Puissance de la louange
« Puissance de la Louange » fait suite à « De la Prison à la Louange » : de nouvelles applications spirituelles et pratiques, de nouvelles expériences, de nouvelles dimensions de cette vie de louange. C’est de l’authentique, du « vécu », mais présenté de telle façon que le lecteur est mis en mesure d’entrer lui aussi dans ce même monde d’expériences miraculeuses. Ce livre applique courageusement le principe de la reconnaissance déterminée et de la louange à Dieu en toutes circonstances. ll nous introduit parfois dans des situations de vie d’un réalisme tragique. Nous prions le lecteur qui se choquerait de surmonter cette première réaction plus ou moins instinctive, et de reprendre la question à la lumière de la révélation biblique. Nous l’invitons à réagir, non plus en fonction des réflexes naturels ou d’habitudes humaines de pensée, mais en fonction de cette sagesse supérieure, de ces critères divins d’estimation que nous fait découvrir la Parole de Dieu illuminée par l’Esprit-Saint.
Le cortège des vainqueurs
Nous vivons aujourd’hui un double processus. A l’humanisation du divin liée au refus des arguments d’autorité, répond une divinisation de l’humain, conséquence logique de la naissance de l’amour moderne et des relations sentimentales. En dépit des apparences et par-delà les discours récurrents, certaines formes de transcendances persistent. Le divin aujourd’hui n’est plus une donnée extérieure révélée a priori mais s’enracine dans la conscience et la subjectivité humaines. La question du sens de la vie se reformule dans les limites d’un nouvel humanisme. C’est par le don volontaire de soi et l’amour de l’autre que l’individu moderne trouve le sens de sa vie. Le développement de l’idée humanitaire est le symbole par excellence ce cette évolution.
Les médecines naturelles
Guide pratique et art de vivre, le livre du docteur Armelin apporte à chacun les explications et les conseils indispensables pour se garder en forme le plus longtemps possible.
Douze légionnaires
Douze légionnaires forment un commandos qui est parachuté en Afrique noire pour lutter contre une unité qui terrorise la population et se comporte en en pillards. Une ambiance d’héroïsme et de folle bravoure. Un récit passionnant de la première à la dernière ligne.
L’archipel du Goulag – Tome I
Un livre de combat, qui a ébranlé les fondements du totalitarisme communiste et qui brûle encore les mains. Ecrit de 1958 à 1967 dans la clandestinité, par fragments dissimulés dans des endroits différents, il a été activement recherché, et finalement découvert et saisi par le KGB en septembre 1973. Aussitôt, le premier tome a été publié d’urgence en Occident, la pression de l’opinion publique des pays libres étant la seule force capable de sauver l’auteur et tous ceux qui l’avaient aidé. Arrêté en février 1974, Soljénitsyne fut inculpé de trahison, puis, par décret du Présidium du Soviet suprême, déchu de la nationalité soviétique et expulsé d’URSS. Jusqu’à sa publication partielle par la revue Novy mir en 1990, l’Archipel ne sera lu en URSS que clandestinement, par la partie la plus courageuse de l’intelligentsia. Mais, en Occident, il sera répandu à des millions d’exemplaires et provoquera une mise en cause radicale de l’idéologie communiste.
Premier de cordée
« Alors en équilibre sur un clou de soulier et le corps collé à la paroi, il se concentre pour tenir. Il sentit tout à coup que sa jambe était prise d’un tremblement de fatigue, il fit un brusque mouvement pour retrouver la prise de main, mais déjà il basculait. Ses doigts griffèrent le granit sans l’accrocher et il tomba à la renverse sans pousser un cri. »
Pour ramener à bon port le corps de son père, foudroyé en pleine ascension, Pierre est prêt à braver tous les dangers. À Chamonix, les guides se mobilisent: Servettaz était le meilleur d’entre eux. La montagne est une redoutable tueuse, elle sélectionne impitoyablement ses victimes. Celles-ci le savent bien qui la consomment comme une drogue, et la portent dans leur sang. Une histoire de passion, au courage et à la solidarité des hommes.
Les impressionnistes – Gauguin
Raymond Cogniat, né le 14 avril 1896 à Paris et mort le 23 février 1977 dans cette même ville, est un homme de lettres, critique d’art et inspecteur des Beaux-arts français.
