La mouflette
L’histoire est celle d’un ménage à trois : Lui, Elle et l’Autre. L’Autre, c’est la mouflette, un bébé de six mois. Pas le genre » risettes et gazouillis « , mais un bébé à problèmes. Un bébé à angoisses. Un bébé tyran, d’une fragilité… herculéenne. Elle s’appelle Ophélie. Elle, c’est la grand-mère d’Ophélie. Pas le genre » Mamy confiture « , mais une grand-mère qui voyage, qui travaille, qui sort, qui aime. En vérité, c’est une femme de quarante-trois ans qui a beaucoup de bonheur à rattraper. Et depuis seulement une vingtaine de mois, elle le rattrape avec… « Lui ». Lui, c’est « Lui ». Pas le genre » gentil et confortable « . Sur ses cartes de visite, il s’intitule « Homme libre ». Dans la vie, il s’ingénie à l’être et fuit tout ce qui peut entraver son indépendance. En premier lieu, les enfants. Pour Elle et Lui, amants comblés et insouciants, l’Autre a beau être au berceau, c’est quand même l’Autre et sa présence entraîne les mêmes conflits que dans la plupart des ménages à trois.
Cancer
La société le poursuivait de toute sa haine ; mais non seulement elle ne savait jamais s’il fallait déguster la vengeance chaude ou froide mais au surplus elle restait toujours hésitante sur l’assaisonnement. Fallait-il le tuer en un instant et bien salé, vite avec poivre et piment fort ou allaient-ils l’émietter et le rouler ainsi dans de la crème anglaise en accompagnant le tout de mauvais vermouth ? L’histoire de ce roman c’est l’adolescence, la conscience aiguë d’une frontière fragile entre deux mondes, l’enfance et l’âge adulte, entre deux genres, la poésie et la prose, entre deux sensibilités, la soumission et la révolte. Mais la révolte totale, l’insurrection, ou la soumission absolue, la mort.
Une année sous silence
Paul Miller s’est coupé du monde.
Le déclencheur: le suicide de sa femme, vécu comme une dernière provocation. Installé dans son nouvel appartement comme une bombe à retardement, il épie ses voisins, tourmente sexuellement les jeunes femmes, harcèle un curé libidineux, révère une strip-teaseuse qui brise des vitres avec ses seins, et a totalement renié ses enfants. Mais surtout il se tait. Une année va passer, d’événements drôles en scandales, sans que nul ne comprenne où veut en venir Miller.
Pas même son psychiatre, au bord de la crise de nerfs… Sans doute l’un des meilleurs romans de Dubois, où l’on retrouve tout le talent de l’auteur d’Une vie française (prix Femina 2004) et de Kennedy et Moi (adapté au cinéma avec Jean-Pierre Bacri).
La princesse de Clèves
«Je vais vous faire un aveu que l’on n’a jamais fait à un mari…» Sincère, tourmentée, la princesse de Clèves ne parvient plus à taire ses sentiments. Elle brûle d’amour depuis trop longtemps pour le duc de Nemours, l’un des plus beaux fleurons de la cour d’Henri II. Son désir est ardent ! Désespéré ! Mais elle a juré fidélité à son époux, le prince de Clèves.
Elle aspire au bonheur et ne peut brader sa vertu. Elle veut aimer sans trahir… Cruel dilemme ! Faut-il donc renoncer au monde ? Faire ainsi le malheur d’un mari et d’un amant ? La mort est-elle préférable aux affres de l’amour ?
Du mariage au déchirement, de la pudeur au sacrifice… Madame de La Fayette exprime jusque dans ses plus impudiques silences la langue subtile de la passion.
Un secret
Souvent les enfants s’inventent une famille, une autre origine, d’autres parents. Le narrateur de ce livre, lui, s’est inventé un frère. Un frère aîné, plus beau, plus fort, qu’il évoque devant les copains de vacances, les étrangers, ceux qui ne vérifieront pas… Et puis un jour, il découvre la vérité, impressionnante, terrifiante presque. Et c’est alors toute une histoire familiale, lourde, complexe, qu’il lui incombe de reconstituer. Une histoire tragique qui le ramène aux temps de l’Holocauste, et des millions de disparus sur qui s’est abattue une chape de silence.
