La rose noir
Trois cadavres de femmes sont découverts dans l’Oregon sur un chantier. Le promoteur, Martin Darius, est arrêté et mis en accusation. Mais le dossier se révèle bien mince… Jusqu’à ce que le procureur apprenne que le suspect aurait commis, sous un nom différent, d’autres atrocités dix ans plus tôt dans une autre localité avec un scénario identique. Pourquoi Darius n’a-t-il pas été appréhendé et pourquoi le dossier de l’affaire reste-t-il introuvable ? Quels rôles ont joué gouverneur, police et maire pour rendre sa liberté à un tueur en série ?
Le code Hammourabi
Le conseiller municipal de Boston Philip Stewart est assassiné. Cet ancien sans-abri et alcoolique repenti, héros des causes caritatives, incarne pour les Bostoniens la justice et le bien, à tel point qu’ils l’ont surnommé « le Saint ». Aussi sa mort plonge-t-elle la ville entière dans la stupeur et l’incrédulité. Mais une voix discordante s’élève dans le choeur unanime des lamentations : celle du journaliste Frank Cronin, chargé de l’enquête sur ce meurtre pour le Boston Post. Bravant l’opinion publique et ses supérieurs hiérarchiques, il va dévoiler peu à peu la face cachée de la victime. Ses investigations le mèneront dans les coulisses de la haute société bostonienne : ses intrigues, ses réseaux occultes, politiques et financiers, l’influence souterraine de l’Eglise. Il y rencontrera des acteurs retors, rompus aux arcanes du pouvoir, et devra faire appel à toutes ses ressources pour progresser vers la vérité. Une vérité qui éclatera dans un coup de théâtre final et donnera tout son sens au titre du livre : le code Hammourabi, rédigé à Babylone quelque mille cinq cents ans avant notre ère, est le monument législatif de l’Antiquité. A la différence de nos codes contemporains, il autorise la loi du talion et la vengeance privée… Charles Kenney a été journaliste au Boston Globe pendant quinze ans. Il vit à Boston avec sa famille. Le Code Hammourabi est son premier roman.
Sous le Novgorod
Il était une fois une princesse russe nommée Anne ; elle épousa un roi de France, Henri. C’était il y a fort longtemps : en 1051 …
Une turbulente saga russe où ne manque aucun des ornements du grand roman historique à la Walter Scott : chevauchées dans la neige, hordes de loups, monceaux de fourrures, princesses ardentes et trahies, dames d’atour, rois tiraillés entre les exigences de la politique et d’innombrables pulsions physiques, non moins impérieuses … Irène Frain, Paris Match. Aventures, amours contrariées, rivalités sanglantes, sabbats de sorcières à l’ombre des cathédrales … c’est le grand chambardement des âmes et de la fatalité tel que les aime Régine Deforges. Françoise Ducout, Elle. Belles princesses, trouvères, enchanteurs, chevalier au masque d’argent, moine paillard, messe noire, adoubement, couronnement et batailles, et de l’amour comme on l’aime en tout temps. Et, traversant intacte ce morceau d’histoire, la dame venue de loin, habitée tout au long du souvenir poignant des clochers bulbeux de Novgorod.
Un nom de torero
Juan Belmonte, ancien guérillero chilien, et Frank Galinsky, ex-membre de la Stasi, sont engagés par des parties adverses pour retrouver un mystérieux trésor disparu au Chili. Épris de liberté et de justice, ces deux hommes ont tout sacrifié à leurs idéaux politiques. Revenus de leurs illusions, ils entament leur ultime aventure : un duel sanglant au bout du monde.