Les impressionnistes – Pissarro
Camille Pissarro est né à Saint-Thomas, colonie française des Antilles, le 10 juillet 1830. Son père Abraham juif français d’origine portugaise est commerçant en quincaillerie et sa mère Rachel Manzano-Pomie est créole des Antilles danoises.
Les impressionnistes – Cézanne
Paul Cézanne naît le 19 janvier 1839, à Aix-en-Provence. Son père, Louis Auguste Cézanne, venant de Saint-Zacharie (Var), descendant de petits artisans (drapiers, ferronniers, etc. ) repérés à Marseille depuis la fin du XVIe siècle, possède une chapellerie sur le cours Mirabeau. La famille est assez aisée et le père crée une banque, le 1er juin 1848, 24, rue des Cordeliers[1], établissement qu’il transfère en 1856 13, rue Boulegon[2], ainsi qu’à laquelle il donnera le nom de «Banque Cézanne et Cabassol», de son nom propre et de celui de son associé. Paul Cézanne fréquente le collège Bourbon (devenu lycée Mignet), où il se lie d’amitié avec Émile Zola. Il entreprend sans enthousiasme des études de droit à l’Université d’Aix. Il suit des cours à l’École de Dessin et aménage un atelier au Jas de Bouffan, résidence que son père a acquise. Il se rend une première fois à Paris en avril 1861, poussé par son ami Zola, mais n’y reste que quelques mois et retourne dans le domaine familial à l’automne, inaugurant ainsi une série d’allers-retours entre la ville-lumière et la Provence.
Les impressionnistes – Toulouse Lautrec
Peinture XIXe siècle, cabarets, Goulu, maisons closes, l’univers de Toulouse Lautrec.
Les impressionnistes – Renoir
Dans un bel épanouissement du paysage impressionniste durant la seconde moitié du XIXe siècle, Alfred Sisley occupe une place originale. Singulière destinée que celle de cet anglais, français d’adoption, qui, sans s’écarter de sa voie, sans montrer d’hésitation, sut peindre en toutes saisons les paysages les plus mesurés, les plus harmonieux, à la double gloire de l’Ile-de-France et de la sensibilité de ses habitants. À la lumière des publications existantes, mais aussi et surtout grâce à des renseignements nouveaux – lettres inédites, journaux intimes, tableaux et carnets de dessins retrouvés – il est apparu qu’une étude d’ensemble sur celui que l’on considère, aujourd’hui, comme l’un des créateurs de l’Impressionnisme français, devait être tentée. Dans cette nouvelle monographie, François Daulte s’est proposé de faire revivre la carrière de Sisley, tout en la situant dans son milieu et dans son époque. Si l’artiste quitta parfois sa retraite de Louveciennes et, plus tard, sa chère maison de Moret-sur-Loing pour aller peindre les brouillards de Londres, les régates de Hampton Court ou les falaises de Langland, il revint toujours au coin de terre qu’il avait élu. Ce qui compte dans la vie de Sisley ce sont les liens qui l’unirent à ces rives de la Seine et du Loing, où les gens et les choses lui étaient familiers. Ayant choisi un pays, Sisley s’y est maintenu avec fidélité.
Les impressionnistes – Degas
Cet ouvrage a été publié à l’occasion de l’exposition Degas présentée à Paris, Galeries nationales du Grand-Palais, du 9 février au 16 mai 1988, à Ottawa, National Gallery of Canada, du 16 juin au 28 août 1988, et à New York, Metropolitan Museum of Art, du 27 septembre 1988 au 8 janvier 1989.
L’ane culotte
Le printemps et l’été, rien ne distingue l’âne Culotte de tous les autres ânes. Mais l’hiver, il porte des pantalons ! Et puis, d’où vient-il, cet âne mystérieux ? Et où retourne-t-il une fois que le boulanger et l’épicier ont rempli ses couffins ? Les anciens du village le savent, mais ils n’en parlent pas. Bravant un jour l’interdiction de Grand-mère Ernestine, un jeune garçon, Constantin, grimpe sur le dos de l’âne Culotte pour se rendre dans le pays défendu.
Le soleil se rapprochait. La température devenait intolérable. La soucoupe qui emportait Serge, Xolotl et Thibaut vers Mars était tombée en panne. A présent, elle se précipitait, à une vitesse incalculable, vers le soleil dont la masse en fusion l’attirait irrésistiblement. A tout prix, il fallait réparer, ou ce serait, dans quelques heures, la désintégration totale. Jamais les trois Conquérants de l’Impossible n’avaient affronté un aussi terrible danger. Et pourtant. Deux jours plus tôt, ils partaient en vacances, insouciants, sur les routes de l’Italie.
