Jerry Spring -4- Trafic d’armes
Le Mexique en pleine révolution, une fois de plus… Le shérif Pat McCoy, un vieil ami de Jerry Spring (voir l’épisode Golden Creek), lui transmet une lettre d’un grand journal new-yorkais qui lui propose d’écrire un article sur les évènements. Jerry décide d’accepter l’offre, et de profiter de l’occasion pour tenter de retrouver son ami Pancho, dont il n’a plus de nouvelles. Pour renflouer ses finances autant que pour lui permettre de voyager au Mexique sans éveiller la méfiance, il accepte de convoyer dix caisses de machines à coudre jusqu’à la ville de Chihuahua. Là, il devra les remettre à un certain Jose Almanza y Padilla et touchera 1000 dollars pour ce travail.
En 1969, il crée, sur scénario de Christian Godard, la série qui va le rendre célèbre, La Jungle en folie. Christian Godard raconte que c’est Mic Delinx qui vient le solliciter, désespéré parce qu’on ne lui donne plus de travail à Pilote et qu’il a charge de famillen 2. Godard, qui apprécie le talent de Mic Delinx, trouve alors un sujet pouvant lui convenir qu’il propose au rédacteur en chef de l’hebdomadaire Pif, qui se montre intéressé et demande un essai sur vingt pages. Le succès est immédiat et les gags de La Jungle en folie sont publiés régulièrement dans Pif jusqu’en 1978 puis de manière occasionnelle jusqu’en 19864,5.
Sur Terre (ou presque), de nos jours (ou presque). Un scénariste habitué des séries à succès relit son dernier cru avec la vedette pressentie. Quelque part dans l’espace, le héros, Axle recherche sa bien aimée, Choumeer, qu’il ne peut rencontrer que dans ses rêves. Ailleurs, sur une autre planète, le véritable Axle, en compagnie de Musky, a demandé audience à une rabatteuse afin de retrouver Chimeer, la femme de ses rêves. La rabatteuse lui confie son animal de compagnie, une grosse chenille bleue qui donne le pouvoir aux hommes d’accéder à leurs rêves.
Les amies de ma femme
Mais qui sont-elles, toutes ces nanas ? Elles passent des heures au téléphone, complices et incurables, boudeuses ou pathétiques… Marie-Rose, Béatrice, Hélène et les autres… Les éternelles fauchées, les nymphos en mal d’amants, les suicidées bon pied bon oeil… Albert en a ras-le-bol. Quand il rentre, le soir, il aimerait qu’on le câline… Eh bien, non! Même si elle est chouette, tendre et sensuelle, Victoire n’a pas le temps… Les copines d’abord ! Mais le jour où Victoire se fait la malle, les copines prennent le relais. Premières, vernissages, déjeuner avec l’une, dîner avec l’autre, coups de fil… Toute une stratégie pour qu’Albert ne sombre pas. Un Clan qui monte au créneau pour l’aider à retrouver sa sorcière bien-aimée… Et Dieu sait pourtant si elle réserve des surprises !
Dans Manger pour bien guérir, vous trouverez des menus équilibrés, des conseils pour guérir les troubles fonctionnels( colites, ballonnement, aérophagie, constipation…) baisser votre taux de cholestérol, prévenir les maladies cardio-vasculaires, rester jeune.
L’épouse du roi Albert demeure dans la mémoire des Belges et dans celle de tous les Européens une figure rayonnante de chaleur, de courage et d’humanisme.Durant la Première Guerre mondiale, elle alla bien au-delà de ce qu’on exigeait en ce temps d’une souveraine en fait de bonnes oeuvres, et cette reine d’origine bavaroise se dépensa sans compter pour les blessés et les réfugiés. Tout en fortifiant cet esprit de résistance qui a valu à son royal mari le surnom de roi chevalier « , elle tenta en 1917 de faire arrêter la tuerie (elle devait d’ailleurs, jusqu’à la fin de ses jours, se montrer une ardente propagandiste de l’entente entre les nations). Après la mort du roi en 1934 et après les difficultés rencontrées par Léopold III, son fils, à la fin du second conflit mondial son prestige joua un rôle non négligeable dans le crédit dont jouit la monarchie qu’incarne aujourd’hui son petit-fils Baudouin.Mais peut-être est-ce dans le domaine artistique qu’elle aura le mieux servi son pays: amie des poètes et des écrivains (Verhaeren, Valéry, Romain Rolland, Colette, Cocteau…), des savants (Einstein, la famille Curie…), mais plus encore des musiciens (Menuhin, Casals, Oïstrakh…), elle aida la Belgique d’après-guerre à retrouver une place de premier plan dans la culture européenne …
Le guide des actions français
Le guide des actions français réunit une documentation financière complète sur les principales sociétés cotées en bourse. 200 sociétés figurent dans cet ouvrage. Elles ont été choisies en fonction de l’importance de leur estimation boursière.
