Les secrets de Bart de Wever
Qui est vraiment Bart de Wever ?
L’homme est partout.
Mais que sait-on réellement de lui et de son idéologie ? Habile communicateur, le président de la N-VA ne laisse paraître que ce qui peut le servir dans sa marche triomphale … et cache de lourds secrets. ….
Après avoir refermé ce livre, vous ne verrez plus jamais les choses de la même façon.
Le livre perdu
Hasan entre dans une librairie et choisit ‘Le Gouffre des cœurs , un roman qui le subjugue au point de le faire rater son métro. Ce hasard va lui sauver la vie puisque quelques secondes plus tard, le train explose lui provoquant un évanouissement sans conséquence. A son réveil, le livre a disparu et se révèle épuisé. Hasan entame alors une quête sans limite pour le retrouver.
L’épouse du roi Albert demeure dans la mémoire des Belges et dans celle de tous les Européens une figure rayonnante de chaleur, de courage et d’humanisme.Durant la Première Guerre mondiale, elle alla bien au-delà de ce qu’on exigeait en ce temps d’une souveraine en fait de bonnes oeuvres, et cette reine d’origine bavaroise se dépensa sans compter pour les blessés et les réfugiés. Tout en fortifiant cet esprit de résistance qui a valu à son royal mari le surnom de roi chevalier « , elle tenta en 1917 de faire arrêter la tuerie (elle devait d’ailleurs, jusqu’à la fin de ses jours, se montrer une ardente propagandiste de l’entente entre les nations). Après la mort du roi en 1934 et après les difficultés rencontrées par Léopold III, son fils, à la fin du second conflit mondial son prestige joua un rôle non négligeable dans le crédit dont jouit la monarchie qu’incarne aujourd’hui son petit-fils Baudouin.Mais peut-être est-ce dans le domaine artistique qu’elle aura le mieux servi son pays: amie des poètes et des écrivains (Verhaeren, Valéry, Romain Rolland, Colette, Cocteau…), des savants (Einstein, la famille Curie…), mais plus encore des musiciens (Menuhin, Casals, Oïstrakh…), elle aida la Belgique d’après-guerre à retrouver une place de premier plan dans la culture européenne …
Thanasse et Casimir
Publié entre deux « Toine » en 1942, ce roman très drôle, l’un des préférés de son auteur, met en scène Thanasse, le garde-salle de Cabussart, et son copain Casimir, un ancien poilu français qui manie l’argot avec une verve irrésistible.
Toine Culot, obèse ardennais
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
(Re)découvrez le premier titre de la « Toinade » : des images d’une étonnante poésie et un vocabulaire riche et sans pédanterie se mettent au service d’une histoire simple et drôle, pimentée de jovialité wallonne où Toine, jeune campagnard des Ardennes belges, découvre la vie et l’amour.
Toine dans la tourmente
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s’écoule au fil des saisons, à l’époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
Le testament des dieux, qui seul assure la légitimité du pharaon Ramsès II, demeure introuvable. Sur la piste d’un complot diabolique qui unit des hommes de pouvoir et d’influence, le juge Pazair est déporté dans un bagne. Mû par une volonté inflexible, le petit juge parvient à s’enfuir… De retour à Thèbes, avec l’aide de sa jeune épouse Néféret, médecin réputé, et de ses fidèles amis Kem et Souti, Pazair enfin innocenté poursuit son enquête, avec l’accord tacite du souverain, tandis que meurtres, enlèvements et actes de corruption se multiplient. Mais la fête de régénération approche. Ramsès II devra-t-il abdiquer, mettant ainsi fin à une dynastie millénaire ?
Vipère au poing
Ce roman, le plus célèbre de l’auteur, est aussi largement autobiographique. Comme dans l’ensemble de son oeuvre, Hervé Bazin y donne les raisons de sa haine et de son combat contre toutes les oppressions familiales et sociales. Vipère au poing raconte la lutte impitoyable livrée par Brasse-Bouillon, alias Jean Rezeau, ainsi que ses frères, contre leur mère, une marâtre odieuse, calculatrice et violente. Folcoche, ainsi que ses enfants la nomment, règne avec autorité sur une famille angevine bien-pensante, ne lésinant pas sur les coups de fouet, les brimades et les humiliations. Mais Brasse-Bouillon est malin, vif et clairvoyant. Il affronte sa mère en lui tendant à son tour les pièges qui l’aideront à avoir raison d’elle. Au premier degré, le livre possède un incontestable humour qui marque les esprits (inoubliable Folcoche, parangon de méchanceté !). Mais, il est avant tout un cri d’enfant et la dénonciation d’un certain modèle d’éducation qui fit longtemps les beaux jours des familles françaises. Pour son auteur, cela reste à tout jamais un traumatisme et un échec.
