Entre 1959 et 1971, les lecteurs de Pilote se sont passionnés pour Barbe Rouge qui est devenu aujourd’hui un classique de la BD.Les aventures du plus sanguinaire des pirates des Caraïbes reconstituées dans l’ordre de leur création.
Emprisonné dans la forteresse de Mantoue, Eric doit être exécuté sur ordre du baron Spada.
Le premier cercle
Le jeune diplomate Volodine a eu connaissance d’un piège tendu à un médecin de valeur, ami de sa famille, Doit-il le prévenir ? Sa conscience et son coeur disent oui, l’instinct de conservation regimbe. En 1949, sous Staline, il faut se montrer en tout d’une extrême prudence si l’on veut vivre ou simplement survivre, mais alors est-on encore un être humain ? D’ailleurs, il n’existe pas de technique permettant d’identifier les voix. En appelant d’une cabine publique, en faisant vite, les risques restent limités. Et Volodine téléphone. Par malheur, il y a près de Moscou, à Mavrino, une de ces prisons surnommées charachkas où les détenus politiques, pour la plupart ingénieurs et techniciens, sont employés à des travaux de recherche. Ceux de Mavrino s’occupent de mettre au point un téléphone assurant le secret absolu des communications et, accessoirement, d’élaborer un système de codification de la voix analogue à celui des empreintes digitales. Qui sont ces détenus ? Des mathématiciens, des paysans ou de hauts fonctionnaires qui ont plongé par le hasard d’un caprice ou, d’une dénonciation dans l’Enfer de la disgrâce dont la charachka est le premier cercle, le camp de déportation le dernier ? épreuves qu’Alexandre Soliénitsyne, pour les avoir vécues, décrit et dénonce avec vigueur dans ce livre bouleversant.
L’utopie ou la mort !
Les réalistes nous annoncent un effondrement total de notre civilisation au cours du prochain siècle si se prolongent les croissances exponentielles de la population et de la production industrielle, et la misère à perpétuité du Tiers Monde. C’est pourquoi René Dumont propose de réhabiliter les Utopies, et cherche à dessiner, pour notre planète assiégée, les premiers traits d’une société de moindre injustice et de survie, la société sans mépris.
Quand la Chine s’éveillera… le monde tremblera est un essai d’Alain Peyrefitte paru en 1973 chez Fayard. Il s’est vendu à plus de 885 000 exemplaires en comptant uniquement l’édition française. Il a été republié en deux tomes en livre de poche, sous-titrés respectivement Regards sur la voie chinoise et La Médaille et son revers.
Sa thèse principale est que compte tenu de la taille et la croissance de la population chinoise, elle finira inexorablement par s’imposer au reste du monde dès qu’elle maîtrisera une technologie suffisante. Il explique aussi que « La Chine d’aujourd’hui ne prend son sens que si on la met en perspective avec la Chine d’hier ». Alain Peyrefitte considère que le paysan chinois bénéficie d’une indéniable amélioration de son niveau de vie.
Philippe V le Long vient de mourir avant d’avoir atteint trente ans et, comme son frère Louis X le Hutin, sans descendance mâle. Le troisième fils du Roi de fer, le faible Charles IV le Bel, succède à Philippe V. Une évasion de la tour de Londres ; la chevauchée cruelle conduite par une reine française d’Angleterre pour chasser du trône son époux ; un atroce assassinat perpétré sur un souverain… La relance de l’Histoire vient d’Angleterre. La « Louve de France », c’est le tragique surnom que les chroniqueurs donnèrent à la reine Isabelle, fille de Philippe le Bel, qui semblait avoir transporté outre-Manche la malédiction des templiers.
Manon Lescaut
BAC 2023 Dossier pédagogique de Marc Stéphan. Dès que le chevalier Des Grieux aperçoit Manon Lescaut, il tombe immédiatement amoureux de la séduisante jeune femme et s’enfuit avec elle. Mais, très vite, la mystérieuse Manon trompe le sage chevalier et l’entraîne dans une lente descente aux enfers… Passion, trahisons, jeux, prostitution et emprisonnements jalonnent l’histoire devenue légendaire de ces deux amants. ? Parcours associé : Personnages en marge, plaisirs du romanesque.
