Le voyage à l’envers
Quelque part sur la mer Egée, voici un » homme qui flotte « . Non que Foulques, surnommé Fou par ses amis, soit cramponné à une épave : en compagnie de Clara, directrice d’un grand journal de mode, et d’un garçon platiné qu’elle a invité pour faire nombre, il passe des vacances luxueuses et sans histoire sur un yacht de location. Mais il n’en est pas moins un naufragé à sa manière, mal dans sa peau de quadragénaire, noyé dans un rêve d’évasion. Il suffira d’une rencontre à Epidaure pour que Fou retrouve soudain l’impression de respirer comme autrefois. T-shirt, blue-jeans et cheveux » blond fraise » – ainsi dit-on chez elle – Jill lui apporte une bouffée d’Amérique qui a pour lui le parfum d’une passion toujours vivante. Avec Jill resurgit l’image d’Alison, une autre blonde qui fut le premier, le seul grand amour d’un jeune Fou de vingt ans, dans l’île de Nantucket, chère à Melville, où il a vécu avec elle le plus bel été de son existence, et le début d’un long roman jamais achevé. Rajeuni par le cadeau de cette passagère inespérée, Fou entreprend un » voyage à l’envers » de son âge, comme si Alison et Jill, comme si les Amériques pouvaient se succéder au point de se confondre, quand on le veut.
Scarlett
« Demain est un autre jour… » Sur ces mots d’une héroïne impétueuse et attachante s’achevait une des plus bouleversantes histoires d’amour jamais racontées. Incarnés à l’écran par Clark Gable et Vivien Leigh, les héros d’Autant en emporte le vent, Rhett Butler et Scarlett O’Hara, sont entrés dans la galerie des amants de légende. Mais pour des millions de lecteurs, leurs amours demeuraient en suspens… Nous révéler la suite : c’est le défi qu’a relevé Alexandra Ripley. Toujours aussi fougueuse et passionnée, Scarlett, qui s’est juré de reconquérir l’homme de sa vie, parviendra-t-elle à surmonter les déceptions et les obstacles multiples qui l’attendent ? C’est dans une Irlande ensanglantée par la guerre, berceau de la famille O’Hara, que le destin nous donnera enfin sa réponse.
Les personnages de ces douze nouvelles sont pleins d’espoirs futiles, ou de désespoir grave. Ils ne cherchent pas à changer le monde. Quoi qu’il leur arrive, ils n’ont rien à prouver. Ils ne sont pas héroïques. Simplement humains. On les croise tous les jours sans leur prêter attention, sans se rendre compte de la charge d’émotion qu’ils transportent et que révèle tout à coup la plume si juste d’Anna Gavalda. En pointant sur eux ce projecteur, elle éclaire par ricochet nos propres existences.
Au pays du fou rire
La So british Lady Clara se fait du mouron. Son fiston, alcoolique de renom, vient de lui annoncer ses fiançailles avec une Américaine. La machine de guerre est lancée. Objectif: récupérer ce traître de rejeton à Hollywood, mythique territoire des stars et starlettes, toutes plus fatales les une que les autres… Un choc des cultures drôle à sa damner.
Pour le meilleur et pour le pire
Jenny Rakowsky est sur le point d’épouser le séduisant Jay Wolfe, un riche avocat d’affaires. Brillante avocate elle aussi, elle défend les causes perdues des femmes en détresse. Malgré leur différence de milieux sociaux, la famille de Jay accueille chaleureusement la jeune femme, lui confie la tâche de défendre leur propriété ancestrale, convoitée par des promoteurs sans scrupules.
Désobéissance
Six avions sont envoyés en mission de bombardement. En désespoir de cause, le commandement les a sacrifiés. Dans l’avion de tête, un vieux colonel n’a qu’un but : ne pas laisser périr des hommes pour des occasions qui ne les valent pas. A bord d’un des avions, un capitaine, passionné de son métier, accepte les ordres, quels qu’ils soient. Il est prêt à mourir ; mais les événements lui donnent tort. Entre les deux hommes, un conflit classique : celui de l’expérience des vraies responsabilités, chez le colonel, contre, chez le capitaine, l’ardeur disciplinée, pouvant aller jusqu’aux automatismes. Les deux hommes sont à trois cents mètres l’un de l’autre dans le ciel. Pour le vieux colonel, il faut refuser les règles d’un jeu imbécile.