Journey through Kenya
Colonized by the British for more than 50 years, ending with independence in 1963, Kenya draws visitors from all over the world to see its fascinating mixture of landscape, wildlife and people. The snows of Mount Kenya astride the equator, sixteen national parks and over 300 miles of silver-sanded coast make Kenya one of the great holiday resorts – with surfing, snorkeling, scuba diving and big game fishing among the attractions which have lured such authors as Hemingway and Ruark. Blending historical fact with anecdote and imagery, and with an introduction by late film star William Holden, Mohamed Amin and Duncan Willetts’ 150 color illustrations and Brian Tetley’s text paint a vivid and exciting picture of an unforgettable nation.
Outrage public à la pudeur
Piemburg, petite capitale afrikander du Zoulouland, vit au ryhtme tranquille de l’Apartheid. Les Blancs oppressent les Noirs, quoi de plus normal. Et la séparation des « races » est une évidence qui ne saurait être remise en cause. Seulement voilà, de plus en plus d’affaires concernant des « liaisons suspectes entre des officiers de police et des femmes bantoues » sont relayées par la presse. Le lieutenant Verkramp, zélé fonctionnaire de police, va tenter de corriger ces tendances « antisociales », avec l’aide d’une psychiatre néo-nazie et d’un dispositif diabolique. Pendant ce temps, le commandant Van Heerden, chef de la police, fasciné par l’Empire britannique, parfait sa connaissance des Anglais qu’il avait déjà commencée dans Mêlée ouverte au Zoulouland, le premier tome de Tom Sharpe consacré à la satire de l’Apartheid. Dans Outrage public à la pudeur, l’écrivain anglais laisse son imagination débridée entraîner le lecteur dans une valse surréaliste et endiablée (à tous les sens du terme).
Le cheval vu par les peintres
Le cheval accompagne depuis si longtemps nos réalisations humaines, participe depuis si longtemps à notre paysage familier que nous ne songeons plus à nous étonner de sa présence constante dans l’histoire de l’art. L’impensable, finalement, aurait été qu’il n’y figurât pas ou qu’il y figurât moins.
Redback
It was just my luck to get bitten by a Redback. ‘There’s no such thing as luck’, Gunnar McMurphy used to say. ‘You chose to sit where you sat. A bite is a transaction between two parties – A biter and a biteree. You sat in wait for that spider with every bit as much purpose as he sat in wait for you.’ ‘It wasn’t a he – it was a she. Only the shes are venemous.’ Karl Leon Forelock, product of the Northern English town of Partington (the wettest spot in Europe) and a graduate with a double starred first in the Moral Decencies from Malapert College, Cambridge. Sent to Sydney on a CIA bursary, in order to teach the Australians how to live, Leon Forelock soon discovers that there are those amongst the native population who believe that they have an education to pass on in return. But it is at the hands of the women of Australia that Leon receives his most painful, and his most pleasurable lessons. Meanwhile, in a foul, dilapidated bush privy, way up in the Bogong High Plains, the Redback sucks her teeth and waits her turn…
Netwar – la guerre des réseaux
Cosmos 1692, le plus silencieux des satellites soviétiques, espionne sans répit le territoire Américain. A l’écoute du ciel, Serguei Voronone refugié aux U.S.A tente de percer son mystére …
The Black Dahlia
On January 15, 1947, the torture-ravished body of a beautiful young woman is found in a vacant lot. The victim makes headlines as the Black Dahlia—and so begins the greatest manhunt in California history. Caught up in the investigation are Bucky Bleichert and Lee Blanchard: Warrants Squad cops, friends, and rivals in love with the same woman. But both are obsessed with the Dahlia—driven by dark needs to know everything about her past, to capture her killer, to possess the woman even in death. Their quest will take them on a hellish journey through the underbelly of postwar Hollywood, to the core of the dead girl’s twisted life, past the extremes of their own psyches—into a region of total madness.
