Les Corbeaux d’Alep
Les souvenirs et les réflexions de la veuve de Michel Seurat, otage français assassiné au Liban, qui évoquent les jardins de l’enfance, les délires de la guerre à Beyrouth et la mort de l’époux.
Virus
Los Angeles. Dans un centre médical, huit personnes meurent : le directeur et sept patients, emportés par un virus inconnu. Le C.D.S., organisme ultra sophistiqué, spécialisé dans le combat contre les maladies contagieuses, confie l’enquête à l’un de ses médecins, Marissa, qui, très vite, va se retrouver en plein cauchemar.
Quand les parents se séparent
Ce livre n’est pas un essai de technique analytique et ne contient pas de cas cliniques ; mais tout ce que j’y avance est fondé sur mon expérience clinique. Des parents, dont certains avaient gâché leur vie conjugale […], ont pu analyser avec moi le retour de refoulements de leur enfances, lié à la séparation de leurs propres parents et au silence imposé à ces épreuves. C’est pourquoi ce livre est écrit et pour les parents et pour leurs enfants.
Les corbeaux et les renardes
Une mère, deux soeurs, trois caractères solidement trempés. La mère a donné une seule directive à ses filles : trouver un riche mari. Une seule chose pour atteindre ce but : exploiter la vanité masculine dans tous les domaines, mais surtout celui du sexe. L’aînée, Nadège, suit à la lettre les conseils maternels. La cadette, Agathe, les repousse avec violence. Nadège, renarde avisée, harponne un corbeau banquier.
Strip-tilt
Il tira de sa poche la montre en or de l’oncle Omar. Il se mit à la tripoter distraitement. Il la remonta puis tira sur le remontoir pour la mettre à l’heure de sa montre-bracelet. Elle possédait non seulement une aiguille des heures, une aiguille des minutes et une trotteuse, mais aussi une quatrième aiguille, immobilisée à douze heures et qui était en argent au lieu d’être en or comme les autres. Il se demanda à quoi elle servait. Drôle d’héritage que cette montre. Et si l’aiguille d’argent n’était autre que la porte vers la liberté totale doublée de la complète immunité ?
Les enfants de la violence
Largement autobiographique, ce roman d’apprentissage où s’affrontent tous les thèmes d’une œuvre ambitieuse et unique, couronnée par Le Carnet d’or, est le premier volume d’un cycle romanesque qui s’achèvera avec La Cité promise. C’est aussi une pièce maîtresse de l’œuvre de Doris Lessing, prix Nobel de littérature. Les Enfants de la violence, c’est d’abord l’histoire d’une femme en devenir, Martha, qui se cherche comme on cherche l’Afrique du Sud, un continent contre lequel viennent battre les rumeurs de la montée du nazisme, gouverné par une poignée de blancs, héritiers des traditions britanniques, face au peuple noir. Adolescente partagée entre un vague désir de conformisme et un sentiment de révolte contre ce qui l’entoure, Martha est le témoin des conflits de l’histoire, et de ceux, plus intérieurs, qui précèdent l’entrée dans le monde adulte.
Opération Faust
Après des études en droit à Moscou (1950-1954), il est enquêteur judiciaire dans le kraï de Krasnodar jusqu’à 1957, puis, exerce la profession d’avocat à Moscou. Il mène des enquêtes pour le procureur général de Moscou de 1960 à 1969.
La tristesse du cerf-volant
Une grande maison bourgeoise enracinée dans les Flandres. L’usine. Le cimetière. Trois générations courant sur le XXe siècle. Comment, avec des éléments si ordinaires, Françoise Mallet Joris atteint-elle cette féerie ? Cette cruauté ? Cette tendresse ? Cette lucidité ? Ici, les mères-ogresses n’aiment pas toujours leurs filles, ou les aiment trop. Les frères et les soeurs s’aventurent dans des jeux interdits. Dieu lui-même est piégé. Peintre-prince enfermé dans sa tour, Chris dessinera-t-il un jour le cerf-volant dont tous les personnages tentent d’attraper la ficelle, et qui seul pourrait renouer les mains ? Ou bien continueront-ils à s’entredéchirer ?
