Le milieu hospitalier observé à la loupe, vous en rêviez ? Cauvin et Bercovici l’ont fait ! Entre pétage de plombs et cas pathologiques incongrus, venez découvrir le quotidien de celles que l’on surnomme les femmes en blanc ! Ce tome répondra enfin à toutes les questions que l’on se pose : comment s’organise un service minimum au sein d’un hôpital pendant une grève ? Ecouter de la musique pour une femme enceinte n’est-il pas sans risque ? Comment les infirmières parviennent-elle à gérer les patients désagréables ? Autant de mystères enfin élucidés !
La femme lapidée
Soraya avait été ensevelie jusqu’aux épaules, les bras à l’intérieur du trou, ses longs cheveux noirs déployés autour d’elle. Elle semblait totalement absente : elle regardait sans voir, écouter sans entendre les voix qui murmuraient près d’elle. En 1987, Soraya M., accusée d’adultère, subit le châtiment prévu par la loi islamique chaque fois qu’un mari se sent trompé ou bafoué : la lapidation.
Le livre des snobs
Thackeray publia d’abord son inénarrable catalogue satirique des snobs de son pays sous forme de chroniques hebdomadaires dans le magazine Punch, en 1846-1847. Ses portraits désopilants commencent par le snob royal pour passer aux snobs aristocrates, snobs de la City, snobs militaires et ecclésiastiques, snobs littéraires, snobs des clubs, et encore bien d’autres variétés de l’espèce.
Le petit garçon
La Villa, à l’écart d’une petite ville du sud-ouest de la France, ressemble, avec son immense jardin, à un paradis où rien ne peut arriver. C’est bien ce qu’avait voulu le père, un homme juste et sage. Voyant approcher la guerre, il avait quitté Paris pour mettre sa jeune femme et leurs sept enfants à l’abri. Mais quand déferlent les années quarante, le malheur atteint les univers les plus protégés. Bientôt, la Villa se peuplera d’étranges jardiniers et cuisinières. Ce sont des hommes, des femmes, des enfants traqués, en danger de mort. Puis les Allemands vont arriver et violer le sanctuaire.
La guerre de Troie n’aura pas lieu
La guerre de Troie n’aura pas lieu, dit Andromaque quand le rideau s’ouvre sur la terrasse du palais de Priam. Pâris n’aime plus Hélène et Hélène a perdu le goût de Pâris, mais Troie ne rendra pas la captive. Pour tous les hommes de la ville il n’y a plus que le pas d’Hélène, la coudée d’Hélène, la portée du regard ou de la voix d’Hélène, et les augures eux-mêmes refusent de la laisser partir.
Danger mortel
Pourquoi les patients du docteur Jason Howard meurent-il après un examen médical qui n’a rien décelé d’anormal ? Les autopsies ne révèlent aucun virus, mais un vieillissement soudain, brutal, des sujets. Lorsque son ami Hayes, célèbre généticien, meurt au moment où il allait lui confier le secret de sa découverte de la synthèse d’une hormone de croissance, Jason décide de percer le mystère. Hayes, qui avait pour maîtresse la jeune Carol Donner, étudiante, mais aussi danseuse dans un cabaret de Boston, menait une curieuse double vie.
Cartel
Missikami, Canada francophone. Qui est derrière les maudits Anglais qui ont lancé une OPA sur la scierie et les forêts locales ? Milwaukee, Wisconsin. Pourquoi le petit épicier est-il mort alors qu’il effectuait une étrange série de dépôts bancaires ? Zénaïde, québécoise, banquière et fière de l’être, a décidé de le savoir. Elle va trouver un allié imprévu en la personne de l’excentrique et richissime Fou de Bassan, Jonathan Gantry.
L’heure des trois sorcières
A 25 ans, l’Américain Glen Morrison apprend que 20 ans plus tôt son père et sa mère ont été conduits au suicide et à la folie par des banquiers sans scrupules.
Adriana Sposa
Adrienne, 25 ans, abandonne Lou, sa fille de 4 ans. Et un mari, un père, une ville, Anvers. Tout cela pour une vie de déchirements et de passion, au terme de laquelle, devenue » Adriana Sposa, écrivain italien « , elle aura édifié, comme un défi, une oeuvre et un amour sur beaucoup de souffrances. Souffrances de Lou qui, devenue une jeune femme révoltée, va décider de partir sur les traces de cette mère toujours absente, toujours présente, pour la comprendre enfin.