Cinquante ans de sommeil
Durant l’hiver 1916-1917 éclata une épidémie de « maladie du sommeil » (encéphalite léthargique) présentant les symptômes parkinsoniens les plus graves. Beaucoup de malades moururent ; d’autres s’enfoncèrent dans un état léthargique étrange et définitif -immobiles, souvent muets, emprisonnés dans un temps pétrifié. Ces patients incurables, Oliver SACKS les retrouve plusieurs décennies après, dans un asile de la banlieue new-yorkaise où il travaille à partir du milieu des années 60. En 1967 apparaît une drogue (la L-Dopa), qui a pour effet de réveiller ces patients ; ils se remettent à parler, à marcher, retrouvent le goût de vivre… mais certains sont en proie à des hallucinations, des délires paranoïaques, érotomaniaques. L’unité de leur personnalité se brise en une foule se « sous-moi », parfois effrayants, en lesquels ils ne se reconnaissent plus. Faut-il arrêter la L-Dopa ? Diminuer la dose ? Ce sont les problèmes dramatiques auxquels Oliver Sacks sera confronté.
Drames intimes
Une femme renonce à l’amour pour sauver sa fille malade. Une autre, à l’agonie, révèle le nom de son amant. Une troisième est étranglée par des hommes qui la désiraient, et c’est, d’un viol ordinaire, le plus terrifiant récit qui soit. En vérité, ils méritent bien leur nom ces Drames intimes, car ils sont nés des plus secrets fantasmes de Verga. Et ils témoignent d’une même obsession : celle de peindre la femme dans un clair-obscur de beauté et de mort… Verga est un maître du genre. Ses nouvelles le font souvent comparer à Maupassant. Aussi ne faut-il pas s’étonner que ce recueil, écrit il y a un siècle, et tout récemment redécouvert en Italie, ait conservé une fascinante efficacité.
La réalité de l’aura et de ses radiances subtiles demeure encore très méconnue voire totalement ignorée de nos sociétés. L’aura est pourtant le baromètre précis de l’âme humaine et le témoin fidèle de la santé de l’être, un témoin dont l’aide peut s’avérer précieuse dans le domaine des thérapies et de la prévention des maladies. À travers cet ouvrage qui peut désormais être considéré comme un classique, Daniel Meurois et Anne Givaudan proposent une méthode de travail afin d’initialiser en chacun de nous une autre qualité de regard sur le monde et sur les manifestations de la vie. Plus qu’un simple livre de technique, « Les Robes de Lumière » est aussi matière à réflexion puis à action. En effet, il consacre une place importante aux soins de nature spirituelle en mettant en évidence une force trop souvent négligée, celle de l’amour- compassion. « Les Robes de Lumière » se présente donc à la fois comme un guide de la lecture d’aura et comme un compagnon de voyage pour une meilleure compréhension de la structure vibratoire de nos corps. Cette nouvelle édition d’un ouvrage de référence traduit en de nombreuses langues nourrira incontestablement ceux en qui surgit la vocation de soigner les âmes et les corps
Cassidy
Charles Parnell Cassidy aurait pu devenir maquignon ou cardinal. Deux choses comptaient pour lui : l’argent et le pouvoir. Son intelligence, son rayonnement et son absence de scrupules avaient permis à cet avocat retors une ascension fulgurante. Quand il mourut, il était Premier ministre de l’Etat de la Nouvelle-Galles du Sud et dirigeait un trust puissant qui étendait ses ramifications dans toute l’Asie du Sud-Est. Il laissait derrière lui un héritage explosif. Sur fond d’intrigues politiques, de manœuvres financières internationales et de trafics en tous genres, Cassidy relate une initiation. Celle de Martin Gregory, le gendre pur et dur que Charles Parnell détestait au point de préparer sa vengeance posthume. Exécuteur testamentaire de son beau-père, Martin devient malgré lui un « homme sous influence », contraint de marcher et de faire face aux mêmes choix. Succombera-t-il lui aussi à la tentation du pouvoir ?
Éternelle passionnée, Juliette Benzoni aimait les héroïnes à son image.