La grève
Tout débute par une grève de journaliers agricoles dans la région de Jerez à l’époque des vendanges. La garde civile incarcère et torture « pour l’exemple » quelques grévistes. L’un d’entre eux, le jeune Antonio, meurt de ses blessures. Don Alberto se chargera de maquiller en mort naturelle le meurtre d’Antonio. Notaires absents, médecins complices, témoins aveugles, magistrats sourds …Nul n’a rien vu…. Gouverneur opportuniste, maire corrompu, bureaucrates des syndicats phalangistes, médecins marrons, Gitanes graciles, boutiquiers et pêcheurs, journaliers et gardes civils. Toute une société espagnole d’aujourd’hui défile dans une suite d’instantanés pris sur le vif. « La Grève ». Témoignage d’une combattante de la justice!
Les Desmichels – Tome V – Travaux
Une équipe d’ouvriers italiens, beaux garçons et fieffés coureurs, qui s’installe pour de grands travaux dans un village provençal brûlé de soleil et de passions secrètes, voilà de quoi bouleverser femmes et jeunes filles. Même Florina, la riche héritière au beau visage et aux jambes mortes. Même Vincente Revest, veuve trop jeune, sur le point de conclure un mariage de raison. Même la pauvre Angéline qui se tue à élever ses enfants. Mais les travaux finis, les camions s’en vont. « Tu n’es pas de ces femmes qui suivent un homme, un jour ici un jour là. Tu es de celles à qui il faut un toit sur la tête, une cuisinière avec la provision de charbon et de bois, même une chambre avec de gros rideaux et un coffre qui ferme à clé pour garder les sous. Oui, tu es comme ça et c’est peut-être parce que tu es comme ça que je t’ai tant voulue »…
Les Desmichels – Tome IV – La demoiselle
Rosine Jouve, née Desmichels, veut que sa fille Aubette devienne une demoiselle. Elle en sera une. Mieux, elle sera par définition » la Demoiselle », l’institutrice de campagne qui, au prix d’un travail inhumain, face à la hargne et aux calomnies de tout un village, gagnera quelques centaines de francs par mois pour nettoyer de leur crasse corporelle et cérébrale des générations d’enfants, dont elle devra tuer à la fois les poux et les mauvais instincts. Seule issue, lorsqu’à vingt-cinq ans on est veuve, jolie, pauvre et ardente, un mariage « raisonnable « . Pourquoi faut-il qu’il y ait sur la colline un château ruiné, et le séduisant Georges de Saint-Aime… ?
A soixante jours d’intervalle, deux garçons naissent sur le domaine des Michels, la Guirande. Firmin, c’est l’héritier du nom, de la terre, le fils du maître, le maître de demain. L’enfant de Pascaline la servante s’appelle Pascal, il porte le nom du berger Nans, il sera berger et pourtant le premier conçu, l’enfant de l’amour, c’est lui. Saura-t-il pardonner à sa mère sa passion de jeunesse et dominer celle, irrépressible et partagée, qui le jette vers Félicie, la femme de Firmin… ? Le talent chaleureux et sauvage de Thyde Monnier sert à merveille le drame de Nans et son âme déchirée.
Les Thibault – Tome I
Les Thibault est une vaste suite romanesque de Roger Martin du Gard (1881-1958), composée de huit tomes d’inégale longueur dont la publication s’est étalée de 1922 à 1940. C’est tout particulièrement pour cette œuvre, et bien qu’il lui restât encore à en écrire l’Épilogue, que Roger Martin du Gard reçut, dès novembre 1937, le prix Nobel de littérature. Le cycle se compose de huit romans : Le Cahier gris (1922), Le Pénitencier (1922), La Belle Saison (1923), La Consultation (1928), La Sorellina (1928), La Mort du Père (1929), L’Été 1914 (1936) et Épilogue (1940).