Une vie de Vincent Van Gogh
A trente-sept ans, le 27 juillet 1890, Van Gogh se suicide. En cette année du centenaire de sa mort et de la grande rétrospective d’Amsterdam, le livre de David Sweetman renouvelle la vision, souvent stéréotypée, de cet artiste légendaire. Peintre le plus célèvre des Temps modernes, Van Gogh a donné lieu à beaucoup de littérature. Aujourd’hui, alors que ses oeuvres jamais vendues de son vivant crèvent tous les plafonds des ventes aux enchères, il est salutaire et passionnant d’aller voir qui se cachait vraiment derrière le mythe.
Le bucher
1210 : Noyée dans les flammes de son bûcher, Minerve, ville forteresse réputée imprenable entre les Cévennes et les Pyrénées, capitule au terme d’un siège sans merci. Le premier acte de la tragédie cathare s’achève. Le dernier, trente-quatre années plus tard, s’appellera Montségur. Dans ce roman superbe s’inspirant de la première phase de la croisade des Albigeois qui déchira la France il y a quelque sept cents ans, entraînant la disparition de la civilisation occitane, Georges Bordonove, sur fond authentique de la geste des » Parfaits « , mêle avec une rare maîtrise l’Histoire, le sang, la foi, la volupté et la mort.
Les brumes de Babylone
Les Larkin étaient les gens les plus sympathiques que vous puissiez rencontrer. De leur vivant. Mais depuis… Babylone : une petite ville du sud des Etats-Unis, endormie sous un soleil de plomb, perdue au coeur des marais de Floride. Au-delà des dernières fermes coule une rivière, le Styx. C’est la que fut retrouvé le corps de Margaret.
Les dossiers d’Interpol 2
Voici une nouvelle série des Dossiers d’Interpol. A travers ces récits, dans un monde sans frontières où l’étrange et l’insolite le disputent au fantastique et à l’horreur, nous retrouvons ce plaisir de lecture qui a fait le succès des Dossiers extraordinaires et des Aventuriers.
De Gaulle et les africains
Charles de Gaulle est souvent présenté dans une mythologie toujours menaçante. Laudateurs africains et spécialistes européens en ont fait le géant de la deuxième guerre mondiale et surtout le décolonisateur parfait qui a su secouer l’édifice colonial en faisant table rase des pesanteurs des siècles antérieurs.
A la vérité, si les Africains doivent à de Gaulle, héritier des Jules Ferry, Galliéni et Lyautey leur mode d’insertion politique dans le monde moderne, De Gaulle doit à son tour à l’Afrique son mode d’identification comme chef politique exemplaire. Aux heures sombres de la débâcles en France, c’est en Afrique que De Gaulle trouve un espace, une armée, une dignité.
C’est ce De Gaulle que le politologue béninois Stanislas Spero Adotevi campe dans cet ouvrage. Il le fait avec un talent rarement égalé. Nul doute que ce livre arrive à point nommé en cette année 1990 baptisée année De Gaulle : l’année du centenaire de sa naissance, 50ème anniversaire de l’appel du 18 juin, 30ème anniversaire des indépendances africaines et enfin 20ème anniversaire de la mort du « plus illustre des français ».
Les vertes années
Robert Shannon n’a pas huit ans quand la mort de ses parents le déracine d’Irlande pour le transplanter en Ecosse chez ses grands-parents maternels, « papa et maman » Leckie, à Levenford. La maisonnée comprend aussi leur seconde fille Kate qui est institutrice, leur fils cadet Murdoch qui ne rêve que jardinage (l’aîné Adam est courtier en assurances dans la ville voisine et deux pensionnaires qui sont la mère de papa Leckie, Grand-Mère, et le père de maman, Dandie Gow.
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes. Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou.
L’embellie
Hélène est jeune. Elle a une fille. Babou, une gamine très délurée. Elle veut vivre. Des hommes Pourquoi pas ? Un homme, elle a déjà donné. Et puis, lors d’un voyage au Tibet où Babou l’a entraînée, elle va rencontrer et aimer jean, qui est exactement ce qui ne lui convient pas : un être parfaitement instable, qui ment, toujours prêt à disparaître.
Catherine courage
Parce qu’un jour de printemps un enfant est mort dans ses bras, le destin de Catherine, la fille de Maria Vandamme, a basculé : elle a décidé de devenir médecin. Mais, dans le monde de 1891, une telle ambition est folie pour une femme : toutes les portes, ou presque, sont closes.
Entretien avec un vampire
Dans une pièce sombre se déroule lentement l’histoire d’un être que le temps délaisse et que le soleil blesse… De nos jours, à la Nouvelle-Orléans, un jeune homme a été convoqué dans l’obscurité d’une chambre d’hôtel pour écouter la plus étrange histoire qui soit. Tandis que tourne le magnétophone, son mystérieux interlocuteur raconte sa vie, sa vie de vampire.