Boy
Lorsque, à la suite d’un accident, Gilles perd la mémoire, il lui faut tout réapprendre, redécouvrir sa vie. Sa femme Lisa lui raconte leur intimité, son charme fou, leur complicité. Mais chacun doute peu à peu de l’autre et le marivaudage prend peu à peu l’allure d’un affrontement sans merci. « Voilà la vie conjugale, une association de tueurs qui s’en prennent aux autres avant de s’en prendre à eux, un long chemin vers la mort qui laisse des cadavres sur la route. Lorsque vous voyez une femme et un homme devant le maire, demandez-vous lequel des deux sera l’assassin. »
Pas après minuit
Un instituteur quadragénaire se trouve entraîné à la suite d’un couple d’Américains dans des parties de pêche qui sont loin d’être ce qu’elles paraissent. Une jeune actrice se lance dans une quête passionnée dont le dénouement la laissera à jamais désemparée.
Staline
À l’âge de 15 ans, Jean Benoît entre à l’École des beaux-arts de Québec. En 1942, il s’installe à Montréal et, toujours aux Beaux-arts, suit le cours d’Alfred Pellan qui l’initie, dès 1943, aux Manifestes du Surréalisme et au jeu du cadavre exquis. Sous le pseudonyme « Je Anonyme », il signe le manifeste Prisme d’yeux (1948). Avec son épouse, l’artiste Mimi Parent, il part, en 1948, pour Paris et y rencontre André Breton en 1959. C’est à Paris qu’il suivra les cours en ethnologie au Musée de l’Homme qui l’inciteront à aller à la rencontre des arts premiers, surtout en Océanie avec Pierre Langlois, dès 1967.
De même que le général de Gaulle avait écrit un compte rendu complet de son action entre 1940 et 1946 dans ses Mémoires de guerre, les Mémoires d’espoir devaient comprendre trois volumes couvrant son retour aux affaires politiques en 1958 : Le Renouveau 1958-1962. L’Effort 1962-1965. Le Terme 1966-1969. La mort en a interrompu la rédaction, alors que le Général venait d’achever les deux premiers chapitres du tome II. On dispose néanmoins d’un ensemble cohérent et explicite permettant de connaître les conceptions qu’avait le Général des problèmes institutionnels, politiques et conjoncturels de l’époque ou il a dirigé la France et d’en extraire à sa source l’esprit même de la Ve République.
Une journée d’Ivan Denissovitch
En 1962, pour qu’Une joumée d’Ivan Denissovitch pût être publiée en URSS, Soljenitsyne avait dû consentir à des coupures et, par endroits, remanier le texte original. Voici la version intégrale de ce roman si profondément, si tragiquement russe et qui, cependant, fait maintenant partie du patrimoine mondial de la culture. Vingt ans ont passé depuis qu’il a vu le jour. Des oeuvres monumentales ont succédé à ce joyau : le Premier Cercle, le Pavillon des cancéreux, Août Quatorze et ce requiem colossal qu’est l’Archipel du Goulag ; pourtant, c’est toujours Ivan Denissovitch qui revient le premier à la mémoire dès qu’on nomme Soljenitsyne. Récit, dans sa version intégrale, de la douloureuse expérience du maçon Denissovitch dans le camp Solovetski. Cette description crue du goulag a fait sensation dès sa parution.
Retour à Uzès
Il y a cinq ans que Manuel Guérin-Marquez est en Amérique du Sud. II est fiancé à Soledad Alcarez, fille du directeur de la société qui l’emploie. Son avenir s’annonce donc sous des couleurs roses et dorées. Qu’est-ce qui le pousse soudain à fuir, à retourner sans plus attendre vers ce coin de France près d’Uzès où il est né, où vivent sa mère et sa soeur ? Une douleur qui l’a poigne au cours d’une réception chez les Alcarez, des insomnies, des nausées, une sensation ; de fièvre, voilà l’origine de sa décision telle qu’elle surgit au premier abord des souvenirs qu’il note dans son « cahier il rentre se terrer au gîte comme un animal blasé. Mais n’est-ce pas prendre l’effet pour la cause ? Au fur et à mesure qu’il analyse les raisons de . son départ, la nature de son angoisse se dégage peu à peu. C’est une lettre de sa soeur Isabelle à Soledad qui aide à élucider définitivement, la vérité sur ce Retour à Uzès retour au pays de son enfance, monde merveilleux et pur d’où Manuel n’aurait jamais voulu être chassé vers l’âpre et boueuse contrée où se battent pour survivre les adultes privés d’innocence et de foi.