L’amant de Néfertiti
Fils d’esclave, Kenofer est né sous le règne d’Aménophis III, en l’an 1400 avant Jésus-Christ. Beau et intelligent, il s’impose par ses talents d’artiste et devient l’ami de Pétara, le fils du souverain. Lorsqu’il rencontre la superbe Néfertiti, qui vient de perdre son mari, il en tombe fou amoureux. Une passion partagée par la jeune femme, que son père destine cependant à devenir l’épouse de l’héritier du trône.
La traversée du miroir
Sans femme, je ne suis rien du tout, avoue Alexis Dorgel, gynécologue parisien de renom qui se laisse happer, à l’approche de la quarantaine, par le vertige d’une vie professionnelle surfaite et trouve dans d’innombrables aventures un exutoire qui le renvoie très vite à sa propre image, celle d’un vide absolu. Des circonstances dramatiques le poussent à » traverser le miroir et à s’engager, aux confins du territoire cambodgien, auprès de Médecins sans Frontières.
La sultane d’Alméria
S’inspirant d’un court récit du XIIIème siècle – La fille du comte de Ponthieu -, la Sultane d’Alméria s’est développé, sous la plume de Régine Colliot, en une vaste fresque romanesque située tant en Europe qu’en Orient, dans les villes et les campagnes, à Jérusalem et en Espagne musulmane, ainsi qu’à Rome et à Saint-Jacques de Compostelle.
Les nuits de l’Ange bleu
Berlin à la fin des années vingt. On sort à peine du fossé bourbeux de l’inflation galopante et on ne peut encore imaginer que le gouffre du cauchemar à bottes est pour bientôt. Le présent est là, bien en chair, qui appelle toutes sortes de caresses. On se prend à rêver. La période semble propice à l’art … A l’art d’aimer aussi. On veut vivre. Il s’agit de jouir. Et c’est bien « Ouf, jouissons! » que se dit chaque jour Manfred von Klausenberg en jetant dans la recherche du plaisir le meilleur de lui-même.
Etats d’urgence
Dans un pays où a été proclamé l’état d’urgence, où les trois quarts de la population sont privés des droits les plus élémentaires, où l’on ne peut ni se déplacer ni s’exprimer comme on le souhaite, où la liberté reste un mot et rien de plus – peut-on encore aimer, mener une existence d’homme, une existence de femme comme les autres ?
Les fosses carolines
Ceci est un roman. Un roman d’aventures. Il se situe en des temps lointains. C’est donc un roman historique. Ce n’est pourtant pas ce que l’amateur averti appellerait un « peplum » ou un « ben-hur ». Ce n’est pas non plus un récit à châteaux forts, tournois, gentes dames et gracieux sires.
Le destin parallèle
Mario de Sabato di Pietro – c’est là sa véritable identité – fut abandonné dans la rue à l’âge de trois ans. Élevé dans la misère, il est devenu le Voyant, et bien souvent l’ami, des Grands de ce monde.
L’obscur miroir des jours heureux
L’inoubliable héroïne de ce roman que l’on compare déjà à Autant en emporte le vent, Barbara Alderley, appartient à la race des Scarlett O’Hara. Fière, volontaire, charmante, Barbara est mariée à l’âge de 15 ans avec Roger Montgeoffry, de trente ans son aîné et de réputation plus que douteuse. Devenue comtesse Devane, Barbara se trouve propulsée dans le monde éblouissant mais cruel de la haute société parisienne du XVHie siècle : salons raffinés, alcôves compromettantes, duels et complots sans merci.
Spartacus et la révolte des gladiateurs
Ce roman est avant tout l’extraordinaire restitution d’un parcours exemplaire et d’une époque. Spartacus, gladiateur, dirigea la plus importante révolte d’esclaves que Rome dut affronter.
Le cavalier blanc
Lorsque Alex Haley était enfant, sa grand-mère avait coutume de lui raconter des histoires sur sa famille, des histoires qui remontaient à travers les générations jusqu’à l’«Africain». Elle disait que cet homme avait vécu de l’autre côté de l’Océan et qu’un jour où il était allé couper un tronc dans la forêt pour se tailler un tambour, quatre hommes l’avaient assailli, battu, enchaîné et traîné jusqu’à un bateau d’esclaves en partance pour l’Amérique.
