Le lit d’Aliénor I
Le premier best-seller de Mireille Calmel Une aventure où magie et sensualité se mêlent merveilleusement à la grande Histoire Poitiers, 1137. Aliénor d’Aquitaine, yeux verts, cheveux d’or, tempérament de feu, trépigne d’impatience. Aujourd’hui, Loanna de Grimwald, 15 ans, fait son entrée à la cour.
Les chènes verts
Hélène est née. Ça ne fait pas de joyeux ram-dam à la maison. Elles glissent, les femmes, comme des fauves. Et la grand-mère, Mamie, de son pas atterré. Elle se tapit, remâche le mot en silence. « Ça n’est pas possible », elle dit. Ma mère est rentrée de l’hôpital. Mais la petite sœur n’est pas encore là. Uri midi, ma mère ramène Hélène. Aussitôt, on se presse en curieuses. C’est un chétif paquet blanc, mauve de tête.
L’enfance perdue
Ils se sont aimés au premier regard, dans le chaos de la Grande Guerre, lui, le jeune officier anglais, et elle, Yolande, la fille du Nord. En ces temps intraitables sur les convenances sociales, l’enfant qui va naître clandestinement est enlevé à sa mère et déposé sur les marches de l’hospice. Le petit Thomas grandit clans une ferme, chez des gens trop pauvres pour le garder, l’adolescence venue.
La bougainvillée – Le jardin du roi
Orpheline, Jeanne a été recueillie par l’aimable baronne Marie-Françoise de Bouhey et vit dans son château du pays de Dombes. Nous sommes le 1er avril 1762. Jeanne a quinze ans. Elle est très belle: une splendide chevelure blond de seigle, de larges yeux mordorés… et elle est follement amoureuse du docteur Philibert Aubriot, un homme marié de trente-cinq ans, fou de botanique, avec lequel elle a couru dans la campagne et qui lui a donné sa passion des plantes.
Le rivage des femmes
Les lendemains ne chantent pas pour les hommes sur Le Rivage des femmes… Oh, elles ont des excuses ces féministes du futur qui ont mis les hommes à l’index : des millénaires d’oppression, les agressions sexistes, les viols et pour finir la catastrophe nucléaire ! Les femmes, en revanche, s’épanouissent entre elles. Car les Mères des cités, gardiennes des traditions, ont créé une société où les hommes obéissent aux interdits religieux soigneusement édictés pour les maintenir dans l’ignorance et la servitude.
La baronne rentre à cinq heures
Nadine de Rothschild : un rayon de soleil dans la grisaille de la vie quotidienne. Un destin exemplaire. Née dans les corons du Nord, elle habite aujourd’hui un hôtel particulier que Napoléon III fit construire pour une femme qu’il aima, rue de l’Elysée. De ses fenêtres, Nadine aperçoit son voisin d’en face, président de la République.
Un jour, le 1er janvier 1900, sept enfants naquirent en sept lieux différents du monde. Le premier, Allen Roy Gallway, né à San Francisco, était le fils d’une blanchisseuse et d’un marin. Le deuxième, Lee Lou Ching, vit le jour à Wushi, un village proche de Shanghai. Son père était paysan, sa mère mourut en lui donnant naissance. Le troisième était une fille, Anna Spasskaia. Ses parents habitaient Saint-Pétersbourg où son père était ingénieur dans une grande usine métallurgique. Le quatrième, Karl Merminger, naquit dans une famille bourgeoise de Munich. Le cinquième et le sixième étaient des filles. L’une, Sarah Berelovitz, avait pour père un marchand juif de Varsovie. L’autre, Dolorès, fille d’une Indienne de La Paz morte au moment de l’accouchement, fut adoptée par un père jésuite. Le septième, Serge Cordelier, était le fils d’un professeur de physique au Collège de France. Sept enfants, le même jour, le premier jour du siècle. Que vont-ils devenir au fil des ans ?
De l’autre coté de la haie
Une grande maison solitaire, des hauts murs, une belle campagne, et Louis, un notaire veuf, distingué, autoritaire, qui cherche une épouse. Ce sera Elodie. Elle vient d’une Ile merveilleuse, ses enfants sont élevés. Elle a mis une annonce pour trouver un mari. C’est un mariage d’amour. Mais il y’a la servante, fidèle à Madame, et qui n’accepte pas cette étrangère. Au cours des années, tout se dégrade lentement dans ce huis-clos étouffant. Joie de vivre et générosité, amour, patience, Elodie est tout cela, mais elle sera impuissante contre la mesquinerie qui l’entoure. Un très joli chant d’amour, un hymne à la vie, beau et triste à la fois.
