Dors ma jolie
Après La Nuit du renard, La Clinique du docteur H, Un cri dans la nuit, ce nouveau thriller de Mary Higgins Clark nous plonge dans le milieu new-yorkais de la mode. Ethel Lambston, écrivain et journaliste, est assassinée alors qu’elle se disposait à publier sur le sujet un livre explosif et compromettant pour des personnalités en vue. Dont ce grand couturier accusé de trafic de drogue… Son amie, Neeve Kearny, prend de gros risques en cherchant la vérité dans ce New York où le pouvoir et la richesse suscitent des ambitions sans mesure et sans scrupules.
Oasis interdites
« En janvier 1935, Ella Maillart quitte Pékin en direction de l’intérieur avec son compagnon Peter Fleming, correspondant au Times… Il s’agit de traverser la Chine d’est en ouest, d’atteindre les oasis interdites du Sinkiang, berceau voici mille ans d’une vieille culture d’origine arménienne, et de là gagner le Cachemire, sur l’autre versant du monde, par les cols muletiers du Pamir et du Karakoram. Clandestinement, car le Turkestan chinois, dont la population est en majorité musulmane, est en plein soulèvement… « Je suis resté dans l’ombre bénéfique de cette lecture longtemps après l’avoir achevée. Je crois que le principal mérite de ce récit magnifique est d’être aussi un livre heureux. » Nicolas Bouvier
La vérité sur Lorin Jones
« Véritable chronique de mœurs, roman policier, comédie baroque, La Vérité sur Lorin Jones est un miroir tendu à toute une génération de femmes qui jonglent avec le féminisme, le militantisme, les grands principes et les grands sentiments. »
La margagne
» Une saveur unique avec, en outre, le talent, cette rareté, une voix sincère. » Marie-Françoise Leclère, Le Point. » Réalisme intime et plein de sensualité qui nous met abruptement aux prises avec l’aventure. » Marion Van Renterghem, Le Monde. » Un suspense au cœur d’une nature prodigue. » Gérard Humbert-Goury, Le magazine littéraire. » Combinaison gagnante puisque, au plaisir d’écrire répond immédiatement le plaisir de lire. » Jean Bourdier, Le Choc du Mois.
David et les diplodocus
Il est rare que les Mémoires d’un individu soient d’utilité publique. Le livre-interview que M. Gérard Athias vient de publier est de ceux-là. Professionnel de l’assurance, Gérard Athias est aujourd’hui passé de l’autre côté, celui des assurés. L’Association française d’épargne-retraite (AFER) qu’il préside a été créée contre les compagnies d’assurances traditionnelles. Preuve que cette association répondait à une demande réelle, elle compte aujourd’hui 140 000 adhérents et gère une épargne collective de plus de 20 milliards de francs. Son ouvrage, publié avec la collaboration de M. Jean-Luc Bengel, journaliste spécialisé dans l’assurance, répond à un double objectif : justifier un itinéraire professionnel houleux en réglant au passage quelques comptes, mais aussi mettre à la disposition des épargnants une connaissance claire des principaux mécanismes de l’assurance-vie.
Le grand homme
« Claude Delarue, par la magie de son inspiration, sa perception à la fois ironique mais ô combien profonde d’un mal qui lui est certainement propre, hausse son Grand Homme à des sommets voisins de la perfection et de la simple fraternité humaine ». Françoise Ducout, Elle, Prix de la Nouvelle de l’Académie Française 1979.
Pablo Escobar Gaviria, dit « Le Parrain »; Jorge Luis Ochoa Vasquez, dit « Le Gros »; Jose Gonzalo Rodriguez Gacha, dit « Le Mexicain’~ Avec leur acolyte, Carlos Lehder Rivas, livré avec leur bénédiction aux Américains, qui l’ont condamné à la prison à vie, ces trois hommes comptant parmi les plus riches du monde ont créé une organisation devenue une puissance commerciale et financière d’importance mondiale, disposant d’une armée de milliers d’hommes, soumettant une nation entière à la terreur, en la plongeant dans un bain de sang. Le nom de cette organisation: le cartel de Medellin, surgi brutalement à la « une » de l’actualité. Comment celui-ci est-il né, s’est-il développé, au point de générer un chiffre d’affaires de plusieurs milliards de dollars et de menacer les fondements du monde civilisé?