Mickey l’ange
Est-il convenable de se sauver le jour même de son mariage ? Est-il normal de trouver chez soi une jeune fille inconnue ? Est-il vraisemblable qu’elle passe au travers des portes et du temps, qu’elle lise dans la pensée des gens et affirme avoir été aux surprises-parties de Louis XIV ? Est-il possible de découvrir un trasor dans les murs d’un vieux château normand ? Est-il raisonnable de courir aux Açores sur les traces d’un ancêtre pirate ? Est-il censé de ne vouloir habiter que le château de Versailles ? Est-il prudent de boire aussi peu d’eau quand on est un jeune professeur de français dans un lycée ? Est-il vrai que l’amour est un mirage ? Est-il vrai que Gauthier de Coudran, dit Mickey l’Ange, ne soit pas un sacré menteur ?
Gretchen sans uniforme
Gretchen sans uniforme est un roman de gare à succès, paru en Allemagne après-guerre. Il raconte l’histoire d’une jeune et jolie allemande engagée dans la Wehrmacht et qui, après la défaite nazie, contracte volontairement une maladie vénérienne pour contaminer les soldats américains d’occupation.
L’anti-vierge Emmanuelle – Tome II
Emmanuelle est en fait un livre en deux parties, sous le même titre mais avec deux sous-titres correspondant aux deux parties successives : La Leçon d’homme et L’Antivierge. Séparés au début par un éditeur clandestin un peu pressé, les deux morceaux ne se retrouveront en librairie sous le titre commun d’Emmanuelle que huit ans plus tard, encore qu’en deux volumes. Par la suite, les aléas de la librairie, et des histoires de droits compliquées plongeront L’Antivierge, encore une fois, dans une étrange absence. Disparue des rayonnages depuis près de vingt ans, la voici réunie à La Leçon d’homme par la volonté de l’auteur et d’un éditeur pour une fois d’accord, ainsi qu’il convient.
Ouragan sur D.M.S Caine
A l’origine, rien ne prédispose Willie Keith à devenir un brillant officier de transmission à bord du dragueur de mines « Caine ». Timide et brouillon de nature, il gagne peu à peu en assurance à voir avec quelle maladresse le capitaine de Vriess dirige le navire. Témoin discret mais lucide, il comprend que l’autorité et l’intransigeance du commandant ne dissimulent en fait qu’une profonde incapacité. Lorsque le commandant Queeg vient relever le commandant de Vriess, l’équipage et la maistrance espèrent gagner au change. Or, très vite, Queeg se révèle pire que son prédécesseur. Déplorable marin et médiocre psychologue, il fait montre d’une nervosité inquiétante, échouant le bateau, accumulant les erreurs de manœuvre, tout en rejetant sur ses subordonnés la responsabilité de ses fautes. Ses manies tyranniques ont fini par créer à bord un état de tension permanente, qu’un ouragan va soudain exacerber. Par ses ordres contradictoires, Queeg met le navire à deux doigts du naufrage. Alors les officiers décident de le destituer et de prendre le commandement. Le témoignage que l’auteur apporte, par l’intermédiaire de Willie Keith, sur les causes de la mutinerie va enfin être présenté au lecteur par les débats du conseil de guerre chargé d’instruire la plainte du commandant Queeg contre ses subordonnés.
Les Belges
Des crimes de Marc Dutroux, en août 1996, à la contamination de poulets par la dioxine, en juin 1999, la Belgique n’a cessé de défrayer la chronique. L’évasion rocambolesque du même Dutroux et le discrédit jeté sur le Tour de France par des fournisseurs flamands de produits dopants complètent la série catastrophe qui révéla la fragilité d’une société ayant accumulé trop longtemps sans réagir deuils et pertes de repères. Le monde entier s’est interrogé : la Belgique, considérée jusqu’alors comme une démocratie stable et prospère, ne sera-t-elle pas en train de bascule dans l’anarchie ? Cet Etat fraîchement fédéralisé allait-il suivre l’exemple de la Yougoslavie et de la Tchécoslovaquie et, à son tour, disparaître du continent européen ?
Malgré leur individualisme atavique et leur scepticisme chronique à l’endroit de toute forme de pouvoir, les Belges ont montré leur capacité, tant morale que politique, à surmonter cette crise et à entreprendre des réformes nécessaires à la restauration de l’État de droit. La « marche blanche » d’octobre 1996 fut le signal de ce redressement. Les élections législatives de juin 1999 ont confirmé cette volonté de réhabilitation de la citoyenneté.
Le récit enlevé et l’analyse brillante de Didier Pavy constituent à l’évidence une mine riche d’enseignement pour une Europe de plus en plus multiculturelle et ouverte sur le monde, où l’État Nation se trouve remis en question et où les élites politiques et intellectuelles doivent gérer des situations économiques et sociales de plus en plus complexes.
Didier Pavy est journaliste. Il est correspondant permanent du Nouvel Observateur et du mensuel économique Challenges en Belgique depuis 1992.