Tristan et Iseut
Tristan a vaincu le géant Morholt en combat singulier ! Son oncle Marc, roi de Cornouailles, lui confie une mission : aller chercher en Irlande la princesse Iseut qu’il a décidé d’épouser. Mais dans le bateau qui les ramène en Cornouailles, les deux jeunes gens boivent par mégarde un breuvage magique : ils tombent éperdument amoureux l’un de l’autre. Pour vivre cette passion interdite, Tristant et Iseut vont devoir trahir leur suzerain, affronter les compots des barons, et prendre la fuite. Mais pourront-ils échapper à leur destin ?
Le goût du bonheur (3) – Florent
Les turbulences de la vie et de la guerre ont brisé Adélaïde. Seule la très ancienne affection de Florent éclaire encore ses journées.
Et ce dernier, devenu un couturier célèbre dans le monde entier, n’a pas été épargné lui non plus : il entretient désormais une liaison agitée avec un acteur. Il va devoir une fois encore soutenir sa vieille amie car Adélaïde finit par tout apprendre sur son défunt mari… mais est-il encore temps de souffrir ?
Les destins se heurtent et se conjuguent à la recherche d’une sérénité incertaine et toujours dérobée. Même si le sort en est jeté, les personnages ballottés par la vie conservent, envers et contre tout, le goût du bonheur…
Le septième papyrus
Quatre mille ans ont passé. Le destin tragique de Tanus et de Lostris semble voué à l’oubli quand un couple d’égyptologues découvre un étrange papyrus couvert de cryptogrammes. Du fond des âges, Taita parle aux vivants. Le scribe de la grande reine Lostris a couché sur le précieux document le récit de la chute de l’Egypte et l’endroit précis où se trouve, avec toutes ses richesses, le sarcophage du Pharaon Mamose.
Demoiselles des lumières
Nous sommes sous Louis XV, à l’aube des Lumières. Un salon de verdure éphémère accueille des curistes à Bourbon-L’Archambault. Dans la foule bigarrée qui profite du printemps, on distingue deux jeunes filles, des amies inséparables.
Le mariage de Loti
Je puis très bien me figurer qu’un peintre d’aujourd’hui fasse quelque chose comme ce que l’on trouve dépeint dans le livre de Pierre Loti, Le mariage de Loti, où la nature d’Otahiti est décrite. Un livre que je puis te recommander fortement.Vincent Van GoghLettre à sa sœur (1888).
Août quatorze
Ce jour-là, on n’entendit plus tirer de nulle part. Militaire, civil, femme ou vieillard, on ne voyait toujours aucun Allemand. Notre armée elle-même semblait disparue, il ne restait personne, à part leur division qu’on faisait avancer sur cette route déserte, perdue. Il n’y avait même pas de Cosaques pour aller voir devant ce qui se passait. Et le dernier des soldats, le plus inculte, comprenait que le Commandement ne savait plus où il en était.
Ce jour était le quatorzième de leur marche ininterrompue, le 12 août.
La maîtresse de mon mari
Des années durant, Béatrice a vécu dans l’ombre d’un mari ambitieux et brillant, fondateur d’un hebdomadaire à succès, L’Essentiel. Qu’elle soit demeurée l’élue de son cœur n’a pas empêché Christian de devenir l’amant d’Andrea, avec qui il partageait l’aventure exaltante du journalisme. Lorsque bien des années plus tard elle apprend la mort d’Andrea, Béatrice se souvient. Christian les a quittées toutes deux, attiré par d’autres amours, et, entre la femme trompée et sa rivale, s’est installée une amitié faite d’admiration.
Les liaisons dangeureures
Cette œuvre littéraire majeure du XVIIIe siècle, qui narre le duo pervers de deux nobles manipulateurs, roués et libertins du siècle des Lumières, est considérée comme un chef-d’œuvre de la littérature française, bien qu’il soit tombé dans un quasi-oubli durant la majeure partie du XIXe siècle, avant d’être redécouvert au début du XXe.