La trahison des dieux
Le récit légendaire de la guerre de Troie ressuscité par l’auteur des Dames du Lac. La princesse Cassandre, fille du roi Priam, prêtresse du temple d’Apollon, a vu l’inexorable avenir : Hector tué par Achille, les Grecs vainqueurs après des années de siège, la ville à feu et à sang, en expiation de l’enlèvement d’Hélène. Mais comment détourner la marche du destin, comment surmonter l’aveuglement et l’inconséquence des hommes ? Écartelée entre l’obéissance aux dieux et ses liens avec les humains, Cassandre assistera désespérée à l’accomplissement de la volonté divine. Passions amoureuses, fracas des batailles, héroïsme et violence des combats singuliers, intrigues de palais : l’épopée ancienne devient ici un fabuleux roman historique au rythme haletant, aux couleurs somptueuses. Ce roman a été publié précédemment dans la même collection sous le titre : La Trahison des dieux.
Original Recipes of Many Louisiana Hostesses and Famous New Orleans’ Restaurants — Antoine’s, Arnaud’s Brennan’s, Galatoire’s, Kambur & Co. Wholesale Seafood, Maylie’s, Pittari’s, Tujaque’s with Historical Sketches.
La littérature comparée
La littérature comparée est à entendre comme la science comparative de la littérature, une branche des sciences humaines et sociales qui se propose d’étudier les productions humaines signalées comme oeuvres littéraires, sans que soit définie au préalable quelque frontière, notamment linguistique, que ce soit. Il ne s’agit pas tant de « comparer des littératures » que de questionner la littérature (au sens de collection d’oeuvres) en plaçant chaque oeuvre, ou chaque texte, dans des séries élaborées par le chercheur, qui interrogent la singularité relative de cette oeuvre. Les comparatistes construisent ainsi des espaces où ils se heurtent volontairement à des oeuvres venues de pratiques et de cultures « autres » : l’étranger est leur pierre de touche.Cet ouvrage présente un état documenté des orientations actuelles de cette discipline, et suggère quelques perspectives susceptibles de contribuer à un humanisme moderne.
Le Docteur Jean-Claude Dardour est un chirurgien diplômé et qualifié en Chirurgie Plastique, Réparatrice et Esthétique, expert près de la Cour d’Appel de Paris et expert agrée par la Cour de Cassation. Le Docteur Dardour, reconnu sur la scène internationale, exerce son métier depuis 40 ans. Il est l’inventeur de nombreuses techniques en matière chirurgie de la calvitie et des liftings du visage ( mask lift et lifting frontal endoscopique ).
La maison Russie
À Moscou, pendant la première Foire du livre des années de la « Perestroïka », un manuscrit change de mains. Il s’agit en réalité d’une liasse contenant des secrets militaires qui pourrait bien changer le cours de l’histoire. L’invraisemblable destinataire de ce dossier, un petit éditeur du nom de Barley Scott Blair, se voit enrôlé malgré lui dans les services secrets britanniques. Sa mission : remonter à la source du texte et découvrir l’intention cachée de son auteur. Barley reprend contact avec la ravissante Katia, celle qui lui a remis le manuscrit. On aurait pu croire qu’avec la nouvelle politique d’ouverture de Gorbatchev, le roman d’espionnage était fini. John Le Carré démontre le contraire avec ce récit qui joue des nouvelles données géopolitiques et prouve qu’un bon écrivain peut toujours tirer son épingle du jeu. Il brosse une galerie de portraits post-guerre froide aussi justes et humains que l’étaient ses espions du temps de « La Taupe ».
L’exécuteur du Mékong
Membre du 3ème détachement d’Infanterie américain. Après son service militaire, il a terminé ses études à l’Université de l’Arizona avec un diplôme de journalisme et est allé travailler pour Newsweek comme un journaliste, se rendant par la suite au Vietnam et au Liban. Il s’est ensuite retrouvé Chef de Bureau de Newsweek à Londres et, plus tard, à Nairobi. Retraité en 1981, il a consacré son temps à l’écriture de romans et de nouvelles.