Le privé
Jean-François Rivière, détective privé, est un jour contacté par un ami d’enfance, Marc Salvain : ce dernier, directeur d’un important réseau bancaire, a découvert que son fils Xavier se droguait et demande à Rivière d’intervenir au plus vite. Malheureusement, les « bêtises » du rejeton ne se limitent pas à la consommation de cocaïne. Le jeune Xavier, petit génie de l’informatique, opère d’ingénieux transferts de fonds, sans se douter un seul instant que les sommes qu’il manipule allègrement depuis son ordinateur sont elles-mêmes détournées, pour le plus grand profit d’un magnat zurichois aux activités douteuses. Des ruelles de la capitale aux salons cossus des officines suisses, le privé Jean-François Rivière va devoir démêler plus d’une intrigue et compter sur plus d’un allié pour éviter les innombrables pièges que lui tendront des hommes de l’ombre pour qui l’argent n’a pas d’odeur et la vie humaine une valeur toute relative.
Tom Boker est ce que l’on appelle dans les vielles histoires américaines un chuchoteur. Il a un don avec les chevaux. Il est capable de rendre le plus enragé d’entre eux doux comme un agneau. Il vit dans le Montana où il gère le ranch familial avec son frère Frank et sa famille. C’est vers Tom que va se tourner Annie Graves Maclean, suite à l’accident qui a rendu sa fille handicapée et fou son cheval Pilgrim. Il lui apparait comme une évidence que l’enfant ne pourra pas guérir si son cheval ne se remet pas. Pendant quelques semaines, la mère et la fille vont, en même temps que Pilgrim, panser leurs blessures et réapprendre le vrai sens de la vie.
L’homme-Dieu ou le sens de la vie
Nous vivons aujourd’hui un double processus. A l’humanisation du divin liée au refus des arguments d’autorité, répond une divinisation de l’humain, conséquence logique de la naissance de l’amour moderne et des relations sentimentales. En dépit des apparences et par-delà les discours récurrents, certaines formes de transcendances persistent. Le divin aujourd’hui n’est plus une donnée extérieure révélée a priori mais s’enracine dans la conscience et la subjectivité humaines. La question du sens de la vie se reformule dans les limites d’un nouvel humanisme. C’est par le don volontaire de soi et l’amour de l’autre que l’individu moderne trouve le sens de sa vie. Le développement de l’idée humanitaire est le symbole par excellence ce cette évolution.
Old flames
At the height of the Cold War, Chief Inspector Troy of Scotland Yard, assigned to both protect and spy on Khrushchev, infiltrates the M16 to investigate the brutal killing of a Royal Navy diver and begins to suspect that one of his own colleagues may be responsible. 50,000 first printing. $50,000 ad/promo.
Jonathan Livingston le goéland
Décidément, Jonathan Livingston n’est pas un goéland comme les autres. Sa seule passion : voler toujours plus haut et plus vite pour être libre. Mais cet original qui ne se contente pas de voler pour se nourrir ne plaît guère à la communauté des goélands. Condamné à l’exil, seul, Jonathan poursuit ses découvertes, sans peur, sans colère. Il est seulement triste de ne pouvoir les partager, jusqu’au jour où il rencontre des amis… Jonathan apprend alors à briser les chaînes qui emprisonnent son corps et ses pensées.
Le cri de la mouette
Lorsque Emmanuelle a sept ans, elle découvre la langue des signes. Le monde s’ouvre enfin. Elle devient une petite fille rieuse et « bavarde ». A l’adolescence pourtant, tout bascule. Aux désarrois de son âge s’ajoute la révolte de voir nier l’identité des sourds. Emmanuelle ne peut plus concilier l’univers des entendants et le sien. Elle se referme, dérive, se perd dans des expériences chaotiques. Mais, lucide et volontaire, elle réagit et choisit de se battre : elle réussit à passer son bac, lutte pour faire reconnaître les droits de trois millions de sourds français, puis s’impose magistralement au théâtre dans Les Enfants du silence.
Le Cri de la mouette est le témoignage d’une jeune fille qui, à vingt-deux ans, a déjà connu la solitude absolue, le doute et le désespoir, mais aussi le bonheur, la solidarité et la gloire.