Un chagrin de passage
Cancer des poumons. Le médecin est formel. Dans six mois, Matthieu Cazavel – quarante ans, architecte – sera mort et enterré. Cruauté suprême, septembre a aujourd’hui des allures estivales et Paris resplendit. Dès cet instant, Matthieu décide de démêler l’écheveau de sa vie. Aussi se tourne-t-il naturellement vers les femmes qui ont peuplé » son existence : Sonia, sa ravissante et stupide maîtresse Hélène, l’épouse dont il s’est éloigné depuis longtemps; Mathilde, la seule femme qu’il ait vraiment aimée et qui pourra peut-être modifier la piètre image qu’il a soudain de lui-même.
Aimez-vous Brahms
Quarante ans. L’âge de la plénitude ? Françoise Sagan s’interroge, à travers le personnage de Paule. Paule est décoratrice, divorcée et vit seule. Elle est séduisante et pourtant son visage a perdu sa fraîcheur. Il a quelque chose de résigné. Elle aime Roger depuis six ans et résiste patiemment à ses infidélités. Elle est son point d’ancrage, elle le sait. Mais l’attente et la solitude l’éprouvent chaque jour davantage.
On achève bien les chevaux
Hollywood avant la Seconde Guerre mondiale. Robert Syberten rencontre Gloria Bettie. Comme elle, il est figurant au cinéma. Mais loin d’avoir réalisé leurs rêves, ils n’ont eu qu’un long parcours chaotique semé d’échecs. Désœuvrés et sans argent, ils décident de s’inscrire à un marathon de danse dans l’espoir de décrocher les 1 000 dollars de récompense et de se faire remarquer par un des producteurs formant le public quotidien de ces soirées. Il ne leur reste plus qu’à tournoyer des semaines entières au rythme de l’orchestre. Écrit à la suite de la grande dépression de 1929, « On achève bien les chevaux » est le premier roman noir d’Horace McCoy. Ce texte intemporel, qui n’a rien perdu de sa force évocatrice, est une violente dénonciation du rêve américain. Particulièrement noir et désespéré, il s’attache à explorer l’envers du décor en décrivant la misère de ceux prêts à toutes les humiliations pour pouvoir gagner simplement de quoi survivre. Sidney Pollack en a tiré un très beau film avec notamment Jane Fonda dans le rôle principal. Christophe Dupui
La maison vide
Avant de vivre dans l’ombre de son mari, Jean Guéhenno, elle fut résistante et écrivain. ANNIE GUÉHENNO, résistante et écrivain, est morte à Paris vendredi 28 avril à l’âge de 89 ans. Née à Tréguier le 17 septembre 1916, elle était la veuve de l’écrivain et essayiste Jean Guéhenno (1890-1978).
Le flamboyant à fleurs bleues
Jean-Louis Baghio’o, écrivain français d’origine antillaise, est le nom de plume de Victor Jean-Louis, né le 21 décembre 1910 à Fort-de-France (Martinique) dans une famille originaire de Sainte-Anne (Guadeloupe) et décédé à Paris le 20 décembre 1994.
Des roses plein les bras…
Henriette appartient à cette catégorie de personnes qui viennent en fin de liste dans les rubriques. nécrologiques. Elle fait partie de la famille pour y avoir vécu toute sa vie,’ ce qui n’exclut pas qu’elle agace par ses défauts… comme de ne pas être là pour habiller Mme Cartet quand elle veut se rendre au cimetière sur la tombe de son mari. Et Mme Cartet, de ses mains ankylosées par l’arthrite, ; feuillette une fois de plus, inlassablement, pour passer le temps l’album de maroquin noir qui contient les. photos où se résume son existence. Elle s’attarde, toujours sur les mêmes images qui suscitent chaque fois de brefs retours en arrière.