Les secrets de Bart de Wever
Qui est vraiment Bart de Wever ?
L’homme est partout.
Mais que sait-on réellement de lui et de son idéologie ? Habile communicateur, le président de la N-VA ne laisse paraître que ce qui peut le servir dans sa marche triomphale … et cache de lourds secrets. ….
Après avoir refermé ce livre, vous ne verrez plus jamais les choses de la même façon.
Le livre perdu
Hasan entre dans une librairie et choisit ‘Le Gouffre des cœurs , un roman qui le subjugue au point de le faire rater son métro. Ce hasard va lui sauver la vie puisque quelques secondes plus tard, le train explose lui provoquant un évanouissement sans conséquence. A son réveil, le livre a disparu et se révèle épuisé. Hasan entame alors une quête sans limite pour le retrouver.
L’épouse du roi Albert demeure dans la mémoire des Belges et dans celle de tous les Européens une figure rayonnante de chaleur, de courage et d’humanisme.Durant la Première Guerre mondiale, elle alla bien au-delà de ce qu’on exigeait en ce temps d’une souveraine en fait de bonnes oeuvres, et cette reine d’origine bavaroise se dépensa sans compter pour les blessés et les réfugiés. Tout en fortifiant cet esprit de résistance qui a valu à son royal mari le surnom de roi chevalier « , elle tenta en 1917 de faire arrêter la tuerie (elle devait d’ailleurs, jusqu’à la fin de ses jours, se montrer une ardente propagandiste de l’entente entre les nations). Après la mort du roi en 1934 et après les difficultés rencontrées par Léopold III, son fils, à la fin du second conflit mondial son prestige joua un rôle non négligeable dans le crédit dont jouit la monarchie qu’incarne aujourd’hui son petit-fils Baudouin.Mais peut-être est-ce dans le domaine artistique qu’elle aura le mieux servi son pays: amie des poètes et des écrivains (Verhaeren, Valéry, Romain Rolland, Colette, Cocteau…), des savants (Einstein, la famille Curie…), mais plus encore des musiciens (Menuhin, Casals, Oïstrakh…), elle aida la Belgique d’après-guerre à retrouver une place de premier plan dans la culture européenne …
Thanasse et Casimir
Publié entre deux « Toine » en 1942, ce roman très drôle, l’un des préférés de son auteur, met en scène Thanasse, le garde-salle de Cabussart, et son copain Casimir, un ancien poilu français qui manie l’argot avec une verve irrésistible.
Toine Culot, obèse ardennais
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
(Re)découvrez le premier titre de la « Toinade » : des images d’une étonnante poésie et un vocabulaire riche et sans pédanterie se mettent au service d’une histoire simple et drôle, pimentée de jovialité wallonne où Toine, jeune campagnard des Ardennes belges, découvre la vie et l’amour.
Toine dans la tourmente
Lire ou relire Arthur Masson, c’est se plonger dans un bain de jouvence, de bonne humeur et de sagesse terrienne.
Pour le plaisir de ceux qui aiment la bonne littérature de terroir centrée sur la vie quotidienne d’un village wallon, les récits tragi-comiques contés avec avec humour et tendresse – où la saveur du patois relaie le bon usage d’un excellent français – et les personnages hauts en couleur s’affrontant dans les situations cocasses ou émouvantes, voici le souriant et malicieux Toine Culot, aux traits rajeunis par le talent de David Merveille, à nouveau en librairie au fil des cinq volumes de la célèbre «toinade».
Et revoilà le malicieux et souriant Toine Culot dans ces aventures pittoresques qui sentent bon le terroir wallon avec ses expressions savoureuses aux accents traînants, avec cette vie où le temps s’écoule au fil des saisons, à l’époque où le chant du coq rythmait encore le travail de nos villages.
Le testament des dieux, qui seul assure la légitimité du pharaon Ramsès II, demeure introuvable. Sur la piste d’un complot diabolique qui unit des hommes de pouvoir et d’influence, le juge Pazair est déporté dans un bagne. Mû par une volonté inflexible, le petit juge parvient à s’enfuir… De retour à Thèbes, avec l’aide de sa jeune épouse Néféret, médecin réputé, et de ses fidèles amis Kem et Souti, Pazair enfin innocenté poursuit son enquête, avec l’accord tacite du souverain, tandis que meurtres, enlèvements et actes de corruption se multiplient. Mais la fête de régénération approche. Ramsès II devra-t-il abdiquer, mettant ainsi fin à une dynastie millénaire ?