Michaël Logan est un aviateur commercial de fiction et une série de bande dessinée créée par André Beautemps en 1972 pour Le Journal de Tintin. Cette série est publiée dans Tintin jusqu’en 1978, avec Jean Van Hamme au scénario à partir du troisième épisode. La série paraît en albums à partir de 1975 au Lombard, puis successivement chez Thaulez, au Miroir, chez P & T Productions.
Les combustibles
C’est la guerre et c’est l’hiver. Deux hommes et une femme sont terrés dans un appartement. Combien de jours leur reste-t-il à vivre ?
En attendant, il n’est plus interdit de révéler ses vraies passions. L’amour, le désir, l’intelligence résistent-ils au froid ? A-t-on le droit de consumer ses dernières forces à lire de la mauvaise littérature ? Enfin, à l’heure du choix ultime, quel livre est assez important pour ne pas être mis à l’épreuve du feu ?
Les bonnes calories
Pour le nutritionniste, les bonnes calories différencient des calories vides par leur richesse en nutriments ou micronutriments nécessaires au bon fonctionnement de l’organisme. Si nous voulons bénéficier pleinement de ces bonnes calories, il est essentiel, selon Christian Rémésy, directeur de recherche à l’INRA, de préserver la complexité des aliments et d’avoir une nourriture diversifiée.
Les six compagnons dans la citadelle
Les jeunes Lyonnais se regardent, bouleversés: « On n’a vraiment pas de chance! Pour une fois qu’on a un prof sympa… »
L’appartement du jeune professeur d’anglais a été littéralement soufflé par une déflagration inexxplicable. Aurait-il des ennemis? Mais, bientôt, d’autres exxplosions se produisent, un peu partout en France.
C’est Mady, avec sa fameuse intuition, qui trouve le détail révélateur: la présence répétée de montres à quartz synthétique sur le lieu des exxplosions.
L’usine est à Besançon. Qu’à celà ne tienne! Les Six enfourchent leurs vélomoteurs, sans oublier d’accrocher la remorque de Kafi.
Et, dans la capitale de l’hologerie, à l’ombre de l’antique Citadelle, s’engage bientôt un combat sans merci…
Vivre avec sa mémoire
Depuis toujours, la capacité d’évoquer les expériences passées a attiré l’attention des poètes et des philosophes. La mémoire a joué un rôle essentiel dans la transmission des acquis culturels, avant que les livres ne soulagent la mémoire des hommes. Mais jamais, sans doute, la mémoire n’a occupé dans une société la place qu’elle occupe dans la nôtre. L’augmentation de l’espérance de vie et le vieillissement de la population confrontent de plus en plus médecins et familles à la pathologie associée à l’âge. Une des plaintes les plus communément rencontrées chez les sujets âgés est celle d’une diminution des capacités de leur mémoire. L’importance de ce symptôme vient souvent de la crainte que ces troubles ne constituent la première manifestation d’une affection crébrale dégévérative liée à l’âge et, en tout premier lieu, d’une maladie d’Alzheimer. Contrairement à beaucoup d’autres livres écrits sur la mémoire, celui-ci n’est pas l’œuvre d’un psychologue, mais d’un médecin, neurologue d’exercice et psychiatre de formation. Modélisations de la mémoire, procédés d’acquisition, défaillances : l’ouvrage du professeur Christian Derouesné s’appuie sur les dernières recherches scientifiques, mais aussi sur des cas concrets et sur des exercices qui permettent d’ « éprouver » sa mémoire et de l’améliorer.
Le résumé, le compte rendu, la synthèse
Pour permettre la maîtrise des techniques du résumé, ce livre propose une méthode en trois étapes : Apprendre à lire de façon active un paragraphe, puis un texte, afin de l’analyser, d’en dégager l’essentiel ; Apprendre à rédiger le résumé, c’est à dire à reformuler plus brièvement le texte en respectant son organisation et son contenu ; Apprendre à mieux utiliser toutes les ressources qu’offre la langue. Cet apprentissage permet d’aborder ensuite : Le compte rendu ; La synthèse, orale et écrite ; Toujours dans le souci de construire une approche méthodique et progressive. Des exercices reprennent chacune des étapes. Ils sont accompagnés de corrigés.
