mais il y découvrira surtout une histoire au grand souffle, riche en péripéties et en rebondissements, conduite par un romancier qui sait se mettre, tour à tour et avec un égal bonheur, dans la peau d’un policier amer et désabusé; dans celle d’une jeune catholique découvrant avec effroi les vertiges du plaisir; ou encore dans celle de Benjamin, éternel maudit, que poursuivent de ville en ville, de chimère en chimère et souvent, aussi, de femme en femme, les ombres du passé jamais exorcisé.
Histoire d’amour? Roman familial? Récit d’espionnage? Thriller? Fresque du demi-siècle? Fable métaphysique? Education sentimentale? Chronique galante et sensuelle?
Le « Diable en tête » est tout cela à la fois. Il croise et conjugue les genres et de bout en bout, tient le lecteur en haleine.
Si Aldo Morosini – prince vénitien et expert international en joaillerie – pense qu’il en a fini avec les aventures, il se trompe.
Un soir, à Jérusalem où il poursuit sa lune de miel avec Lisa, sa jeune épouse, un adolescent lui apporte une lettre émanant d’un dignitaire de la synagogue qui lui demande quelques instants d’entretien discret.
Au cœur de l’antique cité de David, il rencontre Abner Goldberg. Celui-ci lui apprend que le Grand Prêtre du Temple portait dans un sachet de soie deux émeraudes semblables, les » sorts sacrés « . La légende dit que Jehovah en personne les aurait remises au prophète Elle, et qu’elles assurent le pouvoir de clairvoyance et de prophétie.
Goldberg désire que Morosini se lance à la recherche de ces pierres disparues depuis le sac de Jérusalem. Morosini refuse : il veut se consacrer uniquement à sa jeune femme et à ses propres affaires. Goldberg le laisse partir mais, quand Aldo arrive à l’hôtel, Lisa a disparu. Une lettre l’informe du chantage : qu’il retrouve les émeraudes sans prévenir aucune autorité, la vie de Lisa est en jeu.
Il ne reste plus à Morosini bouleversé qu’à accepter la mission. La quête qu’il entreprend l’oblige à remonter l’histoire des émeraudes, qui ont partout laissé des traces sanglantes. De Jérusalem à Istanbul en passant par Dijon, Prague, la Roumanie, l’Allemagne et le Tessin, Morosini va de découverte en surprise, au milieu des dangers et des pièges les plus imprévisibles.
Le miel du crabe
Quand Tea, une adolescente serbe, voit sa famille brisée lors d’un bombardement, c’est tout son monde qui s’effondre. Commence un voyage qui la mènera à l’étranger tout en la ramenant chez elle. En Casamance, Basile a dix ans le jour où le Sénégal devient indépendant. De mai 68 sur le campus de Dakar à la vie de salarié, le jeune homme se construit en même temps que son pays et paie, avec lui, le prix de la liberté. Aristide, le tirailleur sénégalais est arraché à sa terre natale et trouve la paix dans le combat mené sur le front français aux côtés d’un joyeux volontaire. En Croatie, Lazar survit à un massacre oustachi et rejoint les Partisans dans leur lutte pour l’unité des peuples. De victime, il devient acteur d’un conflit qui le dépasse. Des parcours de vie croisés qui laissent apparaître un tableau familial hors du commun. Une histoire empreinte de réel, celle de l’Afrique noire qui embrasse les Balkans. Une vérité qui naît de l’exil, souvent dans la douleur, toujours dans la rencontre. La rencontre de l’inconnu qui conditionne la rencontre de soi.
L’anomalie
« Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension. » En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris – New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte. Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai. Roman virtuose où la logique rencontre le magique, ‘L’Anomalie’ explore cette part de nous-même qui nous échappe.
Le complot des franciscains
A la veille de sa mort, le frère Léon, compagnon de François d’Assise, soulage sa conscience en exhortant son disciple, l’ermite Conrad, à éclaircir les mystères qui ont suivi la disparition de saint François en 1226. S’ensuit une vie entière de recherches, des intrigues de toute sorte et des pièges tendus par des religieux sans scrupules. Même le pape et l’Eglise s’en mêlent.
L’Empire du Dragon
Comment un magnat du textile français, dans la plus pure tradition du Nord, peut-il lutter contre la formidable puissance industrielle de la Chine?
Plutôt que de subir l’invasion des fibres asiatiques, Guy Deroubaix est parvenu à monter un véritable empire familial français au cœur de l’empire du Dragon.
Les triades de Shanghai et l’underground de Pékin vont alors mener une guerre sans merci à la famille Deroubaix, le kidnapping, l’espionnage et la mort seront les moteurs essentiels de cette conquête du marché des fibres scientifiques. Comme dans un théâtre d’ombres, les acteurs avancent masqués dans ce roman haletant qui plonge le lecteur au cœur des batailles économiques d’aujourd’hui.
