L’amour est le plus fort
Le hasard ? Le destin ?… Pierre a empêché Eva de se tuer mais saura-t-il lui redonner le goût de vivre? Eva, jeune Allemande au pair, qu’un fils de «grande famille» a séduite, souillée… Et qui passivement suit Pierre dans sa mansarde du Quartier latin. Pierre lui aussi a souffert, souffre encore. Petit orphelin mendiant sur les routes, il s’est enfin fixé à Paris il peint, se bat pour survivre…Malgré la grande ville, ses violences et ses intrigues, la confiance renaît en eux. Une grande tendresse les unit, mais qui reste chaste malgré la beauté d’Eva, malgré un désir partagé… Pourquoi ? Et pourquoi chez Pierre – à l’instant du premier succès cette angoisse, cette santé soudain menacée ? Effaçant les épreuves passées, l’amour sera-t-il le plus fort ?
Toilettes pour femmes
Il est à peu prés impossible de résumer le foisonnement de personnages et d’événements que referme cet ouvrage. Marilyn French a réussi un tour de force: fabriquer du banal et du quotidien, sur un ton qui n’est jamais ennuyeux ou plaintif, « un monument aux femmes, à toutes les femmes que j’ai connues », comme elle le dit elle-même. Un très grand roman!
Lucie Ménard. Madame
Violent, irritant, hurlant et désespéré, ce livre éclate de vie.
L’Ecole des parents
Paranoïa
» Tu es un écrivain, mon Fils. Rien ne doit venir déranger ton travail. » Sur cette ultime et austère recommandation, la vénérable Mme Duclos rend à Dieu son âme étriquée et abandonne Fernand à un peu plus de solitude. Que va-t-il faire alors, lui qui a vingt-cinq ans, une vie sans joie ni surprise, une lucidité féroce et beaucoup d’occasions d’être » dérangé » ? Après Oro, Sahara, Parodie, sa célèbre trilogie autobiographique et Fièvres, son premier roman, Cizia Zykë avec Paranoïa nous emporte dans un irrésistible tourbillon d’émotions, de sentiments et de passions. Un texte impitoyable qui nous mène de la plus folle des violences aux larmes, du fou rire au drame, de la cruauté à l’amour. Dans ce roman, Cizia Zykë allie un sens aigu de l’observation sociale à un art subtil de la psychologie et du suspense.
La conjuration de la sixtine
Intrigues de pouvoir, secrets d’État, liens parfois tortueux avec la politique, l’argent ou la mafia… Derrière la splendeur de Saint-Pierre et les bénédictions papales, le Vatican a lui aussi sa part d’ombre. Et dans ses archives interdites dorment des secrets venus du fond des âges.De mystérieuses inscriptions, découvertes lors de la restauration des fresques de la Sixtine, laissent augurer un séisme. Elles constitueraient la vengeance de Michel-Ange contre les papes qui l’ont si durement traité. Mais quelle vengeance? Alors que la Curie veut étouffer l’affaire, le cardinal Jellinek décide de le savoir, coûte que coûte. De l’atelier de Buonarroti à la chambre d’agonie de Jean-Paul I, des écrits kabbalistes médiévaux aux recherches des savants contemporains, il va remonter peu à peu vers la plus inattendue et la plus terrible des révélations. Un secret auquel fut initié le Florentin, et que les nazis ont connu. Une vérité susceptible de faire chanceler l’Église tout entière…
Amazone
Le Fleuve était rouge, le musicien noire et le piano blanc. Curieux tableau, en fait. Et l’ensemble avançait au même rythme que la musique, une musique qui se glissait et se répandait dans la jungle comme un long serpent aux harmonies multicolores. Amazone ou l’étonnante odyssée d’un piano blanc au cœur de la forêt amazonienne : un voyage aux sources de la musique, de la folie et du rêve.
Un animal doué de raison – Tome II
Fa et Bi, les dauphins qui parlent, lui ayant été enlevés par les autorités qui le subventionnaient, le Pr Sevilla a dû quitter son laboratoire, mais il poursuit ses recherches à son propre compte dans une île au sud de la Floride. Soudain, une explosion atomique volatilise, près des côtes de Chine, un cuirassé américain. La Troisième Guerre mondiale va-t-elle éclater ? Complices involontaires du mystérieux attentat, Fa et Bi sont rendus au Pr Sevilla et vont l’aider à déjouer le complot qui menace la paix de la planète.