L’initié
Imposteur, alchimiste, guérisseur, aventurier sans scrupules pour les uns, Grand Initié ou même immortel pour les autres… rarement homme intrigua autant ses contemporains que le comte de Saint-Germain. C’est au cours d’une réunion mondaine, qu’en 1793 Hélie de Maisonvieille entend parler de lui pour la première fois. Et tandis qu’on n’en finit pas de s’interroger sur la véritable nature du comte, le jeune homme s’entend proposer aux convives : « Donnez-moi six mois et je vous dirai qui est le comte de Saint-Germain. Pari tenu, il commence alors son enquête en Allemagne, où le comte maintenant âgé de quatre-vingt-douze ans s’est retiré.
Au nom du chagrin et de l’espoir
4 novembre 1995. Le monde, frappé de stupeur, apprend la nouvelle : Itshak Rabin vient d’être assassiné par un extrémiste juif. Le héros des guerres d’Israël, celui qui a donné à son pays ses plus grandes victoires militaires, a trouvé la mort en se battant pour la paix. Israël est en état de choc et c’est le désarroi de toute une génération, désormais orpheline, qu’exprimera Noa, la petite-fille d’Itzhak Rabin, aux obsèques de son grand-père. Dans cet ultime hommage à celui qui » était et sera toujours son héros « , Noa nous fait partager ses souvenirs les plus précieux. Grâce à ce beau livre, c’est l’homme timide et obstiné, juste et honnête qui, en mourant, » nous a laissé un testament d’espoir pour Israël, le Moyen-Orient et le monde « .
Le soleil brise
Mariée à un riche bourgeois, Cécilia aurait pu mener la vie tranquille des femmes aisées de son temps, mais sa soif de liberté la conduira vers une errance inexplicable pour ceux qui s’accommodent des contraintes de l’existence. L’errance de Cécilia résulte de sa fragilité et de son incapacité à se placer dans la société, et le symptôme de la fuite vers le soleil levant n’est que la recherche éperdue d’un monde idéal. Ni vagabonde ni démente, Cécilia ne sait pas qu’elle poursuit une chimère, et jusqu’aux portes de l’adultère, elle reste étonnante de candeur. Parce qu’aux Antilles il n’y a pas que des odeurs de sucre et de vanille, Le Soleil brisé c’est aussi la chronique d’une île en proie au désespoir, avec ses misères, sous le soleil, ses tourments politiques et ses amours déphasées. Dans Lari à Grenndé, Lari Sanzazil ou la rue des Cinq-Plaisirs évoluent des personnages hauts en couleur, et c’est dans ce contexte douloureux, sur fond de détresse, que se joue la vie dans le ghetto. Une femme, un pays, tous deux à la recherche d’un soleil désormais brisé.
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Récits tirés de l’histoire de Rome
Voici les Gaulois à l’assaut de la Ville éternelle, les éléphants d’Hannibal venus de la puissante Carthage, César trahi par les siens, l’esclave Spartacus luttant pour libérer ses compagnons d’infortune, l’empereur Néron emporté par sa folie mégalomane. Un passionnant roman d’aventures doublé d’une riche initiation à la civilisation romaine.
Le prince des imposteurs
Cette folle histoire est vraie : sous Napoléon III, un collectionneur fou, le professeur Chasles, et un artiste de génie, Denis Vrain-Lucas, un clerc de notaire pris à son propre jeu, confrontent leurs passions. Mais leur incroyable aventure se déroule au grand dam de deux femmes délaissées qui sauront fourbir leur vengeance, déclenchant ainsi un scandale à secouer tout l’Empire. L’auteur : Historien, couronné à deux reprises par l’Académie française, scénariste pour la télévision mais aussi producteur animateur d’émissions radiophoniques et télévisées, Michel de Decker est l’auteur de nombreux ouvrages, dont les biographies de La Princesse de Lamballe, du Chevalier d’Éon et de Claude Monet.