Les petits chevaux de Tarquinia
« Il n’y a pas de vacances à l’amour, dit-il, ça n’existe pas. L’amour, il faut le vivre complètement avec son ennui et tout, il n’y a pas de vacances possibles à ça. Il parlait sans la regarder, face au fleuve. » Et c’est ça l’amour. S’y soustraire, on ne peut pas. Marguerite Duras Perso – L’Italie et les rapports familiaux « Les petits chevaux de Tarquinia », c’est le roman de vacances passées en Italie, au bord de la mer. Au bout d’une route, au pied d’une montagne, devant un débarcadère, un petit groupe de français, deux couples dont l’un a un enfant, retrouvent des amis italiens, une épicerie, un hôtel restaurant, un terrain de boules, une aire de bal, l’estuaire d’un fleuve, la mer, un paysage menacé par le feu d’un incendie de saison. Tout est torpeur. La chaleur de l’été torride, le temps de vacances dont les vacanciers ne savent trop que faire, l’état des relations entre eux et au sein des couples. La torpeur et l’ennui de vacances dont ils espéraient tout sont les deux facettes d’une seule et même chose : que faire de soi et de la liberté ? Qu’être sans l’amour de l’autre ? Ils attendent qu’une chose : la brise du soir. Ils espèrent qu’une chose : la pluie et sa fraîcheur. Et puis l’amour, les femmes surtout et Sara en particulier. Dans le roman, un autre se développe, comme un lierre au tronc d’un arbre : le drame d’une mère et d’un père dont l’enfant, démineur, est mort déchiqueté par l’explosion d’une mine. Il a pour scène la montagne, au-dessus de la petite station balnéaire. Les parents ont ramassé ce qui reste de leur fils dans une boite, don de l’épicier, lui-même dans le deuil de sa femme. Ils ne parviennent pas à quitter les lieux. La torpeur du chagrin nourrit l’autre, celle des vacances. La torpeur est ainsi perte de tous les repères sociaux … »
Rendez-vous au Cupcake Café
Lorsqu’elle est licenciée, Issy décide de tenter sa chance en ouvrant à Londres un salon de thé spécialisé dans les cupcakes. En effet, la jeune femme a un talent particulier pour réaliser ces petits gâteaux. Un don qu’elle tient de son grand-père boulanger. Mais les ennuis ne vont pas tarder à arriver, et Issy devra se battre pour réaliser son rêve.
L’herbe rouge
Serait-on heureux si l’on obtenait sur-le-champ ce qu’on désire le plus au monde? La plupart des gens répondent oui, le sénateur Dupont aussi.
Wolf, quant à lui, prétend que non. Pour le prouver, il va chercher l’objet des vœux du sénateur: un ouapiti.
A la suite de quoi, le sénateur Dupont tombe dans un état de béatitude qui ressemble fort à de l’hébétude. Bien que le sénateur Dupont ne soit qu’un chien, ce spectacle déprimant accroît encore la mélancolie de Wolf.
Vivre doit être autre chose qu’une oscillation de pendule entre cafard et sotte félicité. Pour en avoir le cœur net, Wolf utilise la machine qu’il a inventée avec l’aide de son mécanicien Saphir Lazuli.
D’une plongée à l’autre, qu’apprendra-t-il… et où plonge-t-il?
C’est le secret de L’Herbe rouge, qui est aussi celui de Boris Vian – sous le travesti de l’humour noir, il met en scène ses propres inquiétudes avec la frénésie d’invention burlesque qui l’a rendu célèbre.
Sex and the City
Elles sont journalistes, marchandes d’art, avocates, responsables des relations publiques. Elles ont tout pour plaire: jeunes, jolies, brillantes, sexy, indépendantes. Tout, sauf ce qu’elles cherchent désespérément: le partenaire idéal.
Dans la jungle new-yorkaise, les places au soleil sont chères, Sex and the City en témoigne. Devenue un livre-culte avant d’inspirer une série télévisée, cette chronique à la fois hilarante et terrifiante des moeurs amoureuses et sexuelles de l’élite de Manhattan met l’Amérique WASP en émoi. Il est vrai que Candace Bushnell, journaliste branchée du New York Observer, n’hésite pas à bousculer le « sexuellement correct » de rigueur, en narrant en toute impudeur les aventures de ses contemporaines, leurs états d’âme et leurs frasques sexuelles. Ou du moins, ce qu’il en reste…
Bienvenue dans l’ère de l’innocence perdue: un regard lucide et impitoyable sur une société qui fout décidément le camp.