L’équitation
Henry Aublet a passé sa vie à observer le comportement des chevaux, à étudier la façon dont ils communiquent entre eux par les signes et les sons. Il a ainsi dressé un véritable vocabulaire de la langue équine. Ses recherches l’ont amené à découvrir d’autres moyens de communication plus subtils encore qu’il utilise avec succès. En précurseur des » nouveaux maîtres » de l’équitation, Henry Aublet préconise une approche par la douceur. Voulez-vous parler cheval ? penser cheval ? êtes-vous ce cavalier soucieux d’améliorer ses performances en compétition, en équitation de loisir… vous trouverez sans nul doute, ici, quelques réponses. Grand classique de la littérature équestre en Angleterre, Je parle aux chevaux… ils me répondent est un best-seller réédité en permanence dans de très nombreux pays. C’est un livre passionnant, plein de sagesse et d’enseignements, illustré d’anecdotes savoureuses… Laissez donc Henry Blake et ses amis Black Beauty, Rostellan ou le vieux Cork Beg vous les conter.
Un taxi mauve
« C’était bien Anne, et quand nous approchâmes, courant dans les derniers cent mètres, la marée montante lui léchait déjà les pieds. Étendue sur le dos, un bras replié sous elle, maculée de vase, elle offrait au ciel son visage livide sur lequel le sang coulant du front avait déjà séché, engluant une paupière et les cheveux épars. Je défis son blouson de daim et passai la main sur sa poitrine. Une mince chemise protégeait un sein tiède qui se soulevait par saccades. »
les rescapés de l’Eldorado
« Attachez vos ceintures! Nous allons atterrir en catastrophe! » crie le pilote. Atterrir en plein coeur de la Sierra Perija ? Alors qu’aucun Blanc ne peut se vanter d’être sorti vivant de la jungle interdite? Comme plongeon dans l’inconnu, il serait difficile de trouver mieux! Beaucoup plus tard, le jeune reporter Luc Dassaut fait le point de la situation : Un appareil hors d’usage. Plus de radio. Quatre survivants seulement. Et les Indiens qui ne vont pas tarder à attaquer! S’ils nous savaient ici, on aurait déjà eu droit à leur visite! Luc Dassaut ne répond rien. Dans la forêt, un martèlement lugubre a retenti. Pas besoin d’être ethnologue pour reconnaître les tam-tams de guerre des Kunaguasaya.
Les Paroissiens de Palente
On n’a jamais fait cela. Ce n’est pas un jugement de valeur, c’est un fait. C’est aussi le cri des premiers lecteurs de cet ouvrage. Clavel était allé plusieurs fois aux usines Lip de Palente dans l’intention de ramener, au bout de quelques semaines, une plaquette documentaire sur ce conflit, le plus grave et le plus chargé d’espérance que la France ait connu depuis longtemps. Six mois après, il nous donne une symphonie avec chœurs et orgues, romanesque, mais peut-être plus vraie que la vérité. Ou encore une sorte de cathédrale. Que les définitions approximatives de cette œuvre s’empruntent à l’architecture ou à la musique, c’est signe qu’elle n’a guère de précédent en littérature. On pourrait même penser à un film soviétique de haute époque, si la plupart des animateurs de la lutte et des principaux personnages de l’ouvrage n’étaient des militants chrétiens – auprès de qui l’auteur semble s’être enrichi. Et le peuple est là, lui aussi, non dans son anonymat, mais dans son âme commune et ses personnalités particulières, que la lutte révèle et qui en retour la nourrissent. C’est ce peuple qui donne souvent à ce livre sa dimension de poème épique.
Le tambour des sables
Jacqueline Sené est issue d’une famille d’artisans menuisiers-ébénistes installés depuis plusieurs siècles à Cervon, village de la Nièvre. Après des études secondaires au lycée d’Auxerre et une licence de lettres à Paris, elle se marie avec Serge Moussard et séjourne huit ans à Djibouti en Afrique orientale, où elle exerce divers métiers, journalisme, secrétariat ou enseignement. Revenue en France au milieu des années 1950, elle s’établit à Chagny en Bourgogne puis à Cervon, petit village du Morvan. Elle commence à écrire vers 1960, prenant comme pseudonyme le nom de son village natal. Elle publie alors régulièrement des livres inspirés par ses voyages : traversée du Sahara, Maroc, Turquie, Iran, Portugal, Grèce, Italie. Elle imagine des histoires qu’elle replace dans un contexte authentique. Les rencontres entre des enfants d’ethnies et de cultures différentes sont nombreuses dans ses romans. Elle n’a cessé de combattre les exclusions et le racisme en créant des histoires tournées vers la rencontre, l’échange, l’amitié et la fraternité.