Le loup des mers
Dès sa parution en 1904 Le Loup des mers fut reconnu comme un chef-d’oeuvre… un chef-d’oeuvre du « roman d’aventures ». Ce qui consterna London – lequel avait rêvé là d’une sorte de « roman total », comme avait pu être un demi-siècle plus tôt le Moby Dick de Melville. Fasciné à l’époque par les idées de Nietzsche – qu’il cherchera à réfuter plus tard sans pouvoir vraiment s’en détacher -, le combat des hommes qu’il évoque, confrontés à un océan aveugle et sourd.
Axle Munshine le savait : sur la planète Xylos, il est interdit de rêver. Pour avoir enfreint cette règle, le voilà transformé en Vagabond des limbes, condamné à errer à travers l’espace à bord du Vaisseau d’argent, pourchassé par la Guilde, et poursuivi par le souvenir obsédant de la blonde Chimeer, tapie dans les replis de sa mémoire, entre rêve et réalité.
Bob Morane 10 – La ville de nulle part
Bob Morane symbolise le héros de BD parfait ! Rusé, costaud, aimant le risque, prêt à lutter contre le mal, ce célébrissime agent des services secrets envoie tout valdinguer sur son passage en compagnie de Bill Balentine, son inséparable compagnon d’aventure. Polytechnicien, polyglotte, commandant d’aviation, aventurier au grand cœur, Bob Morane traque le mal sous toutes les latitudes. Ses ennemis ? L’Ombre Jaune, le Smog et bien d’autres. Son ami ? Bill Ballantine, avec qui il vit des aventures passionnantes.
Clefs pour le tiers monde
Qu’est ce que le Tiers monde ? Sa signification historique avant sa rencontre avec l’Europe, pendant sa colonisation par l’Europe, et à partir de sa libération par l’Europe. Ou en est le Tiers monde ? Sa température politique, son histoire actuelle, ses échecs et ses réussites, ses difficultés. Ou va le Tiers monde ? A la lumière des expériences contemporaines, recherche des règles strictes ou des remèdes empiriques qui semblent les mieux appropriés pour assurer le développement et la croissance, voire le bonheur du Tiers monde.
With its expertly text and large clear colour plates (persian and other oriental carpets for today ) offers a detailed survey of the various persian carpets currently to be found in the trade. Apart from the present situation it discusses also the artistic and general history of carpets. This book is an invaluable source of information to anyone who owns a persian carpets or intends to buy one.
Le livre du tapis
Centres de provenance des tapis d’orient, ils ont été regroupés en cinq grandes zones géographiques: Turquie, Caucase, Perse, Turkestan et Afghanistan, Chine et Inde. Ce répertoire, d’une consultation aisée, est établi selon l’ordre alphabétique des provenances; il est illustré de cartes de chaque région et de splendides reproductions en couleurs des tapis les plus caractéristiques que l’on peut trouver actuellement dans le commerce.
Dans son ouvrage, les pouvoirs secrets de l’homme, le professeur Robert Tocquet rapporte ce propos de Jacques Chevalier, doyen de la faculté des lettres de Grenoble: « La croyance généralement persistante aux fantomes et auxx revenants semblerait dificilement explicable si elle était dénuée de tout fondement réel. Il faut donc examiner impartialement les faits » .
Des roses plein les bras
Henriette appartient à cette catégorie de personnes qui viennent en fin de liste dans les rubriques. nécrologiques. Elle fait partie de la famille pour y avoir vécu toute sa vie,’ ce qui n’exclut pas qu’elle agace par ses défauts… comme de ne pas être là pour habiller Mme Cartet quand elle veut se rendre au cimetière sur la tombe de son mari. Et Mme Cartet, de ses mains ankylosées par l’arthrite, ; feuillette une fois de plus, inlassablement, pour passer le temps l’album de maroquin noir qui contient les. photos où se résume son existence. Elle s’attarde, toujours sur les mêmes images qui suscitent chaque fois de brefs retours en arrière. Rumination du passé, rumination du présent s’entremêlent dans un long soliloque qui rebondit de souvenir en souvenir et dévoile peu à peu son mystère. En a-t-elle un, cette dame que l’on devine bourgeoise et riche et fort âgée, jamais sortie de sa richesse et de son conformisme paisible ? N’a-t-elle jamais souhaité autre chose ? Le jeu changeant de sa longue rêverie, émiettée comme les paillettes d’un kaléidoscope, .révèle peu à peu son secret, établissant lucidement, cruellement aussi, son bilan.