Les âmes fortes
Publié en 1950, cette célèbre chronique, à la couleur intensément tragique et au style souple et varié, doit son titre à un aphorisme de Vauvenargues qui définit l’âme forte comme étant « dominée par quelque passion altière et courageuse ». Cette âme forte, c’est avant tout celle de l’héroïne, Thérèse, personnage stendhalien, à la fois ingénue et prédatrice déclarée. À travers son récit se lit la puissance irréductible de la passion, qui éloigne du réel et fait vivre dans l’imaginaire. Aussi sa voix est-elle systématiquement contestée par une seconde narratrice, anonyme, sorte de « contre » en quête d’une autre vérité. Il en résulte un système romanesque profondément original, qui détruit de façon lancinante les récits successifs qui s’y déploient ; cette mise en péril permanente de l’existence même de l’histoire rappelle les procédés chers à Pirandello, qui propose le même système de vérités plurielles et antagonistes. Les Âmes fortes contribue ainsi sans doute à l’avènement de cette nouvelle époque romanesque que Nathalie Sarraute appellera dès 1956 « l’ère du soupçon ». —
Arrachée à la famille pauvre, mais aimante et chaleureuse, qu’elle croyait être la sienne, Rain Arnold vit désormais chez des gens riches, où elle se sent désespérément étrangère et seule. Sa seule passion, le théâtre, pourrait bien devenir son unique planche de salut dans cette nouvelle vie. Inscrite dans une prestigieuse école d’art dramatique, Rain est envoyée à Londres chez sa grand-mère Leonora, épouse du très distingué Richard Endfield. Leur austère demeure semble abriter de bien mystérieux et anciens secrets… Comme ces pas et le rire aigu d’une petite fille que Rain croit parfois entendre dans la nuit. Comme ces curieuses lumières qu’elle aperçoit dans des pièces qu’on dit inhabitées. Comme ces domestiques étranges, silencieux, d’une froideur inquiétante… Sous le vernis glacé de l’opulence et des privilèges semble se tapir quelque chose d’innommable. Quelque chose qui pourrait bien transformer les rêves les plus chers de Rain en un cauchemar sans issue…
La Famille Hudson (1) – Rain
Parce qu’elle est née et qu’elle a grandi dans le ghetto noir de Washington, la jeune Rain Arnold sait son avenir obstrué. Généreuse, idéaliste, courageuse, elle ne se laisse pourtant pas abattre. Mais elle a l’impression d’être étrangère à son propre monde, et ne se sent jamais complètement à l’aise parmi les siens. Un soir, elle apprend un secret très lourd de conséquences. Le regard qu’elle portait sur tout et sur tous est soudain métamorphosé, et tout ce qu’elle a connu s’effondre… Rain est alors conduite chez de complets inconnus, la riche famille Hudson. Mais une fois encore, elle se sent totalement déracinée. Son courage et sa détermination indéfectibles sauront-ils la guider vers ce havre tant désiré, un endroit qu’elle puisse enfin appeler son véritable foyer ?
Tereza Batista
Dans un pauvre village du Nordeste brésilien, le destin d’une jolie orpheline est irrémédiable, même si elle est le chef de la bande des gamins du village. Tereza sera vendue quinze mille cruzeiros et une bague en toc alors qu’elle n’a pas encore quinze ans. L’acquéreur est Justiniano Duarte da Rosa, homme riche et atrabilaire, voleur, assassin et grand amateur de combats de coqs. Il collectionne les petites filles, celles qui sentent encore le lait et à chaque nouveau viol ajoute un anneau d’or à son collier. Justiniano apprendra la peur à Tereza, à coups de lanière et au fer rouge. Il possédera son corps en l’avilissant. Passe un gigolo au visage d’ange, Tereza croit découvrir l’amour, son indompta-ble nature renaît et elle tue son bourreau. Elle échoue alors dans une maison de prostituées. Depuis longtemps, le seigneur des lieux, le docteur Emiliano Guedes, l’homme à la cravache d’argent, propriétaire de la banque des Etats-Réunis de Bahia et du Segipe, désirait le corps de miel de Tereza. Il l’enlève du bordel et six années plus tard, de maîtresse en titre, Tereza est devenue une femme aimée et comblée, chaque coup de fouet du Capitao a été effacé; Tereza s’est épanouie en beauté, en élé-gance et en grâce. Le sort lui enlève brutalement l’être tant aimé et c’est de nouveau pour elle la prostitution dans un monde où sévit la famine et la variole. Seules les prostituées enrôlées par Tereza vont soigner les malades et luttent contre l’épidémie.
Cette immense fresque populaire est à l’image des carnavals .brésiliens. Les participants y sont aussi nombreux. Tous les masques sont là: celui de la lubricité comme celui de l’amour, le sadisme, la corruption, la folie, la bourgeoisie, la propriété, la famille. Jorge Amado fait vivre mille et un personnages issus de sa terre. Le corps de Tereza est le symbole du peuple brésilien. Tereza Coup de Couteau, Tereza des Sept Soupirs, Tereza aux Mains de Velours, Tereza Chasse la Peur. La malédiction et l’espoir d’un peuple est chanté dans ce livre, avec tout le rythme envoûtant, la poésie et la sensualité de sa terre.
Ce crétin de prince charmant
Une chose est sûre: le chevalier servant n’existe pas! Beau parleur, mesquin, égoïste, obsédé, irresponsable, voire désespérément immature, le mâle du XXIe siècle pencherait plutôt du côté « odieux crapaud », avec tout ce qu’il faut de ridicule et de veulerie affichée. Et ce n’est ni Ariane, jeune Parisienne branchée, mariée « par intérim » à un jeune loup de la finance aussi agaçant qu’absent, ni Justine, charmante célibataire juive new-yorkaise adepte des cuites au saké et névrosée de première, qui vous diront le contraire. La preuve, les innombrables et irrésistibles mails que nos deux trentenaires délaissées – et déchaînées – ont décidé de s’envoyer le temps d’un jeu de massacre transatlantique à la fois acerbe et drolatique…
Bridget Jones – Folle de lui
Veuve, 51 ans, mère de deux enfants en bas âge, mais toujours en quête de l’homme idéal: Bridget is back !