Tous les chiens du monde
Anne Gondrexon-Ives Browne, cynologue éminente, et juge de renommée internationale dans les expositions et compétitions canines, a vécu – dès son enfance – en compagnie des chiens. C’est en spécialiste et en amie des chiens, qu’elle a rédigé ce guide à l’usage de l’amateur comme du spécialiste. Du choix d’un chien à son éducation, et de sa nichée à son comportement, ce guide répond à toutes les questions que vous vous posez (à partir de la page 8). Pour approfondir votre connaissance du chien : toutes ses caractéristiques externes, de la forme des oreilles aux types de pelages, sans oublier la dentition et mille autres détails (des pages 28 à 35). Les 341 races, soit tous les chiens du monde, sont décrites en détail et illustrées en couleur.
Donnez-nous notre quotidien
A 33 ans, directeur général de Régie-Presse, Daniel Toscan du Plantier décide de lancer un cri d’alarme aux journalistes : Faites des journaux, pas des supports. Homme de publicité, il a pris délibérément par amour et par intérêt le parti des journalistes. France-Soir, le Monde, le Nouvel Observateur, l’Express, Elle… tous ces quotidiens, tous ces magazines aussi évidents pour nous que l’air que nous respirons, qui sont-ils ? De quelles forces matérielles et spirituelles tirent-ils leur existence ? Face au pouvoir des gouvernants, face à l’audio-visuel, face à la publicité quelle peut être ou pourrait être leur réponse ? Cet ouvrage frappe par sa liberté, son indépendance. Daniel Toscan du Plantier n’y parle jamais qu’au nom de lui-même, il n’y défend d’autre parti que le sien qui est nécessairement partiel, partial et subjectif. Tout n’y est pas dit sur la presse et d’aucuns penseront que ce qui y est dit l’est parfois avec grande impertinence. Sans doute et tant mieux. Mais parce que c’est bien d’amour qu’il s’agit, on ne peut manquer après la lecture du livre de Daniel Toscan du Plantier d’avoir perçu quelque chose de ce sensualisme inhérent à la presse dont il parle. Pour un peu on aimerait devenir journaliste soi-même.
Trois amours
Puisque M. Lennox a perdu son associé, pourquoi ne le remplacerait-il pas par Frank ? Lucy Moore, qui veut contre vents et marée aider son mari à faire son chemin, décide d’organiser un dîner en l’honneur de M. Lennox pour lui poser la question. Personne ne lui ayant appris les finesses de la diplomatie, la soirée tourne à sa confusion. Elle en rend responsable Anna, cousine de son mari, dont les interventions ironiques n’ont pas peu contribué à gâcher ses projets. De fil en aiguille, Lucy devient involontairement cause de la mort de Frank. De cette épreuve elle ne tire aucune morale, étant trop occupée à gagner sa vie et celle de son fils Peter. Acceptant toutes les privations, elle travaille pour bâtir l’avenir de Peter. Ses plans sont tracés : elle se reposera quand il sera médecin. Mais l’ingratitude est une des tares humaines les plus répandues et Peter n’en est pas exempt. Abandonnée pour une riche fiancée, la sévère Ecossaise reporte vers Dieu l’énergie et l’amour voués jusque-là au service de Frank et de Peter. La rigidité de la vie conventuelle sera le dernier obstacle où se brisera le personnage pathétique de Lucy Moore.
Sylvie chez le garde forestier
Quand on est une petite fille de huit ans, qu’on habite à Paris un appartement moderne, c’est toute une histoire d’aller vivre chez un garde forestier.
Une forêt noircie par l’hiver, une maison isolée, sans confort, des cousins taquins… voilà ce que découvre Sylvie en arrivant à Bel-Assise. Est-ce la maison de l’ennui?
Non! on ne s’ennuie, pas à Bel-Assise. N’y a-t-il pas des trésors à chercher, des voleurs à surprendre, des animaux à élever? La forêt invite à des équipées passionnantes.
Et le séjour de Sylvie se transforme en de merveilleuses vacances…
Ombres chinoises
Un an après la parution des Habits neufs du président Mao, Simon Leys est retourné vivre en Chine pendant six mois. Ces Ombres chinoises donnent tout leur relief à la propagande, aux récits naïfs ou intéressés des touristes qui encombrent la presse et l’édition. Ce n’est évidemment pas aux maoïstes occidentaux, ces ennemis du peuple chinois, ni aux ministres UDR qu’on peut demander de parler de la Chine.; comme disait Hegel ces gens-là savent ce qu’ils taisent autant qu’ils parlent de ce qu’ils ignorent. Simon Leys a suivi le conseil de Lu Xun : Aussi s’il se trouvait aujourd’hui quelque étranger qui, tout en ayant été admis à s’asseoir au banquet chinois, n’hésiterait pas à vitupérer en notre nom contre la présente condition en Chine, voilà ce que j’appellerais un homme vraiment honnête, un homme vraiment admirable.