Vipère au poing
Ce roman, le plus célèbre de l’auteur, est aussi largement autobiographique. Comme dans l’ensemble de son oeuvre, Hervé Bazin y donne les raisons de sa haine et de son combat contre toutes les oppressions familiales et sociales. Vipère au poing raconte la lutte impitoyable livrée par Brasse-Bouillon, alias Jean Rezeau, ainsi que ses frères, contre leur mère, une marâtre odieuse, calculatrice et violente. Folcoche, ainsi que ses enfants la nomment, règne avec autorité sur une famille angevine bien-pensante, ne lésinant pas sur les coups de fouet, les brimades et les humiliations. Mais Brasse-Bouillon est malin, vif et clairvoyant. Il affronte sa mère en lui tendant à son tour les pièges qui l’aideront à avoir raison d’elle. Au premier degré, le livre possède un incontestable humour qui marque les esprits (inoubliable Folcoche, parangon de méchanceté !). Mais, il est avant tout un cri d’enfant et la dénonciation d’un certain modèle d’éducation qui fit longtemps les beaux jours des familles françaises. Pour son auteur, cela reste à tout jamais un traumatisme et un échec.
L’Ange de Bagdad
Bagdad, printemps 2003. Chargé d’organiser les exportations clandestines du pétrole brut pendant l’embargo, Michel Samare, ingénieur et homme d’affaires Irakien, attend l’arrivée des Américains. Très vite, il voit s’éloigner les espoirs de démocratie qu’il fondait pour son peuple. Ulcéré par les méthodes d’occupation brutales et le pillage des richesses de son pays, Michel décide de s’opposer à la toute-puissance de George W. Bush. Le combat de David contre Goliath peut sembler utopique. Pourtant, grâce à des complicités internationales nouées du golfe de Guinée au Texas, soutenu par une belle Australienne pacifiste, Michel monte une machination machiavélique destinée à ruiner les intérêts personnels et pétroliers de la famille du président américain.
Féroces
Les Goolrick étaient des princes. Et tout le monde voulait leur ressembler. C’étaient les années 50, les femmes se faisaient des coiffures sophistiquées, elles portaient des robes de taffetas ou de soie, des gants et des chapeaux, et elles avaient de l’esprit. Les hommes préparaient des cocktails, des Gimlet, des Manhattan, des Gibson, des Singapore Sling, c’était la seule chose qu’ils prenaient au sérieux. Dans cette petite ville de Virginie, on avait vraiment de la classe, d’ailleurs on trouvait son style en lisant le New Yorker. Chez les Goolrick, il y avait trois enfants, tous brillants. Et une seule loi : on ne parle jamais à l’extérieur de ce qui se passe à la maison. A la maison, il y avait des secrets. Les Goolrick étaient féroces. Comparé à William Styron et Flannery O’Connor, Robert Goolrick a créé avec son premier roman, Féroces, un de profundis sudiste, dans lequel un fils ne survit pas tout à fait aux crimes du père, même quand il piétine sa tombe avec des chaussures anglaises.
Cet ouvrage est une sélection de quatre meilleurs livre. Opération Firewall: c’est un roman d’action, certes, qui met à jour les ingrédients des classiques de l’espionnage, mais sans être pour autant dépourvu de morale et de sensibilité. Les jardins de vendières: c’est une nouvelle fois, l’auteur d’un grand vent de fleur et de la dentellière d’Alençon déroule pour nous une de ces histoires heureuses dont elle a le secret. Sanction secrète: Que haig connaisse le fonctionnement de l’appareil militaire, voila qui n’a rien d’étonnant. Ce qui est plus étonnant, en revanche, c’est qu’il écrive si bien sur le sujet, en multipliant les effet de surprise. De rêve et de glace: le lecteur est tenu en aleine par l’alternance des pensées et des sentiments que se porte à distance pendant ces deux jours critiques les deux époux.
Ce volume est une sélection de quatre meilleurs livres. La princesse oubliée: une écriture vive, une capacité à nous faire pénétrer dans l’image, un souffle de marathonien. Dans la peau : Un suspense qui ne faiblit pas de la première à la dernière page , avec un superbe revirement… un conte de pure terreur. La tempête blanche : cet itinéraire d’un enfant gelé tient la promesse des précédents chapitres. Julie et Roméo : une variation réussie, amusante et originale sur l’histoire de Roméo et Juliette.