Princesse Cherokee
Vive, intelligente, déterminée, Temple Gordon a vécu une enfance de rêve dans la plantation de ses parents, en Géorgie. Mais en ces années 1830, les temps sont troubles : les tensions entre esclaves noirs et maîtres blancs s’exacerbent, la guerre de Sécession n’est pas loin, des bandes de miliciens terrorisent les Indiens. Or les Gordon sont métis, enfants d’Ecossais et de Cherokees. Bientôt, Temple et sa famille sont prises dans la tourmente… Déchirée entre ses racines indiennes et son éducation blanche, la jeune fille est prête à défier le monde entier pour demeurer aux côtés de l’homme qu’elle aime, Blade, un Cherokee qui a décidé de défendre la cause des Indiens.
Changement de décor
Deux avions se croisent en plein ciel quelque part au-dessus du pôle Nord : l’un transporte un professeur américain brillant, spécialiste de Jane Austen, qui arrive d’une grande université de la côte Pacifique, l’autre un professeur anglais un peu médiocre qui vient d’une université des Midlands et n’a d’autre titre de gloire que de savoir concocter des épreuves d’examen. Ils ont décidé d’échanger leur poste pour une durée de six mois.
Le fléau – Tome 1 à 3
♦ Existe en un tome aux éditions J’ai lu et en deux tomes aux éditions LGF. ♦ 13 juin 1990. 2 heures 37 du matin. Et 16 secondes. Dans le labo l’horloge passe au rouge. 48 heures plus tard, l’information tombe : Contamination confirmée. Code probable souche 848 — AB. Mutation antigène chez Campion. Risque élevé. Mortalité importante. Contagion estimée à 94,4 %. Top secret. Dossier bleu. Ca chavire, ça bascule. La Super-Grippe, l’Etrangleuse ou le Grand Voyage commence ses ravages. Une mécanique bien huilée. Des corps sur le bord de la route. Puis des fosses dans les cimetières. Ensuite des fosses communes. Et enfin des cadavres qu’on balance dans le Pacifique. De Los Angeles à New York le fléau se répand, pire que la peste. Mais est-il pire fléau que la peur qui tenaille les rares survivants, tous touchés par le même cauchemar au même instant ? L’image de l’Homme Noir…
Enquête
Ils sont trois quinquagénaires assez proches du pouvoir, soudés par d’anciens engagements politiques, forts des réseaux qu’ils ont constitués, mais aux prises avec l’érosion de leurs idéaux, dans un délétère climat de fin de règne. Face à eux, une jeune génération mordante, fascinée par l’imminence de leur chute. Très médiatique apôtre des causes humanitaires, Guy-André Schweitzer peut encore faire bonne figure. Pourtant le malaise s’insinue. Dans le refuge de sa vie privée. Dans son tête à tête avec les caméras. Ici même, des fils enquêtent sur des « pères », héros fatigués à la maturité amère. Les années quatre-vingt-dix veulent leur peau. Le mensonge va tous ses chemins; les documents sont falsifiés, les informations parcellaires. Et quand les héros « tombent », nul ne sait si c’est justice ou si une époque volatile en a décidé ainsi, en ses verdicts aveugles, pour une ultime mise à mort du sens de l’histoire, sur la scène contemporaine d’un « tout-média » qui dévore équitablement ses cteurs, ses spectateurs…
JFK – Une jeunesse insouciante
691 pages – « Une jeunesse insouciante », premier tome d’une monumentale biographie de John Fitzgerald Kennedy, est consacré à l’enfance et à la jeunesse de JFK, de sa naissance, le 29 mai 1917, jusqu’au début de sa carrière politique en 1946.