L’évasion (Les thèmes littéraires)
Cette collection se propose de partir d’un thème aux résonances actuelles et d’analyser la manière dont il fut perçu tout au long de l’histoire littéraire.
Chaque volume apparaît d’abord comme un recueil de textes les plus représentatifs du sujet traité.
Ces extraits sont pour la plupart choisis dans la littérature française, mais certains des passages les plus significatifs de telle ou telle oeuvre étrangère peuvent également figurer en traduction.
Devices and Desires
When Commander Adam Dalgliesh visits Larksoken, a remote headland community on the Norfolk coast in the shadow of a nuclear power station, he expects to be engaged only in the sad business of tying up his aunt’s estate. But the peace of Larksoken is illusory. A serial killer known as the Whistler is terrorising the neighbourhood and Dalgliesh is drawn into the lives of the headlanders when it quickly becomes apparent that the Whistler isn’t the only murderer at work under the sinister shadow of the power station.
Le zèbre
Gaspard Sauvage, dit le Zèbre, refuse de croire au déclin des passions. Bien que notaire de province, condition qui ne porte guère aux extravagances, le Zèbre est de ces irréguliers qui vivent au rythme de leurs humeurs fantasques. Quinze ans après avoir épousé Camille, il décide de ressusciter l’ardeur des premiers temps de leur liaison. Insensiblement, la ferveur de leurs étreintes s’est muée en une complicité de vieux époux. Cette déconfiture désole Gaspard. Loin de se résigner, il part à la reconquête de sa femme. Grâce à des procédés cocasses et à des stratagèmes rocambolesques, il redeviendra celui qu’il n’aurait jamais dû cesser d’être : l’amant de Camille, l’homme de ses rêves. Même la mort pour lui n’est pas un obstacle.
Mémoires
Disons tout de suite que la lecture est une redoutable épreuve, et pas seulement à cause des quelque neuf cents pages que comptent ces Mémoires d’Andrei Gromyko (1). Celui qui pouvait contribuer plus que personne à l’histoire diplomatique des cinquante dernières années s’y révèle un piètre historien et un propagandiste pesant. Non pas que M. Gromyko, aujourd’hui chef de l’Etat après avoir été ministre des affaires étrangères pendant vingt-huit ans et en poste à Washington dès 1939, minimise son expérience unique. Il énumère non sans fierté les neuf présidents américains (de Roosevelt à Reagan) et les quatorze secrétaires d’Etat qu’il a fréquentés, donne son avis sur des centaines de personnes de tous pays. Mais il n’a pas grand-chose de nouveau à nous dire : ni sur de Gaulle, par exemple, ni sur son vieux complice Henry Kissinger, jugé » très capable » mais enclin à s’intéresser » à la tactique au détriment de la stratégie « .
L’enfant multiple
Entre son père musulman d’Egypte, et sa mère, chrétienne libanaise, Omar-Jo est un enfant heureux ! Aussi souvent qu’il peut, il va dans les montagnes, retrouver son grand-père, troubadour. Il a douze ans. La vie est belle ! Mais il habite Beyrouth. En 1987, les hommes se font la guerre… Un beau dimanche ensoleillé, devant la porte de chez eux … » Papa ! Maman ! » L’explosion… Assourdissante, meurtrière, lui arrache plus que la vie… Ses parents… Son bras… L’exil. A Paris, le petit garçon aux prunelles d’Orient rencontre Maxime le forain… Son manège périclite ? Omar-Jo va le sauver ! Sur la piste, au milieu des chevaux et des enfants rieurs, il caracole, chante et danse comme son grand-père au village. Il veut vivre ! Et sous les doigts magiques de son unique main, tout se transforme en or…
La maison Russie
À Moscou, pendant la première Foire du livre des années de la « Perestroïka », un manuscrit change de mains. Il s’agit en réalité d’une liasse contenant des secrets militaires qui pourrait bien changer le cours de l’histoire. L’invraisemblable destinataire de ce dossier, un petit éditeur du nom de Barley Scott Blair, se voit enrôlé malgré lui dans les services secrets britanniques. Sa mission : remonter à la source du texte et découvrir l’intention cachée de son auteur. Barley reprend contact avec la ravissante Katia, celle qui lui a remis le manuscrit. On aurait pu croire qu’avec la nouvelle politique d’ouverture de Gorbatchev, le roman d’espionnage était fini. John Le Carré démontre le contraire avec ce récit qui joue des nouvelles données géopolitiques et prouve qu’un bon écrivain peut toujours tirer son épingle du jeu. Il brosse une galerie de portraits post-guerre froide aussi justes et humains que l’étaient ses espions du temps de « La Taupe ».