L’Ange de Bagdad
Bagdad, printemps 2003. Chargé d’organiser les exportations clandestines du pétrole brut pendant l’embargo, Michel Samare, ingénieur et homme d’affaires Irakien, attend l’arrivée des Américains. Très vite, il voit s’éloigner les espoirs de démocratie qu’il fondait pour son peuple. Ulcéré par les méthodes d’occupation brutales et le pillage des richesses de son pays, Michel décide de s’opposer à la toute-puissance de George W. Bush. Le combat de David contre Goliath peut sembler utopique. Pourtant, grâce à des complicités internationales nouées du golfe de Guinée au Texas, soutenu par une belle Australienne pacifiste, Michel monte une machination machiavélique destinée à ruiner les intérêts personnels et pétroliers de la famille du président américain.
Féroces
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C’étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l’esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c’était la seule chose qu’ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d’ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l’extérieur de ce qui se passe à la maison. A la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O’Connor, Robert Goolrick a créé avec son premier roman, Féroces, un de profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes du père, même quand il piétine sa tombe avec des chaussures anglaises.
Cet ouvrage est une sélection de quatre meilleurs livre. Opération Firewall: c’est un roman d’action, certes, qui met à jour les ingrédients des classiques de l’espionnage, mais sans être pour autant dépourvu de morale et de sensibilité. Les jardins de vendières: c’est une nouvelle fois, l’auteur d’un grand vent de fleur et de la dentellière d’Alençon déroule pour nous une de ces histoires heureuses dont elle a le secret. Sanction secrète: Que haig connaisse le fonctionnement de l’appareil militaire, voila qui n’a rien d’étonnant. Ce qui est plus étonnant, en revanche, c’est qu’il écrive si bien sur le sujet, en multipliant les effet de surprise. De rêve et de glace: le lecteur est tenu en aleine par l’alternance des pensées et des sentiments que se porte à distance pendant ces deux jours critiques les deux époux.
Ce volume est une sélection de quatre meilleurs livres. La princesse oubliée: une écriture vive, une capacité à nous faire pénétrer dans l’image, un souffle de marathonien. Dans la peau : Un suspense qui ne faiblit pas de la première à la dernière page , avec un superbe revirement… un conte de pure terreur. La tempête blanche : cet itinéraire d’un enfant gelé tient la promesse des précédents chapitres. Julie et Roméo : une variation réussie, amusante et originale sur l’histoire de Roméo et Juliette.
Mélodie du temps ordinaire
Été 1960, Atkinson, petite ville ordinaire du Vermont. Divorcée d’un ivrogne pathétique qui vient encore parfois cogner la nuit à sa porte, Marie Fermoyle s’épuise à joindre les deux bouts, animée d’une ambition farouche pour ses trois enfants et portée par un orgueil qui l’empêche d’accepter l’aide de quiconque. Sa solitude va faire d’elle une proie toute désignée pour Omar Duvall, escroc minable et beau parleur, qui se présente un soir chez elle… Oscillant entre colère et résignation, englués dans leur mal-être adolescent, ni Alice ni Norm, les deux aînés, ne sauront s’opposer à Omar, dont la personnalité inquiétante se révélera peu à peu. Avide de voir sa mère enfin heureuse, le jeune Benjy, lui, taira obstinément son terrible secret : le jour même de l’arrivée de Duvall, il l’a vu poignarder un homme dans la forêt… À travers l’histoire des Fermoyle, à laquelle se trouve inextricablement liée celle de leurs proches et voisins, Mary McGarry Morris a écrit la chronique d’une petite communauté où s’affrontent l’espoir et la peur, le mensonge et la honte, l’obsession du péché et la piété, où se joue une lutte incessante entre la soif de réussite et l’amertume de l’échec. La force de l’intrigue et des personnages, la beauté du style, l’atmosphère lourde et envoûtante qui se dégage du roman en font une œuvre à part, parmi les plus marquantes de la littérature américaine contemporaine.