Axle Munshine vagabonde à travers les limbes à bord de son vaisseau Vaisseau d’argent, en compagnie de Musky. Une image l’obsède indéfiniment : celle de Chimeer, femme de ses rêves. Et comme les rêves ont parfois leurs réalités, il sera inéluctablement confronté à celle-ci. Non sans rebondissements.
Très sage Héloise
Héloïse ! Une des créatures les plus extraordinaires de tous les temps !é On a pu l’appeler la femme qui inventa l’amour car elle se dresse comme une torche au seuil du siècle qui sut transmuer le sentiment amoureux en passion. Née avec lui (1100 ou 1101), la belle étudiante du cloître Notre-Dame vécut totalement, dans sa chair, dans son âme, les enivrements et les déchirements d’une découverte superbe mais sulfureuse. Elle allait bouleverser l’ordre de l’amour humain. Emportée dans la même étourdissante spirale, Abélard et Héloïse demeurent les témoins exemplaires de la prodigieuse révolution de moeurs qui s’est produite à l’aube de ce XIIe siècle qui fut, en réalité, notre véritable Renaissance.
Je n’ai jamais aimé que les hommes cruels, m’avait déclaré Louise Brooks. « Les hommes gentils, c’est triste, mais on ne les aime pas. On les aime beaucoup mais sans plus. Vous connaissez une femme qui a perdu la tête pour un gentil garçon ? Moi non. Un homme cruel est léger, riche, infiniment mystérieux… Imprévisible. Il vous tient en haleine. Alors qu’on finit par en vouloir à un homme à qui on peut toujours faire confiance… Mais vous aussi vous aimez les hommes cruels, n’est-ce pas ? Vous n’aimez pas qu’ils vous approchent ? J’avais hoché la tête. Hélas ! les hommes cruels ne courent pas les rues. Pour être cruel, il faut être oisif. Gamberger sans fin les petites ruses qui vont égratigner puis saigner l’autre à blanc, le forcer à attendre, à supplier, à se rendre, lui instiller le poison sous la peau même et l’enchaîner à vous pour l’éternité. Alors, mon petit Papa chéri, t’as compris ? Tu vois ce qu’il te reste à faire ? Toi qui es peinard LA-HAUT… Tâche de repérer un type bien et de me l’envoyer fissa. Tu connais mes goûts : un peu comme toi quoi, grand, brun, flegmatique et qui m’en fait voir de toutes les couleurs. Un avec qui faire la guerre. Et la paix. La guerre. Et encore la paix. Un qui ne se rende jamais…
Narcose
A Toulon, le lieutenant de vaisseau Alain Ménestrol assiste, avec sa jeune femme Patricia, au bal de la Marine. Les amis, la famille l’entourent, et ce qui devrait être pour lui une fête commence à devenir un cauchemar. Pourquoi? Que craint-il ? Et qu’espère-t-il en entraînant son épouse dans sa fuite soudaine? Une fuite que, bientôt, il vivra seul, traqué par des ennemis dont Patricia voudrait bien connaître le vrai visage. Car ces gens-là ne se contentent pas de menaces : ils torturent et ils tuent.
Dans ce captivant suspense, l’auteur de Yesterday fait découvrir un milieu qu’il connaît bien : la Marine, avec son code de l’honneur, ses servitudes, ses angoisses, ses joies. Mais pour la première fois dans son œuvre, Jean-François Coatmeur donne le premier rôle à un bouleversant personnage de femme : celle qui reste en marge et doit assumer non seulement l’éducation des enfants, les drames familiaux mais aussi la peur de l’inconnu : la jeune Patricia sera en effet brutalement confrontée à I’horreur.
Alaska
En Anglais In this sweeping epic of the northernmost American frontier, James A. Michener guides us through Alaska’s fierce terrain and history, from the long-forgotten past to the bustling present. As his characters struggle for survival, Michener weaves together the exciting high points of Alaska’s story: its brutal origins; the American acquisition; the gold rush; the tremendous growth and exploitation of the salmon industry; the arduous construction of the Alcan Highway, undertaken to defend the territory during World War II. A spellbinding portrait of a human community fighting to establish its place in the world, Alaska traces a bold and majestic saga of the enduring spirit of a land and its people.