Des roses plein les bras
Henriette appartient à cette catégorie de personnes qui viennent en fin de liste dans les rubriques. nécrologiques. Elle fait partie de la famille pour y avoir vécu toute sa vie,’ ce qui n’exclut pas qu’elle agace par ses défauts… comme de ne pas être là pour habiller Mme Cartet quand elle veut se rendre au cimetière sur la tombe de son mari. Et Mme Cartet, de ses mains ankylosées par l’arthrite, ; feuillette une fois de plus, inlassablement, pour passer le temps l’album de maroquin noir qui contient les. photos où se résume son existence. Elle s’attarde, toujours sur les mêmes images qui suscitent chaque fois de brefs retours en arrière. Rumination du passé, rumination du présent s’entremêlent dans un long soliloque qui rebondit de souvenir en souvenir et dévoile peu à peu son mystère. En a-t-elle un, cette dame que l’on devine bourgeoise et riche et fort âgée, jamais sortie de sa richesse et de son conformisme paisible ? N’a-t-elle jamais souhaité autre chose ? Le jeu changeant de sa longue rêverie, émiettée comme les paillettes d’un kaléidoscope, .révèle peu à peu son secret, établissant lucidement, cruellement aussi, son bilan.
Fleurs de Ya-Ya
Après Les Divins Secrets des Petites Ya-Ya, Rebecca Wells nous offre un hymne à la fois drôle et émouvant à l’amitié féminine. Dans une petite ville de Louisiane au bord du bayou cajun, dans les années trente, quatre chipies se jurent une amitié éternelle. Elles en font le serment sur Notre-Dame de la Lune : rien, jamais, ne les séparera. Pour toujours, elles seront des Ya-Ya. Bien sûr, il y aura les maris, l’arrivée des enfants, la vie de famille. Bien sûr, il y aura les scandales, les traditions pesantes de ce Sud profond, enferré dans la bigoterie et le racisme. Mais il y aura surtout les fêtes, les cocktails qui réconfortent, et l’entraide, envers et contre tout. Vivi, Tensy, Necie et Caro, ou soixante ans d’une amitié indéfectible, ponctuée de larmes et de rires, de drames et de joies, de grands événements et de petits bonheurs.
Le cœur d’une autre
Bruce, un quadragénaire divorcé, un peu ours, un rien misogyne, est sauvé in extremis par une greffe cardiaque. Après l’opération, sa personnalité, son comportement, ses goûts changent de façon surprenante. Il ignore encore que le cœur greffé est celui d’une femme. Mais quand ce cœur s’emballe avec frénésie devant les tableaux d’un maître de la Renaissance italienne, Bruce veut comprendre. Qui était son donneur ? Quelle avait été sa vie ? Des palais austères de Toscane aux sommets laiteux des Grisons, Bruce mène l’enquête. Lorsqu’il découvrira la vérité, il ne sera plus jamais le même…
Postérité
Que veulent les personnages de ce roman, à travers les passions qui les agitent ? Le plaisir, comme en témoignent leurs aventures érotiques. Le bonheur aussi, et l’amour. Mais par-dessus tout, s’ils montent tant d’intrigues, c’est qu’ils subissent dans leur âme et leur chair les conséquences de la grande révolution qui a rendu l’acte sexuel et la procréation indépendants l’un de l’autre. Postérité, c’est d’abord cela : l’histoire détaillée des rapports d’un certain nombre d’hommes et de femmes autour de la question de la prolongation de l’espèce, rapports d’autant plus explosifs qu’ils ont dorénavant le choix.
Jeanne
Don Juan aujourd’hui qui serait-il ? Une femme, répond Nicole Avril. Jeanne, son héroïne, détient un pouvoir sur les corps et les cœurs, elle est chirurgien : chirurgie cardiaque. A plonger ses mains dans les entrailles, à mener sans relâche un combat contre la mort, Jeanne a appris à jouir d’une existence qu’elle sait toujours menacée, toujours périssable. Avec jubilation, elle possède ses amants successifs, mais, dans sa quête de l’éternel masculin, le désir meurt avec son accomplissement. D’homme en homme, elle poursuit sa chasse car le plaisir est impitoyable. Femme de notre époque, elle se découvre un corps sans limites et il lui faut toujours plus : la volupté et l’amour, le désir et la complicité. Nicole Avril crée avec Jeanne un type de personnage tout à fait nouveau. Haletant et lyrique, le récit mêle, de rebondissements en rebondissements, la joie et la violence « La cruauté, en littérature tout au moins, est signe d’élection »; écrit Cioran
Trente milliards de rats grouillent sous nos pieds, dans le monde d’en bas. Autant de tueurs, porteurs de peste et de mort, que le féroce Alcibiade, numéro deux de l’Empire, rêve de déchaîner contre l’espèce humaine… Face aux complots de ce courtisan ambitieux, le vieux Jupiter, empereur des rats, dispose d’un atout : Coriolan, l’héritier issu d’une rate de laboratoire et capable de dialoguer avec les hommes. A la mort – mystérieuse – de Jupiter, le jeune prince entreprend d’accomplir sa mission de paix, mais le connétable Alcibiade ne désarme pas. Commence alors, au plus profond des égouts et des galeries souterraines, un duel impitoyable pour lequel Alcibiade semble disposer de toutes les armes ; il n’a oublié qu’un détail : Coriolan n’est plus tout à fait un rat… Terreur, suspense, aventure, anticipation… Le romancier de La Nuit des enfants rois et de La Guerre des cerveaux poursuit ici une fresque prodigieuse, d’une imagination époustouflante… et d’un réalisme à donner le frisson. Les rats de Lenteric, c’est Shakespeare underground. Branle-bas d’armées, luttes de pouvoir, princes rampants, en tenue d’apparat, forcément, rongeant leur frein… Ça grouille sérieux sous Montsouris ! Pierre Vavasseur, Le Parisien.