L’Amérique de Mark Twain
Ce livre est plus qu’une simple biographie. Il recrée un monde bariolé, un fourmillement d’existences qui servent de révélateurs à l’image du plus grand humoriste – et d’un des plus grands écrivains – des Etats-Unis. L’Amérique de Mark Twain, c’est celle de la comète de 1835, celle ou fleurissent des sectes et des religions étranges, où des signes flamboient dans le ciel. A Hannibal, dans le Missouri, grandit Samuel Clemens. L’Amérique de Mark Twain, c’est celle du Mississipi, grand-rue du continent – un univers le long d’un fleuve que sillonnent les bateaux à roues. Sur l’un d’eux, Samuel Clemens est pilote. L’Amérique de Mark Twain c’est celle des chercheurs d’or, des aventuriers de la Frontière, avec leurs plaisanteries « énaurmes ». A Virginia City, dans le Nevada, Samuel Clemens est devenu Mark Twain, journaliste humoriste. Au hasard des silhouettes, le lecteur reconnaîtra bien des traits familiers. Car si dans l’Amérique de Bernard De Voto, on rencontre Mark Twain, on rencontre aussi les créatures auxquelles il a donné la vie, Tom Sawyer, Huckleberry Finn et leurs frères.
Duo
Au cours d’un séjour à la campagne, Michel découvre une liaison entre sa femme Alice, qu’il adore, et le trop séduisant Ambrogio. Liaison ancienne et semble-t-il terminée; mais le doute et la jalousie, quand ils s’emparent d’une âme, peuvent-ils lâcher prise à si bon compte ? Face à l’homme partagé entre la colère et le chagrin, Alice tente de conjurer la crise. Gomment faire comprendre à Michel ce qui a de l’importance et ce qui n’en a pas, lui faire sentir les nuances de l’émotion et de la sensualité féminines ? Habile à ménager des silences aussi éloquents que les mots, à éveiller le parfum d’une fleur ou la lumière d’un instant, la romancière de « Sido » et de « L’Ingénue libertine » nous dépeint une femme à la fois espiègle et grave, aimante, mais qui jusqu’au bout refusera de renoncer à elle-même.
A whiff of death
En Anglais – Everyone knew that Ralph Neufeld was a careful young chemist, especially his professor, Lou Brade. That’s why Ralph’s accidental demise due to a confusion of chemicals struck Brade, as well as the police, as highly unlikely. Someone on campus had, somehow, switched bottles on poor Neufeld, and the result was as deadly as had been planned. The trouble was all the right suspects were in the wrong places when it happened…all the wrong suspects had the right motives…and the one person most qualified to solve the crime was already being considered the killer!
Eminent Victorians
En Anglais – Eminent Victorians is a groundbreaking work of biography that raised the genre to the level of high art. It replaced reverence with skepticism and Strachey’s wit, iconoclasm, and narrative skill liberated the biographical enterprise. His portraits of Cardinal Manning, Florence Nightingale, Thomas Arnold, and General Gordon changed perceptions of the Victorians for a generation. Lytton Strachey’s biographical essays on four « eminent Victorians » dropped an explosive charge on Victorian England when the book was published in 1918.
Martha Quest
En Anglais – Intelligent, sensitive, and fiercely passionate, Martha Quest is a young woman living on a farm in Africa, feeling her way through the torments of adolescence and early womanhood. She is a romantic idealistic in revolt against the puritan snobbery of her parents, trying to live to the full with every nerve, emotion, and instinct laid bare to experience. For her, this is a time of solitary reading daydreams, dancing — and the first disturbing encounters with sex. The first of Doris Lessing’s timeless Children of Violence novels, Martha Quest is an endearing masterpiece.
Œuvres – Tome I – 9 récits complets
Gérard Labrunie, dit Gérard de Nerval, est un écrivain et un poète français, né le 22 mai 1808 à Paris. Figure majeure du romantisme français, il est essentiellement connu pour ses poèmes et ses nouvelles, notamment son ouvrage Les Filles du feu, recueil de nouvelles (la plus célèbre étant Sylvie) et de sonnets (Les Chimères) publié en 1854.