Richesse, fortune, beauté, toutes les fées se sont penchées sur le berceau d’Hortense. Mais dans le Paris incertain et troublé de Charles X, la fin tragique et scandaleuse de ses parents met à mal les espoirs de la jeune fille. Ayant surpris sa femme en galante compagnie, son père, le banquier Granier de Berny, l’aurait tuée, avant de se donner la mort. Un mystère loin d’être éclairci lorsque Hortense quitte la capitale pour l’Auvergne où l’attend son oncle, le sombre marquis de Lauzargues. En chemin surgit, précédé d’une bande de loups, un grand diable aux yeux bleus, Jean de la nuit…Des forêts d’Auvergne aux fêtes du Palais-Royal, Hortense de Lauzargues défie la fatalité pour se forger un destin d’amour et de liberté. Découvrira-t-elle un jour la vérité sur la mort de ses parents ? Dans sa vie, elle croisera l’amour, la jalousie, la ruine et la rédemption et même la grand-tante d’Aldo Morosini…Une grande saga historique dans la France politiquement trouble du XIXe siècle.
Petite sœur
Lorsque la mort de son père ramène Beth à Oldham, dans le Maine, elle ne s’attend guère à retrouver autre chose que de mauvais souvenirs, dans cette maison qui n’a jamais été un foyer. Et surtout, il y a Francie, sa jeune sœur de quatorze ans, de qui tant de choses la séparent… Pourtant le contact se renoue. Au point que Francie est prête à quitter Oldham pour aller vivre avec sa sœur aînée à Philadelphie. Alors surgit Andrew, le petit ami de Francie. Un garçon de vingt et un ans, agressif et déséquilibré, porteur d’un passé tragique… Et qui n’entend pas partager Francie. Le suspense implacable et l’insoutenable angoisse qui s’instaurent à partir de là confirment la place de tout premier plan, aux côtés d’une Mary Higgins Clark, de l’auteur d’Un étranger dans la maison.
The Penguin Atlas of the World
Les dames de Missalonghi
A 33 ans, sans beauté ni fortune, Missy connaîtra-t-elle jamais la caresse d’un regard d’homme? Car elle ignore tout de la vie, de la vraie vie. Entre sa mère, sa tante et leurs sages travaux d’aiguille, elle traîne des jours ternes et mesquins à l’image de ses éternelles robes marron… // … lorsqu’une chance s’offre à elle, la dernière peut-être. Elle s’appelle John Smith, on ne sait rien de lui, mais c’est bien l’homme le plus séduisant qu’on ait vu en ville depuis longtemps. // Missy, jusqu’alors si soumise, n’entend pas laisser échapper ce premier clin d’oeil du destin. Pour cela, rompant avec les conventions, à quel subterfuge tout à fait inhabituel aura-t-elle recours? // Tendre et fantasque Missy, une nouvelle race de femmes dans l’imaginaire de Colleen McCullough.
Madame le Chevalier d’Eon
Pour lui, la France valait bien robe ! Toute l’Europe s’est interrogée sur le sexe du chevalier d’Eon. » Madame ou Monsieur, qui dois-je annoncer ? » Originaire de Tonnerre, travesti à Saint-Petersbourg, vaillant capitaine de dragon pendant la guerre de Sept Ans, James Bond du roi de France à Londres pour préparer une invasion de l’Angleterre, bretteur infatigable, pamphlétaire, drag-queen des bords de la Tamise, paranoïaque, membre du service secret de Louis XV, et enjuponné sur ordre de Louis XVI, applaudissant aux idées nouvelles, haïssant Robespierre, mort l’année où Napoléon épouse Marie-Louise, il est enterré… dans le Middlesex ! Mieux qu’un roman, une double vie : celle d’un agent double qui sut faire frissonner la tsarine Elisabeth et trembler la couronne de France.