Pedigree
Le 13 février 1903 naît à Liège Roger Mamelin, fils de Désiré, employé d’assurances, et d’Elise Peeters, sans profession. Autour de l’enfant, des oncles et des tantes, des cousins, puis plus tard les pensionnaires auxquels sa mère loue des chambres : tout un monde de personnages avec ses bonheurs et ses malheurs, ses petitesses, ses folies, comme celle de l’oncle Léopold, protecteur de l’anarchiste Marette, coupable d’un attentat… Puis viennent la guerre, les premiers émois sexuels, la révolte aussi, lorsque le jeune garçon prend conscience de sa pauvreté, en même temps que de la médiocrité du monde qui l’environne. Il s’arrêtera in extremis sur le chemin de la délinquance et du vice, résolu à se construire, ailleurs, une autre existence. Roman autobiographique, inoubliable tableau d’un Liège de brouillard et de neige, Pedigree est assurément une des œuvres les plus fortes de Georges Simenon, où l’écrivain a livré, à travers un inventaire sans concession de son enfance, les clefs essentielles de son univers romanesque.
Il était un secret
Le terrible secret d’une femme peut-il en sauver une autre des décennies plus tard ?
Une virée entre amis s’achève en tragédie. Une jeune veuve trouve un bébé abandonné sur le pas de sa porte. Une mère se bat pour sauver son fils de la maladie.
Alors que ces destinées brisées par le temps nous plongent dans des tourbillons d’émotion, la force de l’amour leur permettra de se croiser et de s’unir sous le sceau d’un secret enfin révélé.
Un cri dans la nuit
Jeune divorcée, Jenny se débat dans la vie pour élever ses deux petites filles. Lorsqu’elle fait la connaissance du beau, riche et irrésistible Erich Krueger, Jenny a le coup de foudre. Après une cour hâtive, Erich l’épouse et l’emmène avec ses filles chez lui, au Minnesota, dans une maison de rêve. Mais le bonheur de Jenny ne dure pas longtemps. Bientôt survient une succession d’incidents étranges et terrifiants ; le conte de fées tourne à l’épouvante…Un cri dans la nuit, après La Nuit du renard et La Clinique du docteur H., confirme Mary Higgins Clark comme le maître incontesté du suspense.
Un cœur simple
L’Histoire d’un cœur simple est tout bonnement le récit d’une vie obscure, celle d’une pauvre fille de campagne, dévote mais mystique, dévouée sans exaltation et tendre comme du pain frais.
Elle aime successivement un homme, les enfants de sa maîtresse, un neveu, un vieillard qu’elle soigne, puis son perroquet ; quand le perroquet est mort, elle le fait empailler et, en mourant à son tour, elle confond le perroquet avec le Saint-Esprit. Cela n’est nullement ironique comme vous le supposez, mais au contraire très sérieux et très triste. Je veux apitoyer, faire pleurer les âmes sensibles, en étant une moi-même. Gustave Flaubert.
Ma mère avait raison
Ce roman vrai est la pierre d’angle de la grande saga des Jardin. Après le portrait du père merveilleux (Le Zubial), du sombre grand-père (Des gens très bien), du clan bizarre et fantasque (Le roman des Jardin), voici l’histoire de la mère d’Alexandre. On y découvre une femme hors norme, qui ose tout, et qui s’impose comme l’antidote absolu de notre siècle timoré. Elle est dans les yeux de son fils l’héroïne-née, la tisseuse d’aventures, l’inspiratrice des hommes, la source jaillissante de mille questions – elle est le roman-même. Un roman qui questionne, affole, vivifie et rejoint la joie du fils. Mais la magicienne, hélas, n’est pas éternelle. Certaines femmes, pourtant, ne devraient jamais mourir.
Un amour infaillible
Après une vie mouvementée, Tormod Neshov, le patriarche de la famille, coule enfin des jours paisibles dans sa maison de retraite. Plus rien ne l’empêche désormais de baigner dans les souvenirs de son premier amour, une histoire qu’il a dû nier toute sa vie et que pourtant il n’a jamais oubliée. Comme souvent, c’est lorsqu’on pense que la vie est un long fleuve tranquille que de nouveaux événements viennent tout faire basculer…
Le cas Eduard Einstein
« Mon fils est le seul problème qui demeure sans solution », écrit Albert Einstein en exil. Eduard a vingt ans au début des années 1930 quand sa mère, Mileva, le conduit à l’asile. Le fils d’Einstein finira ses jours parmi les fous, délaissé de tous, dans le plus total dénuement. Trois destins s’entrecroisent dans ce roman, sur fond de tragédie du siècle et d’épopée d’un géant. Laurent Seksik dévoile un drame de l’intime où résonnent la douleur d’une mère, les faiblesses des grands hommes et la voix du fils oublié. Écrivain et médecin, Laurent Seksik est l’auteur de six romans dont « Les derniers jours de Stefan Zweig » traduit dans quinze langues et qui a connu un grand succès.