Traquenard en Arizona
JIM CORT et BERT HARDY s’étaient connus à WEST POINT. Leur amitié avait été brève. Jim, ne pouvant se plier à la discipline militaire, avait préféré la vie sauvage et solitaire des plaines de l’Arizona et la compagnie des Apaches. Sa réputation de contrebandier et de « roi de la gachette » finit par lui attirer les pires ennuis. Bert, plus ambitieux que jamais, et qui brigue à présent les galons de colonel, a juré d’avoir la peau de son ancien ami. Il lui tend alors un piège machiavélique…
Le lion
King lécha le visage de Patricia et me tendit son mufle que je grattai entre les yeux. Le plus étroit, le plus effilé me sembla, plus que jamais, cligner amicalement. Puis le lion s’étendit sur un flanc et souleva une de ses pattes de devant afin que la petite fille prît contre lui sa place accoutumée.
—
L’histoire d’un amour fou entre une petite fille et un lion.
32 pages en plus pour mieux lire les autres + un supplément ludique et enrichissant + des jeux + des exercices etc…..
Hôtel Riviera
Bienvenue à l’hôtel Riviera ! Au menu de votre séjour : un peu de romance, un zeste d’aventure, et le soleil de Saint-Tropez. Américaine frisant la quarantaine, Lola Laforêt est l’heureuse tenancière d’un charmant hôtel sur la Côte d’Azur. Elle n’aime rien tant qu’offrir à ses clients les plus fidèles un petit verre de rosé, le soir, sur la terrasse. Mais, sous ses airs enjoués, Lola cache une blessure… Quelques années plus tôt, elle est tombée éperdument amoureuse d’un beau Français. Hélas ! le bonheur a été de courte durée : un beau jour, Patrick s’est tout simplement volatilisé. Longtemps suspectée d’un crime passionnel, Lola a mis du temps à se relever de cette douloureuse épreuve. Aujourd’hui, son cœur est prêt à battre pour un autre homme. Et, quand le très séduisant Jack mouille l’ancre dans la petite baie de l’hôtel Riviera, Lola veut croire que l’amour est encore possible. Mais les nuages s’amoncellent déjà dans le ciel provençal…
Les mangeurs de rêves
Ce livre renferme l’aventure la plus intrigante qu’on puisse imaginer. Tout commence par une lettre de rupture, dans laquelle le sieur Roger Bascombe annonce sans ménagement à Miss Temple qu’il annule leurs fiançailles. L’imbécile ! Ignore-t-il qu’une femme bafouée est l’adversaire la plus dangereuse qui soit ? Car l’impétueuse Miss Temple entreprend de le suivre. Elle pousse les portes du manoir d’Hartschmort et découvre un monde aussi irrésistible que terrifiant où se croisent libertins costumés, princes dépravés, comtesses meurtrières et savants fous… Or ces sinistres individus ont pour seul point commun un projet monstrueux : emprisonner les souvenirs et contrôler les consciences.
Le conglomérat
Grégoire Bataille est un jeune loup de la finance issu d’une modeste famille de paysans creusois. Formé à l’école britannique des fusions et des OPA, il décide de revenir en France pour se rapprocher de ses racines et tenter de percer l’univers de l’industrie agroalimentaire. Analyste de haut vol, il va croiser le chemin de don Melchiorre, un vieux magnat italien du lait dont l’ambition est de construire un groupe mondial capable de nourrir la planète entière. Séduit par cette mégalomanie et surtout par Ornella, la fille du patriarche lombard, Grégoire Bataille va servir à corps perdu les ambitions de don Melchiorre. Mais dans cet univers où la finance et l’industrie inventent leurs propres règles pour échapper au contrôle des États, le jeune homme sera témoin et acteur involontaire d’une vaste machination dévoilant les abîmes de l’âme humaine quand celle-ci se mesure à la volonté de puissance. Un véritable thriller économique sur fond de biotechnologie et de valeurs séculaires propres à la paysannerie européenne. Un grand roman d’aventure où l’amour se brise à l’épreuve du pouvoir occulte de l’argent.