9 récits : Petits châteaux de bohême – Les illuminés – Les nuits d’octobre – Promenades et souvenirs – Les filles du feu – Les chimères – La pandora – Aurélia – Lettres à Aurélia
En Anglais – A beautifully written book about the life of the incredibly brilliant and gifted D.H. Lawrence. Highly recommend for anyone who wants to learn more of the man and read some of his most glorious writing.
Journal de prison
« Le Times » c’est le petit nom qu’Albertine donnait à son journal de prison. Ce journal se confond avec le temps lui-même, dont il essaie de tuer le désolant étirement. En 1959, date du présent texte, les « Lettres à Julien », publiées par ailleurs, sont une chronique (« potineuse », dit-elle) de la vie quotidienne – tentative pour en partager avec le destinataire les menus ou les graves événements. Le « Journal écrit pour elle-même, prend au contraire de la hauteur à l’égard des vicissitudes contingentes de tous les jours. Des pages entières, ou des passages brefs en sont repris, soit dans les romans qui la rendront plus tard célèbre, soit dans les « Lettres à Julien ». En quoi ce texte, dont le public a enfin connaissance, peut être regardé comme source et matrice de toute l’inspiration ultérieure. C’est dire son importance historique, indépendamment de l’exceptionnelle beauté d’une méditation où se révèle toute la maturité d’un écrivain qui possédait déjà, à vingt-deux ans, la pleine ,maturité de sa pensée et de son art.
Tout le monde en a discuté. À tort et à travers, parce que personne, jusqu’ici, ne s’est donné la peine de mener une enquête serrée afin de savoir si les OVNIs, les « soucoupes volantes », existaient vraiment. Après avoir tracé l’historique de la « guerre des soucoupes » parmi les hommes (« Le Livre noir des soucoupes volantes »), Henry Durrant nous fait participer ici à son enquête journalistique, investigation qui s’est vite transformée en véritable étude, précise et minutieuse. En ne considérant que le corpus des cas reconnus comme authentiques, en n’y prélevant que des échantillons significatifs, présentant des constantes caractéristiques, l’auteur, vous fera progresser d’expérience en incident, de constat en constat, de dossier en dossier. Chaque dossier complété, refermé, trouvera sa suite naturelle dans l’ouverture du suivant. Vous prendrez ainsi connaissance de témoignages, puis d’évidences : le faisceau de ces évidences constituera un « commencement de preuve », au sens juridique du terme; alors viendront les preuves elles-mêmes, flagrantes, aveuglantes, accablantes. La production des pièces à conviction, la « critique des critiques », feront grincer bien des dents chez les tenants de la société scientifique établie. Henry Durrant va jusqu’à la démonstration par l’absurde du plus grand problème de tous les temps. La vérité se trouve dans Les dossiers des OVNIs. C’est à vous, maintenant, de l’en faire sortir.
Hommes libres…
Arthur Conte est un homme politique et écrivain français spécialisé en histoire. Il fut député des Pyrénées-Orientales, brièvement secrétaire d’État à l’Industrie et au Commerce en 1957 et président de l’ORTF entre 1972 et 1973 ; partisan d’une radio et d’une télévision indépendantes du pouvoir politique, il est destitué de son poste.
« L’auteur voudrait découvrir s’il n’existerait pas, des mots au sens et du langage brut à la pensée, des rapports réguliers et à proprement parler des lois – dont la littérature évidemment tirerait grand profit […] C’est à de telles lois en effet que se réfère ouvertement tout écrivain, sitôt qu’il juge et tranche […] Ainsi les linguistes et métaphysiciens ont-ils soutenu tantôt (avec les Rhétoriqueurs) que la pensée procédait des mots, tantôt (avec les Romantiques et Terroristes) les mots de la pensée – toutes opinions apparemment fondées sur les faits, patientes, savantes, et néanmoins si lâches et contradictoires qu’elles donnent un grand désir de les dépasser. L’art que j’imagine avouerait naïvement que l’on parle, et l’on écrit, pour se faire entendre. Il ajouterait qu’il n’est point d’obstacle à cette communion plus gênant qu’un certain souci des mots. Puis, qu’il est malaisé de persécuter ce souci une fois formé, quand il a pris allure de mythe ; mais qu’il est expédient au contraire de prendre les devants et l’empêcher de naître. »
L’ère des camps
Le système concentrationnaire s'enracine à la structure du XXe siècle. Dénoncé par ses victimes quand elles lui échappent, il l'est aussi par ceux qui brandissent cette dénonciation somme une arme politique contre des régimes réprouvés – mais pas comme le mal absolu. Implacablement le camp s'inscrit dans une sorte de logique de la démence humaine. A chaque découverte, les camps nazis, les camps d'Algérie, les camps soviétiques, de Grèce, du Sud Vietnam… la bonne conscience des « autres » s'exclame : « Comment est-ce possible ? ». Sub specie aeternitatis, c'est au nazisme qu'appartient le triste privilège d'avoir créé le système concentrationnaire et le système d'extermination les plus monstrueusement déments. Mais, en regard de cette terrifiante spécificité » hors concours » du camp nazi, ne peut-on redouter que la conscience universelle ne s'émousse ?