Mélodie du temps ordinaire
Été 1960, Atkinson, petite ville ordinaire du Vermont. Divorcée d’un ivrogne pathétique qui vient encore parfois cogner la nuit à sa porte, Marie Fermoyle s’épuise à joindre les deux bouts, animée d’une ambition farouche pour ses trois enfants et portée par un orgueil qui l’empêche d’accepter l’aide de quiconque. Sa solitude va faire d’elle une proie toute désignée pour Omar Duvall, escroc minable et beau parleur, qui se présente un soir chez elle… Oscillant entre colère et résignation, englués dans leur mal-être adolescent, ni Alice ni Norm, les deux aînés, ne sauront s’opposer à Omar, dont la personnalité inquiétante se révélera peu à peu. Avide de voir sa mère enfin heureuse, le jeune Benjy, lui, taira obstinément son terrible secret : le jour même de l’arrivée de Duvall, il l’a vu poignarder un homme dans la forêt… À travers l’histoire des Fermoyle, à laquelle se trouve inextricablement liée celle de leurs proches et voisins, Mary McGarry Morris a écrit la chronique d’une petite communauté où s’affrontent l’espoir et la peur, le mensonge et la honte, l’obsession du péché et la piété, où se joue une lutte incessante entre la soif de réussite et l’amertume de l’échec. La force de l’intrigue et des personnages, la beauté du style, l’atmosphère lourde et envoûtante qui se dégage du roman en font une œuvre à part, parmi les plus marquantes de la littérature américaine contemporaine.
Rien ne s’oppose à la nuit
Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence.
L’Allée du Roi
De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l’obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d’un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l’âge mûr, quel roman que cette vie ! Dans le personnage et le destin de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, qu’on surnomma « la belle Indienne », se reflètent les aspects contradictoires du « Grand Siècle », dissimulés sous l’apparence immuable de la majesté royale. À partir d’une documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C’est à la découverte d’une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète avec sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne L’Allée du Roi.
Le silence des armes
Guérit-on jamais de la guerre ? De quel combat meurtrier l’homme peut-il être fier ? Engagé pour cinq ans, Jacques Fortier a cru un temps à la noblesse des armes. Blessé, moralement détruit par les atrocités vécues en Algérie, il revient dans son village du jura pour quelques jours de convalescence. Repartir dans les Aurès, c’est accepter la haine et le sang, admettre l’absurde. C’est renier l’enseignement d’un père incompris, refuser les leçons de sa terre natale. Jeter son uniforme, c’est dire non à l’horreur, choisir la vie, mais aussi devenir traître et déserteur aux yeux de la société. Assassin ou proscrit, Jacques doit choisir. » Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis. » Cette phrase résume le drame du Silence des armes, l’une des œuvres majeures de Bernard Clavel.
Diabolique rival
Une famille bourgeoise d’Allemagne. Une famille modèle : Lui, Eduard Barrenberg, est un homme qui a réussi. Quinquagénaire alerte, il est architecte et l’heureux père de Monika, qui a dix-huit ans et prépare son baccalauréat.
Elle, Maria, fut une pianiste virtuose, mais après son mariage, elle a décidé de consacrer sa vie aux siens. Mais rien n’est aussi simple. Édouard Barrenberg aime également une autre femme qui, malgré elle, lui portera malheur. Un homme fou de jalousie va s’acharner sur l’architecte. Il séduira tout à tour Maria et Monika, qui sombrera dans la drogue. De pressions diverses en tentatives de chantage, Petrescu-Makaroff, le trafiquant à la double identité, mettra en péril l’édifice modèle d’Eduard Barrenberg.
Avec la maîtrise qui lui valut ses innombrables succès, Konsalik a composé ici un implacable tableau contemporain. Son livre est un avertissement, mais aussi un livre d’espoir. Car les Barrenberg trouveront en eux-mêmes la force de vaincre et de recommencer.
Une petite ville en Allemagne
1967. La vie politique semble paisible à Bonn. Rien ne prédestinait cette » petite ville en Allemagne » à devenir une capitale, et encore moins un enjeu mondial de la Guerre froide. Pourtant l’émoi s’empare de l’Ambassade de Grande-Bretagne suite à la disparition d’un collaborateur et de dossiers ultra confidentiels. A l’heure où leur pays négocie son entrée dans le Marché commun, les Allemands ne doivent pas savoir. A aucun prix.
Paris au mois d’Août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
Les gens de Smiley
Poussé à enquêter et à résoudre une affaire qu’il aurait pourtant dû étouffer, Smiley se retrouve face à son ennemi de toujours : Karla. Mais l’issue du combat entre les deux espions est encore incertaine. Pour vaincre, Smiley va devoir employer des méthodes qui vont à l’encontre de ses principes, celles-là mêmes qu’employait son adversaire…
La rêve-party
Proche parente de Mary Poppins et d’Amélie Poulain, fille accidentelle du père Noël et de Claire Hennet, voyante très optimiste, Mary Christmas est une fée.
Une comédie enchantée et endiablée où la verve et l’humour de Françoise Dorin nous offrent la plus vive des satires contemporaines.