Rien ne s’oppose à la nuit
Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence.
L’Allée du Roi
De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l’obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d’un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l’âge mûr, quel roman que cette vie ! Dans le personnage et le destin de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, qu’on surnomma « la belle Indienne », se reflètent les aspects contradictoires du « Grand Siècle », dissimulés sous l’apparence immuable de la majesté royale. À partir d’une documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C’est à la découverte d’une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète avec sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne L’Allée du Roi.
Le silence des armes
Guérit-on jamais de la guerre ? De quel combat meurtrier l’homme peut-il être fier ? Engagé pour cinq ans, Jacques Fortier a cru un temps à la noblesse des armes. Blessé, moralement détruit par les atrocités vécues en Algérie, il revient dans son village du jura pour quelques jours de convalescence. Repartir dans les Aurès, c’est accepter la haine et le sang, admettre l’absurde. C’est renier l’enseignement d’un père incompris, refuser les leçons de sa terre natale. Jeter son uniforme, c’est dire non à l’horreur, choisir la vie, mais aussi devenir traître et déserteur aux yeux de la société. Assassin ou proscrit, Jacques doit choisir. » Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis. » Cette phrase résume le drame du Silence des armes, l’une des œuvres majeures de Bernard Clavel.
Diabolique rival
Une famille bourgeoise d’Allemagne. Une famille modèle : Lui, Eduard Barrenberg, est un homme qui a réussi. Quinquagénaire alerte, il est architecte et l’heureux père de Monika, qui a dix-huit ans et prépare son baccalauréat.
Elle, Maria, fut une pianiste virtuose, mais après son mariage, elle a décidé de consacrer sa vie aux siens. Mais rien n’est aussi simple. Édouard Barrenberg aime également une autre femme qui, malgré elle, lui portera malheur. Un homme fou de jalousie va s’acharner sur l’architecte. Il séduira tout à tour Maria et Monika, qui sombrera dans la drogue. De pressions diverses en tentatives de chantage, Petrescu-Makaroff, le trafiquant à la double identité, mettra en péril l’édifice modèle d’Eduard Barrenberg.
Avec la maîtrise qui lui valut ses innombrables succès, Konsalik a composé ici un implacable tableau contemporain. Son livre est un avertissement, mais aussi un livre d’espoir. Car les Barrenberg trouveront en eux-mêmes la force de vaincre et de recommencer.
Une petite ville en Allemagne
1967. La vie politique semble paisible à Bonn. Rien ne prédestinait cette » petite ville en Allemagne » à devenir une capitale, et encore moins un enjeu mondial de la Guerre froide. Pourtant l’émoi s’empare de l’Ambassade de Grande-Bretagne suite à la disparition d’un collaborateur et de dossiers ultra confidentiels. A l’heure où leur pays négocie son entrée dans le Marché commun, les Allemands ne doivent pas savoir. A aucun prix.
Paris au mois d’Août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
Les gens de Smiley
Poussé à enquêter et à résoudre une affaire qu’il aurait pourtant dû étouffer, Smiley se retrouve face à son ennemi de toujours : Karla. Mais l’issue du combat entre les deux espions est encore incertaine. Pour vaincre, Smiley va devoir employer des méthodes qui vont à l’encontre de ses principes, celles-là mêmes qu’employait son adversaire…
La rêve-party
Proche parente de Mary Poppins et d’Amélie Poulain, fille accidentelle du père Noël et de Claire Hennet, voyante très optimiste, Mary Christmas est une fée.
Une comédie enchantée et endiablée où la verve et l’humour de Françoise Dorin nous offrent la plus vive des satires contemporaines.
Les julottes
À quarante-quatre ans, Marie-Jean, directeur d’un cabaret de travestis et écrivain de contes pour enfants à ses heures, s’habille comme une femme, ressemble à une femme et assume sans réserve ses préférences… Elles l’amusent même beaucoup jusqu’au jour où son coup de foudre pour Julie, une adorable garçonne, vient tout compliquer… La jolie Julie aime les hommes et les femmes ne sont pas du tout sa tasse de thé. Par amour, Marie-Jean saura-t-il enfin renoncer à son éternel féminin ?