Le singe nu
Non, déclare le zoologiste Desmond Morris, nous ne sommes pas une espèce nouvelle née du processus de l’évolution, nous sommes toujours des singes. Et il le démontre. Eliminant les sociétés primitives encore existantes comme étant des ratés de l’évolution, il observe le singe nu moderne, arboricole, sorti des forêts et devenu carnivore, sous l’angle de la sexualité, de l’éducation, de la combativité et de la recherche du confort (où il assimile hardiment la quête des poux chez les primates aux menus propos mondains dans un effet scientifico-comique irrésistible).
Les fils de l’Aigle -4- Capucine
Ce 27 juillet 1804, à Paris, après discussion enconseil d’état, l’emblème de l’Empire est choisi : »l’Aigle éployée » (après avoir écarté coq, abeille, lion couché). Ainsi Bonaparte prend un impérial envol. Ses fils spirituels, partageant l’idéal d’une France issue de la Révolution, se retrouvent à ses côtés et plus particulièrement dans la Grande Armée.
Le mercenaire -4- Le sacrifice
Roi de l’heroic fantasy, Segrelles trace des tableaux grandioses qui font de lui le chantre des aventures de ce guerrier imperturbable au sourire de marbre… Son dessin d’un grand réalisme n’empêche pourtant son imagination débridée de se déployer avec éclat et de nous emmener dans des mondes légendaires tous plus fabuleux les uns que les autres. Le Mercenaire a marqué de son empreinte l’histoire de la bande dessinée.
On n’achète pas le soleil
La dame qui m’attend dans le hall de l’Assistance publique est grande, belle, bien roulée et encore plus noire que moi. » Elle, c’est Victoria. Celui qui raconte, c’est Solo, onze ans et demi. Oublié pendant onze ans par son père, Georgio, et qui hérite d’une troisième ou quatrième maman… Il ne les compte plus. La vraie, « maman Louise », est morte il y a si longtemps… On n’achète pas le soleil retrace les années d’errance de Solo du bistro de Georgio à Marseille au caravansérail de Micha, dernière mère nourricière à Paris. Avec, dans sa poche, ses trésors : une pièce de dix centimes pour Victoria, un petit cœur en plastique pour Lola, une « paillette qui brille » pour Micha ; pour Louise, une goutte de sang séché et, pour Madame Bouteboule de l’Assistance, une mouche écrasée.
Le grand feu
L’incendie du château de Fréteval rapproche Bernold, jeune maître verrier, et Isambour, brodeuse sur toile. Ils s’aiment. D’un amour tendre et passionné. Mais l’oncle de la jeune fille veut la marier au fils du meunier. Bernold enlève Isambour. Après ce rapt chevaleresque, il l’emmène à Blois et l’épouse. Roman de cet amour qui dure les vingt années que dure la vie du couple, Le Grand Feu est aussi celui de toute la société féodale du début du XIIe siècle. Aux alentours de Blois, et dans la vallée du Loir, on construit des villages et des villes, des églises et des donjons fortifiés ; la princesse Adèle, fille de Guillaume le Conquérant, introduit un nouvel art de vivre ; des croisés rentrent de Terre sainte ; les épidémies et les famines sont évoquées en filigrane. Comme sur les tapisseries de Bayeux, qui viennent d’être achevées, c’est tout un monde en mutation – des paysans aux artisans et aux seigneurs – que Jeanne Bourin laisse apparaître ici, et fait revivre.
Sous le ciel de Novgorod
Il était une fois une princesse russe nommée Anne ; elle épousa un roi de France, Henri. C’était il y a fort longtemps : en 1051 … Une turbulente saga russe où ne manque aucun des ornements du grand roman historique à la Walter Scott : chevauchées dans la neige, hordes de loups, monceaux de fourrures, princesses ardentes et trahies, dames d’atour, rois tiraillés entre les exigences de la politique et d’innombrables pulsions physiques, non moins impérieuses … Irène Frain, Paris Match.