Les julottes
À quarante-quatre ans, Marie-Jean, directeur d’un cabaret de travestis et écrivain de contes pour enfants à ses heures, s’habille comme une femme, ressemble à une femme et assume sans réserve ses préférences… Elles l’amusent même beaucoup jusqu’au jour où son coup de foudre pour Julie, une adorable garçonne, vient tout compliquer… La jolie Julie aime les hommes et les femmes ne sont pas du tout sa tasse de thé. Par amour, Marie-Jean saura-t-il enfin renoncer à son éternel féminin ?
L’Allée du Roi
De sa naissance dans une prison de Niort à sa mort dans le doux asile de Saint-Cyr, de l’obscure pauvreté de son enfance antillaise à la magnificence de la Cour, de la couche d’un poète infirme et libertin à celle du Roi-Soleil, de la compagnie joyeuse de Ninon de Lenclos au parti pris de dévotion de l’âge mûr, quel roman que cette vie ! Dans le personnage et le destin de Françoise d’Aubigné, marquise de Maintenon, qu’on surnomma « la belle Indienne », se reflètent les aspects contradictoires du « Grand Siècle », dissimulés sous l’apparence immuable de la majesté royale. À partir d’une documentation considérable et en recourant aux nombreux écrits, souvent inédits, de Mme de Maintenon, Françoise Chandernagor a voulu restituer le vrai visage de ce témoin intelligent et sensible. C’est à la découverte d’une femme belle avec esprit, ambitieuse avec dignité, secrète avec sincérité, raisonnable avec passion, que nous entraîne L’Allée du Roi.
La Consolante
Charles Balanda, 47 ans, architecte à Paris, apprend incidemment la mort d’une femme qu’il a connue quand il était enfant, et adolescent. Il déchire la lettre et la jette dans la poubelle de la cuisine. Quand il relève son pied de la pédale et que le couvercle retombe, clac, il a l’impression d’avoir refermé, à temps, une espèce de boîte de Pandore, et, puisqu’il est devant l’évier, s’asperge le visage en gémissant. Retourne ensuite vers les autres. Vers la vie. Se sent mieux déjà. « Allez… C’est fini. C’est fini, tu comprends ? » Le problème, c’est que non, il ne comprend pas. Et il n’y retourne pas, vers la vie. Il perd l’appétit, le sommeil, abandonne plans et projets et va essayer de comprendre pourquoi tout se fissure en lui. Et autour de lui. Commence alors un long travail de deuil au bout duquel il est obligé de se rendre à l’évidence : l’échelle de cette vie-ci est illisible et il faut tout rebâtir. A.G.
La désirade
En 1804, le matelot Nicolas Jean Lafitte a 18 ans. Condamné à mort pour refus d’obéissance, il attend l’exécution de la sentence. Quarante ans plus tard, il remet à Karl Marx un sac d’or pour permettre l’édition de son célèbre manifeste. Jean-François Deniau retrace l’extraordinaire destin de ce corsaire au grand coeur qui faisait fortune « en volant les voleurs », attaquait les navires affectés à la traite des Noirs, s’initiait à l’amour volage dans les maisons closes de La Nouvelle-Orléans, défendait cette même région contre les Anglais et ne rêvait que d’une chose: construire une cité idéale.
Cueillez-moi jolis messieurs…
» Juliette : Trêve de plaisanterie, Claire. Pourquoi as-tu fait ça ? Tu es folle ou quoi ? Claire : C’était très bien ! Très très très bien ! Tu devrais en faire autant. Tu as de la toile d’araignée dans le derrière ma fille. Faut débroussailler ! Juliette : Qu’est-ce qu’y a encore. Qu’est-ce que j’ai fait ? Je n’ai pas rebouché le tube de dentifrice ? Mes cheveux bouchent le lavabo ? Une tétine traîne sous le canapé ? Claire : Point du tout. Juliette : Pourquoi tu es fâchée ? Claire : Mon humeur est excellente. Je maîtrise mon destin. Tout va bien. Juliette : Mon cul. Claire : Que ton cul repose en paix, Juliette. » Elle est pure, Claire, comme de l’eau de roche. Une chose pareille n’aurait jamais dû lui arriver… Et Juliette, elle est si… Obscure. Sans compter toutes ses maladies, imaginaires bien sûr. Et il y a les hommes. Ah ! les hommes ! Ils sont si…
Warday
28 octobre 1988, Warday, le jour de la guerre. Quatre heures de l’après-midi : le début des encombrements à New York. Soudain, une lueur d’un blanc étrange et c’est le commencement du chaos : les premières bombes soviétiques viennent de tomber sur le sol américain. Quelques minutes plus tard survient la riposte américaine et la Russie à son tour reçoit quelques bombes thermonucléaires. Il n’y aura pas de seconde vague : à Washington comme à Moscou, il ne reste personne qui ait le pouvoir de la lancer.