Un gout de brouillard et de cendres
Peter Robinson Un goût de brouillard et de cendres « Le brouillard avait un goût de cendres, se dit l’inspecteur-chef Alan Banks en remontant le col de son imperméable. Il n’avait pas encore vu le cadavre mais déjà il ressentait intérieurement ce pincement familier qui accompagnait toujours la découverte d’un meurtre.
Maudit manège
Tu vois à quoi ça ressemble un entonnoir ? il a demandé. Comme je ne répondais pas, il en a dessiné un dans les airs. – Quand tu auras mon âge, tu seras arrivé dans le petit bout, il a enchaîné. Tu verras qu’il ne te reste plus beaucoup de possibilités.
La sultane d’Alméria
S’inspirant d’un court récit du XIIIème siècle – La fille du comte de Ponthieu -, la Sultane d’Alméria s’est développé, sous la plume de Régine Colliot, en une vaste fresque romanesque située tant en Europe qu’en Orient, dans les villes et les campagnes, à Jérusalem et en Espagne musulmane, ainsi qu’à Rome et à Saint-Jacques de Compostelle.
Le rendez-vous
Dans un café, place de la Sorbonne, Louise attend Alice, sa jolie maman. Fantasque, désarmante, excessive, Alice se soucie du temps comme d’une guigne et n’a pas donné signe de vie à sa fille depuis plus d’un an.
Louise songe à ce qu’elle lui dira ou ne lui dira pas: ses dix-huit ans, « l’amant délicieux qui flatte son orgueil », son cœur à prendre… Au fil de l’attente, les souvenirs affluent; heureux, douloureux. Des souvenirs attendris se mêlent à la colère, à la rancœur.
Jamais la belle absente n’aura été autant présente… Alors, qu’importe maintenant, qu’elle vienne! La petite fille trop souvent oubliée a laissé place à une jeune femme décidée, qui ne souffrira plus pour un rendez-vous manqué.
Accabadora
Dans l’obscurité d’un village sarde, une silhouette drapée d’un châle longe les murs, pénètre dans une maison un instant, puis disparaît tel un mirage. À l’aube, un vieillard agonisant aura enfin trouvé la paix. La dernière mère, L’accabadora a oeuvré. Maria, fille adoptive de Tzia, heurtée par cette coutume, l’interroge. Il est des mystères auxquels seule une mère peut vous initier …
« Quand elle eut refermé la porte, la fillette retint son souffle tel un secret et entendit les pas hâtifs qui s’éloignaient. »
« Comme un souffle, la plume de Michela Murgia balaie une Sardaigne aujourd’hui presque disparue. »
Le Nouvel Observateur
Les nuits de l’Ange bleu
Berlin à la fin des années vingt. On sort à peine du fossé bourbeux de l’inflation galopante et on ne peut encore imaginer que le gouffre du cauchemar à bottes est pour bientôt. Le présent est là, bien en chair, qui appelle toutes sortes de caresses. On se prend à rêver. La période semble propice à l’art … A l’art d’aimer aussi. On veut vivre. Il s’agit de jouir. Et c’est bien « Ouf, jouissons! » que se dit chaque jour Manfred von Klausenberg en jetant dans la recherche du plaisir le meilleur de lui-même.
La péniche ¨Saint-Nicolas¨
L’histoire d’une famille en Lorraine de 1813 à la fin du second Empire et les débuts de la batellerie française. Manuelo Garcia, Espagnol prisonnier en France sous Napoléon Ier, choisit, à sa libération, de rester en Lorraine, dans un petit village des Vosges, et d’y faire souche.
Les maitres des brisants
Lordqu’ils embarquent comme stagiaires sur le vaisseau de Chien-de-la-lune, Xâvier le stratège, Mörgane la devineresse et leur ami Mârk ignorent la périlleuse mission de leur capitaine : contrer la flotte du Khan qui menace de prendre le contrôle de la galaxie. Sur eux repose désormais la survie de l’empire.
La vallée perdue
La Vallée perdue c’est l’histoire de Ronnie, le narrateur. Il passe ses étés dans cette vallée, dans la ferme de Clarendon avec son grand-père et sa tante Suzanne. J’ai beaucoup aimé le lien entre le grand-père et Ronnie, un lien de confiance, de complicité, de respect et de bienveillance. Chacun veille et apprend de l’autre.