Rumeurs dans la salle des profs
Dans la salle des profs devenue de 12 heures à 13 heures 30, leur cantine, ils n’échangent guère que le sel et la moutarde. Un collègue vient de se suicider et tout bascule. Les masques tombent. La mémoire met à jour des drames proches ou lointains, les souvenirs font une sarabande effroyable et les personnages perdent de leur réalité. Le quotidien débouche sur le fantastique et ces visages tour à tour grimaçants, terrifiés ou agressifs appartiennent au monde du grotesque « la plus riche source que la nature puisse offrir à l’art » (Victor Hugo).
Sunset
Los Angeles… Douze millions d’habitants, mégapole du Troisième Millénaire, cité des mythes.
Beverly Hills, Bel Air, Hollywood… Ses milliards, ses ghettos, parano… Soleil, palmiers, ciel bleu, piscines… Jusqu’au jour où débarque un dissident russe, Kostia Vlassov. Jeune, beau, sans le sou. Alors, soudain, la carte postale se déchire, les façades s’effritent et tous les secrets de la ville explosent dans une traque à couper le souffle, qui nous bouscule des résidences des rois du monde aux taudis de Down Town, des salons de massage aux cliniques de désintoxication, des soirées haschisch aux rodéos meurtriers des Hells Angels, des plages de Malibu aux bordels de Colombie, des homos aux héros, des studios où se fabriquent les rêves à la chambre de Jenny. Jenny… La plus grande star du cinéma… Richissime, adulée, paumée, droguée… Regardez bien sous son lit : le Russe est peut-être dessous. Un roman haletant, trépidant, imprévisible, fort comme la cocaïne et plus vrai que la vie. Seul Pierre Rey pouvait l’écrire. Los Angeles, il connaît bien : il y vit.
L’anglais économique et commercial
Un ouvrage de référence complet destiné tant aux étudiants (universités, instituts de gestion, écoles de commerce, IUT, etc) qu’aux professionnels et cadres de l’entreprise. Il intègre les grandes tendances de l’évolution économique actuelle : mondialisation des échanges, dérèglementation, etc , développement des nouvelles technologies et de nouveaux services. Il présente également les grandes subdivisions de l’activité économique commerciale : banque, bourse, transports, droit des sociétés, marketing, distribution, etc.
Pour le meilleur et pour le pire
Jenny Rakowsky est sur le point d’épouser le séduisant Jay Wolfe, un riche avocat d’affaires. Brillante avocate elle aussi, elle défend les causes perdues des femmes en détresse. Malgré leur différence de milieux sociaux, la famille de Jay accueille chaleureusement la jeune femme, lui confie la tâche de défendre leur propriété ancestrale, convoitée par des promoteurs sans scrupules.
Les trois amours de Napoléon
Voici Joséphine de Beauharnais, douce créole auréolée de sensualité. Voici Marie Walewska, Polonaise passionnée qui s'était juré de n'avoir jamais qu'un seul amour : son pays. Voici Marie-Louise d'Autriche, femme-enfant sacrifiée à la raison d'Etat. Et puis voici l'homme des conquêtes, celui que toutes trois auront aimé, Napoléon. Un empereur dont le regard, inexorablement, se tourne vers une toute autre maîtresse : l'Histoire. Le livre de Janine Boissard ne se contente pas de raviver l'éclat tragique de la saga napoléonienne. Il lui donne des reflets inédits et inoubliables à travers le regard de trois femmes d'exception.
La montée aux enfers
Un brillant avenir politique est promis à Laurent Faillard. La Presse avance son nom pour un secrétariat d’État. Une calme vie de famille, deux enfants, une femme, Françoise, irréprochable… Tout bascule, quand Laurent accueille sous son toit, Ludovic, 20 ans, le fils d’un ami de jeunesse. Apparaissent : coups de fil bizarres, lettres anonymes et même un cadavre de femme… Un roman policier à suspense mais aussi un roman d’amour. Dans l’évolution du roman policier moderne, Maurice Perisset occupe une place à part. À des intrigues brillamment conduites où les rebondissements sont nombreux, à des études de caractères et de mœurs qui rendent ses personnages d’autant plus attachants, il joint un art du suspense qui lui a valu le Prix du Quai des Orfèvres et le Prix du Suspense Français. Une œuvre littéraire de premier plan.