Elle n’est plus obsédée par ses kilos, plutôt par les réseaux sociaux, le nombre d’amis qu’elle a sur Facebook (ce qui ne peut que mal se passer, vu son niveau en informatique) et ses enfants qui la font tourner en bourrique.
Le grand Mark Darcy avec qui elle a vécu le bonheur conjugal pendant dix ans est mort dans un accident, et après une longue période de deuil, Bridget se transforme en cougar dans les bras d’un trentenaire sexy (et quelque peu immature). Mais pour combien de temps? Car elle a bien entendu toujours le don de se mettre dans des situations impossibles. Les mésaventures de cette Bridget plus posée et plus mûre n ont rien perdu de leur piquant. Au contraire.
Un roman pétillant et audacieux qui plaira aux fans de la première heure, qui ont vieilli avec Bridget et se reconnaîtront dans cette quinqua toujours aussi drôle…
Quelque chose du bonheur
Lorsque deux jeunes femmes que tout oppose se rencontrent, leur destin pourrait bien basculer.
Annie mène une existence vide de sens et de joie depuis qu’un drame a brisé sa vie deux ans plus tôt. Polly, elle, n’a plus que trois mois à vivre. Mais Polly, aussi rayonnante et excentrique qu’Annie est terne et renfermée, est bien décidée à profiter de la vie jusqu’au bout: trouver chaque jour une source de joie, réenchanter le quotidien pour retrouver le goût de vivre et la force d’accepter l’inéluclable. Elle entraîne sa nouvelle amie dans un tourbillon fantasque de petits bonheurs: « si vous voulez l’arc-en-ciel, vous devez accepter la pluie »
Moni Mambou – Retrouvailles
Il s’en est fallu de peu que Moni-Mambou ne devienne esclave après son séjour mouvementé à Akrikritomékry. Grâce à Zimoli, sa compagne, et Nzila, son fils, il en a réchappé.
Après bien des péripéties, Moni-Mambou et les siens débarquent à Mbanza-Kimpa, une cité où se passent des choses étranges.
Guy Menga a su conserver dans cet épisode des « Aventures de Moni-Mambou » sa manière bien alerte de raconter la vie d’un héros qui a fini par conquérir la sympathie de tous.
Et puis après …
Epouse exemplaire d’un macho séduisant, Agnès quitte son mari après trente ans de bons et loyaux services. Elle devient romancière et pense avoir trouvé le bonheur dans les bras de son éditeur. Mais… coup du sort, ce dernier disparaît dans un accident, le jour même où le mari d’Aline, son amie d’enfance, rend l’âme, lui, au milieu d’un nirvana amoureux. Par chance pour Agnès et Aline, leurs deux épreuves sont allégées par cette double révélation post mortem : leurs chers défunts, qu’elles croyaient vertueux, étaient en vérité de fieffés hypocrites. Et puis après ? La colère efface le chagrin. La déception mène à l’oubli. Et l’oubli, lui, mène forcément aux chemins de la vie… où tout est toujours possible, comme d’habitude.
Janvier 1946. Tandis que Londres se relève douloureusement de la guerre, Juliet, jeune écrivain, cherche un sujet pour son prochain roman. Comment pourrait-elle imaginer que la lettre d’un inconnu, natif de l’île de Guernesey, va le lui fournir ? Au fil de ses échanges avec son nouveau correspondant, Juliet pénètre un monde insoupçonné, délicieusement excentrique ; celui d’un club de lecture au nom étrange inventé pour tromper l’occupant allemand : le « Cercle littéraire des amateurs d’épluchures de patates ». De lettre en lettre, Juliet découvre l’histoire d’une petite communauté débordante de charme, d’humour, d’humanité. Et puis vient le jour où, à son tour, elle se rend à Guernesey…
L’herbe verte du wyoming
Thunderhead, le sauvage étalon blanc, s’est enfui dans les collines avec une pouliche de grand prix. Au ranch, on organise une expédition pour les retrouver. Mais si Thunderhead est capturé, il perdra sa liberté ou sera abattu. Ken, le héros de Mon amie Flicka et du Fils de Flicka réussira-t-il à ramener son cheval sain et sauf ? Gagnera-t-il le cœur de Carey en dépit de tout ce qui les sépare ?