Le mariage de Figaro
La Folle Journée, ou le Mariage de Figaro est une comédie en cinq actes de Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais écrite à 46 ans en 1778, lue à la Comédie-Française en 1781, donnée en privé le 23 septembre 1783 dans la maison de campagne du comte de Vaudreil à Gennevilliers (dite château de Gennevilliers)1, mais dont la première représentation officielle publique n’eut lieu que le 27 avril 1784 au théâtre François (aujourd’hui théâtre de l’Odéon), après plusieurs années de censure2 : ce fut un triomphe, un événement, et l’occasion de polémiques. 68 représentations suivirent en huit mois.
Premier livre de Dany Laferrière, satire féroce des stéréotypes et des clichés racistes, Comment faire l’amour avec un nègre sans se fatiguer se présente comme la joyeuse description d’une vie de bohème, version black. Deux jeunes noirs oisifs partagent un appartement dans un quartier pauvre de Montréal. L’un d’entre eux, le narrateur, projette d’écrire un roman et, pour s’occuper, connaît diverses aventures féminines en dissertant sur la trilogie Blanc-Blanche-Nègre. Car c’est un juste retour des choses, après avoir souffert de l’esclavage, que de séduire toutes ces jeunes donzelles innocentes ou curieuses. Quant à son compère, Bouba, il dort, dort, dort. Et philosophe en lisant et relisant le Coran, sur des airs de jazz. Cachez vos filles, blanches mères, les nègres sont en ville !
La grande Béké
Martinique, début du siècle : l’éruption de la montagne Pelée anéantit le superbe domaine de la famille Mase de la Joucquerie. Fleur, dix-sept ans, unique héritière, se jure de lui rendre sa splendeur. Pour y parvenir, elle luttera plus d’un demi-siècle, n’hésitera pas à abandonner l’homme qu’elle aime et à chasser son fils… Elle devient la grande Béké : une femme dure, puissante et respectée. Lorsqu’elle s’aperçoit que ses propres enfants s’apprêtent à détruire l’œuvre de sa vie, la grande Béké rappelle Mickey, son petit-fils français, celui qu’elle a toujours ignoré. Mais le jeune homme dépassera toutes les espérances de l’aïeule…
L’autre coté du reve
Ancienne correspondance de guerre au Viet-nam, journaliste vedette de télévision, chef d’entreprise. Kate Marchand a de nombreux visages. Pour Jonathan, son mari, dont la fidélité n’a pas toujours été exemplaire, elle est l’épouse idéale. Pour ses collaborateurs, elle est la patronne intrasigeante et infaillibre qui a conduit Canal 3, la chaîne de télévision bostonnière, à son Zénith. Pour ses concurrents, elle est une adversaire redoutable. Qui, mieux qu’une autre femme, pourrait découvrir, derrière les masques, la vraie Kate Marchand? Mais Kim prend trop de risques: dans sa vie privée comme à l’écran. Ses reportages sur le trafic de la cocaine lui valu des inimitiés menaçantes. À l’heure du danger, les deux femmes se retrouvent côte à côte: elles ne racontent plus l’actualité elles la font.