Casse-tête chinois
En l’an 2000, après la Déflagration, il ne reste des « Deux Grands » que terres arides et quelques milliers de survivants. Epargnés par le conflit, les Chinois se répandent alors partout, sans combat, et entre les races s’instaure une cohabitation fragile. Surtout aux Etats-Unis où l’on hait le chinese way of life… Mais un jour les voici face à un ennemi commun : un astronef inconnu surgit au-dessus de la Terre, et dans un message « ils » exigent de voir le Président des Etats-Unis – sans quoi la planète sera anéantie. Qui sont-ils donc et d’où viennent-ils pour ignorer qu’il n’y a plus de Président ? Qu’importe ! Pour tenir ce rôle, les Chinois choisissent Castor, jeune paysan et Yankee bon teint. Déjà il prend l’air et commence alors pour lui une étonnante aventure extraterrestre…
Man of the triple name
En anglais – « There is a wild animal after descending from the mountains and it is the man of the triple name, Dan Paddy Andy ». // With these words and many more Archdeacon Nrowne denounced the last of the great Irish matchmakers, whose « ballrooms of romance » offered relief from grinding poverty and suffocating religiosity. Dan Paddy Andy’s character and times, his wit and escapades, are magnificently described by the author. …
La route Napoléon
« J’avais dix-sept ans en 1789. J’appartiens à une génération maudite ou sacrée, chacun qualifiera comme il le veut ce signe du destin. Ainsi parle, en 1832, Louis Villeneuve de Thorenc, dernier héritier de l’une des plus anciennes lignées de la noblesse provençale. Son destin, c’est d’être pris dans la tourmente révolutionnaire. Dès 1789, il choisit l’émigration, l’exil. Et nous découvrons, en le suivant pas à pas, de Nice à Turin, de l’Italie à l’Allemagne, de l’Autriche à la Russie, toute l’Europe secouée par le tremble-ment révolutionnaire puis napoléonien, dont l’épicentre est la France. Passions politiques, passions amoureuses, intrigues, tragédies de l’exil et de la guerre, oppositions entre des Français que les choix séparent, Louis Villeneuve de Thorenc vit tout cela. Autour de lui des dizaines de personnages : le comte de Provence et le comte d’Artois, les futurs rois de France, Bonaparte qui joue son propre jeu; Buonarroti, le révolutionnaire italien qui s’est mis au service de la France; le duc de Richelieu, ce noble exilé dont le Tsar a fait le gouverneur d’Odessa… Et puis, les femmes, car Louis Villeneuve de Thorenc est jeune, et l’amour est le moyen d’oublier ce qu’il vit. La marquise Emilie de Marles – conspiratrice, espionne –, la marquise de Ninon ou Caterina Vigorelli dell’Olmo suscitent en lui la passion. L’histoire de cette époque, comme dit Stendhal, favorise l’impudeur et l’excès, l’héroïsme ou la lâcheté. A chaque personnage, Max Gallo restitue sa vérité, sa logique, sa foi. Il a puisé dans les récits du temps, les Mémoires, les travaux des historiens : une immense documenttion qui fonde chaqie épisode, chaque propos, chaque héros. Un seul parti prix : celui de la vérité des hommes et des femmes héros de ce roman, où vibrent les années les plus romanesques de l’histoire de la France et de l’Europe.
Jeux de guerre
Jack Ryan est un ex-marine, ex-agent de change, historien. En voyage à Londres pour rechercher des informations pour un livre, il assiste à un attentat et, instinctivement, s’interpose. Grièvement blessé, il apprend qu’il a sauvé le Prince et la Princesse de Galles, visés par l’Ulster Liberation Army. De retour aux États-Unis quelques semaines plus tard, il apprend l’évasion du terroriste qu’il a aidé à arrêter, et décide alors de reprendre contact avec James Greer, Directeur du Renseignement à la CIA, pour lequel il a autrefois ponctuellement travaillé.
Les Borgia
Exaltés par Machiavel mais stigmatisés par des générations d’écrivains les Borgia incarnent par excellence l’époque brillante de la Renaissance Issus du royaume de Valence, peuplé de Maures et de Juifs à demi convertis ils trouvent leur chance dans les cours luxueuses des plus grands souverains. Le pape Alexandre VI, qui achète son élection à grand prix, peuple le Vatican de cardinaux immoraux, de courtisanes et d’enfants naturels — l’inquiétant César et la belle Lucrèce. De l’habile évêque Alonso, vainqueur du Grand Schisme, à saint François, petit-fils du pape scandaleux, la chaîne est longue et variée de ces personnalités hors du commun qui défrayent la chronique. L’aventure des Borgia, fertile en rebondissements et en coups de théâtre est riche d’enseignements sur la psychologie d’êtres exceptionnels qui laissent libre cours à leurs passions.