L’Allée du Roi
De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l’obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d’un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l’âge mûr, quel roman que cette vie ! Dans le personnage et le destin de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, qu’on surnomma « la belle Indienne », se reflètent les aspects contradictoires du « Grand Siècle », dissimulés sous l’apparence immuable de la majesté royale. À partir d’une documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C’est à la découverte d’une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète avec sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne L’Allée du Roi.
La Consolante
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d’une femme qu’il a connue quand il était enfant, et adolescent. Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. « Allez… C’est fini. C’est fini, tu comprends ? » Le problème, c’est que non, il ne comprend pas. Et il n’y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir. A.G.
La désirade
En 1804, le matelot Nicolas Jean Lafitte a 18 ans. Condamné à mort pour refus d’obéissance, il attend l’exécution de la sentence. Quarante ans plus tard, il remet à Karl Marx un sac d’or pour permettre l’édition de son célèbre manifeste. Jean-François Deniau retrace l’extraordinaire destin de ce corsaire au grand coeur qui faisait fortune « en volant les voleurs », attaquait les navires affectés à la traite des Noirs, s’initiait à l’amour volage dans les maisons closes de La Nouvelle-Orléans, défendait cette même région contre les Anglais et ne rêvait que d’une chose: construire une cité idéale.
Cueillez-moi jolis messieurs…
» Juliette : Trêve de plaisanterie, Claire. Pourquoi as-tu fait ça ? Tu es folle ou quoi ? Claire : C’était très bien ! Très très très bien ! Tu devrais en faire autant. Tu as de la toile d’araignée dans le derrière ma fille. Faut débroussailler ! Juliette : Qu’est-ce qu’y a encore. Qu’est-ce que j’ai fait ? Je n’ai pas rebouché le tube de dentifrice ? Mes cheveux bouchent le lavabo ? Une tétine traîne sous le canapé ? Claire : Point du tout. Juliette : Pourquoi tu es fâchée ? Claire : Mon humeur est excellente. Je maîtrise mon destin. Tout va bien. Juliette : Mon cul. Claire : Que ton cul repose en paix, Juliette. » Elle est pure, Claire, comme de l’eau de roche. Une chose pareille n’aurait jamais dû lui arriver… Et Juliette, elle est si… Obscure. Sans compter toutes ses maladies, imaginaires bien sûr. Et il y a les hommes. Ah ! les hommes ! Ils sont si…
Warday
28 octobre 1988, Warday, le jour de la guerre. Quatre heures de l’après-midi : le début des encombrements à New York. Soudain, une lueur d’un blanc étrange et c’est le commencement du chaos : les premières bombes soviétiques viennent de tomber sur le sol américain. Quelques minutes plus tard survient la riposte américaine et la Russie à son tour reçoit quelques bombes thermonucléaires. Il n’y aura pas de seconde vague : à Washington comme à Moscou, il ne reste personne qui ait le pouvoir de la lancer.
Trente-six minutes après son déclenchement, la première guerre nucléaire de l’Histoire est terminée. La majeure partie de la Terre n’a pas été touchée par le conflit mais c’est quand même tout un monde qui a été anéanti.
Sept millions d’Américains sont morts et un nombre comparable de Russes. Des millions d’autres vont mourir dans les années suivantes, rongés par les radiations, décimés par les épidémies ou les famines. Car l’explosion des têtes nucléaires a provoqué un choc électromagnétique qui a instantanément mis hors d’usage tout ce qui dépend de l’électronique pour fonctionner: l’allumage des voitures qui s’immobilisent, les systèmes de navigation des avions qui tombent, les ordinateurs dont les mémoires s’effacent; plus de radio, plus de télévision et en général plus de télécommunications.