L’imprécateur
Rosserys & Mitchell est la plus grande entreprise que le monde ait jamais connue. Elle étend sa puissance sur tous les Etats de la planète. Pourtant, de mystérieux événements qui surviennent dans se filliale française créent d’abord la perturbation puis la panique dans l’seprit des dirigeants, des principaux cadres et du personnels.
Fleur d’agonie
Dans le décor ensoleillé d’un club de vacances, Malou, bourgeoise d’une trentaine d’années, va rencontrer Noël, jeune homme dont la bohème nonchalante séduira sans peine cette jeune femme que son mari ne charme plus.
Matières grises
Des rêves dans des cerveaux. Des cerveaux dans des boîtes. Des boîtes sur des étagères. En l’an 2425, la majeure partie de l’humanité attend qu’il lui soit donné de retrouver un corps, de renaître. Ainsi en est-il de Skeets Kalbfleischer qui, devenu cérébromorphe à l’âge de douze ans, rêve d’être un cow-boy.
Face d’ange et les petits français
Quand un fameux colonel de paras français et deux très jolies femmes de hauts fonctionnaires se font enlever par le commando d’une Armée Populaire de Libération, sur une plage de l’océan Indien, c’est un fait divers. Mais quand deux agents spéciaux américains du Groupe IV s’en mêlent, ça devient un incident diplomatique.
Coplan se méfie
Stupéfait, le chef se pencha pour relever son homme. Mais il resta immobile, cloué de saisis¬sement, les yeux écarquillés, la bouche ouverte. Devant la barque, à moins de deux mètres, dans les roseaux, deux grands yeux noirs le regardaient fixement.
Barbe-Rouge – Le vaisseau de l’enfer
Barbe-Rouge, alias le Démon des Caraïbes, est bien sûr le fameux pirate (imaginé par Charlier & Hubinon) qui écumera toutes les mers du globe à bord de son célèbre Faucon noir. Larguez les amarres !
5- Les flèches de la vengeances
Nouveau-Mexique, fin du XVI° siècle. À la suite d’un jeu d’enfant qui tourne en dispute, Chaka, le chef des Apaches faraondes, tue par accident Plume-Jaune, un jeune guerrier qui convoitait sa place de chef. Cet incident déchire la tribu et le jeune frère du mort, à peine sorti de l’enfance, refuse ce coup du sort et quitte la tribu et sa famille en ne pensant que vengeance. Son chemin croisera Otasani, le vieux Chipiwi sournois qui ne rêve aussi que de vengeance envers le chef des Faraondes, ainsi que celui de guerriers Toguas, ennemis héréditaires de la tribu. Pendant ce temps, le métis ne pense plus qu’à l’or découvert avec Anua, le fils du chef.
3- Les compagnons du mal
La tribu des Faraondes quitte celle des Chipiwis où ils ont passé quelques temps. Anua voudrait épouser la Chipiwi Sapobi, mais son père veut qu’il prenne une Faraonde. Sapobi s’échappe seule pour tenter de les rejoindre. Narena et son père, deux Chipiwis bannis épient les Faraondes et n’ont pas renoncé à se venger d’eux. Et le deuxième fils de Chaka revient dans la tribu, mais exige le départ du métis qu’il déteste, et que le chef des Faraondes, Chaka, protège.
Cri de la chouette
Folcoche, l’héroïne de Vipère au poing, réapparaît chez son fils, après vingt ans de silence. Appauvrie, dégoûtée de la solitude, Madame Rézeau mère sort de sa tanière en ruine,La Belle Angerie. C’est le choc avec la jeune génération ; les enfants de son fils et surtout la sensuelle Salomé lui révèlent un monde bien différent du sien, sans principes, sans préjugés, où le qu’en-dira-t-on ne fait plus la loi. Mordant avec humour, attentif avec amour, Hervé Bazin sait faire parler la jeunesse d’aujourd’hui et redonner vie à une vieille femme avare qui découvre trop tard la joie d’aimer et celle de donner.
Bob Morane 13 – Guerilla à Tumbaga
Un vieux « tramp » bourré d’armes, qui bourlingue à travers la mer des Caraïbes.