De très belles et explicites illustrations, réalisées par les plus grands illustrateurs des années 60 et 70, au service d’un texte d’une rigueur historique exemplaire. De la première dynastie à la conquête de l’Egypte par Alexandre.
La vie matérielle
Ce livre n’a ni commencement ni fin, il n’a pas de milieu. Du moment qu’il n’y a pas de livre sans raison d’être, ce livre n’en est pas un. Il n’est pas un journal, il n’est pas du journalisme, il est dégagé de l’événement quotidien. Disons qu’il est un livre de lecture. Loin du roman mais plus proche de son écriture – c’est curieux du moment qu’il est oral – que celle de l’éditorial d’un quotidien. J’ai hésité à le publier mais aucune formation livresque prévue ou en cours n’aurait pu contenir cette écriture flottante de « La vie matérielle », ces aller et retour entre moi et moi, entre vous et moi dans ce temps qui nous est commun.
L’or de Baal
Dionnée est une belle catin, vieillissante. Stan, un journaliste coulé par le jeu. Amin, un poète de talent vivant en clochard. Qu’ont-ils en commun ? Rien, sinon un besoin effréné d’argent, qui devrait résoudre tous leurs problèmes. D’où leur fascination pour l’or de Baal, un trésor entreposé dans la Central Bank de Beyrouth. Ils vont monter ensemble et réaliser le plus grand casse du siècle en avril 76 : 50 millions de dollars. Même identifiés, les auteurs du casse ne seront pas inquiétés. Un crime parfait dans un Liban à feu et à sang, mais surtout une aventure extraordinaire, et des personnages hauts en couleur : un moine soldat, un bailleur de fonds énamouré, un spécialiste des coffres-forts qui déteste la pluie, une fille de banquier gauchiste à ses heures, un combattant palestinien. Beyrouth, Zurich, Paris. Un polar enfin, dont le narrateur est avocat des causes inavouables, et l’auteur : Jean Lartéguy.
Tempête rouge
Tom Clancy était déjà l’auteur de l’éblouissante odyssée-cavale à l’Ouest d’un sous-marin soviétique (Octobre rouge), si documentée qu’elle avait été éditée par l’Académie navale américaine d’Annapolis.
Il récidive avec un roman-fleuve à mi-chemin du jeu guerrier, cher aux stratèges et aux surdoués de l’informatique, et du grand roman de guerre. L’invention géniale du livre, c’est la maskirovka, savant coup de bluff destiné à égarer les Occidentaux…
Nouvelles leçons de golf
Comment Jack Nicklaus, le plus grand golfeur du monde, joue-t-il ? Il vous livre tous ses secrets en 500 conseils très personnels et entièrement illustrés.
Keetje
Bruxelles, fin du siècle dernier. Keetje, jeune adolescente, se prostitue pour nourrir sa famille, mais ce métier lui fait honte. Alors, parce qu’elle est belle, qu’elle pose pour des peintres, et qu’elle rencontre un homme qui l’aime et lui permet d’accéder à un autre monde, l’enfant de misère devient un grand écrivain. C’est ce parcours qui la conduit du peuple à la grande bourgeoisie, en passant par le milieu intellectuel et progressiste, que Neel Doff nous conte ici. Elle n’a pas oublié la Keetje qu’elle fut.
Dans la chambre obscure
Savitri la bien nommée – épouse modèle dans la mythologie indienne – veille patiemment sur son foyer. Elle a pourtant l’audace, quand elle est trop lasse des accès d’humeur de son mari, de se réfugier dans le silence de sa « chambre obscure » une pièce en retrait de la maison. Jusqu’au jour où il cède aux charmes d’une de ses employées. Savitri comprend alors qu’elle n’a rien à elle, pas même cette chambre à soi… Ce qui emporte et émeut tant chez Narayan tient à un talent très singulier qui nous met en immédiate et délicate intimité avec des personnages simples, puissants, inoubliables. Par-delà la chronique familiale dans l’Inde des années trente, « Dans la chambre obscure » est – tout simplement – le sublime portrait d’une femme qui se révolte.