Alma Mahler ou l’art d’être aimée
Tu n’as désormais qu’une profession : me rendre heureux. Gustav Mahler demande à Alma Schindler de renoncer à toute ambition personnelle. Elle l’aime. Elle accepte. Elle épouse le grand compositeur. Peu douée pour l’abnégation, cette femme belle, jeune, talentueuse, promise à un brillant avenir de musicienne, se révolte. Frustrée, elle devient cruelle. Mahler lui vole sa vie. Il le paiera cher. Il mourra de l’avoir trop aimée. Après Mahler, d’autres grands créateurs viennent se jeter dans les filets de cette « sirène viennoise » qui exerce désormais sur les hommes l’empire qu’elle n’a pu exercer sur son art Oskar Kokoschka, le peintre expressionniste ; Walter Gropius, l’architecte fondateur du Bauhaus J écrivain Franz Werfel. Elle aime ces hommes, mais elle les brise. Elle cultive « l’art d’être aimée », le seul qu’elle puisse encore exercer.
Yansan des orages
Une statue religieuse qui descend de son socle et disparaît dans les rues. Cela ne peut arriver qu’à Bahia, ville de tous les miracles et de tous les excès. Cependant que l’Église et la police recherchent partout la mystérieuse Sainte-Barbe – alias Yan san, déesse des orages nous voilà partis sur ses traces, au rythme du candomblé, à travers la vie et le peuple bahianais, ses artistes, ses prostituées, sa religion métisse, ses passions et ses rêves.
Dans ce roman paru en 1989, le grand romancier brésilien. Les deux morts de Quinquin-la-Flotte, Cacao, Dona Flor et ses deux maris brosse une fresque bariolée, foisonnante, sans contredit l’un des sommets de son oeuvre.
Les braconniers du roi
Fils de marquis, Donatien chevauche sans trêve sur les terres de son père et participe aux chasses dont le domaine s’enorgueillit. Orphelin et porcher, Joël est aussi un braconnier hors pair qui capture le gibier au nez et à la barbe de ses maîtres. Rien ne devrait rapprocher les deux garçons et pourtant. lorsqu’éclate la Révolution, les chasses du marquis se transforment en drôle de guerre.
La politique de la Suède au XXe siècle
La politique de la Suède au XXe siècle retrace l’histoire politique de la Suède moderne. L’auteur brosse le tableau des événements les plus importants et évoque les personnalités les plus marquantes, de l’avènement de la démocratie et du régime parlementaire pleinement représentifs jusqu’à la situation politique actuelle.
La mort de Mathusalem
Voici Temerl, qui recherche de ville en village son jeune mari mystérieusement disparu ; Yossele, l’enfant prodige qui apprend tout seul les logarithmes – ce qui inquiète beaucoup sa mère. Et Max Stein, qui tombe toujours amoureux des femmes de ses meilleurs amis… Du shtetl polonais aux cafétérias américaines, de la Varsovie de jadis au New York d’aujourd’hui, Isaac Bashevis Singer convoque ici tous les personnages que nous avons aimés à travers ses précédents livres et illumine leurs vies par la magie de l’esprit.
A light between the hills
Medjugorje – the name in the local Croatian language means ‘between the hills’. On the evening of 24th June 1981, a group of children in this remote Yugoslav valley saw a bright light on a nearby hill. Following it, they found a beautiful young woman clothed in grey and white, holding a tiny baby in her arms.
It was the beginning of daily meetings with the Queen of Peace. She came, she said, as God’s messenger. And the messages she brought were to change countless lives throughout the world.
The compelling story of these unprecedented events and the experience of seven of those who underwent such change – from the dramatic and the physical to the moving and spiritual – are revealed here by author and journalist Heather Parsons.
Le dernier jour d’un condamné
Victor Hugo a vingt-six ans quand il écrit, en deux mois et demi, « Le Dernier Jour d’un Condamné », roman qui constitue sans doute le réquisitoire le plus véhément jamais prononcé contre la peine de mort. Nous ne saurons pas qui est le Condamné, nous ne saurons rien du crime qu’il a commis. Car le propos de l’auteur n’est pas d’entrer dans un débat mais d’exhiber l’horreur et l’absurdité de la situation dans laquelle se trouve n’importe quel homme à qui l’on va trancher le cou dans quelques heures. Ce roman aux accents souvent étrangement modernes a une telle puissance de suggestion que le lecteur finit par s’identifier au narrateur dont il partage tour à tour l’angoisse et les vaines espérances. Jusqu’aux dernières lignes du livre, le génie de Victor Hugo nous fait participer à une attente.