Deux clowns sinistres, une ancienne catcheuse de 224 kilos.
La guerre civile dans la petite république de Tumbaga.
Un vrai panier de crabes, dans lequel Bob Morane et Bill Ballantine seront plongés jusqu’au cou.
Mais ils n’ont pas leurs pareils pour arracher les pinces des crabes.
Avec les dents s’il le faut.
Gretchen sans uniforme
Gretchen sans uniforme est un roman de gare à succès, paru en Allemagne après-guerre. Il raconte l’histoire d’une jeune et jolie allemande engagée dans la Wehrmacht et qui, après la défaite nazie, contracte volontairement une maladie vénérienne pour contaminer les soldats américains d’occupation.
L’anti-vierge Emmanuelle – Tome II
Emmanuelle est en fait un livre en deux parties, sous le même titre mais avec deux sous-titres correspondant aux deux parties successives : La Leçon d’homme et L’Antivierge. Séparés au début par un éditeur clandestin un peu pressé, les deux morceaux ne se retrouveront en librairie sous le titre commun d’Emmanuelle que huit ans plus tard, encore qu’en deux volumes. Par la suite, les aléas de la librairie, et des histoires de droits compliquées plongeront L’Antivierge, encore une fois, dans une étrange absence. Disparue des rayonnages depuis près de vingt ans, la voici réunie à La Leçon d’homme par la volonté de l’auteur et d’un éditeur pour une fois d’accord, ainsi qu’il convient.
Ouragan sur D.M.S Caine
A l’origine, rien ne prédispose Willie Keith à devenir un brillant officier de transmission à bord du dragueur de mines « Caine ». Timide et brouillon de nature, il gagne peu à peu en assurance à voir avec quelle maladresse le capitaine de Vriess dirige le navire. Témoin discret mais lucide, il comprend que l’autorité et l’intransigeance du commandant ne dissimulent en fait qu’une profonde incapacité. Lorsque le commandant Queeg vient relever le commandant de Vriess, l’équipage et la maistrance espèrent gagner au change. Or, très vite, Queeg se révèle pire que son prédécesseur. Déplorable marin et médiocre psychologue, il fait montre d’une nervosité inquiétante, échouant le bateau, accumulant les erreurs de manœuvre, tout en rejetant sur ses subordonnés la responsabilité de ses fautes. Ses manies tyranniques ont fini par créer à bord un état de tension permanente, qu’un ouragan va soudain exacerber. Par ses ordres contradictoires, Queeg met le navire à deux doigts du naufrage. Alors les officiers décident de le destituer et de prendre le commandement. Le témoignage que l’auteur apporte, par l’intermédiaire de Willie Keith, sur les causes de la mutinerie va enfin être présenté au lecteur par les débats du conseil de guerre chargé d’instruire la plainte du commandant Queeg contre ses subordonnés.
Aroma, the cultural history of smell
En anglais – Smell is a social phenomenon, given particular meanings and values by different cultures. Odours form the building blocks of cosmologies, class hierarchies, and political odours. They can enforce social structures or transgress them, unite people or divide them, empower or disempower. The authors argue that the sociology of smell is repressed in the modern West, and its social history ignored. This book breaks the « olfactory silence » of modernity. It offers the first comprehensive exploration of the cultural role of odours in Western history – from antiquity to the present. It also covers a wide variey of non-Western societies. Its topics range from the medieval concept of the « odour of sanctity », to the aromatherapies of South America, and from olfactory stereotypes of gender and ethnicity in the modern West to the role of smell in postmodernity. Its subject matter will fascinate anyone who likes to nose around in the inner workings of culture.
Le silence des armes
Guérit-on jamais de la guerre ? De quel combat meurtrier l’homme peut-il être fier ? Engagé pour cinq ans, Jacques Fortier a cru un temps à la noblesse des armes. Blessé, moralement détruit par les atrocités vécues en Algérie, il revient dans son village du jura pour quelques jours de convalescence. Repartir dans les Aurès, c’est accepter la haine et le sang, admettre l’absurde. C’est renier l’enseignement d’un père incompris, refuser les leçons de sa terre natale. Jeter son uniforme, c’est dire non à l’horreur, choisir la vie, mais aussi devenir traître et déserteur aux yeux de la société. Assassin ou proscrit, Jacques doit choisir. » Le monde ne sera sauvé, s’il peut l’être, que par des insoumis. » Cette phrase résume le drame du Silence des armes, l’une des œuvres majeures de Bernard Clavel.