Mamma Lucia
Il y a longtemps que l’Amérique est considérée comme un lieu d’asile, un Eldorado où tous les espoirs sont permis à qui ne craint pas l’ouvrage, imitant l’exemple donné par les célèbres Pères pèlerins (les Pilgrim Fathers) qui ont débarqué d’un petit voilier appelé Mayflower un jour de 1620 pour fonder les premières colonies anglaises sur le sol américain. Au fil des siècles, des hommes et des femmes de bien des nations sont partis à leur tour pour cette terre promise, notamment d’Italie — comme l’a fait Lucia Santa. Parce que les siens étaient trop misérables, Lucia Santa n’a pas hésité à épouser par procuration le fils d’un voisin émigré à New York et à s’en aller à dix-sept ans fonder avec lui une famille à Manhattan, dans le quartier ouest où s’est implantée une importante colonie italienne. Leur troisième enfant n’est pas encore né quand Anthony Angeluzzi meurt accidentellement. Des voisins l’aident à trouver un autre mari qui puisse les prendre en charge. Frank Corbo est un illettré que la ville oppresse et qui fuira à sa manière cette oppression. Lucia poursuivra seule avec énergie la réalisation de son rêve de prospérité. Mamma Lucia, c’est l’intégration et l’ascension sociales d’émigrés italiens dans leur patrie d’adoption entre 1928 et 1940 racontées avec tendresse dans un récit vibrant de vérité.
Mon amie Flicka
Ken est revenu pour les vacances dans le ranch familial du Wyoming. Il rêve d’avoir un poulain tout à lui, un cheval qui serait aussi son ami. Mais Flicka, la pouliche qu’il a choisie, est issue d’une lignée de chevaux sauvages et indomptables. Elle se rebelle contre les hommes qui veulent la capturer et se blesse gravement. Tous la croient condamnée. Tous sauf Ken. Réussira-t-il, grâce à sa ténacité et à son amour, à sauver Flicka et à l’apprivoiser?
Bien repasser en dix leçons
Au fil des années qui passent, Laura, Orane, Solène, Edith et Martha repassent leur linge et leurs histoires de femmes avec ou sans homme, avec ou sans enfants. Dans la panière presque toujours pleine de ces cinq femmes, il y a les serviettes et les torchons du ménage, leurs jupes et leurs corsages, mais aussi les chemises des maris, des amants, les pyjamas et les jeans des enfants. Sous la semelle du fer, il y a la trame et la chaîne du linge qui sont aussi la trame et la chaîne de la vie.
Le Clan Campbell – Trahi
Tu as dix ans de retard, Duncan Campbell. Seule la corde t’attend ici, et je serai ravie de te la passer autour du cou. Le Highlander contemple Jeannie Grant, cette furie blonde qui vient de lui tirer dessus. Des années plus tôt, Duncan l’a aimée au premier regard, mais la perfide l’a manipulé. Accusé de trahison, Duncan a dû fuir son clan. De retour pour retrouver son honneur, il a besoin de Jeannie. Or, ne sont-ils pas ennemis désormais ? Même si la passion couve toujours, plus folle que jamais…
Perce-nuits
Il ne suffisait pas d’être première en français à l’école, il fallait aimer d’abord et dévorer la vie. Mariée à vingt ans, Marie est bientôt mère de trois enfants qu’elle aime, comme elle continue à aimer passionnément son père, son frère, sa mère et sa mère adoptive. Abandonnée, reprise, jalousement revendiquée, elle s’épuise à les regarder survivre à leurs passions.
Rumeurs dans la salle des profs
Dans la salle des profs devenue de 12 heures à 13 heures 30, leur cantine, ils n’échangent guère que le sel et la moutarde. Un collègue vient de se suicider et tout bascule. Les masques tombent. La mémoire met à jour des drames proches ou lointains, les souvenirs font une sarabande effroyable et les personnages perdent de leur réalité. Le quotidien débouche sur le fantastique et ces visages tour à tour grimaçants, terrifiés ou agressifs appartiennent au monde du grotesque « la plus riche source que la nature puisse offrir à l’art » (Victor Hugo).
Tombeau pour le collège
» Quand on me demande quel sport je pratique, je répondS l’enseignement. «
Le Diable au corps
Hachette Education – Textes et Commentaires – Le premier roman d’un écrivain mort à vingt ans et l’un des plus beaux rôles de Gérard Philipe. En 1918, un lycéen, François (prénom uniquement usité dans le film), s’éprend d’une jeune femme, Marthe, dont le fiancé, Jacques, est au front. L’amour fou, absolu, malgré tout et contre tous, voisins ricaneurs ou parents désemparés. Mais aussi, très vite, l’anxiété, la cruauté inconsciente, l’impossibilité pour un enfant de vivre une aventure d’homme. La guerre finit et ses « quatre ans de grandes vacances », Marthe meurt en mettant au monde l’enfant qu’elle a eu de François et qui sera la « seule de raison de vivre » de Jacques. » En voyant ce veuf si digne, je compris que l’ordre, à la longue, se met de lui-même autour des choses. Ne venais-je pas d’apprendre que Marthe était morte en m’appelant, et que mon fils aurait une existence raisonnable? »
Une autre femme
Qui n’a pas eu le désir de déserter sa vie, de tout recommencer ailleurs, de devenir quelqu’un d’autre ? Ce qui pour la plupart des gens demeure un rêve, Delia, quarante ans, se décide soudain à l’accomplir. Elle marche sur une plage, s’éloignant d’un mari devenu indifférent, de trois enfants pour qui elle n’est guère qu’une domestique… Et voilà, elle ne sait pas si elle reviendra un jour. Tandis que ses proches se révèlent incapables de donner à la police un signalement précis, Delia entreprend de bâtir sa nouvelle vie à une centaine de kilomètres de là. Nouveau job, nouveaux amis… Et puis ? Peut-on vraiment trouver sa liberté en s’absentant de soi et du monde ? Un vrai roman, un roman vrai aussi, souriant, humain, lucide, accueilli par un succès international.