L’héritage Fogg
Quand Philéas Fogg, héros du » tour du monde en 80 jours », meurt en 1888, il laisse une immense fortune et… un testament. Celui-ci ne pourra être ouvert que cent ans après sa mort. Fogg a décidé de léguer sa fortune à son descedant éventuel. A une condition: qu’il refasse, comme lui, le tour du monde dans le même délais, par les même étapes. Mais Philéas Fogg n’avait pas prévu les progrès techniques. En 1988, une petite semaine aurait dû suffire à l’héritier pour boucler ce tour du monde. Sauf événements inattendus… Calr le monde a lui aussi beaucoup évolué, et l’aventure reste périlleuse: guerres, attentats…
Le Léopard
L’époque ? Un avenir proche. Le climat ? Une rivalité masquée mais forcenée pour la suprématie mondiale entre lés blocs communiste et occidental. La République française, menée par son président Guy Florian, joue le rôle d’arbitre mais si elle basculait dans le camp russe l’Europe y tomberait avec elle. Des renseignements donnent à penser aux Américains qu’un agent communiste s’est infiltré dans les plus hautes sphères du gouvernement français et profitera du voyage de Florian en Russie pour faire un coup d’Etat. Nom de code : le Léopard. L’Anglais Alan Lennox reçoit mission d’interroger trois personnes susceptibles de l’identifier. Le préfet Grellier, responsable de la sécurité de Florian, a vent lui aussi de l’existence du Léopard. Serait-ce Alain Blanc, ministre de la Défense, ou Roger Danchin, ministre de l’Intérieur ? Tout en les plaçant sous surveillance, il observe de loin la mission de Lennox dont il connaît l’objet. Mais vers les trois témoins essentiels se dirigent également un commando venu de l’Est, chargé de les faire taire à jamais. Et c’est à qui arrivera le premier…
Le jardin des disparus
Dans le jardin de Penelope se dressent les silhouettes empaillées des animaux qu’autrefois elle a aimés.Pour elle, c’est une façon de conserver à ses côtés ses chers compagnons. Pour son époux, c’est une manie un peu ridicule, qu’il tolère tant bien que mal. Jusqu’au jour où les rancoeurs conjugales remontent à la surface et font d’un paisible jardin un piège mortel… Le Jardin des disparus est la première des neuf nouvelles réunies dans ce volume, qui se clôt sur une terrifiante vengeance mutuelle entre époux, dernière touche d’un recueil en forme de tableau de moeurs – et particulièrement de moeurs matrimoniales où la noirceur n’a d’égale que la subtilité. Comme toujours, Patricia Highsmith étudie jusqu’au vertige, d’une plume à la fois tendre et mordante, les éternels conflits de la psychologie humaine.
Cruelles, morbides, parfois terrifiantes, ces nouvelles ne nous laissent jamais intacts. Comme un coureur de 100 mètres, Patricia Highsmith démarre en flèche et ne ralentit plus….
Mes nuits sont plus belles que vos jours
Un homme, une femme, un hôtel, les draps d’un lit, la chaleur d’un mois de juillet, la lune et la mer: avec ces seuls éléments, Raphaële Billetdoux construit son roman qui a la rigueur d’une tragédie antique, où trois nuits sont toute une vie. Mes nuits sont plus belles que vos jours est le roman d’une rencontre. Toute rencontre est un risque ; à la première minute, aux premiers mots échangés, l’histoire, déjà est en marche. Chez Raphaële Billetdoux, violence et sensualité se confondent dans ce style qui est le sien, tout en couleurs et en éblouissements.
Hannah
Pologne, 1882. Hannah est juive, elle a sept ans. Dans la chaleur de l’été elle joue avec Taddeuz, un jeune Polonais catholique. Mais dans le village, les Cavaliers de la Mort ont déferlé, détruisant, brûlant, assassinant. En ce jour tragique, Hannah va connaître l’amour, le goût amer de la trahison, l’horreur. Londres, 1899. Dans le monde entier, le double H du nom d’Hannah signe des produits de beauté que les femmes s’arrachent. De la petite fille, elle a gardé les yeux gris. Mais elle est devenue une femme à la volonté de fer. Son don de séduction lui gagne tous ceux qui passent sur son chemin. De son village natal, l’aventure l’a conduite en Australie puis à Londres, Paris, Vienne, dans l’atmosphère brillante de la fin du siècle. Mais plus sa réussite est exceptionnelle, plus Hannah souffre d’avoir perdu Taddeuz… Avec Hannah, Sulitzer, l’auteur du Roi vert, a écrit le grand roman, plein d’aventure et de passion, d’une héroïne inoubliable.