Trente-six minutes après son déclenchement, la première guerre nucléaire de l’Histoire est terminée. La majeure partie de la Terre n’a pas été touchée par le conflit mais c’est quand même tout un monde qui a été anéanti.
Sept millions d’Américains sont morts et un nombre comparable de Russes. Des millions d’autres vont mourir dans les années suivantes, rongés par les radiations, décimés par les épidémies ou les famines. Car l’explosion des têtes nucléaires a provoqué un choc électromagnétique qui a instantanément mis hors d’usage tout ce qui dépend de l’électronique pour fonctionner: l’allumage des voitures qui s’immobilisent, les systèmes de navigation des avions qui tombent, les ordinateurs dont les mémoires s’effacent; plus de radio, plus de télévision et en général plus de télécommunications.
Cinq ans après le Warday, deux survivants décident de voir ce qu’il est advenu de leur pays. Ils vont découvrir des paysages nouveaux, des personnages hors série : ici des plaines où la chaleur des explosions a vitrifié le sol ; une Californie rattachée à un grand état hispanisant et qui ferme ses frontières aux réfugiés du Texas ou de Nevada parqués dans des camps de transit ; New York où le lierre grimpe à l’assaut des gratte-ciels et où des meutes de chiens sauvages rôdent parmi les ruines.
Warday est un livre extraordinaire : un roman qui se lit comme un document, un reportage qui vous emporte dans un monde que l’on n’imagine pas. Mais le plus effrayant, c’est que tout cela pourrait arriver: le cauchemar de Warday, les savants d’aujourd’hui peuvent en faire la réalité de demain.
Rue de la Soie
1947 : L’Indochine marche vers l’indépendance. Mais entre Hô Chi Minh et le gouvernement français, tout espoir n’est pas évanoui d’une négociation de paix. Telle est la mission officieuse dont est chargé François Tavernier au lendemain de son mariage avec Léa Delmas.
Traquée par d’anciens nazis, celle-ci décide de le rejoindre. De multiples aventures l’attendent entre Saïgon et Hanoï, dans ce pays en proie aux convulsions politiques, et en même temps formidablement attachant par son humanité, sa douceur, la splendeur de se paysages. Léa et François se retrouveront. Mais entre-temps, l’aveuglement des puissants aura laissé se mettre en branle l’engrenage de la guerre…….
Après NOIR TANGO, la suite de l’inoubliable saga inaugurée par LA BICYCLETTE BLEUE.
» Il fallait un certain courage à régine Deforges pour aborder ce sujet douloureux……..Il en fallait aussi pour mener l’enquête avec tant de minutie qu’lle ne laisse pas l’anecdote déborder l’histoire. » Jean Lacouture, Le Nouvel Observateur.
» Un palpitant roman d’aventures, de guerre, d’amitié et d’Extrême-Orient.
Un homme un vrai
1024 pages – Charlie Croker, richissime promoteur de soixante ans, a bâti son immense empire à Atlanta.
Il est le symbole de l’Amérique blanche triomphante – jusqu’à ce qu’un placement immobilier hasardeux le menace de banqueroute. Fareek Fanon, célèbre footballeur noir tout droit sorti du ghetto d’Atlanta, est accusé de viol par une riche et influente Blanche.
Les émeutes raciales menacent la ville: Atlanta la Blanche, ville de pouvoir et d’argent, s’oppose à Atlanta la Noire. Charlie Croker, ancien champion universitaire de football, ne pourrait-il pas réconcilier les deux partis ?
La confrontation entre ces deux univers, orchestrée par un jeune et brillant avocat de la bourgeoisie noire, dévoile une Amérique cosmopolite, gangrenée par le racisme et la violence, dans laquelle se joue une inoubliable comédie humaine.
La maison des enfants
Après « Une femme en blanc », le nouveau combat de Margaux Lespoir. Margaux Lespoir a quarante ans. Après la mort accidentelle de son compagnon, elle a rangé à jamais sa blouse de chirurgien et s’occupe de l’enfance maltraitée. Meurtri, son cœur a encore de l’amour à revendre. Et à la Maison des enfants, on en a toujours besoin. Venue enquêter à Auxerre dans cet établissement qui recueille de jeunes à problèmes, elle y a découvert une équipe formidable, des enfants, tous attachants, qui ne demandent qu’à être écoutés pour prendre un nouveau départ. Elle n’hésite pas longtemps : à côté de son fils et de sa petite fille Aurore, ce sera sa nouvelle famille. Mais l’orage gronde autour de la Maison, qui, pour des raisons pas toujours avouables, en dérange plus d’un. Pour Margaux, l’heure est venue de livrer un nouveau combat.