Cinq ans après le Warday, deux survivants décident de voir ce qu’il est advenu de leur pays. Ils vont découvrir des paysages nouveaux, des personnages hors série : ici des plaines où la chaleur des explosions a vitrifié le sol ; une Californie rattachée à un grand état hispanisant et qui ferme ses frontières aux réfugiés du Texas ou de Nevada parqués dans des camps de transit ; New York où le lierre grimpe à l’assaut des gratte-ciels et où des meutes de chiens sauvages rôdent parmi les ruines.
Warday est un livre extraordinaire : un roman qui se lit comme un document, un reportage qui vous emporte dans un monde que l’on n’imagine pas. Mais le plus effrayant, c’est que tout cela pourrait arriver: le cauchemar de Warday, les savants d’aujourd’hui peuvent en faire la réalité de demain.
Rue de la Soie
1947 : L’Indochine marche vers l’indépendance. Mais entre Hô Chi Minh et le gouvernement français, tout espoir n’est pas évanoui d’une négociation de paix. Telle est la mission officieuse dont est chargé François Tavernier au lendemain de son mariage avec Léa Delmas.
Traquée par d’anciens nazis, celle-ci décide de le rejoindre. De multiples aventures l’attendent entre Saïgon et Hanoï, dans ce pays en proie aux convulsions politiques, et en même temps formidablement attachant par son humanité, sa douceur, la splendeur de se paysages. Léa et François se retrouveront. Mais entre-temps, l’aveuglement des puissants aura laissé se mettre en branle l’engrenage de la guerre…….
Après NOIR TANGO, la suite de l’inoubliable saga inaugurée par LA BICYCLETTE BLEUE.
» Il fallait un certain courage à régine Deforges pour aborder ce sujet douloureux……..Il en fallait aussi pour mener l’enquête avec tant de minutie qu’lle ne laisse pas l’anecdote déborder l’histoire. » Jean Lacouture, Le Nouvel Observateur.
» Un palpitant roman d’aventures, de guerre, d’amitié et d’Extrême-Orient.
Un homme un vrai
1024 pages – Charlie Croker, richissime promoteur de soixante ans, a bâti son immense empire à Atlanta.
Il est le symbole de l’Amérique blanche triomphante – jusqu’à ce qu’un placement immobilier hasardeux le menace de banqueroute. Fareek Fanon, célèbre footballeur noir tout droit sorti du ghetto d’Atlanta, est accusé de viol par une riche et influente Blanche.
Les émeutes raciales menacent la ville: Atlanta la Blanche, ville de pouvoir et d’argent, s’oppose à Atlanta la Noire. Charlie Croker, ancien champion universitaire de football, ne pourrait-il pas réconcilier les deux partis ?
La confrontation entre ces deux univers, orchestrée par un jeune et brillant avocat de la bourgeoisie noire, dévoile une Amérique cosmopolite, gangrenée par le racisme et la violence, dans laquelle se joue une inoubliable comédie humaine.
La maison des enfants
Après « Une femme en blanc », le nouveau combat de Margaux Lespoir. Margaux Lespoir a quarante ans. Après la mort accidentelle de son compagnon, elle a rangé à jamais sa blouse de chirurgien et s’occupe de l’enfance maltraitée. Meurtri, son cœur a encore de l’amour à revendre. Et à la Maison des enfants, on en a toujours besoin. Venue enquêter à Auxerre dans cet établissement qui recueille de jeunes à problèmes, elle y a découvert une équipe formidable, des enfants, tous attachants, qui ne demandent qu’à être écoutés pour prendre un nouveau départ. Elle n’hésite pas longtemps : à côté de son fils et de sa petite fille Aurore, ce sera sa nouvelle famille. Mais l’orage gronde autour de la Maison, qui, pour des raisons pas toujours avouables, en dérange plus d’un. Pour Margaux, l’heure est venue de livrer un nouveau combat.
Terre des affranchis
Victor ouvrit un cahier et prit sa plume. Sa main tremblait au moment d’écrire le premier mot du texte qu’il découvrait. D’un geste méthodique et lent, il traça de grosses lettres capitales sur la feuille. Le manuscrit dactylographié en roumain que Victor Luca s’apprête à recopier est un livre interdit car, en cette année 1972, Ceaucescu est au pouvoir et les temps sont à la répression. Pourquoi Victor écrit-il? Pour oublier l’odeur de la mandragore qui émane parfois des corps sans vie de jeunes filles ? Pour combler le vide des jours de solitude et d’enfermement ? En attendant la nuit et ses promesses d’évasion vers la forêt, immense et mystérieuse, toute proche? Peut-être pour trouver la paix, qui tarde à venir.