Elle, Adrienne
Les incertitudes de la vie en Europe Centrale ont fait d’Ulric Muhlen, gentilhomme tchèque, un officier dans l’armée allemande. La seconde guerre mondiale et le déferlement nazi en feront un envahisseur peu convaincu puis un vainqueur sceptique. C’est à Paris, dans un de ces salons qui s’ouvraient aux Allemands et aux tenants de la politique de collaboration, qu’il rencontre Adrienne. Qui est cette femme ? Le saura-t-il jamais. Elle est belle, libre, indépendante, elle a un métier et son talent de couturière lui confère une grande renommée. Ulric l’aimera de passion. Mais jamais il ne parviendra à percer son mystère et c’est en vain qu’il tentera de la comprendre, en vain qu’il cherchera à reconstituer le passé de celle dont il subit l’envoûtement. Adrienne incarnera toujours la conquête impossible. Serge, le neveu d’Adrienne, en sait-il davantage ? Lui aussi éprouve pour elle un sentiment proche de l’amour.
L’élève et la leçon
Ce roman relate une nuit de tête-à-tête entre un père, Idir Salah, et sa fille Fadila, celle-ci demandant à son géniteur, médecin à la soixantaine bien entamée, de la délivrer de la grossesse qu’elle porte parce que son compagnon et futur père est un combattant du FLN recherché par la police française. Plus que le dilemme du médecin, dont le serment est de donner la vie et non de la supprimer, et d’un père à qui sa fille demande une telle aide, « L’élève et la leçon » est une nuit de bilan pour le vieux Docteur Idir Salah.
Sa thèse principale est que compte-tenu de la taille et la croissance de la population chinoise, elle finira inexorablement par s'imposer au reste du monde dès qu'elle maîtrisera une technologie suffisante. Il explique aussi que « La Chine d'aujourd'hui ne prend son sens que si on la met en perspective avec la Chine d'hier ». Alain Peyrefitte considère que le paysan chinois bénéficie d'une indéniable amélioration de son niveau de vie. Une nouvelle édition mise à jour est parue en 1980.
Monsieur Bergeret à Paris
Le hasard ou quelque dieu bienfaisant. à moins que ce ne soit simplement le jeu des hiérarchies universitaires, donne au professeur Bergeret une chaire à Paris. Déjà un incident bénéfique l'a débarrassé d'une épouse difficile. Le cœur en paix, sinon J'esprit, M. Bergeret quitte sa ville provincial: accompagné de sa fille et de sa sœur La venue du professeur n’est pas accueillie par tous avec aménité. L'heure est à l'effervescence dans la capitale où les « Trublions » s'énervent. Qui sont-ils ? L’âme de la meute qui hurlait aux chausse d'Emile Zola en réclamant l’étouffement de l'Affaire Dreyfus. Comme Zola, M. Bergeret, auquel Anatole prête nombre de ses idées, est du parti de la révision de l'Affaire.
Un homme se penche sur son passé
L’été, Monge, un trappeur français, vit de la contrebande. Il attrape des chevaux errants aux États-Unis et les vend au Canada. Il n’a pas d’habitation fixe. Cet été-là, il se retrouve dans une famille de fermiers irlandais quelque part en Saskatchewan. Hannah, la fille de la maison, s’éprend de lui, bien qu’elle soit déjà fiancée à un certain Archer, l’homme engagé.