Terre des affranchis
Victor ouvrit un cahier et prit sa plume. Sa main tremblait au moment d’écrire le premier mot du texte qu’il découvrait. D’un geste méthodique et lent, il traça de grosses lettres capitales sur la feuille. Le manuscrit dactylographié en roumain que Victor Luca s’apprête à recopier est un livre interdit car, en cette année 1972, Ceaucescu est au pouvoir et les temps sont à la répression. Pourquoi Victor écrit-il? Pour oublier l’odeur de la mandragore qui émane parfois des corps sans vie de jeunes filles ? Pour combler le vide des jours de solitude et d’enfermement ? En attendant la nuit et ses promesses d’évasion vers la forêt, immense et mystérieuse, toute proche? Peut-être pour trouver la paix, qui tarde à venir.
Au royaume des ombres
Après De plume et d’épée, qui retraçait les jeunes années d’Arnaud d’Espalungue, et Les Cavaliers de Belle-île, dont les péripéties se situent au sortir de la Fronde, Hubert Monteilhet nous raconte, dans Au Royaume des ombres, le règne personnel du Roi-Soleil, au lendemain de la disgrâce de Fouquet. Pour sauver la reine Anne d’Autriche et la Couronne d’un péril sans précédent, le baron d’Espalungue est chargé, avec son ami d’Artagnan de retrouver, d’arrêter et de mettre au secret un mort-vivant mystérieux qu’on appellera » Le Masque de Fer » . Imbattable dans la connaissance historique, mais aussi dans l’humour et la gaieté de la narration, Hubert Monteilhet nous donne dans ce livre une nouvelle preuve de son talent de romancier historique original.
Poisons
Dans la ville d’Amiens en l’an 1315, la belle Margault se languit de connaître enfin les plaisirs de l’amour. Matthieu, son mari, est certes un homme attentionné, mais il se conduit avec elle plus en grand frère qu’en époux. La curiosité et le désir de se sentir femme lui font céder aux avances de Pierre qui lui fait une cour assidue depuis quelques temps. Mais la nuit d’amour tourne au drame et le destin s’abat sur Margault qui, tombée en disgrâce et bientôt accusée de meurtre, va trouver refuge auprès de ribaudes et sorcières…
Carol
Thérèse travaille dans un grand magasin. Dans la vie de la jeune fille fait irruption une femme belle, fascinante, fortunée. Thérèse découvre, en la fréquentant, ce qu’elle n’a jamais éprouvé pour un homme, l’amour. Une passion va naître et grandir, une complémentarité s’établit, qu’aucune différence des sexes ne peut égaler. Néanmoins, la morale veille par l’intermédiaire du mari de Carol avec lequel elle est en instance de divorce, et qui se servira de leur petite fille pour exercer sur elle un chantage.
L’enragé
Pieter Breughel l’Ancien, ce peintre d’exception du XVIème siècle, est sur son lit de mort et replonge dans ses plus profonds souvenirs. Le jour où il fait son premier dessin, ses parents le traitent de fou, ce qui ne le préoccupe guère. Il continue à aller dans les champs pour s’adonner à sa nouvelle passion. C’est là, qu’un beau jour, il aperçoit une fille de son village dont il s’approche d’un peu trop près. Un paysan les voit et répand la nouvelle dans le village. Quand il rentre chez lui, son père lui annonce, en guise de punition, qu’il est un enfant trouvé et qu’il n’est pas son fils. Sa mère dément tout de suite les déclarations de son mari. Cette révélation le trouble considérablement d’autant que ses parents trouvent la mort quelques années plus tard lorsque le village est rasé par l’envahisseur espagnol. Il va continuer à grandir seul en cherchant le réconfort dans la peinture.
Tristan et Iseult
Tristan, preux chevalier, est mandaté par le roi Marc de Cornouailles, son oncle, pour conduire à Tintagel sa future épouse, Iseult la Blonde, fille du roi d’Irlande. Mais pendant le voyage, une tragique méprise bouleverse le cours des choses : Tristan et Iseult boivent par erreur un philtre d’amour destiné à lier ceux qui l’absorbent par un amour indestructible. Comment les deux amants parviendront-ils à échapper à la colère du roi Marc ? Arriveront-ils à déjouer les pièges que leur tendent leurs puissants ennemis ? De larges extraits annotés. Des questionnaires au fil du texte. Des documents iconographiques exploités. Une présentation des auteurs de Tristan et Iseult. Un aperçu des genres de l’œuvre. Un groupement de textes : « Chevalerie d’hier et d’aujourd’hui »