Au royaume des ombres
Après De plume et d’épée, qui retraçait les jeunes années d’Arnaud d’Espalungue, et Les Cavaliers de Belle-île, dont les péripéties se situent au sortir de la Fronde, Hubert Monteilhet nous raconte, dans Au Royaume des ombres, le règne personnel du Roi-Soleil, au lendemain de la disgrâce de Fouquet. Pour sauver la reine Anne d’Autriche et la Couronne d’un péril sans précédent, le baron d’Espalungue est chargé, avec son ami d’Artagnan de retrouver, d’arrêter et de mettre au secret un mort-vivant mystérieux qu’on appellera » Le Masque de Fer » . Imbattable dans la connaissance historique, mais aussi dans l’humour et la gaieté de la narration, Hubert Monteilhet nous donne dans ce livre une nouvelle preuve de son talent de romancier historique original.
Poisons
Dans la ville d’Amiens en l’an 1315, la belle Margault se languit de connaître enfin les plaisirs de l’amour. Matthieu, son mari, est certes un homme attentionné, mais il se conduit avec elle plus en grand frère qu’en époux. La curiosité et le désir de se sentir femme lui font céder aux avances de Pierre qui lui fait une cour assidue depuis quelques temps. Mais la nuit d’amour tourne au drame et le destin s’abat sur Margault qui, tombée en disgrâce et bientôt accusée de meurtre, va trouver refuge auprès de ribaudes et sorcières…
Carol
Thérèse travaille dans un grand magasin. Dans la vie de la jeune fille fait irruption une femme belle, fascinante, fortunée. Thérèse découvre, en la fréquentant, ce qu’elle n’a jamais éprouvé pour un homme, l’amour. Une passion va naître et grandir, une complémentarité s’établit, qu’aucune différence des sexes ne peut égaler. Néanmoins, la morale veille par l’intermédiaire du mari de Carol avec lequel elle est en instance de divorce, et qui se servira de leur petite fille pour exercer sur elle un chantage.
L’enragé
Pieter Breughel l’Ancien, ce peintre d’exception du XVIème siècle, est sur son lit de mort et replonge dans ses plus profonds souvenirs. Le jour où il fait son premier dessin, ses parents le traitent de fou, ce qui ne le préoccupe guère. Il continue à aller dans les champs pour s’adonner à sa nouvelle passion. C’est là, qu’un beau jour, il aperçoit une fille de son village dont il s’approche d’un peu trop près. Un paysan les voit et répand la nouvelle dans le village. Quand il rentre chez lui, son père lui annonce, en guise de punition, qu’il est un enfant trouvé et qu’il n’est pas son fils. Sa mère dément tout de suite les déclarations de son mari. Cette révélation le trouble considérablement d’autant que ses parents trouvent la mort quelques années plus tard lorsque le village est rasé par l’envahisseur espagnol. Il va continuer à grandir seul en cherchant le réconfort dans la peinture.
Tristan et Iseult
Tristan, preux chevalier, est mandaté par le roi Marc de Cornouailles, son oncle, pour conduire à Tintagel sa future épouse, Iseult la Blonde, fille du roi d’Irlande. Mais pendant le voyage, une tragique méprise bouleverse le cours des choses : Tristan et Iseult boivent par erreur un philtre d’amour destiné à lier ceux qui l’absorbent par un amour indestructible. Comment les deux amants parviendront-ils à échapper à la colère du roi Marc ? Arriveront-ils à déjouer les pièges que leur tendent leurs puissants ennemis ? De larges extraits annotés. Des questionnaires au fil du texte. Des documents iconographiques exploités. Une présentation des auteurs de Tristan et Iseult. Un aperçu des genres de l’œuvre. Un groupement de textes : « Chevalerie d’hier et d’aujourd’hui »
Le Chat botté
« Je vous raconte ici l’ascension d’un homme. Petit, maigre, avec un drôle d’accent, des cheveux raides et des yeux bleus, il a vingt-cinq ans, il s’impatiente : il n’est rien et il veut tout. Général en disgrâce, il monte de Marseille à Paris au printemps 1795. Après la chute de Robespierre, le pays est en plein chaos. […] A force d’intrigues, de coups de gueule ou de caresses, notre général va réussir. En une saison il écrase une émeute royaliste, épouse la vicomtesse de Beauharnais et se retrouve à la tête de l’armée d’Italie. Sur la route de Nice où il part rejoindre ses troupes pour les lancer en Lombardie dans une guerre de pillage, il francise son nom italien facile à écorcher. Désormais, il va s’appeler Bonaparte. » – P.R.