Crépuscule, taille unique
Nora a quitté Paris pour habiter la maison que lui ont léguée ses parents, dans un village au coeur de la forêt des Landes. Elle y vit au rythme de la nature. Au bout de l’airial, deux chevaux. Dans la maison, trois chiens recueillis et choyés. Il y a aussi un jeune homme. Nora l’a aimé. Elle ne l’aime plus mais ne parvient pas à rompre. Heureusement pour elle, dans le bourg voisin, il y a aussi Gaby, l’ancien coiffeur personnage pittoresque, à la fois douloureux et cocasse, simple comme l’enfant qu’il est resté, un peu fou mais cependant doté d’une savoureuse sagesse. C’est Gaby qui viendra au secours de Nora lorsque par une aube de novembre, mourra son cheval, le Buveur d’Air auquel, depuis vingt-sept ans, la lie une exaltante complicité. Entre Gaby et Nora, se noue alors une forte et fraternelle alliance qui changera le cours de leur destinée. Restituant avec minutie et humour les petits faits de l’existence qui font le charme de la vie, Christine de Rivoyre tisse les liens mystérieux et indissolubles qui unissent la nature et les êtres. Roman d’amour et d’amitié, Crépuscule, taille unique dit, à mi-voix mais fermement, des choses essentielles.
Le serment d’Hippocrate
1940. Jérôme Debreuil, étudiant en médecine, a choisi la voie royale, la plus méconnue, la plus difficile : les hôpitaux de Paris. Il va cravacher jour et nuit pour passer tous les concours (internat, clinicat, assistanat, agrégation, médicat) avant de diriger un service de pneumologie. Jérôme a épousé la fille d’un grand patron, ce qui est un sérieux atout dans son ascension sociale. Cinq enfants naîtront de cette union. C’est en suivant l’histoire de cette famille Debreuil, sur deux générations, leurs combats, leurs ambitions, leurs amours, leurs conflits, leurs drames, que nous découvrons l’évolution de la médecine et ses miracles qui ont pour noms pénicilline, streptomycine, cortisone, laser. Jérôme, la grande figure de cette saga, est issu d’un milieu modeste; sa réussite n’en est que plus spectaculaire. Il traverse la Deuxième Guerre mondiale, l’Occupation. la Libération. Ses enfants prendront le relais jusqu’aux années quatre-vingt, deux seront médecins, un troisième, chirurgien.
Vent Africain
Même ici, dans mon bureau calfeutré, en haut d’un gratte-ciel où mes secrétaires osent à peine entrer pour m’annoncer les appels insistants d’un inconnu, je traîne un cadavre dans ma conscience et l’Afrique dans ma tête. Des images me persécutent. La savane, la migration des animaux sauvages, un palais en argile, comme dans un rêve, pourtant tout était vrai. A chaque crise de panique, je dresse un bilan. Je suis un ingénieur chimiste français de trente-sept ans, un bourreau de travail, veuf, je voue au souvenir de ma femme, arrachée si brutalement à ce bas monde, une fidélité exemplaire. Je suis son légataire universel, il reste trois jours de délai imposé par son testament, et j’entrerai enfin en possession de l’une des grandes fortunes des USA. L’homme qui me relance sait quelque chose, il veut me faire chanter, mais pourquoi a-t-il attendu un an ? Plutôt mourir que d’être tenu en laisse pendant toute une existence… Je ne céderai pas. Qu’importe ! J’aurai vécu plusieurs vies, et des moments somptueux, uniques. Et parce que tout se paye.