Nouvelles chroniques du 87ème District
9 Chroniques : Faites-moi confiance / Victime au choix / Crédit illimité / Souffler n’est pas tuer / Soupe aux poulets / Pas d’avenir pour le futur / Rançons sur un thème mineur / La main dans le sac / A la bonne heure
Ed McBain a su créer un univers romanesque, l’approfondir, le faire évoluer au fil du temps tout en le pérennisant.
Chacun de ses romans est l’occasion d’une descente aux enfers, d’une plongée dans les tréfonds de l’âme humaine, sur le versant noir des pulsions de mort et de meurtre. Leur ensemble constitue une manière de gigantesque fresque d’une mégapole américaine en proie à ses démons.
Quelque chose comme une « tragédie humaine ».
Histoires piégées
Si, errant par la pensée dans La ville fantôme et y cherchant A la pâle clarté des réverbères quelque Interlude pour un meurtre qui soit Garanti sans douleur, vous laissez, par Simple curiosité, Une si gentille serveuse vous entraîner A travers le mur vers un Duel à mort mettant aux prises Quatre amis sûrs, vous aurez soudain La peur pour compagne et vous vous sentirez Passionnément coupable, au point d’estimer que cela mériterait une Édition spéciale… comme celle -que vous offre ici, en un court roman, le célèbre écrivain William P. McGivern !
La désirade
En 1804, le matelot Nicolas Jean Lafitte a 18 ans. Condamné à mort pour refus d’obéissance, il attend l’exécution de la sentence. Quarante ans plus tard, il remet à Karl Marx un sac d’or pour permettre l’édition de son célèbre manifeste. Jean-François Deniau retrace l’extraordinaire destin de ce corsaire au grand coeur qui faisait fortune « en volant les voleurs », attaquait les navires affectés à la traite des Noirs, s’initiait à l’amour volage dans les maisons closes de La Nouvelle-Orléans, défendait cette même région contre les Anglais et ne rêvait que d’une chose: construire une cité idéale.
Spear Head
This is a fast-paced thriller full of violence, intrigue and passion. It draws a portrait of modern South Africa and centres round the figure of the imprisoned leader of the People’s Congress, Nelson Kumalo. The author has also written The Wilby Conspiracy.
S.
S. is the story of Sarah P. Worth, a thoroughly modern spiritual seeker who has become enamored of a Hindu mystic called the Arhat. A native New Englander, she goes west to join his ashram in Arizona, and there struggles alongside fellow sannyasins (pilgrims) in the difficult attempt to subdue ego and achieve moksha (salvation, release from illusion). “S.” details her adventures in letters and tapes dispatched to her husband, her daughter, her brother, her dentist, her hairdresser, and her psychiatrist—messages cleverly designed to keep her old world in order while she is creating for herself a new one. This is Hester Prynne’s side of the triangle described by Hawthorne’s Scarlet Letter; it is also a burlesque of the quest for enlightenment, and an affectionate meditation on American womanhood.
La conjuration de la sixtine
Intrigues de pouvoir, secrets d’État, liens parfois tortueux avec la politique, l’argent ou la mafia… Derrière la splendeur de Saint-Pierre et les bénédictions papales, le Vatican a lui aussi sa part d’ombre. Et dans ses archives interdites dorment des secrets venus du fond des âges.De mystérieuses inscriptions, découvertes lors de la restauration des fresques de la Sixtine, laissent augurer un séisme. Elles constitueraient la vengeance de Michel-Ange contre les papes qui l’ont si durement traité. Mais quelle vengeance? Alors que la Curie veut étouffer l’affaire, le cardinal Jellinek décide de le savoir, coûte que coûte. De l’atelier de Buonarroti à la chambre d’agonie de Jean-Paul I, des écrits kabbalistes médiévaux aux recherches des savants contemporains, il va remonter peu à peu vers la plus inattendue et la plus terrible des révélations. Un secret auquel fut initié le Florentin, et que les nazis ont connu. Une vérité susceptible de faire chanceler l’Église tout entière…
Postérité
Que veulent les personnages de ce roman, à travers les passions qui les agitent ? Le plaisir, comme en témoignent leurs aventures érotiques. Le bonheur aussi, et l’amour. Mais par-dessus tout, s’ils montent tant d’intrigues, c’est qu’ils subissent dans leur âme et leur chair les conséquences de la grande révolution qui a rendu l’acte sexuel et la procréation indépendants l’un de l’autre. Postérité, c’est d’abord cela : l’histoire détaillée des rapports d’un certain nombre d’hommes et de femmes autour de la question de la prolongation de l’espèce, rapports d’autant plus explosifs qu’ils ont dorénavant le choix.