Le cousin Pons
Ouvrage pessimiste, roman noir où se déploient dans leur hideur un univers cruel, une jungle hantée par des fauves inquiétants, Le Cousin Pons nous présente un monde criminel, en haut comme en bas, du salon à la loge de concierge. Au beau milieu de ce siècle sordide, Sylvain Pons prend rang parmi les martyrs ignorés dont La Comédie Humaine met en scène les souffrances inconnues, les tortures infligées » aux âmes douces par les âmes dures, supplices auxquels succombent tant d’innocentes créatures « . Mais notre esthète angélique est également un gourmand ridicule et la farce s’immisce souvent dans le drame du pitoyable monomane ; la dernière grande œuvre de Balzac est aussi un roman-feuilleton grotesque. Quatrième de couverture: «Deux mots suffisent à tout éclaircir, madame, dit Fraisier. Monsieur le président est le seul et unique héritier au troisième degré de monsieur Pons. Monsieur Pons est très malade, il va tester, s’il ne l’a déjà fait, en faveur d’un Allemand, son ami, nommé Schmucke, et l’importance de sa succession sera de plus de sept cent mille francs…- Si cela est, se dit à elle-même la présidente foudroyée par la possibilité de ce chiffre, j’ai fait une grande faute en me brouillant avec lui, en l’accablant.- Non, madame, car sans cette rupture il serait gai comme un pinson, et vivrait plus longtemps que vous, que monsieur le président et que moi… La Providence a ses voies, ne les sondons pas ! »
Couleurs de l’incendie
Février 1927. Après le décès de Marcel Péricourt, sa fille, Madeleine, doit prendre la tête de l’empire financier dont elle est l’héritière. Mais elle a un fils, Paul, qui d’un geste inattendu et tragique va la placer sur le chemin de la ruine et du déclassement.
Face à l’adversité des hommes, à la corruption de son milieu et à l’ambition de son entourage, Madeleine devra mettre tout en œuvre pour survivre et reconstruire sa vie. Tâche d’autant plus difficile dans une France qui observe, impuissante, les premières couleurs de l’incendie qui va ravager l’Europe.
Café noisette
Jordan Greene, jeune informaticien noir américain, quitte son sud natal pour rejoindre un géant du secteur à New York. Vite perdu dans les méandres de Manhattan, il commence à s’éloigner de sa petite amie J’nette. Surgit dans sa vie Kimberly, une jeune artiste peintre aux flamboyants cheveux rouges. Pour Jordan, qui affiche dans son bureau un portrait de Malcom X, être amoureux de Kimberly n’est pas simple : elle est blanche. En plus elle traîne un passé qu’elle voudrait garder secret… La famille et les amis de Jordan crient au scandale pendant qu’un long malentendu s’installe. Eric Jerome Dickey dépeint formidablement l’empire de la hâblerie et de la tchatche dans l’Amérique d’aujourd’hui. Café Noisette est un roman savoureux et provoquant ; l’histoire d’un amour difficile sur fond de construction d’une société multiculturelle. » Une comédie subtile et drôle sur la complexité américaine » USA Today.
Les chemins de toile
Gabriel Lacaze est le digne fils de son père. Avec lui, se livre au commerce de la toile à travers la France entière. Et comme lui, il déteste les Ménétrol, une autre famille de toiliers. Plus personne aujourd’hui ne connaît vraiment l’origine de cette haine qui a traversé les générations. Mais rien ne semble pouvoir la remettre en cause. Alors, quand Flora, la sœur de Gabriel, tombe secrètement sous le charme de Bastien Ménétrol, autant dire qu’elle s’apprête à bouleverser totalement les vieux principes familiaux… Cette relation interdite viendra-t-elle à bout des anciennes rancœurs ?
Le chant de Dolorès
Le corps blessé, l’âme meurtrie, Dolorès n’a que faire de la vie. Elle n’a que onze ans quand ses parents divorcent, et treize quand elle se fait violer. Les seuls réconforts de cette adolescente fragile sont les séries télévisées et la nourriture. Gâteaux, confiseries… Elle s’empiffre et devient « la grosse » du quartier, la risée des jeunes de son âge. Qu’importe… Dolorès décide de ne plus sortir. Elle reste cloîtrée dans sa chambre, dans la maison de sa grand-mère, chez qui elle vit désormais. Un abîme de solitude et de souffrance lui vrille le cœur. Un abîme dans lequel elle va s’enfoncer, un peu plus chaque jour…
Juliette ou la Paresseuse
La veuve d’un milliardaire américain achète la plume d’une autre pour vomir son passé, pour livrer, à rebours, le secret de ses fuites successives.
Sa biographe ressasse une année de fêtes monotones, et mêle à son récit la chronique de ses vingt ans.
Pas de sang, juste de l’encre. Pas de cadavre, mais une confidence à quatre mains, entièrement réversible. Un polar dont l’enjeu n’est pas l’identité de la criminelle, mais de la narratrice. Les preuves sont là. Il n’y a qu’à lire, avec précaution (lignes à haute tension – courant alternatif).
Stupeur et tremblements
Embauchée par la compagnie Yumimoto, Amélie espère bien pouvoir faire ses preuves dans ce pays qui la fascine tant depuis qu’elle y a séjourné enfant. C’est sans compter sur la subtilité des règles tacites qui régissent la société japonaise, sans compter encore sur le mépris de Mlle Mori, sa supérieure. Les humiliations et les vexations se succèdent et la soumission s’installe : Amélie pensait être traductrice, elle finira dame pipi de l’entreprise…