Hiro-Hito – L’Empereur ambigu
Au cours d’un des règnes les plus longs de l’histoire, l’empereur Hiro-Hito a été le témoin actif de tous les événements qui ont bouleversé le monde depuis la prise de la Mandchourie par le Japon en 1931, la première des crises internationales qui devaient aboutir à la Deuxième Guerre mondiale. Mais cette vie mouvementée a fait l’objet d’une véritable conspiration du silence. Les gouvernements successifs du Japon et des États-Unis ont, par un accord tacite, jeté le voile sur les responsabilités de l’empereur dans la guerre de Chine en 1937, l’attaque de Pearl Harbor en 1941 et la conduite ultérieure des opérations. Ainsi est née la légende d’un Hiro-Hito fantoche, tenu à l’écart des décisions, prisonnier d’une junte militaire toute-puissante, dont il ne se serait affranchi qu’en 1945 pour lui imposer la capitulation de son pays. Cette légende, nous révèle Edward Behr, fut la plus habile campagne d’intoxication des temps modernes. A l’aide de documents, de témoignages et d’archives, l’auteur, sans haine ni parti pris, nous dit ce que fut le rôle réel de l’empereur et nous restitue son vrai visage.
Ramiro est le nom d’un personnage et d’une série de bande dessinée, créée en 1974 par le dessinateur William Vance, sur un scénario de Jacques Stoquart. Jeune espagnol du xiiie siècle, Ramiro est chargé de plusieurs missions par le roi Alphonse VIII. Ses aventures paraissent de 1974 à 1989. – Les paysages et les décors dessinés par Vance, sont d’une rare beauté. Une série à la portée historique enrichie d’une partie documentaire.
Erotique du cimetière
FRANÇAIS, 218pp, nombreuses photographies de sculptures funerarias.SOBRE l’auteur : André Chabot, les cimetières de spécialiste et l’art funéraire. Photographe, artiste, journaliste, urnes de créateurs et des pierres tombales. André Chabot est un artiste français né en 1941 à Saint- Etienne et présenté comme un nécropolitain walker. Son travail pour plus de 30 années consacrées à la mort. Le photographe, qui ramasse les tombes en noir et blanc, des mausolées, tombes, cénotaphes et les catacombes. Un grand voyageur, était un superbe tombes de mémoire photographiques, des cimetières dans le monde entier. Ses photographies de monuments, plus de 160 000 par jour, un fonds et sont cosmopolites en constant développement. Artiste crée des installations où le tombeau parle et porte le cercueil revisité ses fantasmes. Professeur émérite de lettres, écrivain, journaliste, André Chabot discute mort dans tous ses aspects. Conception et monuments urnes , installé trois de ses créations dans le cimetière du Père- Lachaise à Paris. Environ 600 pièces, dont plus de 90 expositions personnelles, marquent son cours en Allemagne, Belgique, Canada, Croatie, Espagne, États-Unis, France, Pays-Bas, Italie, République tchèque, Slovénie, Suisse Bosnie.
La pie saoule
L’auteur de La Billebaude fait revivre l’aventure passionnée d’un des premiers cheminots. Le forgeron bourguignon Lazare Denizot, envoûté par les locomotives, abandonne amours, pays, amis pour participer à la construction du chemin de fer Paris – Dijon – Lyon – Marseille. Une véritable épopée.
Saviez-vous que Tarzan pouvait avoir des soucis de santé ? Non, bien sûr, on a du mal à se l’imaginer fragile l’Homme de la Jungle ! et pourtant, c’est bien lui que l’on retrouve à l’hôpital… lui et quelques autres personnalités vont donner du fil à retordre à cet hôpital pas comme les autres.
Alma Mahler ou l’art d’être aimée
Tu n’as désormais qu’une profession : me rendre heureux. Gustav Mahler demande à Alma Schindler de renoncer à toute ambition personnelle. Elle l’aime. Elle accepte. Elle épouse le grand compositeur. Peu douée pour l’abnégation, cette femme belle, jeune, talentueuse, promise à un brillant avenir de musicienne, se révolte. Frustrée, elle devient cruelle. Mahler lui vole sa vie. Il le paiera cher. Il mourra de l’avoir trop aimée. Après Mahler, d’autres grands créateurs viennent se jeter dans les filets de cette sirène viennoise qui exerce désormais sur les hommes l’empire qu’elle n’a pu exercer sur son art Oskar Kokoschka, le peintre expressionniste ; Walter Gropius, l’architecte fondateur du Bauhaus J écrivain Franz Werfel. Elle aime ces hommes, mais elle les brise.