Moi, Ghisla, sœur de Charlemagne
Le VIIIe siècle touche à sa fin. L’Empire romain est mort, le Moyen Age peine à prendre son essor dans une Europe balbutiante. Un roi apparaît, un visionnaire, un conquérant, un de ces hommes d’exception qui façonnent l’Histoire : Charles, roi des Francs et des Lombards, empereur d’Occident, surnommé Charlemagne. Roland, son neveu, a été le héros de Roncevaux. Mais était-il le neveu du roi ou son fils, comme l’a laissé entendre la légende pendant des siècles ? Trente ans plus tard, Ghisla, sœur de Charles et mère de Roland, révèle le secret de sa naissance, dévoilant l’inexorable métamorphose d’un amour fraternel en un amour fou et interdit aux conséquences dramatiques… De Rome à Paderborn, d’Aix-la-Chapelle à Saragosse, sur fond de guerres, d’intrigues de palais et de tensions religieuses, dans l’effervescence d’un monde à la fois barbare et lumineux, Laure-Marie Lapouge retrace, dans une très belle langue, une épopée historique et passionnelle fascinante.
La vie parlée
Six personnages viennent déposer devant un interlocuteur silencieux qu’ils appellent « Votre Hauteur » : Solange Lasserre la concierge, Camille Bonnavent l’ami de jeunesse, Maurice Forbin l’impresario, Odile Dhue la fille, Henri Nicolet l’homme d’affaires et Xenia Concessio la femme. Ils évoquent Cormier, un grand musicien retiré du monde dans une ville au bord d’un lac. Tour à tour, sans réticence et sur le ton de la conversation, ils racontent Cormier au hasard de leurs souvenirs. Au fil des auditions, le portrait de l’absent se dessine. Par petites touches, sa silhouette apparaît toujours plus précise aux yeux de « Votre Hauteur ». Aux yeux du lecteur.
Naissance d’un pont
« À l’aube du second jour, quand soudain les buildings de Coca montent, perpendiculaires à la surface du fleuve, c’est un autre homme qui sort des bois, c’est un homme hors de lui, c’est un meurtrier en puissance. Le soleil se lève, il ricoche contre les façades de verre et d’acier, irise les nappes d’hydrocarbures moirées arc-en-ciel qui auréolent les eaux, et les plaques de métal taillées en triangle qui festonnent le bordé de la pirogue, rutilant dans la lumière, dessinent une mâchoire ouverte. » Ce livre part d’une ambition à la fois simple et folle: raconter la construction d’un pont suspendu quelque part dans une Californie imaginaire à partir des destins croisés d’une dizaine d’hommes et femmes, tous employés du gigantesque chantier.
La tribu perdu – 2 – Imagine la terre
Finira-t-elle un jour, l’épopée millénaire des Manassés, cette étrange tribu juive oubliée dans la jungle birmane au pied de l’Himalaya ? Dans leurs royaumes éphémères de Babylonie ou de Perse, de Chine ou d’Afghanistan, jamais ils n’ont oublié leur dieu d’Israël. Mais le jour vint où ils perdirent la mémoire de leurs origines. Leur passé fabuleux resurgit peu à peu, grâce à des prédicateurs anglais rencontrés au bout de leur exil. Trois mille ans de tribulations, de persécutions, de victoires et de sang, l’histoire somptueuse et cruelle d’une poignée d’hommes épris de justice et de liberté, hantés par le retour vers la Terre promise. En romancier passionné par cette énigme, Jacques Lanzmann refait le chemin de leur exode et reconstitue l’aventure saisissante de ce peuple légendaire.
Un jeu interdit
Jenny a toujours mené une vie de rêve : des parents aimants, plein d’amis, et l’opportunité de faire tout ce qu’elle veut. Afin d’organiser la fête d’anniversaire la plus éblouissante de l’année pour son amoureux, elle décide d’offrir à ses invités une aventure dont ils se souviendront. Dans le nouveau magasin d’un quartier obscur, l’énigmatique vendeur aux yeux bleus la dirige immédiatement vers « le Jeu », une expérience unique…
Reste avec moi
Elizabeth avait tout pour être heureuse : elle est belle, riche, a beaucoup d’amis et un petit copain beau et intelligent. Le matin de ses 18 ans, elle se réveille sur le bateau où elle a fait la fête avec ses amis. Et elle voit avec horreur un corps flotter à la surface de l’eau : le sien… Pourquoi est-elle encore là, spectatrice de sa propre mort ? Et pourquoi Alex, un garçon de son lycée mort un an plus tôt, est-il avec elle ?