Hollywood
Poursuivant la série de ses romans historiques à grand succès, Gore Vidal aborde maintenant l’entrée de l’Amérique dans l’ère des changements rapides qui marquent les années vingt. Hollywood commence en 1916, à la veille de l’entrée des Etats-Unis dans la Grande Guerre. Le roman raconte l’histoire de la belle et ambitieuse Caroline Sanford, propriétaire et rédactrice en chef du Washington Tribune, qui se rend sur la côte Ouest pour soutenir l’effort de guerre du gouvernement en réalisant des films de propagande en faveur des Alliés. Peu après son arrivée, non seulement le succès couronne son activité de productrice, mais elle devient elle-même une star. Tandis qu’elle côtoie les divinités du cinéma comme Douglas Fairbanks, Mary Pickford, Cecil B. De Mille, Charlie Chaplin, tout en conservant des relations personnelles avec les piliers de la politique comme Woodrow Wilson, Franklin et Eleanor Roosevelt, elle se trouve engagée dans les luttes d’influence qui opposent désormais les deux capitales américaines, la capitale administrative, Washington, et la capitale mondiale du charme, Hollywood. La nouvelle industrie qui vient de naître en Californie a créé un nouveau langage, idéal pour toucher, séduire, émouvoir des millions de femmes et d’hommes. En découvrant l’immense pouvoir du cinéma, Caroline a deviné qu’il serait désormais, avec la presse et la politique, un des trois axes du pouvoir, la moderne lampe d’Aladin, l’instrument magique avec lequel on peut manipuler les esprits, créer les sensations, imposer les modes, pour le meilleur et pour le pire.
Le quatrième K
Dans Le Parrain, Mario Puzo avait pris comme trame romanesque l’univers de la mafia. Cette fois-ci, avec Le Quatrième K, Son nouveau grand roman, il s’attaque à un autre tabou : le pouvoir politique – en s’appuyant sur l’un des mythes contemporains les plus fascinants : la légende des Kennedy. A la fin de notre décennie, à la Maison-Blanche, Francis Xavier Kennedy, cousin de John et Robert, termine son mandat présidentiel et s’apprête à faire campagne. Il n’est déjà plus l’homme aux idéaux triomphants que l’Amérique avait adulé – le pouvoir l’a usé. Et, lorsque sa fille est prise en otage dans un violent complot terroriste, Kennedy, obsédé par l’assassinat de ses oncles, n’hésite pas à déclencher, en représailles, une série de mesures sanglantes que le monde et ses proches contemplent avec horreur. Un suspense explosif aux rebondissements spectaculaires pour servir une intrigue digne de Machiavel. Un grand Puzo.
Les amandiers fleurissaient rouge
Juillet 1936. Les troupes nationalistes de Franco entreprennent de conquérir le pays dirigé par les républicains : le drame de la guerre civile espagnole commence.
Dans l’Aragonais républicain, Soledad et Miguel se donnent l’un à l’autre avant que Miguel, enrôlé de force malgré ses opinions, parte combattre dans les rangs nationalistes.
Soledad l’attendra… à moins que la guerre ne se charge de modifier les destins.
Malgré une vie envahie par la peur et peuplée de morts, Soledad trouve un peu de réconfort auprès de Luis, un milicien républicain. Mais, devant la menace franquiste, il faut fuir…
La Reine Soleil, l’aimée de Toutankhamon
Quand Akhésa ouvrit les yeux, l’aube rougeoyait. Le sang du premier soleil inondait le Nil. La capitale du pharaon Akhénaton s’éveillerait bientôt. Déjà, dans les rues blanches, passaient les policiers qui allaient relever la garde. Il y en avait de plus en plus depuis que des bruits inquiétants circulaient sur la santé de Pharaon.
De ses yeux vert tendre, Akhésa contempla le soleil de ce matin de fin d’hiver. Il donnait vie à tout ce qu’il touchait de ses rayons. Akhésa était une magnifique jeune femme brune, au corps mince et élancé. À quatorze ans, elle se sentait adulte ; les jeux de l’enfance ne l’intéressaient plus. Dans son coeur venait de s’opérer une étrange mutation. À cause d’elle, Akhésa s’était enfuie et, depuis un jour et une nuit, se cachait. Elle voulait comprendre les lois de sa propre destinée.
Vêtue d’une tunique de lin blanc, pieds nus, Akhésa avait progressé de ruelle en ruelle, de jardin en jardin, de toit en toit. Elle s’était faufilée dans le dédale de villas du quartier des nobles, au sud de la ville, se cachant dès qu’elle apercevait un uniforme. En contournant le palais de plaisance, elle avait gagné le centre de la capitale pour se noyer dans la foule qui arpentait la voie royale, le long du palais royal.
Elle longeait le ministère des Pays étrangers quand elle s’était fait repérer : le regard d’un commandant de la charrerie avait croisé le sien. Le temps qu’il alerte ses hommes, la fugitive avait disparu en se fondant dans un cortège de scribes qui allait vers la Maison de Vie. Elle avait alors quitté la voie royale pour s’enfoncer dans le quartier très animé des commerçants, au nord de la ville. Au passage, la jeune femme avait grappillé quelques dattes à l’étal d’un boutiquier avant de se cacher dans un atelier vide pour y prendre des forces.