Plus tard le meme jour
Grace Paley est une magicienne irrésistible dans le comique comme dans le pathétique, car elles les marie d’une manière indissoluble.
Le vannier des saules
Livre neuf – C’est comme je vous le dis, mademoiselle l’institutrice, la petite, elle ne fera pas grand-chose de bon. Tel est le verdict du vieux paysan des Joncs, lors de l’inscription de lsa petite-fille à l’école. Mais il se trompe grandement. La petite Elsie, ne pas faire grand-chose de bon? »…Demandez un peu ce qu’en pensent ceux qui ont connu de plus près ce petit rayon de soleil des Joncs. Oui, questionnez la maîtresse de l’école élémentaire et la petite Marie des Sapin; enquerrez-vous auprès de Rémi le bossu et de Trappe-à-Psaumes. Eux et beaucoup d’autres pourront vous renseigner! Puisse-t-il y avoir beaucoup de petites Elsie!
L’éducation sentimentale
De 1840 à 1867, la vie fait L’Éducation sentimentale de Frédéric Moreau et de toute une jeunesse idéaliste qui a préparé dans la fièvre la révolution de 1848. Le roman s’ouvre sur des rêves exaltés et s’achève sur la médiocrité des uns et des autres. Entre temps, la vie s’est écoulée autour de Frédéric, qui semble n’avoir pas plus participé aux mutations de son temps qu’à l’édifice de sa propre destinée potentielle. Au cours de cette existence, Madame Arnoux, dont les apparitions sont autant de surgissements mystiques, tient lieu au jeune homme d’absolu insaisissable.
Les nuits fauves
Il a 30 ans. Il aime des garçons ; Samy, à moitié voyou ; Jamel, fils de l’Islam et de Coca-Cola. Et les corps anonymes qui s’emparent de lui dans les rites pervers des nuits fauves. Il aime des filles de passage. Et Laura. Il veut tout. Ou peut-être rien. Il est séropositif. Lâcheté ou panique, il ne l’a pas dit à Laura, la première fois qu’ils ont fait l’amour. Il l’a peut-être contaminée. Elle a 17 ans. Elle l’aime, sans mesure, jusqu’à la folie, usant de tout pour ne pas le perdre : prières, violences, mensonges, chantages.
Complot à Memphis
Ray Gallant, un privé amoureux des belles caisses et du jazz, trouve que les idoles n’ont vraiment pas de chance avec leurs mécaniques. James Dean, puis Buddy Holly, Ritchie Valens, Eddie Cochran, Elvis Presley et Chuck Berry… Ça commence à faire beaucoup de freins défectueux et de dérapages incontrôlés. Beaucoup d’accidents mortels aussi. Ray Gallant a horreur du rock, mais il supporte encore moins les moteurs sabotés, les comités racistes, les flics véreux et les magouilles politiques. Malgré les manipulations et les menaces, il est bien décidé à trouver qui peut haïr ou redouter les nouveaux héros de la jeunesse au point de vouloir les supprimer.
La femme de proie
Un homme, strict, convenable, amateur de livres rares, rencontre une jeune femme, Blanche, mariée, belle, inquiétante, un peu perverse. Au cours d’un voyage en Grèce, il devient son amant. Aussitôt, la passion. Il croit qu’il va connaître le bonheur. Il ignore que cet amour sera un long et terrible calvaire : qu’il va souffrir, être humilié, trompé, poussé à la plus extrême des solitudes et à la haine de soi. Une véritable descente aux enfers. Pourquoi Blanche s’acharne-t-elle à le torturer ? Pourquoi est-il incapable de se libérer d’un amour qui le détruit ? Plus elle s’éloigne de lui et le torture et plus il s’attache à elle.
L’honneur d’un gendarme
Jean-Michel Beau a grandi dans un milieu militaire, son père étant général de division de l’armée de Terre1. Il entre dans l’armée en 1961. Sous-officier en 1962, il devient, par voie de concours, sous-lieutenant de réserve en situation d’activité (ORSA) en juillet 1964. Il passe ensuite le concours d’entrée à l’École des officiers de la gendarmerie (EOGN) de Melun. Il en sort lieutenant d’active et vice-major de sa promotion en 1971.