Elizabeth et Alex vont mener l’enquête, observer les vivants et retourner dans leurs souvenirs afin de lever le voile sur de lourds et sordides secrets.
Petit poison et gros soucis
Je l’avoue, moi, Haley Randolph, je suis accro à la maroquinerie. Et comme si mon addiction ne me suffisait pas, j’ai tout un tas de gros soucis… Claudia Gray, mannequin célébrissime, a été empoisonnée ! Et la police me soupçonne du meurtre, encore une fois. Cerise sur la gâteau, mon (presque) amoureux, Ty, me fuit comme si j’avais un gros bouton sur le nez. Il va falloir que je débrouille tout ça : résoudre un homicide et récupérer mon fiancé, c’est un jeu d’enfant pour la reine de la pochette strassée. Ha ! Trop forte !
Insatiable
Dialoguiste pour la série TV « Insatiable », Meena Harper possède un don : elle prédit la mort des gens. Ce qui lui permet de sauver la vie de certains d’entre eux. Son rêve de devenir rédactrice en chef de la série se voit réduit à néant quand la place est donnée à sa rivale Shoshona. Manquant de se faire dévorer par des chauves-souris, Meena est sauvée par Lucien Antonescu, le prince des ténèbres, venu à New York mettre fin à une série de meurtres impliquant certains de ses sujets. Lorsque Meena l’apprend, il est trop tard : elle est déjà amoureuse. Partagée entre le doute et l’épouvante, elle est forcée de se rendre à l’évidence quand elle se retrouve impliquée dans une véritable guerre de clans.
Le peintre des batailles
Ancien photographe, Faulques vit retiré du monde. Hanté par les horreurs des champs de bataille, la peinture est son exutoire. Sa vie bascule quand surgit Markovic, combattant croate décidé à lui demander des comptes. Photographié par Faulques pendant la guerre en Bosnie, devenu malgré lui le symbole du combattant croate, Markovic a assisté aux massacres de sa famille et de ses compagnons …
« Il y a des réponses dont vous avez autant besoin que moi. »
L’amour dure plus qu’une vie
Lorsque le beau et mystérieux Daniel avoue son amour à Lucy, la jeune fille est émue. Mais pourquoi l’appelle-t-il Sophia et prétend-il qu’ils se sont aimés auparavant ? Troublée, Lucy s’enfuit, laissant Daniel au désespoir. il était persuadé qu’elle se souviendrait de leurs vies passées, des siècles plus tôt. Le jeune homme se remémore ses vies antérieures, du soldat de l’Antiquité au chirurgien américain. Lucy voit peu à peu des souvenirs ressurgir. Et si Daniel avait raison ? Pour le savoir, elle décide de percer les secrets de son passé. Mais les forces obscures qui avaient séparé les deux amants refont surface…
Eleanor débarque !
Eleanor débarque ! Santa Barbara : à moi la belle vie ! Quand je suis arrivée dans cette ville, j’ai tout de suite su que j’allais m’éclater ! Il faut dire de j’ai une superpersonnalité… Vous ne trouvez pas ? Nom : Eleanor Medina. Mais tout le monde m’appelle Elle. Adresse : Bonne question…Statut marital : Futur ex-mariée. Plaquée par mon fiancé la veille du mariage. Ne plaît à aucun mec normal de toute façon. S’il y a un tocard dans le périmètre, ne cherchez pas, il est pour moi. Expérience professionnelle : N’ai jamais vraiment travaillé. Mais je pourrais faire un tas de choses, comme… diseuse de bonne aventure ou détective privé ? Prétentions salariales : Aucune… En fait, si ! Au minimum avoir une voiture potable et si possible un chien. Ah ! Et surtout, surtout, garder les pieds sur terre ! Objectifs personnels : Hmm… Devenir quelqu’un de bien ?
Les mésaventures de Tallulah Casey
Tallulah Casey, quatorze ans et demi, trop grande, gros genoux et pas de poitrine, a été admise en stage d’été à Dother Hall, la fameuse école d’arts du spectacle, perdue en pleine campagne dans le Yorkshire. Faute de place au dortoir, Tallulah est hébergée chez les Dobbin, un couple « cato-écolo » épris de nature et parents d’insupportables petits jumeaux. Heureusement, Tallulah se fait vite une bande de copines et si, oh catastrophe, il n’y a pas de garçons à Dother Hall, le village en est truffé ! Il y a les frères Hinchcliff, tombeurs et membres d’un groupe rock, Alex, fils du patron du pub, sublime mais trop vieux, Charlie, Phil, Jack et Ben, élèves à la pension militaire voisine. Premiers baisers et situations délicates à gérer pour Tallulah qui apprend, lors de son évaluation catastrophique de mi-semestre, qu’elle a peu de chances de rester l’année prochaine…Mais soutenue par un de ses profs, Miss Fox qui lui confie le rôle de Heathcliff dans les Hauts de Hurlevent, Tallulah travaille et révèle sur scène tout son talent comique. La représentation est un succès et Tallulah reviendra passer l’année scolaire à Dother Hall !