Une affaire de sorciers
Qui est le Docteur Frederickson, surnommé Mongo Le Magnifique ? Ex-acrobate de cirque, docteur en criminologie, ceinture noire, Mongo est le détective privé le plus célèbre de New York. C’est aussi un nain, ce qui lui permet d’avoir un regard différent sur les êtres et les choses. Regard dont il a bien besoin lorsqu’il se retrouve confronté à une série de meurtres plus étranges les uns que les autres avec, pour suspects, une bande de mediums, prophètes et autres sorciers. « Une intrigue magnifique… L’œuvre d’un maître. » (Peter Straub) « Quand Raymond Chandler rencontre Stephen King. » (Playboy)
Le fantôme de Lady Margaret
Quel rapport peut-il y avoir entre les attentats qui ensanglantent Londres, visant la famille royale, et les recherches d’une jeune historienne sur la terrible Lady Margaret, décapitée au XVIIe siècle ? La vengeance, peut-être. Ou l’hypnose ? Le surnaturel, pour deux jumelles aux prises avec un psychopathe ; la passion meurtrière d’un jeune homme pour son ancien professeur ; amour, mort et loterie pour les deux amis de jour de chance : l’auteur de La Nuit du renard, grand prix de littérature policière, explore ici en cinq récits toute la gamme du suspense et de la terreur.
Entretien avec un Vampire
De nos jours, à La Nouvelle-Orléans, un jeune homme a été convoqué dans l’obscurité d’une chambre d’hôtel pour écouter la plus étrange histoire qui soit. Tandis que tourne le magnétophone, son mystérieux interlocuteur raconte sa vie, sa vie de vampire. Comme l’interviewer nous nous laissons subjuguer, fasciner et entraîner à travers les siècles dans un monde sensuel et terrifiant où l’atroce le dispute au sublime.
La stratégie du bouffon
A Rome, poussé par une mère aussi riche qu’ambitieuse, Nicolas d’Ausonne devient éveque à l’âge de vingt-trois ans. L’homme fort beau, c’est un esprit brillant, mais c’est aussi un débauché de la plus spectaculaire espèce. Pour avoir parié sur le mauvais cardinal lors du conclave de 1458 (surnommé le conclave des latrines… ), le jeune prélat tombe en disgrâce et se voit exilé da,s un monastère oublié de la Vallée Borgne, une faille aride et dépeuplé située entre Cévennes et Languedoc. Il se trouve dans la situation de ces funambules de foire qui suscitent l’admiration de chacun lorsqu’ils marchent sur le fil, et les moqueries de tous lorsqu’ils en tombent. Ces souains bouffons ne peuvent redevenir des héros qu’à condition de remonter sur le fil et accomplir de plus grandes prouesses encore. Pour Nicolas d’Ausonne, cela est affaire de stratégie. Il trouve son instrument en la personne de Marin, un moine à la voix d’or, un peu soldat, un peu médecin et parfois truqueur pour les besoins de sa cause. A l’inverse des autres prédateurs de son temps qui parlent d’apocalypse imminente et appellent les fidèles aux mortifications les plus féroces, Mari,prêche l’amour de Dieu à trvers la joie d’exister et le bon usage des plaisirs de la vie… tous les plaisrs !
L’épouse de Monsieur Milton
A l’âge de seize ans, Mary Powell s’éprend d’un capitaine de la Garde Royale qu’elle aimera toute sa vie. Mais, en paiement d’une dette, elle épouse John Milton, alors âgé de trente-quatre ans. Il est puritain et poète, obsédé par les cheveux blonds de la jeune femme. Leur mariage tumultueux est au centre de ce superbe roman. Robert Graves nous fait revivre l’Angleterre du dix-septième siècle avec un incroyable luxe de détails, des personnages écartelés entre la sensibilité de la Renaissance et les tensions religieuses héritées du passé. C’est l’époque de Cromwell. La première révolution des Temps modernes avive les ambitions, exacerbe les passions et ravage le pays. John Milton apparaît dans ce contexte comme une figure emblématique, véritable médium de ce monde trouble, oscillant entre le poète sublime du Paradis perdu et le redoutable pamphlétaire politique, entre le goût de la mortification, la vocation spirituelle et la violence des passions amoureuses.