Les braves gens du Tennessee
Grover Danford sait diriger le haras de poneys de Shetland qu’il a hérité de son père près de la ville de Wolverton, oui, mais il n’y connaît rien question femmes, sans quoi aurait-il épousé cette Madge qui lui tient la dragée haute les rares jours où elle daigne rester au domaine ? Ainsi grommelle Jimmy Whittaker son contremaître, qui voudrait voir Grover avec un fils capable de reprendre après lui le haras. Le temps presse, puisqu’il n’a pas loin de quarante ans.
Depuis deux ans qu’ils sont mariés, Grover espère toujours fléchir Madge et avoir d’elle l’héritier désiré. Un fils, il en a déjà un – Jeff Bazemore – mais les lois du Tennessee l’empêchent de le reconnaître, après lui avoir interdit d’épouser sa mère parce qu’elle était métisse. Il veille tout de même sur lui, de loin. –
Jeff a dix-sept ans quand Effie Devlin a un enfant dont la rumeur-publique dit qu’il est le portrait de Jeff. Son mari, Mike, voit rouge et rassemble cette survivance du Ku Klux Klan les « cavaliers de la nuit ».
A eux six, ils sont prêts à tout et Grover, prévenu par Jimmy, décide d’emmener J Fuite angoissante où se mesure la graduelle évolution mentalités et qui fait des braves gens du Tennessee roman poignant en même temps qu’un document moderne, sur ce Sud des Etats-Unis qu’Erskine Caldwell a commencer de décrire dans Le Petit Arpent du Bon Dieu (1933) et La Route au tabac (1932).
Je reviendrai vers vous
Par un épouvantable soir d’hiver, Bénédicte, éditrice parisienne, traverse les solitudes du Morvan. À la suite d’une banale panne d’essence, elle est accueillie par une paysanne et son fils dans une ferme isolée et contrainte d’y passer la nuit. Halte aussi inattendue que la présence d’une gamine de 15 ans à la peau cuivrée dont elle ignore l’origine, africaine sans doute.
L’Archange de Vienne
Voici la suite de La Sans Pareille, second- volet de la trilogie Leçons de ténèbres. A trente ans, Christine Valbray connaît une fulgurante réussite dans les sphères du pouvoir. Elle a lié son sort à celui du ministre Charles de Fervacques, « (archange de la politique ».
L’hôpital de la haine
Central City, son hôpital universitaire, sa faculté, ses hôtels s’apprêtaient à recevoir plus de deux mille médecins pour le Congrès médical le plus important des Etats-Unis. Déjà des sommités de la médecine affluaient, parmi lesquelles la ravissante embryologiste Marian Crowder dont le livre, Esclavage Sexuel, venait de faire scandale en lui rapportant une fortune, et le cardiologue le plus célèbre du monde, H. Edward Danton, accompagné de sa belle épouse ambitieuse.
Catherine (7) – La Dame de Montsalvy
Catherine s’est vue obligée d’abandonner Arnaud de Montsalvy, gravement blessé, au camp du Damoiseau de Commercy. Son désir ardent, son souhait le plus profond est bien de retourner chez elle, là où se trouvent ses chers enfants dont elle est sans nouvelles, et peut-être Arnaud de Montsalvy qui ne peut pas ne pas lui avoir gardé son amour.
Mais la route va être longue avant de pouvoir reprendre le seul chemin cher à son cœur : celui des montagnes d’Auvergne, celui de Montsalvy… Mais que va-t-elle y trouver ?
Le 22 juin 1627, François de Montmorency-Bouteville est décapité en place de Grève. Il laisse une jeune épouse de vingt ans, deux petites filles et un garçon à naître. La famille aurait sombré dans la misère si la princesse de Condé, leur cousine, ne se chargeait d’élever les enfants selon leur rang. Isabelle, la cadette, va s’éprendre très tôt du duc d’Enghien, le futur Grand Condé. Il a six ans de plus qu’elle et la dédaigne jusqu’à ce qu’elle se révèle une ravissante jeune femme, ce qui n’est pas pour plaire à Anne-Geneviève qu’un sentiment trouble unit à son frère. La guerre entre les deux femmes couve. La Fronde également..