Beaux mecs et sac d’embrouilles
Mentir, ça n’a vraiment rien de compliqué. En tous cas, cela n’a jamais été un problème pour moi. Jusqu’à l’arrivée d’un certain Tommy Sullivan, fraîchement débarqué en ville dans le seul but de me gâcher l’existence. Bon, d’accord, j’ai trahi sa confiance quand on était au collège, mais c’était il y a quatre ans ! Sans compter qu’il en a profité pour devenir un vrai canon ! Entre mes deux petits copains et mes gros mensonges, le concours » miss Clam » et mon job au restaurant, je ne sais plus où donner de la tête. Et je crois que le retour de Tommy ne va pas arranger les choses…
Miss la gaffe se marie
Lizzie n’en croit pas ses oreilles: le beau Luke, de retour à New York, vient de la demander en mariage! Abasourdie, elle accepte sans même réfléchir. Mais, très vite, le rêve tourne au cauchemar. Lizzie a de plus en plus de travail depuis qu’elle a confectionné la robe de mariée d’une star. Luke passe son temps à étudier, à croire que le mariage n’est pas vraiment sa priorité… Quant à Chaz, le meilleur ami de Luke et futur témoin, il désapprouve totalement cette union! Lizzie est-elle vraiment prête à devenir la nouvelle maîtresse du château Mirac? Luke est-il vraiment le mari idéal? Et si le véritable amour était ailleurs? …
Miss la gaffe à la grande ville
Lizzie est de retour ! Battant le pavé de New York à la recherche d’un emploi, d’un logement et d’une place bien à elle dans l’univers. Lorsque Luke, son amour de vacances, lui propose de « vivre ensemble », elle abandonne aussitôt son projet de colocation avec sa meilleure amie Shari, pour emménager avec lui. Mais Lizzie n’a pas autant de chance dans sa recherche d’emploi. Elle est restée une pipelette invétérée, ce qui ne tarde pas à lui attirer des ennuis, aussi bien au travail qu’à la maison..
Samantha dans tous ses états
Partir en week-end avec son petit ami qui n’est autre que le fils du président n’a rien de banal ! David propose tout simplement à Samantha des balades à cheval, de regarder des DVD et de jouer au Parcheesi. Mais Samantha a un doute. Elle se demande quand même si son invitation ne cache pas autre chose. Et si c’est le cas, elle n’est pas du tout sûre d’être prête à franchir le pas…
Pourquoi pas ?
Bristol, 1985. L’université ! Brian Jackson s’y voyait déjà : une vie d’étudiant sans contrainte, une sexualité débridée, des amis par centaines, un diplôme en or, qui serait suivi d’une entrée fracassante dans la vie active. Oui, mais voilà, la réalité est loin d’être aussi idyllique. Une acné récalcitrante, des fringues informes chinées aux puces, une spécialisation dans la très moyenne et très populaire section de littérature anglaise, pas un sou en poche et une passion farouche pour Kate Bush. Un seul véritable talent : une culture générale qui ferait de lui le candidat idéal pour participer au « Questions pour un champion » local, le quiz télévisé « University Challenge ». Recruté dans l’équipe in extremis, Brian est bien décidé à remporter le trophée et le cœur de la belle et riche Alice, aspirante actrice. Pour l’aider dans sa mission, Rebecca, punkette grande gueule, juive marxiste, improvisée conseillère en relations sociales et sentimentales. Enfin la chance semble lui sourire… Mais lorsque vous vous appelez Brian Jackson, la malchance finit toujours par se rappeler cruellement à vous.
Pauline et Guillaume, Elisabeth et Pierre, Benjamin, Olivier… Dans les années 80, ils étaient inséparables, de ces amitiés qui se nouent à l'aube de l'âge adulte et qui durent pour la vie, même quand la vie nous fait prendre des chemins différents. Vingt-cinq ans plus tard, à l'heure des premiers bilans de la cinquantaine, Pierre et Elisabeth ne savent plus pourquoi ils sont toujours ensemble ; Benjamin papillonne comme un éternel ado, Olivier tire sa révérence. Et Pauline… Contre toute attente, Pauline retrouve Guillaume, le seul à s'être clairement éloigné de tous les autres. Ils ont tellement joué « je t'aime moi non plus » tous les deux, et ça s'est si mal terminé… Espérer contre l'évidence, les statistiques, les leçons du passé, bref la raison la plus élémentaire, que vingt-cinq ans plus tard les mêmes causes ne produisent pas les mêmes effets…
J’ai quelque chose à te dire
New York, 1970. Greta, 20 ans, issue d’une famille juive de la Côte Est, vit une idylle sans nuage avec Jim. A la suite d’un accident de voiture, dont tous deux sortent indemnes, Greta apprend qu’elle ne pourra jamais avoir d’enfant. Un coup dur que Jim n’a pas le courage de surmonter… Pour se remettre de cette épreuve, Greta part à Paris se consacrer à sa nouvelle carrière de journaliste de mode. Son avenir professionnel, qui semblait tracé, est assombri par une nouvelle déception amoureuse, mais surtout par l’annonce de la maladie de sa mère… C’est alors toute sa vie qu’elle remet en question. Car dans les yeux de sa mère c’est son propre avenir qu’elle aperçoit et dont elle s’effraie. Un nouveau voyage au Moyen-Orient lui donnera-t-il la force de vivre, malgré la peur et les incertitudes ?