Le nom de l’arbre
Dans l’enfance, entre un grand-père tout-puissant et une mère possessive, Louis Quien a tenté de se frayer un chemin. Mais de quels souvenirs, de quels mensonges, de quels imaginaires a-t-il finalement hérité pour construire le présent si fragile qu’il interpelle aujourd’hui ? Comme s’il était étranger à lui-même, Louis Quien se traque, se dévoile et, dans le maquis de sa mémoire, il cherche les grands absents de sa vie : son père prisonnier et Juliette, l’absolu féminin, déportée, et si vite effacée. Ainsi s’impose à lui, au-delà des misères de l’Occupation, des espérances et des vengeances de l’après-guerre, la recherche de l’arbre dont les racines descendent si profond et dont nous aimerions tant retrouver le nom. Tout en traversant l’histoire tourmentée de la Belgique des années trente aux années soixante, ce foisonnant roman révèle le pouvoir des mots et de la fiction dans la remémoration. A travers un jeu de miroirs, où le moi s’éparpille et se reconstruit sans fin, Hubert Nyssen mettait déjà en place, dans ce premier roman, les éléments constitutifs de son œuvre : cette ample quête du passé, et surtout cette fête de l’imaginaire que sans cesse célèbre la multitude de poupées gigognes que chacun porte en soi.
Simon est chercheur. Non conformiste, mal à l’aise au sein de la communauté scientifique, il observe sans complaisance le genre humain. Ses inventions – du « paquet-cadœuf » au « bordel à chats » – paraissent vaines ou cocasses mais elles font l’actualité et lui permettent de vivre. Jusqu’au jour où Simon rencontre un étrange homme gris, sorte de double de lui-même, qui changera le cours de son existence.
Le dernier rivage
La découverte de l’énergie nucléaire est peut-être un des plus beaux fleurons de la science moderne, mais son utilisation pour fabriquer des bombes en constitue le plus grand danger. Chaque pays rêve de posséder H l’arme absolue » dans l’espoir de terroriser suffisamment ses voisins pour qu’ils n’aient pas à sen servir : telle est la théorie de la dissuasion, qui fait fond imprudemment sur notre sagesse. Les réactions en chaîne se produisent en politique aussi bien qu’en physique et il y a des fous partout. Qu’un petit pays lance la première bombe, les autres suivront. C’est ce qu’imagine Nevil Shute dans Le Dernier Rivage. En moins d’une semaine, toute vie disparaît dans un nuage de Poussière radioactive dans l’hémisphère Nord. On pourrait s’imaginer que cette poussière va se stabiliser. C’est compter sans les vents qui 1 entraînent irrésistiblement vers l’hémisphère Sud : dans six mois au plus, l’Australie sera le dernier rivage à succomber…
Le maitre des abeilles
Le Bourguignon de Paris Louis Châgniot assiste en rêve à l’effondrement de sa vieille maison familiale. Il y voit un signe prémonitoire et décide de » vivre sa vie « . Il retourne à Montfranc-le-Haut, avec son fils Loulou, étudiant à la dérive, toxicomane. Il retrouve dans son village natal une pléiade de personnages hauts en couleur, que domine la figure de Balthazar, le maître des abeilles. Celui-ci fera découvrir à Loulou à la fois les valeurs fondamentales de l’existence et l’amour, en la personne de la radieuse Catherine. Tout le roman se passe pendant la semaine sainte, au moment de l’explosion du printemps, ce qui permet à Vincenot de marier l’ancienne culture païenne et la spiritualité chrétienne, et de célébrer ainsi pleinement sa Bourgogne, de nous en communiquer jusqu’à la sensation physique.
Isabelle, petite sœur des années folles
C’est une histoire de terroir et d’enfance. Quelque chose de simple ; ou presque tout est inventé. C’est en fait une histoire d’amour entre des enfants que la vie puis la guerre s’amusent à séparer, et d’amour pour un terroir aussi. Le point de départ se situe « sur le chemin de l’école », dans le village même où il a grandi. La Vienne restera le cadre des épisodes suivants. « Un été à la ferme » sera la 2ème partie, alors que la guerre plante le décor de leur adolescence. Le départ du garçon pour le maquis Joël, « la résistance », sera la 3ème partie ; puis son retour enfin. On ne démélera pas le vrai de l’imaginaire dans cette prose simple et sensible. Son titre « Isabelle, petite sœur des années folles, entretient après tout le sytère d’une relation qu’on sent encore vivante.