Le Diable au corps
Le premier roman d’un écrivain mort à vingt ans et l’un des plus beaux rôles de Gérard Philipe. En 1918, un lycéen, François (prénom uniquement usité dans le film), s’éprend d’une jeune femme, Marthe, dont le fiancé, Jacques, est au front. L’amour fou, absolu, malgré tout et contre tous, voisins ricaneurs ou parents désemparés. Mais aussi, très vite, l’anxiété, la cruauté inconsciente, l’impossibilité pour un enfant de vivre une aventure d’homme. La guerre finit et ses « quatre ans de grandes vacances », Marthe meurt en mettant au monde l’enfant qu’elle a eu de François et qui sera la « seule de raison de vivre » de Jacques. » En voyant ce veuf si digne, je compris que l’ordre, à la longue, se met de lui-même autour des choses. Ne venais-je pas d’apprendre que Marthe était morte en m’appelant, et que mon fils aurait une existence raisonnable? »
Summer dreams
3 books in 1! That’s What Friends Are For, Come Be My Love, and A Love Remembered. Summer Dreams presents three classic tales by this cherished author – three stories of love that blooms during all seasons, yet continues to remain as warm and wonderful as a summer dream !
Fallen angels
An exciting, eye-catching repackage of acclaimed author Walter Dean Myers’ bestselling paperbacks, to coincide with the publication of SUNRISE OVER FALLUJA in hardcover. A coming-of-age tale for young adults set in the trenches of the Vietnam War in the late 1960s, this is the story of Perry, a Harlem teenager who volunteers for the service when his dream of attending college falls through. Sent to the front lines, Perry and his platoon come face-to-face with the Vietcong and the real horror of warfare. But violence and death aren’t the only hardships. As Perry struggles to find virtue in himself and his comrades, he questions why black troops are given the most dangerous assignments, and why the U.S. is even there at all.
Angels Flight
En Anglais – Harry Bosch finds himself yet again in charge of a case that no one else will touch. This time his job is to nail the killer of hot shot black lawyer Howard Elias. Elias has been found murdered on the eve of going to court on behalf of Michael Harris, a man the LAPD believes guilty of the rape and murder of a twelve-year-old girl. Elias had let it be known that the aim of his civil case was not only to reveal the real killer but to target and bring down the racist cops who beat up his client during a violent interrogation. Now it’s all down to Bosch – and he’s got to take a long, hard look at some of his colleagues in a police department that is rife with suspicion and hatred.
Celles qui n’ont jamais rien à se mettre
Un guide pratique et insolent. 100 pages de conseils, un test et un carnet d’adresses. 35 couturiers croquent l’élégance 88. Le témoignage de 15 hommes et de 15 femmes célèbres.