Outrage public à la pudeur
Piemburg, petite capitale afrikander du Zoulouland, vit au ryhtme tranquille de l’Apartheid. Les Blancs oppressent les Noirs, quoi de plus normal. Et la séparation des « races » est une évidence qui ne saurait être remise en cause. Seulement voilà, de plus en plus d’affaires concernant des « liaisons suspectes entre des officiers de police et des femmes bantoues » sont relayées par la presse. Le lieutenant Verkramp, zélé fonctionnaire de police, va tenter de corriger ces tendances « antisociales », avec l’aide d’une psychiatre néo-nazie et d’un dispositif diabolique. Pendant ce temps, le commandant Van Heerden, chef de la police, fasciné par l’Empire britannique, parfait sa connaissance des Anglais qu’il avait déjà commencée dans Mêlée ouverte au Zoulouland, le premier tome de Tom Sharpe consacré à la satire de l’Apartheid. Dans Outrage public à la pudeur, l’écrivain anglais laisse son imagination débridée entraîner le lecteur dans une valse surréaliste et endiablée (à tous les sens du terme).
La femme du menteur
Tel est le thème de ce roman ironique où se croisent une femme amoureuse, un producteur mythomane, un faux commandant de navire, une relieuse d’art, un brillant journaliste, une étudiante passionnée, un professeur volage, un bouquiniste de génie. Chacun jouant de ses secrets, de ses mensonges et de ses masques, au grand bal de la séduction. Séduire, c’est se prouver qu’on est vivant, expliquait-il chaque fois qu’elle le prenait en flagrant délit et qu’il ne réussissait pas à la convaincre qu’elle avait mal vu, mal entendu, mal lu, mal compris. Mais, en règle générale, il y parvenait. Non parce qu’il était particulièrement habile, ou parce qu’il y mettait beaucoup d’énergie ou de conviction, mais parce qu’elle le voulait bien : Valentine aimait par-dessus tout son confort. Et, mettre Raoul face à un mensonge, le surprendre et le confondre l’aurait obligée à se fâcher, à crier, à le quitter peut-être, ce dont elle ne voulait à aucun prix.
Sanctuary V
Sitôt renversé le régime qui l’avait livrée au pillage des industriels nord-américains, une république d’Amérique latine est tentée par une nouvelle aliénation : le chef de guerre Angel Bello pèse de tout son charisme pour préparer un rapprochement avec Moscou sans que le président intérimaire, Justo Moreno Suarez, trouve la force de lui barrer la route et de le ramener aux idéaux pour lesquels ils ont combattu côte à côte. Presque aveugle aux purges qui déciment la vieille garde, confiant que, malgré les apparences, le nouveau pouvoir partage son attachement à la légitimité constitutionnelle, Justo attend d’être averti de son arrestation imminente pour chercher refuge dans une ambassade avec sa femme et sa fille. Au Sanctuaire, sa cohabitation forcée avec les tortionnaires qu’il espérait à tout jamais chassés de son pays, ses retrouvailles avec d’anciens alliés sacrifiés à la nouvelle ligne, l’enfer d’un quotidien sordide, les tractations mercenaires de la diplomatie, lui ouvrent les yeux sur le destin commun des peuples, toujours soumis au gran chingon, à la raison du plus fort.