Une peine à vivre
Face au peloton d’exécution, le dictateur attend la mort. Tandis que les soldats épaulent leurs fusils, l’homme se souvient…
De son enfance misérable; de son engagement dans l’armée; de son absence de scrupules et d’humanité; du putsch sanglant qui fit de lui le maître absolu… Il se souvient surtout de la seule femme qu’il ait aimée et qui a mystérieusement disparu.
Dans quelques instants, les balles traverseront sa poitrine et il sourit… Etrange itinéraire d’un dictateur amoureux qui courut à sa perte pour avoir été confronté à un dilemme terriblement humain : l’amour ou le pouvoir…
Le grand feu
L’incendie du château de Fréteval rapproche Bernold, jeune maître verrier, et Isambour, brodeuse sur toile. Ils s’aiment. D’un amour tendre et passionné. Mais l’oncle de la jeune fille veut la marier au fils du meunier. Bernold enlève Isambour. Après ce rapt chevaleresque, il l’emmène à Blois et l’épouse. Roman de cet amour qui dure les vingt années que dure la vie du couple, Le Grand Feu est aussi celui de toute la société féodale du début du XIIe siècle. Aux alentours de Blois, et dans la vallée du Loir, on construit des villages et des villes, des églises et des donjons fortifiés ; la princesse Adèle, fille de Guillaume le Conquérant, introduit un nouvel art de vivre ; des croisés rentrent de Terre sainte ; les épidémies et les famines sont évoquées en filigrane. Comme sur les tapisseries de Bayeux, qui viennent d’être achevées, c’est tout un monde en mutation – des paysans aux artisans et aux seigneurs – que Jeanne Bourin laisse apparaître ici, et fait revivre.
L’homme tranquille
Vieille édition de 1953 – Après le traité de 1921, les fusils des républicains irlandais et des troupes britanniques se sont tus. Mais la trêve des armes n’est pas celle des sentiments. Dans l’arrière-pays montagneux du sud-ouest de l’Irlande, sur les rives d’une rivière poissonneuse, à la lisière de forêts denses, couve une guerre sans drapeaux ni slogans. Celle que se livrent les héros d’hier, des hommes et des femmes qui ont trop longtemps sacrifié leurs émotions à la cause. Ils se retrouvent à la ferme de Sean, entre frères d’armes, espérant comprendre quelles furent leurs erreurs d’antan. Ils sont tous revenus à Leaccabuie, à l’exception de Nuala, dont le destin tragique hante tous les esprits. Célèbre film de John Ford avec John Wayne et Maureen O’Hara, L’Homme tranquille est avant tout un formidable roman.
Les miroirs truqués
Les miroirs truqués ? Ceux où l’on aime parfois – souvent – se regarder et qui nous renvoient de notre vie une image fausse mais plus douce, en tout cas plus supportable.
Et c’est ainsi que la petite Simone Trinquet, honteuse de sa sordide famille, s’est inventé d’adorables parents; d’autres mensonges ont suivi pour camoufler ses échecs de comédienne; à Hollywood, actrice sans rôle, elle a fait d’une liaison décevante un amour fou. De mensonge en mensonge, de fantasme en fantasme, elle se perd et se piège elle-même dans cette vie imaginaire.
Jusqu’au jour où elle – Simone-Eva – se heurte à la réalité, à une terrible réalité. Après trente ans de jeux de miroirs est-elle encore capable de l’affronter ?
A l’Ouest rien de nouveau
« Quand nous partons, nous ne sommes que de vulgaires soldats, maussades ou de bonne humeur et, quand nous arrivons dans la zone où commence le front, nous sommes devenus des hommes-bêtes… »
Témoignage d’un simple soldat allemand de la guerre de 1914-1918, Àl’ouest rien de nouveau, roman pacifiste, réaliste et bouleversant, connut, dès sa parution en 1928, un succès mondial retentissant. Il reste l’un des ouvrages les plus forts dans la dénonciation de la monstruosité de la guerre.