Calendar girl – Juin
Voilà Mia dans la capitale, Washington, DC. Elle n’est pas très enthousiaste sur sa mission du mois, puisqu’elle doit jouer la compagne de Warren Shipley, un homme âgé et surtout l’un des plus riches businessmans des États-Unis. Elle doit lui servir de faire valoir vis-à-vis des hommes d’affaires qu’il veut approcher. Mais elle va vite changer d’avis lorsqu’elle est accueillie par Aaron Shipley le fils de Warren. Aaron est non seulement irrésistible physiquement, raffiné, mais aussi le plus jeune sénateur des États-Unis. À trente-cinq ans, il est riche comme Crésus, célibataire, et fait les couvertures de tous les magazines du pays.
Mia, qui pensait que la politique était un monde ennuyeux, va s’apercevoir qu’il n’y a rien de plus excitant que la démocratie. Et, pourtant, il va lui falloir beaucoup de force et de courage pour surmonter de bien tristes événements. Heureusement, elle sera bien entourée…
La deuxième vie de Fatima
De la casbah à la vie de château, Fatima prend le bonheur comme il vient. Djerba est déjà loin pour celle qui a refait sa vie à Paris avec le délicieux Hippolyte, quand resurgit le mari qui l’avait répudiée. Cette incurable optimiste saura-t-elle se libérer du joug de ce tyran qui conteste désormais leur divorce ? Un arc-en-ciel après la grisaille ? D’imprévus en surprises, avec son grand cœur pour seule arme, Fatima embellit le monde et égaye la vie, pour que tous la voient en rose. Un irrésistible fable sociale qui nous entraîne dans un tourbillon de joie et d’amour.
Le chercheur d’or
Le narrateur Alexis a huit ans quand il assiste avec sa sœur Laure à la faillite de son père et à la folle édification d’un rêve : retrouver l’or du Corsaire, caché à Rodrigues. Adolescent, il quitte l’île Maurice à bord du schooner Zeta et part à la recherche du trésor. Quête chimérique, désespérée. Seul l’amour silencieux de la jeune «manaf» Ouma arrache Alexis à la solitude. Puis c’est la guerre, qu’il passe en France (dans l’armée anglaise). De retour en 1922 à l’île Maurice, il rejoint Laure et assiste à la mort de Mam. Il se replie à Mananava. Mais Ouma lui échappe, disparaît. Alexis aura mis trente ans à comprendre qu’il n’y a de trésor qu’au fond de soi, dans l’amour et l’amour de la vie, dans la beauté du monde.
TOME 1
Après avoir affronter la mort et risqué de perdre l’amour de Jason Beaufort, Marianne parvient à Constantinople la fabuleuse.
Malgré ses tourments, malgré les milles et un complots qui se nouent sur les rives du Bosphore, elle reste fidèle à la mission officieuse que lui a confiée Napoléon auprès de la sultane Haseki. Au moment où Marianne reconquiert l’amour de Jason, elle doit quitter Constantinople qui a cessé d’être un lieu sûr pour elle.
A Odessa, elle retrouve son parrain devenu Général des Jésuites et surprend le secret de la trahison que prépare Bernadotte. Il lui faut d’urgence alerter l’Empereur, engagé déjà dans la guerre contre la Russie.
La kibitka – où ont pris place Marianne et Jason – s’enfonce dans l’immensité russe…
TOME 2
Les dés sont jetés. A la tête de la Grande Armée, inconscient des trahisons et des dangers qui menacent ses arrières, l’Empereur se dirige vers Moscou. Malgré ses rêves de bonheur et de liberté dans les bras de Jason retrouvé, Marianne ne peut rester inactive. Napoléon doit savoir ce qui l’attend à son retour.
Pour Marianne aussi, la campagne de Russie a commencé. Devant elle, l’immensité de la steppe et des milliers de kilomètres à parcourir. Au bout de sa route, le Kremlin en flammes et son conquérant désemparé. Pour celle qui lui a toujours tout donné, est-ce le début d’une nouvelle vie ?
Maigret et les témoins récalcitrants
Léonard Lachaume, directeur d’une biscuiterie vétuste, est retrouvé assassiné sur son lit, d’une balle en plein cœur. La famille veut faire croire à une affaire de cambriolage qui aurait mal tourné, mais Maigret n’y croit guère. Son enquête s’avère difficile devant le mutisme de l’entourage de Léonard, d’autant plus que le commissaire se retrouve flanqué d’un jeune juge d’instruction plutôt encombrant.
Chantier
Son usine et le pavillon de banlieue qui a vu naître et mourir son fils vont être rayés de la carte. Bart Dawes fera face, seul, à l’irrésistible marche du « progrès » qui menace d’engloutir sa vie. Au fil de quelques semaines de révolte, ce brave cadre moyen perdra sa femme, se liera avec un mafioso philosophe et gourmet, avec une routarde désaxée et un prêtre des rues anarchiste.