Quand le soleil était chaud
Que savait-elle de la vie? Lola, lorsqu’elle dansait d’un pas léger, au début des années cinquante, dans les grands bals du Caire? Comment aurait-elle pu se douter que son univers, insouciant et brillant, allait être englouti par une tourmente? Que ses amours adolescentes, ou la douceur des soirées au bord du Nil, ne seraient plus, bientôt. Que les souvenirs d’un paradis incendié par la guerre? Car l’histoire de Lola, dans ce roman, se mêle sans cesse à celle qui, depuis un demi-siècle, accompagne l’agonie des chrétiens d’Orient. À celle des coptes, de ces syriaques, de ces maronites, de ces orthodoxes qui, à tort ou à raison, crurent toujours que le ciel veillerait sur leur destin. Des palais de son enfance aux ruines de Beyrouth, de la frivolité aux massacres, du nassérisme aux camps palestiniens et aux guerres du Liban, Lola assistera ainsi, avec les siens, au triomphe absurde de l’intolérance sur le bonheur. Le roman d’une femme? Le roman d’une civilisation défaite par la violence des hommes qui, hier encore, savaient vivre ensemble? C’est tout cela que Josette Alia a voulu ressusciter dans cette fresque au goût de miel et de feu.
Au XVIIe siècle, la guerre de Trente Ans ravage la Franche-Comté qui est l'une des plus riches provinces de la couronne d'Espagne. Durant cette conquête par la France, des centaines de villages sont incendiés, des milliers d'hommes torturés, assassinés ou décimés par la peste. Certains, pourtant, continuent à vivre, à se battre, à espérer des jours meilleurs. Ils sont soldats, paysans, nobles ou compagnons. Leur histoire commence au cours de l'hiver 1639, dans la région de Salins où Mathieu Guyon, un charretier, est désigné pour enterrer les victimes de la peste parquées dans un village isolé…
Regarde-moi quand je t’aime
Un homme amoureux, une fille lascive, un père, un tueur en série, un enfant, une femme éprise, un mauvais garçon, Le Palace, une vodka tonic, un texto, un Coca Light, une garce, un morceau de sucre, une mère, la passion, la haine, l’indifférence, une larme, du plaisir, un orgasme. L’amour.
1492. La foudre s’abat sur Florence. Savonarole, le moine fanatique, a vu le glaive de Dieu déchirer le ciel toscan. La ville expie pour les péchés du Magnifique. Lorenzo se meurt. Le premier des Florentins se retourne une dernière fois sur son flamboyant passé. Maître de la ville-lumière de son époque, il revoit les êtres qui ont peuplé son existence : ses ancêtres qui ont contribué à le hisser au faîte du pouvoir, ses ennemis qu’il a affrontés l’épée à la main, le pape qui a tenté de le faire assassiner, les illustres peintres, sculpteurs, poètes et philosophes, amis et protégés, qui ont fait de Florence un joyau incomparable. Et les femmes, qu’il a aimées avec autant de fureur que de tendresse. Muses et amantes. Les plus humbles comme les plus célèbres. Lucrezia, Simonetta, Bartolomea…Le Magnifique ferme les yeux. Pourquoi meurt-il si tôt ? Nul ne pourra effacer la trace du plus grand mécène de tous les temps, l’homme qui a inventé la Renaissance. Une épopée, dont l’éclat illumine le roman de Patrick Pesnot, premier volet d’une trilogie haute en couleur.
Quand le soleil était chaud
Que savait-elle de la vie? Lola, lorsqu’elle dansait d’un pas léger, au début des années cinquante, dans les grands bals du Caire? Comment aurait-elle pu se douter que son univers, insouciant et brillant, allait être englouti par une tourmente? Que ses amours adolescentes, ou la douceur des soirées au bord du Nil, ne seraient plus, bientôt. Que les souvenirs d’un paradis incendié par la guerre? Car l’histoire de Lola, dans ce roman, se mêle sans cesse à celle qui, depuis un demi-siècle, accompagne l’agonie des chrétiens d’Orient. À celle des coptes, de ces syriaques, de ces maronites, de ces orthodoxes qui, à tort ou à raison, crurent toujours que le ciel veillerait sur leur destin. Des palais de son enfance aux ruines de Beyrouth, de la frivolité aux massacres, du nassérisme aux camps palestiniens et aux guerres du Liban, Lola assistera ainsi, avec les siens, au triomphe absurde de l’intolérance sur le bonheur. Le roman d’une femme? Le roman d’une civilisation défaite par la violence des hommes qui, hier encore, savaient vivre ensemble? C’est tout cela que Josette Alia a voulu ressusciter dans cette fresque au goût de miel et de feu.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.
Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny. Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous. Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la cocaïne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l’écrire. Los Angeles, il connaît bien : il y vit.
Sinouhé l’Egyptien (I)
Par amour pour une courtisane, le médecin égyptien Sinouhé s’est vendu comme esclave. Il va vivre une odyssée à mi-chemin des mythes et de la réalité. Médecin, mais aussi espion pour le compte du pharaon Aménophis IV, il ira de Thèbes à Babylone, et aussi chez les mystérieux Hittites et chez les Crétois soumis au Minotaure. Prodigieux roman d’aventures qui nous initie à la politique, à la religion et aux sciences du quatorzième siècle avant Jésus-Christ, le chef-d’oeuvre du grand écrivain finlandais Mika Waltari invite aussi à réfléchir sur l’homme d’aujourd’hui, le plaisir, la liberté, le pouvoir, la violence, l’injustice et tout ce qui fait notre destin.
Hannah
Pologne, 1882. Hannah est juive, elle a sept ans. Dans la chaleur de l’été elle joue avec Taddeuz, un jeune Polonais catholique. Mais dans le village, les Cavaliers de la Mort ont déferlé, détruisant, brûlant, assassinant. En ce jour tragique, Hannah va connaître l’amour, le goût amer de la trahison, l’horreur. Londres, 1899. Dans le monde entier, le double H du nom d’Hannah signe des produits de beauté que les femmes s’arrachent. De la petite fille, elle a gardé les yeux gris. Mais elle est devenue une femme à la volonté de fer. Son don de séduction lui gagne tous ceux qui passent sur son chemin. De son village natal, l’aventure l’a conduite en Australie puis à Londres, Paris, Vienne, dans l’atmosphère brillante de la fin du siècle. Mais plus sa réussite est exceptionnelle, plus Hannah souffre d’avoir perdu Taddeuz… Avec Hannah, Sulitzer, l’auteur du Roi vert, a écrit le grand roman, plein d’aventure et de passion, d’une héroïne inoubliable.
Traquenard en arizona
JIM CORT et BERT HARDY s’étaient con-nus à WEST POINT. Leur amitié avait été brève. Jim, ne pouvant se plier à la discipline militaire, avait préféré la vie sauvage et solitaire des plaines de l’Arizona et la compagnie des Apaches. Sa réputation de contrebandier et de « roi de la gachette » finit par lui attirer les pires ennuis. Bert, plus ambitieux que jamais, et qui brigue à présent les galons de colonel, a juré d’avoir la peau de son ancien ami. Il lui tend alors un piège machiavélique…
La vallée des roses
La Vallée des roses est l’histoire d’une ambition folle qui réussira, d’une ascension qui n’avait pas une chance sur un million de se réaliser, celle d’une fleur, d’une beauté à la grâce incarnée : une jeune fille qui a nom Yi. Yi, qui caresse un rêve inouï : devenir la femme de l’Empereur régnant et, en le subjuguant, régner sur la Chine aux 500 millions de sujets. On voudrait tout citer, tout raconter. D’abord Hieng-Fong, le Soleil Impérial, le souverain auquel Yi rêve de s’unir, « … dégénéré, ivrogne et débauché, une raclure, un être sans foi ni loi… » On voudrait dire aussi la Cité Violette de Pékin, que gardent des régiments de castrats… Et encore le Concours du Concubinat où gardée par le Grand Eunuque et le Grand Surveillant, la Mère du Ciel (mère de l’Empereur), choisira parmi cent filles dénichées d’un bout à l’autre de la Chine, les trente qui seront les concubines de son fils, formeront le Harem Impérial et tenteront de séduire l’implacable pédéraste… Comment passer sous silence la scène où Yi séduit Héros Coupé, l’Eunuque Grand Surveillant.
Le corsaire amoureux
Mais qu’est-ce qui fait courir François Castel ? Qu’est-ce qui le fait bondir à pied, à cheval, et en voiture – et en bateau, donc ! – d’Hendaye à Paris, de Bordeaux à Londres, de Cork à Porto, de Plymouth à Ouessant ? Son sang basque et sa prodigieuse vitalité, certes ; son attirance irrésistible pour la mer, ensuite ; et enfin, dès l’instant qu’il la voit dans la fleur de ses quinze ans, son amour pour la blonde Anne-Marie du Bois de la Roche. Il est moins aisé qu’il n’y paraît de vivre paisiblement avec ces passions-là, surtout dans la France de la Révolution et de la Terreur. Et, en vérité, rien n’est moins paisible que la vie de François, corsaire et amoureux, sur le chemin de qui surgissent ennemis sournois et amies inconditionnelles, aristocrates et filles de joie, Bleus farouches et Blancs fanatiques – sans compter les navires ennemis dont il faut s’emparer, sauf à être pris par eux. La gloire l’attend, et la fortune, et l’amour d’Anne-Marie. Mais que d’obstacles il lui faut franchir, notamment les mois de captivité odieuse sur les pontons ou dans les forteresses britanniques, et les rebuffades inopinées d’une amoureuse entêtée, et attachée à ses vignes de Saint-Émilion autant que lui l’est à la mer. Pour le tirer de ces mauvais pas, il a son courage, son audace, son intelligence astucieuse… Au fil de ces pages, vous ferez connaissance avec – parmi bien d’autres l’ambigu cocher Cossonade, la merveilleuse Suzon-la-Rieuse, l’aristocratique et aimable grand-mère d’Anne-Marie, et l’Anglais George Clyde, ivrogne et débauché… et beaucoup de jolies femmes… Nul doute que, comme elles, vous vous éprendrez de François Castel, le corsaire amoureux.