Paris au mois d’Août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
La croule
Au cours d’une « croule » –la chasse aux bécasses à l’époque des amours, au mois de mars – Jérôme Meret s’effondre, terrassé par une crise cardiaque. Du jour au. lendemain, Carine, sa fille de dix-huit ans, se retrouve seule maîtresse du domaine « Le Brizon », avec ses fermes, ses bois, sa plaine, ses étangs :un beau domaine malheureusement grevé de dettes, peu à peu mené à la ruine par son propriétaire. « Le Brizon », c’est toute la vie de Carine. La terre, les animaux, la chasse, comment pourrait-elle s’en passer ? Mais comment éviter de vendre ? Comment lutter contre les créanciers qui fondent sur elle ? Révélée à elle-même par Marc Seliavine, un homme d’affaires jusque-là peu scrupuleux, et ayant révélé à celui-ci la puissance et la pureté de la vie, cette vie que l’on découvre seulement dans un contact étroit avec la nature, Carine trouvera-t-elle auprès de celui qu’elle aime – follement, comme tout ce qu’elle, fait l’aide qu’elle en attend ? L’entreprise dans laquelle elle s’est lancée : sauver « Le Brizon », n’est-elle pas démesurée ? Peut-on tout posséder sans risquer de tout perdre ? La Sologne, avec ses paysages, son gibier, que’ Paul Vialar sait merveilleusement décrire, ajoute son pouvoir d’incantation à ce combat de chaque instant que mène une femme de chasse, une femme tout court, pour conquérir le bonheur.
Le noeud gordien
Humaniste, homme de réflexion et homme d’action, Georges Pompidou a écrit Le Noeud gordien après les événement de Mai 1968. Dans cet ouvrage, le lecteur trouvera avant tout de quoi nourrir ses interrogations actuelles sur l’évolution des idées et de la société. La notion de dialogue, le destin du marxisme, les problèmes économiques et sociaux, ceux de l’Université forment la trame de cet essai politique dans lequel on retrouve la Corce, mêlée d’une lucidité parfois brutale, de l’homme qui devait être amené à exercer les plus hautes fonctions. Bien plus que d’un testament politique, il s’agit d’une remise en question de l’Homme dans le monde moderne. Le Noeud gordien est un message d’authenticité : » La République doit être celle des « politiques » au sens vrai du terme, de ceux pour qui les problèmes humains l’emportent sur tous les autres. » Comme l’indique Georges Pompidou lui-même dans sa préface: » Ceux qui me liront trouveront à l’état brut et sans aucune adjonction ultérieure divers éléments de ma pensée, telle qu’elle cherchait à se définir au moment où le destin allait me précipiter dans l’action et les responsabilités. «
Les 186 marches (Mauthausen)
Christian Bernadac, né le 1er août 1937 à Tarascon (aujourd’hui Tarascon-sur-Ariège) et mort le 12 décembre 2003 à Compiègne1, est un journaliste et écrivain français. Ses ouvrages sur la déportation ont connu un succès public considérable dans les années 1960-1970.
Forteresse moyenâgeuse de granite et de béton sur-plombant le Danube, encerclée d’un infranchissable réseau électrifié de barbelés, le camp de Mauthausen, aux 150 000 morts, fut pendant des années le calvaire quotidien de plusieurs milliers de détenus.
Mauthausen, c’est avant tout « Les 186 Marches », « Le Grand Escalier » qu’il faut gravir, chargé de pierres, dans la bousculade du pas de course, sous les coups de crosse ou du gummi, tous les jours par tous les temps, avec sa faim, avec sa soif, avec sa peur, que l’on soit trop jeune ou trop vieux, agonisant ou convalescent. Mais Mauthausen, camp d’extermination par le travail, c’est aussi le camp d’extermination « par traitements plus raffinés et secrets », réservés à certaines catégories spéciales de déportés : républicains espagnols, Tchécoslovaques après l’attentat contre Heydrich, prisonniers de guerre soviétiques, Français Nuit et Brouillard, etc. // « Les 186 Marches » est un nouveau chapitre de cette enquête historique sans précédent, consacrée par Christian BERNADAC à la déportation. Des centaines de témoignages inédits et de dépouillement d’archives jusqu’ici inaccessibles ont permis à l’auteur de retracer la vie et la mort quotidienne de Mauthausen, mais aussi les événements de l’histoire du camp les plus spectaculaires et les plus méconnus.