C’est beau une ville la nuit
C'est beau une ville la nuit n'est pas à proprement parler un roman autobiographique, ni une simple biographie d'acteur, mais bien plutôt l'écriture d'une errance et d'une quête. « Une balade, l’œil et l'esprit grand ouverts au vif de la ville et au droit de la vie, une route de douleurs, de joies et finalement d'espérance. » Ce livre est un fragment d'itinéraire de l'homme Bohringer avant même que les écrans renvoient cette image d'une « gueule » de cinéma et que celle-ci s'impose par la forte présence d'un comédien dont les valeurs personnelles ne se réduisent pas à sa profession et au narcissisme qu'elle entretient. Ouvert aux autres et amoureux de l'amitié, Richard Bohringer, grand lecteur de Cendrars, de Kérouac ou de London, sait donc que la raison même de l'écrivain est de mythifier la réalité de la vie, de dire vrai même dans l'imaginaire puisque « la réalité dans tout cela, ce sont les faits, les gens non pas tels qu'ils sont mais tels qu'on les vit. C'est la règle du jeu. La seule avec laquelle il acceptable de jouer. »
L’absence
… Claude ne viendra pas. S'il venait j'entendrais son pas, son pas hésitant, il retardait son pas comme s'il réfléchissait, il semblait boiter, je reconnaîtrais son souffle, son souffle trop lent, son cœur trop lent, son cœur d'enfant blessé, blessé d'être né. Chaque geste, chaque mot le déchirait, il était trop intelligent, trop sensible, nous n'avons pas su le protéger, nous ne l'avons pas même rencontré… « Le premier vendredi de novembre, Claude Hartmann est parti pour Venise, emmenant sa mère mourante. Dix jours ils ont vécu ensemble, dix jours, une vie. Elle est morte. Il a disparu. Ainsi commença, ou finit, son absence… »
« Tu n’as désormais qu’une profession : me rendre heureux… » Gustav Mahler demande à Alma Schindler de renoncer à toute ambition personnelle. Elle l’aime. Elle accepte. Elle épouse le grand compositeur. Peu douée pour l’abnégation, cette femme belle, jeune, talentueuse, promise à un brillant avenir de musicienne, se révolte. Frustrée, elle devient cruelle. Mahler lui vole sa vie. Il le paiera cher. Il mourra de l’avoir trop aimée. Après Mahler, d’autres grands créateurs viennent se jeter dans les filets de cette « sirène viennoise » qui exerce désormais sur les hommes l’empire qu’elle n’a pu exercer sur son art Oskar Kokoschka, le peintre expressionniste ; Walter Gropius, l’architecte fondateur du Bauhaus J écrivain Franz Werfel.
Elle aime ces hommes, mais elle les brise. Elle cultive « l’art d’être aimée », le seul qu’elle puisse encore exercer…
Tome 1 de la série « Leçons de ténèbres » – Premier volume d’une grande trilogie romanesque, la Sans Pareille nous conte les débuts de Christine Valdray. De celle qui fut l’une des plus célèbres égéries de la vie politique française, que sait le public ? Que sa vie fit courte et tragique. qu’on lui avait donné le surnom de la « Sans Pareille » parce qu’elle avait la beauté altière et triomphante d’une fameuse courtisane florentine. Que tout Paris – Le Tout-Paris des arts, du journalisme et de la finance – croyait bien connaître cette carriériste désinvolte et dut avouer qu’il s’était trompé. Q’aujourd’hui, enfin, sept ans après un scandale et un procès qui firent trembler la classe politique, elle est retournée à l’oubli sans avoir livré son secret. Des banlieux populaires aux palais romains, des cercles de jeux aux soirées échangistes, et des amphis gauchistes, aux alcôves ministérielles, nous assistons ici aux premiers pas d’une ascension dont la rapidité surprit les observateurs. Premiers pas, ou premiers faux pas ? Grâce à Françoise, sa biographe, qui recueilli et commenté les confidences de la sans Pareille, nous cernons enfin de plus près la vérité de cette aventurière hors du commun…
La Grande Sultane
La grande sultane, après La Virginienne qui a connu un immense succès international, nous amène à nouveau dans le monde de l’esclavage, mais cette fois de l’esclavage blanc. L’aventure singulière et grandiose d’une jeune Créole qui devint la mère de Mahmud II, Ombre d’Allah sur Terre et sultan de l’Empire ottoman au XIXe siècle, rejoint ici celle d’une des institutions les plus mal connues de toute l’histoire de la condition féminine : le harem, à la fois lieu sacré et lieu de servitude où les femmes trahissent pour survivre et parfois tuent pour conquérir le pouvoir. Pendant quarante années de guerres turbulentes avec Catherine de Russie et Napoléon, Naksh-i-dil, reines des Têtes voilées, va présider aux destinées de l’Empire et régir cette société de femmes qu’est le Grand Harem de Topkapi, mue par des règles aussi strictes que celles d’un couvent, mais dont le maître est le Grand Eunuque noir. La Grand Sultane, un roman brillant, tumultueux, sensuel et ambitieux.