Caraïbes
Pas moins de six siècles d’aventures, bercées par le sac et le ressac de la mer des Caraïbes, nous sont contés dans cette grandiose saga. Mer d’une céleste beauté, la mer des Caraïbes accueillit les exploits et les frasques des héros de tous les temps, depuis Christophe Colomb, « découvreur » des Amériques, à Fidel Castro, le dictateur admiré puis honni, en passant par l’étonnant Henry Morgan, le roi des pirates… De Cuba à la Jamaïque, des côtes du Mexique à celles du Venezuela, se dessine ici la cartographie des mythes merveilleux, des traditions passionnées et des fougueux mouvements historiques qui animèrent ce qu’on appelait jadis du nom si poétique et mystérieux de « terra incognita ». Véritable croisière au long cours, le livre nous emmène, au rythme des ouragans de l’Histoire, vers des horizons à faire rêver et frémir. Car ici l’émotion devant la grandeur de l’aventure humaine est sans bornes…
1640 pages – La Comtesse de Chamy succède immédiatement à Ange Pitou : il débute le 6 octobre 1789 pour s’achever, le 21 janvier 1793, avec l’exécution du roi. L’aventure collective relègue à l’arrière-plan les destins individuels et les personnages ne subsistent plus que comme symboles d’une idée ou d’un groupe social : Billot incarne le peuple, Chamy, l’aristocrate loyal, Gilbert, le constitutionnel, Pitou, la générosité. Au cours des événements qui ponctuent la chute de la royauté (fuite à Varennes, retour aux Tuileries, 10-Août, procès du roi), les héros ne réapparaissent que pour terminer leur carrière romanesque par la mort ou l’exil. Après les excès des passions antagonistes, Le Chevalier de Maison-Rouge incarne la tentative de réconciliation. Un républicain convaincu, Maurice Lindey, s’éprend d’une royaliste, Geneviève Dixmer, dont le mari et le frère (celui-ci est en réalité le chevalier de Maison-Rouge qui se cache sous un faux nom) ont entrepris de délivrer la reine du Temple. Maurice, révolutionnaire mais humain, Geneviève, royaliste mais amoureuse, vivent un amour impossible : la cruauté de Dixmer et de celle de son double républicain, Simon, les conduira à la mort sur l’échafaud, après que la reine elle-même aura eu la tête tranchée. Le roman semble illustrer cette phrase de Michelet : « Cette affaire […] fut un solennel champ de bataille où se rencontrèrent et se combattirent deux principes et deux esprits : l’un, le principe original et naturel qui avait fait la révolution, la justice, l’équitable humanité – l’autre, le principe d’expédients, d’intérêt, qui s’appela le salut public, et qui a perdu la France. »
The boyfriend
Author of numerous scary thrillers, R.L. Stine tells a story of spoiled, rich Joanna who gets a lot of chilling surprises when she cheats on her sweet and caring boyfriend, Dex. Joanna wants to date Shep because he is wealthy and has good prospects, whereas Dex lives with an old aunt and can”t afford expensive schools. Even when Joanna doesn”t show up for their date at the mall, Dex still wants to see her. After convincing her to go out with him and his friend, Pete, to see the beautiful moon, the night ends in tragedy with Dex falling off a cliff and Joanna getting into a car accident as she flees the scene.
After Joanna recovers from her injuries, and Dex is declared dead, it would seem that her romantic problems are over. But strange things keep happening. Dex is calling Joanna on the phone and appearing on street corners. When Joanna realizes he”s not dead, she goes out with him, but something is different. Why is Dex”s skin so pale, and why does he smell like rotten meat? In a series of suspenseful twists and turns, reality and fantasy are blurred, and Joanna”s friendships with her best friend, Mary, and her new boyfriend, Shep, are threatened by Joanna”s growing self-centeredness. In a dramatic and surprising ending, Dex « returns from the dead » one final time to teach Joanna that it is she who has been « dead » all along.
Le cri de l’apocalypse
Apocalypse signifie Révélation: aux chrétiens de la fin du 1er siècle, Jean voulait révéler le sens des persécutions qu’ils enduraient et les encourager à rester debout dans la tempête en s’appuyant sur la foi du christ et sur l’espérance de son retour.