Le hussard sur le toit
Le hussard sur le toit : avec son allure de comptine, ce titre intrigue. Pourquoi sur le toit ? Qu’a-t-il fallu pour l’amener là ? Rien moins qu’une épidémie de choléra, qui ravage la Provence vers 1830, et les menées révolutionnaires des carbonari piémontais. Le Hussard est d’abord un roman d’aventures ; Angelo Pardi, jeune colonel de hussards exilé en France, est chargé d’une mission mystérieuse. Il veut retrouver Giuseppe, carbonaro comme lui, qui vit à Manosque. Mais le choléra sévit : les routes sont barrées, les villes barricadées, on met les voyageurs en quarantaine, on soupçonne Angelo d’avoir empoisonné les fontaines ! Seul refuge découvert par hasard, les toits de Manosque ! Entre ciel et terre, il observe les agitations funèbres des humains, contemple la splendeur des paysages et devient ami avec un chat. Une nuit, au cours d’une expédition, il rencontre une étonnante et merveilleuse jeune femme. Tous deux feront route ensemble, connaîtront l’amour et le renoncement.
Le Diable au corps
Le premier roman d’un écrivain mort à vingt ans et l’un des plus beaux rôles de Gérard Philipe. En 1918, un lycéen, François (prénom uniquement usité dans le film), s’éprend d’une jeune femme, Marthe, dont le fiancé, Jacques, est au front. L’amour fou, absolu, malgré tout et contre tous, voisins ricaneurs ou parents désemparés. Mais aussi, très vite, l’anxiété, la cruauté inconsciente, l’impossibilité pour un enfant de vivre une aventure d’homme. La guerre finit et ses « quatre ans de grandes vacances », Marthe meurt en mettant au monde l’enfant qu’elle a eu de François et qui sera la « seule de raison de vivre » de Jacques. » En voyant ce veuf si digne, je compris que l’ordre, à la longue, se met de lui-même autour des choses. Ne venais-je pas d’apprendre que Marthe était morte en m’appelant, et que mon fils aurait une existence raisonnable? »
Jacquou le Croquant
Périgord, 1815. Jacquou a huit ans lorsque son père est condamné aux galères et meurt au bagne quelques mois plus tard.
Le jeune garçon jure de se venger de l’arrogant comte de Nansac, responsable de l’arrestation de son père. Quinze ans plus tard, révolté par la misère et les mauvais traitements qui s’acharnent sur lui et les siens, Jacquou rassemble les paysans et les persuade de combattre la tyrannie du comte.
Cette version abrégée du chef d’œuvre d’Eugène le Roy, publié en 1899, est fidèle à l’esprit et à la lettre du roman, tout en suivant les principales étapes du film de Laurent Boutonnat pour l’adaptation de Jacquou le Croquant au cinéma.
Mon oncle Benjamin
En cette fin du règne de Louis XV, Benjamin Rathery est connu dans son village de Clamecy comme un médecin aux méthodes peu orthodoxes. Amateur de bons vins et de bons mots, il manie l’épée et plaît aux femmes, tout en se targuant d’être un célibataire endurci. Tel est le portrait dessiné par son neveu, qui nous raconte son histoire.Sa soeur s’ingénie à lui trouver une épouse, bien qu’il fasse tout pour s’y dérober. Mais, après un incident causé pour une énième beuverie, voilà qu’il blesse accidentellement son beau-frère. Pour gagner son pardon, il se résout à accepter l’arrangement de sa soeur. C’est ainsi qu’il fait la connaissance de Mlle Minxit, une jeune fille d’un village voisin… Ce n’est que le début des frasques hautes en couleur du fantasque oncle Benjamin, honnête homme et bon vivant ! Truculent et turbulent, ce roman picaresque est un hymne à la camaraderie, à la légèreté et aux plaisirs de la vie. » Quiconque ne l’a pas lu, disait Georges Brassens, ne peut se dire de mes amis. »
Poisson d’amour
Ce n’est pas un gros roman, mais il est assez nourrissant. En entrée, un videur de concert rencontre une visiteuse de prison. Coup de foudre et pluie de catastrophes. Une chaise à porteurs envahit soudain la vie d’une famille.
Deux vieilles dames sont ensevelies sous les trophées remportés. par leur petite-fille basketteuse. Une centenaire s’embaume en mangeant des glands, d’après une recette chinoise. Un professeur Dreyfuss, né Himmler, achète le corps-de ses patientes en viager.
Et puis, un sourd oublié dans un moulin sème des pierres, un ancien maire se barricade dans le bureau de son successeur, un cheval passe trois ans de guerre caché dam un grenier.
Mais le personnage central, bien qu’il soit conservé dans du formol, est un poisson. C’est à cause de lui que Béatrice, la visiteuse, et Philippe, le videur, se retrouveront dans la forêt amazonienne, au milieu des Indiens, des chercheurs d’uranium et d’une équipe de tournage guidée par un missionnaire suisse.
Bref : c’est une histoire d’amour. Et donc, me dira-t-on, elle finit mal. Pas forcément. C’est peut-être même là qu’elle commence.