La maison des enfants
Après « Une femme en blanc », le nouveau combat de Margaux Lespoir. Margaux Lespoir a quarante ans. Après la mort accidentelle de son compagnon, elle a rangé à jamais sa blouse de chirurgien et s’occupe de l’enfance maltraitée. Meurtri, son cœur a encore de l’amour à revendre. Et à la Maison des enfants, on en a toujours besoin. Venue enquêter à Auxerre dans cet établissement qui recueille de jeunes à problèmes, elle y a découvert une équipe formidable, des enfants, tous attachants, qui ne demandent qu’à être écoutés pour prendre un nouveau départ. Elle n’hésite pas longtemps : à côté de son fils et de sa petite fille Aurore, ce sera sa nouvelle famille. Mais l’orage gronde autour de la Maison, qui, pour des raisons pas toujours avouables, en dérange plus d’un. Pour Margaux, l’heure est venue de livrer un nouveau combat.
L’éducation d’une fée
Que faire lorsque la femme de votre vie décide de vous quitter parce qu’elle vous aime ? Comment sauver le couple de ses parents quand on est un petit garçon de huit ans ? Une fille à la dérive, caissière dans un supermarché, peut-elle devenir cette « bonne fée » qui sauverait un couple en rupture et comblerait les voeux d’un enfant ? Avec la force, l’humour et le style qui ont fait le succès de ses romans, Didier van Cauwelaert nous montre une fois encore comment le quotidien le plus cruel peut basculer dans le merveilleux, et la détresse ouvrir le chemin d’une seconde vie.
Hors de moi
LA DÉDICACE DE L’AUTEUR: Cher lecteur, Imaginez que vous rentrez chez vous après une semaine d’absence. Vous aurez eu un léger accident de voiture, vous sortez de trois jours de coma mais vous vous sentez en pleine forme, en possession de toute votre mémoire : rien n’a changé en vous. Mais vous sonnez à votre porte, et l’homme qui vous ouvre est dans votre pyjama. Votre femme ne vous reconnaît plus. Les voisins ne vous connaissent pas. Et l’individu qui vous a remplacé a la même mémoire que vous, apparemment, mais il a en plus des papiers à votre nom, alors que vous avez perdu les vôtres dans l’accident. Qu’allez-vous faire? Cherchez une réponse dans « Hors de moi », où je vous attends… A bientôt. (Didier van Cauwelaert)
L’inquisiteur
À travers la Garonne médiévale, une troupe de paysans massacre les populations juives en invoquant Dieu. À leur tête : Jean le Hongre, dont l’influence sur les foules est grandissante. Prié par la papauté d’agir, le très intraitable Inquisiteur, Jacques Novelli, entend bien rétablir son autorité. Il décide d’enfermer la belle Stéphanie, la sœur de son ennemi, dont il s’éprend peu à peu…
Une odeur de gingembre
En 1903, Mary Mackenzie embarque pour la Chine où elle doit épouser Richard Collingsworth, l’attaché militaire britannique auquel elle a été promise. Fascinée par la vie de Pékin au lendemain de la Révolte des Boxers, Mary affiche une curiosité d’esprit rapidement désapprouvée par la communauté des Européens. Une liaison avec un officier japonais dont elle attend un enfant la mettra définitivement au ban de la société. Rejetée par son mari, Mary fuira au Japon dans des conditions dramatiques. À travers son journal intime, entrecoupé des lettres qu’elle adresse à sa mère restée au pays ou à sa meilleure amie, l’on découvre le passionnant récit de sa survie dans une culture totalement étrangère, à laquelle elle réussira à s’intégrer grâce à son courage et à son intelligence. Par la richesse psychologique de son héroïne, l’originalité profonde de son intrigue, sa facture moderne et très maîtrisée, Une odeur de gingembre est un roman hors norme.
Les mangeurs de rêves
Ce livre renferme l’aventure la plus intrigante qu’on puisse imaginer. Tout commence par une lettre de rupture, dans laquelle le sieur Roger Bascombe annonce sans ménagement à Miss Temple qu’il annule leurs fiançailles. L’imbécile ! Ignore-t-il qu’une femme bafouée est l’adversaire la plus dangereuse qui soit ? Car l’impétueuse Miss Temple entreprend de le suivre. Elle pousse les portes du manoir d’Hartschmort et découvre un monde aussi irrésistible que terrifiant où se croisent libertins costumés, princes dépravés, comtesses meurtrières et savants fous… Or ces sinistres individus ont pour seul point commun un projet monstrueux : emprisonner les souvenirs et contrôler les consciences.