La tragédie chinoise
« Le Printemps de Pékin » de 1989 marque une brutale rupture : l’histoire de la Chine a paru alors aux Occidentaux prendre un tour odieux que peu d’entre eux imaginaient. Pourtant, comment ne pas repérer dans cette tragédie-là tous les ingrédients d’une constante tragédie chinoise ? Et dans cette dernière, comment ne pas reconnaître un simple cas particulier – mais significatif entre tous – de l’universelle tragédie du tiers-monde ? Cette tragédie au carré et au cube, même si elle semble sans précédent à l’observateur rapide, récapitule tous les facteurs de l’éternelle équation chinoise. Sans doute ceux-ci se retrouveront-ils longtemps dans les inévitables épisodes à venir d’un drame à rebondissements, qui bouleverse tour à tour bien des pays sous-développés et, par contrecoup, la planète entière. Le grand écrivain révolutionnaire Lu Xun, lui, ne se faisait pas d’illusions : « Pour les peuples attardés, il n’y a pas de raccourcis… Peuvent-ils se permettre la démocratie ? » Le « Printemps de Pékin » a placé la Chine en face des terribles problèmes qui lui restent à résoudre. Lui en a-t-il donné la clef? Et si nous avions été victimes d’autant d’intoxication à propos du drame chinois qu’à propos du drame roumain ?
La tunique de Nessus
Dans le New York de la fin des années quatre-vingt, corrompu, décadent et atteint du Fléau qui décime impitoyablement tous les jeunes talents de la ville, le milliardaire Edward Hennings, presque centenaire, domine de sa volonté de puissance tous ceux qu’il choisit comme objets de son » amour « …Fidèle à son rôle profanateur, iconoclaste et grand pourfendeur des valeurs admises de l’American way of life, Purdy, dans ce nouveau roman new-yorkais, expose _ mais sans jamais les opposer à aucune morale _ les pourritures diverses qui rongent irrémédiablement la mégapole américaine. James Purdy vit à Brooklyn Heights et enseigne à l’université de New York. Il a écrit de la poésie, des pièces de théâtre, des nouvelles et une quinzaine de romans, dont Malcom, le Satyre, Ce que raconta Jeremy, Dans le creux de sa main.
» Son audace visionnaire l’impose comme un des rares héritiers des Faulkner et des Flannery O’Connor de naguère. «
Au nom de tous les miens
De la guerre, le petit Martin connaîtra tout : les privations, les humiliations, la peur durant le temps passé au ghetto de Varsovie, l’horreur absolue des camps nazis à Treblinka, la fureur de vivre quand il s’en échappera caché sous un camion, l’abattement et aussi le suprême courage quand il apprendra qu’il a perdu tous les siens…Et puisqu’il faut bien vivre, il s’engagera ensuite dans l’Armée rouge, puis partira aux Etats-Unis… Enfin la paix reviendra. Martin reconstruit alors sa vie et rencontre le grand amour en la personne de Dina. C’est dans le sud de la France, par une journée d’été éclatante, que le destin le blessera à nouveau – à mort – en décimant ceux qui lui sont le plus chers. Ce récit de vie, extraordinairement dramatique, a fait le tour du monde. Traduit dans plus de vingt langues, adapté au cinéma par Robert Enrico (avec dans les rôles principaux Michael York et Brigitte Fossey), devenu ensuite un feuilleton, il continue à toucher des millions de lecteurs car son message de courage, mais aussi d’espérance, est universel.
Sans retour
Lorsque, à l’issue du bal, on découvre le corps de Michèle, une jeune fille de Felton (Tennessee), tout le monde est tenté de croire au geste d’un déséquilibré. Peut-être même certains voudraient-ils qu’on y croie… Mais Lillie, sa mère, n’a que faire des suppositions. Elle veut la vérité. Pourquoi, dès lors, rencontre-t-elle l’indifférence de son mari, beau-père de Michèle, et du fils qu’elle a eu de lui? Pourquoi semble-t-on vouloir étouffer l’affaire? A l’issue d’une quête acharnée – et d’un suspense de premier ordre – elle découvrira une vérité atroce, et, du même coup, la véritable nature de ses proches.Révélée avec « Un étranger dans la maison », Patricia MacDonald a été saluée par deux grands maîtres du thriller, Stephen King et Mary Higgins Clark.
L’Amour et le pouvoir
110 avant J.-C.: la République est à son apogée et, pourtant, elle est déjà minée par l’argent, la cupidité et les luttes de factions. Deux hommes vont se lever. Deux hommes d’exception, avec, chacun, l’ambition de devenir le «Premier parmi les Romains», distinction accordée à de très rares occasions depuis les origines de la République. Aucun des deux, cependant, ne dispose à priori des moyens pour parvenir à ses fins. Marius a contre lui ses origines: c’est un notable enrichi et il n’appartient donc pas à l’une ou l’autre des grandes lignées patriciennes dont les représentants dominent le Sénat et gouvernent la cité depuis la chute de la monarchie. À l’opposé, Sylla est de naissance aristocratique, mais il a contre lui d’être un homme désargenté qui a décider d’oublier sa condition dans la recherche effrénée des plaisirs. De tous les plaisirs.