SanDiégoZoe
En néerlandais – Fantasy – Een slangendanseres krijgt mot met een louche New Yorkse dierenhandelaar en slaagt erin met haar python, een neusbeer, een slankaap, en een papegaai te ontsnappen. Ze besluiten op zoek te gaan naar SanDiégoZoe: een heerlijk land waar dieren in vrede en vrijheid tussen hun soortgenoten kunnen leven. SanDiégoZoe is een heel bijzondere fantasyroman van Janann V. Jenner die hierin getuigt van haar grote kennis van de dierenwereld.
Enquête sur un carrefour dangereux
Une histoire du temps présent où s’entrechoquent, dans un cocktail très Ve République, affaires africaines et vie privée, services spéciaux et trafic d’armes, financements occultes et moeurs politiciennes. Du roman noir contemporain, ce dossier-gigogne contient tous les ingrédients: le fric, le demi-monde, la diplomatie parallèle, les sociétés écrans. Son récit est le fruit d’une enquête à bout portant que Jacques Derogy et Jean-Marie Pontaut ont menée, durant cette drôle d’année, sans complaisance, en historiens de l’immédiat et sans autre parti pris que celui de traquer la vérité. Jacques Derogy, un des promoteurs en France du journalisme d’investigation, est le co-auteur, avec Jean-Marie Pontaut, chef de service au Point, d’Enquête sur les affaires d’un septennat, Enquête sur les mystères de Marseille, Enquête sur trois secrets d’Etat.
Les plus grands escrocs du monde
Histoires des plus grands escrocs et arnaqueurs du monde.
Les Grands désordres
Pourquoi Elsa Labbé a-t-elle, soudain, choisi de raconter sa vie à un inconnu ? Que s’est-il donc passé dans son existence quotidienne, dans sa mémoire, pour qu’elle éprouve ainsi le besoin d’en bouleverser l’équilibre ? Tout semblait pourtant en paix, dans le destin de cette femme de quarante-huit ans: son métier de psychologue la passionne ; elle adore sa fille ; elle ne doute pas, de surcroît, que le savoir puisse résoudre la plupart des désarrois qui risquent, à l’occasion, de tourmenter l’ordre d’une vie. Elsa va découvrir ; à la fin d’un été, que sa fille se drogue, qu’elle est presque perdue – mais est-ce la véritable raison de son trouble ?
Les frères moraves
Septembre 1982. Un jésuite de soixante-dix ans, le père Anselme Bouchard, astrophysicien de renommée mondiale, achève une campagne d’études à l’observatoire de Mauna Kea, aux îles Hawaii. Il a consacré à la recherche fondamentale une vie toute de réclusion et d’austérité qui lui a donné la réputation d’un être hautain et solitaire.En cette dernière nuit qu’il doit passer dans sa coupole isolée à plus de quatre mille mètres, le cours de son existence va pour-tant changer totalement. Il devient en effet, à son insu, l’objet d’une machination qui l’entraînera peu à peu dans une situation qu’il ne maîtrisera plus, vers des domaines qu’il avait toujours voulu ignorer, où règnent le dérèglement…
Le Harem
El Haram. Sanctuaire inviolable, mystère interdit à l’infidèle. Du Bordelais où elle découvre l’Orient à travers des photos, Gabrielle ira jusqu’au désert en fleurs, au cœur de l’Islam, pour retrouver cette merveille de bassins et de verdure, les jardins du harem. Royaume interdit à l’image des amours de Gabrielle. Impossible liberté qui s’enferme dans un bonheur sans issue. Entre Igor et Gabrielle, ce fut le coup de foudre. Avec Perle, la passion comme une escapade. Pour tous les trois l’éblouissement, la lumière de l’amour partagé… Gabrielle, Igor et Perle… Pour ne pas se faire de mal, il leur a certes fallu du génie ! Ou de l’amour tout simplement. Amours défendues, dont il faudra payer le prix… Un roman dont la puissance d’évocation n’a d’égal que la volupté des mots.
Fin des années 1980 : à l’issue d’une guerre éclair, les soviétique ont envahi les USA. Ils ont placé à la tête du pays un président collaborationniste et installé un goulag au Texas. La patrie de Lincoln est devenue la terre de Lénine…