Souvenirs de holmes
Que fait Sherlock Holmes toute la journée ? Il déduit et, de déduction en déduction, il découvre pourquoi les moutons boitent quand les chevaux de course disparaissent, pourquoi un homme en fait chanter un autre et pourquoi le colonel Barclay s’effondre, mort, dans son salon. C’est très clair, « élémentaire, mon cher Watson ! » Et les onze énigmes deviennent de simples histoires d’amour, de vengeance et de mort.
Les thanatonautes
L’homme a tout exploré : le monde de l’espace, le monde sousmarin, le monde souterrain; pourtant il lui manque la connaissance d’un monde : le continent des morts. Voilà la prochaine frontière. Michael Pinson et son ami Raoul Razorbak, deux jeunes chercheurs sans complexes, veulent relever ce défi et, utilisant les techniques de médecine mais aussi d’astronautique les plus modernes, partent à la découverte du paradis.
L’arrangement
Il a fallu que sa voiture se déporte et se jette contre un camion pour qu’Eddy Anderson, meurtri mais indemne, prenne le temps de s’interroger sur sa façon de vivre. Cet accident n’a-t-il pas été, au fond, une tentative de suicide ? Mais quelles raisons aurait-il de se tuer?
L’ange de Bagdad
Bagdad, printemps 2003. Chargé d’organiser les exportations clandestines du pétrole brut pendant l’embargo, Michel Samara, ingénieur et homme d’affaires irakien, attend l’arrivée des Américains. Très vite, il voit s’éloigner les espoirs de démocratie qu’il fondait pour son peuple. Ulcéré par les méthodes d’occupation brutales et le pillage des richesses de son pays, Michel décide de s’opposer à la toute-puissance de George W. Bush.
Et tombent les filles
Alex Cross, policier spécialiste de la psychologie des serial killers, doit affronter deux tueurs qui semblent rivaliser dans l’horreur. Bien que divergeant sur les méthodes, ils choisissent les mêmes victimes :l’un les massacre sauvagement, l’autre kidnappe, pour se constituer un harem, des femmes jeunes et belles, soumises à ses caprices et jouets de ses obsessions. La perfection de leurs scénarios et la complicité qui les unit fait d’eux une redoutable machine criminelle que rien ne semble pouvoir arrêter.
Sous l’étoile d’automne
A l’image de Knut Hamsun, le narrateur de Sous l’étoile d’automne est un « vagabond par essence », un héros romantique et solitaire, troublé par le doux passage d’une jeune fille et toujours en quête de sérénité.
De ferme en ferme, nomade mélancolique, il sait tous des saisons, de l’arrivée lente de l’hiver, du vol bruissant des oies sauvages, du crissement de la gelée blanche sous les pas.
Un chagrin d’amour et d’ailleurs
Jeannette est perdue. Perdue dans la foule en liesse. Dans quelques heures son mari, Gilbert Lefèvre, député-maire d’une ville du Nord, doit inaugurer la maison de la culture. Pour être à sés côtés, Jeannette s’est enfuie de la clinique où elle suivait une cure de désintoxication. Jeannette la scandaleuse : elle boit et provoque des incidents nuisibles à la carrière de son mari. On dit, pour l’excuser, qu’elle souffre de ne pas avoir eu d’enfant, mais son malheur, en vérité, c’est d’aimer, d’aimer Gilbert, depuis près de vingt ans, et de ne plus le reconnaître tout à fait. Jeannette la pitoyable. Gilbert a changé sans doute. Il est absorbé par ses fonctions. Eloigné des rêves de sa jeunesse, soucieux d’efficacité, il s’est attaché à Marie-Christine qui l’assiste dans sa tâche. Et pourtant c’est Jeannette qu’il aime.
La dernière tentation du Christ
» Je suis sûr que tout homme libre qui lira ce livre plein d’amour aimera plus que jamais, mieux que jamais, le Christ. » N. Kazantzaki. Voici le livre dont a été tiré le film de Martin Scorsese qui provoqua tant de remous : échos lointains et puissants du scandale qui frappa le roman à sa sortie, dans les années 1950, et qui valut à Nikos Kazantzaki une menace d’excommunication.