Tout à son amour, Orchidée, la petite princesse mandchoue, avait oublié la Chine et l’impératrice Ts’eu-hi qu’elle a trahie pour épouser Edouard. Mais, soudain, elle reçoit une terrible missive…Ts’eu-hi lui ordonne de regagner la Chine après avoir volé à Paris une agrafe qui appartenait à la famille impériale. La mort dans l’âme, Orchidée dérobe le bijou. Mais le cauchemar continue. Le lendemain, Edouard est assassiné. Et c’est elle que les domestiques accusent ! Effondrée, Orchidée prend la fuite. Direction Marseille, puis… À bord du Méditerranée-Express, elle rencontre enfin l’homme providentiel qui réussira peut-être à l’aider…
Source : Pocket
La source sacrée
Le narrateur, lors d’une élégante partie de campagne, est frappé par deux phénomènes symétriques : l’embellissement spectaculaire d’une femme autrefois laide ; et l’intelligence nouvelle d’un bellâtre naguère stupide. Pour la première, l’explication est facile : elle a épousé un homme de vingt ans son cadet, dont elle absorbe la jeunesse. Mais quelle est la femme cachée dont le bellâtre absorbe l’esprit ? Cette fascinante fantasmagorie psychologique et mondaine possède avant tout le caractère étonnamment précurseur d’un roman du pur regard et de l’interaction entre un regard conscient de lui-même et son objet qui l’observe en retour.
Les promesses du passé
Prague, en 1938. Josef et Lenka s’aiment d’un amour passionné. Mais ils sont juifs et, devant la menace nazie, la famille de Josef, fortunée, décide de s’exiler aux États-Unis. Le jeune homme laisse derrière lui la femme qu’il aime en lui jurant de les aider, elle et sa famille, à s’enfuir. « On se retrouvera », promet-il solennellement. Ils n’en auront pas le temps : les nazis envahissent Prague et Lenka est déportée. New York, en 2000. Un homme croise le regard d’une femme. « Je vous ai déjà vue quelque part », dit-il, le souffle coupé. Se pourrait-il que la vie, le destin et le hasard aient uni leurs forces pour donner une nouvelle chance à Josef et à Lenka ?
Un grand roman sur le pouvoir du premier amour et la force de la mémoire
Le fils de flicka
Flicka, la pouliche sauvage que le jeune Ken a réussi à apprivoiser, vient de donner naissance à un étonnant poulain blanc. Un futur champion ? Ses performances pourraient alors sauver le ranch de la ruine. Mais Thunderhead, l’indomptable, désarçonne son jockey dès sa première course… La suite de mon ami Flicka… La suite d’une merveilleuse histoire d’amitié.
Un été de canicule
Un soleil éclatant, un mariage d’amour: il ne manque que le chant des cigales pour parfaire le tableau. A Cucuron, c’est jour de fête: les Soubeyrand nagent dans le bonheur, Emma en tête, mère du marié et patronne du café des Tilleuls. On en oublierait presque les lettres, signées d’un mystérieux corbeau, qu’elle reçoit depuis le retour de son fils du Brésil.
Quelqu’un n’a vraisemblablement pas oublié la disparition de Laurent Labaume, survenue sept ans plus tôt. On sait pertinemment que les Soubeyrand, mère et fils n’y sont pas étrangers.
La justice, alertée, ne tarde pas à s’intéresser de près à la famille….
Une vie n’est pas assez
Après une jeunesse incertaine et l’échec d’un premier mariage, Lison a le sentiment d’avoir ressaisi sa vie, de l’avoir bâtie et réussie, doucement mais fermement : un mari selon son cœur, deux filles qui pour elle sont des amies, des voyages, un métier. Et pourtant, lors d’un séjour au Mexique, la rencontre inattendue de son premier amour la trouble… Et pourtant, l’évolution de ses deux filles la déconcerte : Délia, qui se disait libérée, choisit un destin banal ; Emma parait inconsciente du danger qui la menace… Lison cherche à comprendre, à se comprendre. Elle voudrait être pleinement une femme, une épouse, une mère… Non, décidément, quand on veut tout vivre, une vie n’est pas assez.