Grâce à des documents inédits et à la correspondance privée, l’auteur dresse le portrait d’un adolescent charmeur et drôle, ballotté d’école en clinique, tiraillé entre la messe et les boîtes de nuit, louvoyant entre la piété filiale et la quête incessante des femmes.
Crying freeman
La vie de Yo avait été tout entière vouée à l’art de la céramique, que son père lui avait enseigné. Ce soir- là, il savait que son exposition allait connaître un immense succès. Il a suffi d’un homme assassiné par deux Yakuza pour faire basculer l’événement dans le cauchemar. Avant de mourir, la victime a eu le temps de jeter une pellicule photo dans un vase. Yo la fait développer. Apparaissent les images choquantes d’un homme nu, dépecé vif par deux tortionnaires. C’est un « Freeman », l’assassin d’élite des Fils du Dragon. Parce qu’il a découvert le terrible secret, Yo sera destiné à devenir le nouveau Freeman et sera transformé en machine à tuer par la « Tigresse », une vénérable sorcière des triades. Mais ce nouvel ange exterminateur a gardé quelque chose d’humain. Et ses larmes tombent dans les flaques de sang… Crying Freeman est le personnage culte d’une série de mangas et le héros du film éponyme de Christophe Gans. Chesbro, dont on connaît le goût pour les mythes et légendes, raconte cette histoire avec son inimitable talent.
Les guerriers du ciel
Ils volent à plus de Mach 2 à bord d’appareils saturés d’armes. Il leur faut apponter ou décoller à n’importe quelle minute du jour ou de la nuit, quel que soit le temps… Un centième de seconde d’inattention et c’est la mort… Jake Grafton, le héros du Vol de l’Intruder, fait partie de ces « guerriers du ciel », pilotes de l’aviation embarquée américaine. Parce qu’il a corrigé un homme qui insultait les vétérans du Viêt-Nam, le voilà sanctionné, et chargé d’instruire les plus jeunes d’entre eux sur le porte-avions Columbia. Un enseignement que leur inexpérience rend paradoxalement aussi dangereux que bien des opérations de guerre. Au fil d’un roman truffé de péripéties, Stephen COONTS nous raconte l’extraordinaire aventure – en temps de paix – de ces hommes qui n’ont qu’une alternative : être le meilleur ou mourir.
Le défi de l’argent
George Soros est le gourou des marchés financiers. Quand il achète des mines d’or, le métal jaune monte. Et l’or baisse si l’on apprend qu’il a vendu. Celui qui aurait investi 50 000 francs dans son Quantum Fund en 1969 serait aujourd’hui à la tête de 60 millions ! Soros est devenu malgré lui l’homme qui fait trembler les marchés et le symbole de la spéculation internationale. Et pourtant, il est l’un des plus féroces critiques de ce système : « Si les marchés ne sont pas réglementés rapidement, explique-t-il, nous allons au-devant de catastrophes pires que celles des années trente. » Milliardaire, il est aussi philosophe et philanthrope : il donne chaque année 300 millions de dollars pour faire vivre un réseau de fondations qui, en particulier, aident l’Europe de l’Est et la Russie à sortir du communisme. Ce prophète est l’un des hommes les plus influents et aussi l’un des plus mystérieux qui soient. Ses fondations enseignent la tolérance et les valeurs démocratiques. Il a bloqué la fuite des savants russes vers l’Ouest. Que pense-t-il de la France au plan de la croissance ? de l’Europe ? de notre avenir ? Il répond d’une manière fulgurante à toutes les questions que nous nous posons. La philosophie qui l’a conduit à devenir le plus grand financier du monde a été, pendant des années, un secret bien gardé. La voici révélée.
Passage dans l’ombre
Dans les régions des Pouilles, au sud de l’Italie, où se déroule cette histoire, » passer dans l’ombre » est synonyme de mourir. Au soir de sa vie, Chiara, la narratrice, évoque son enfance au cœur de ce monde paysan d’autrefois. Une mère célibataire, Anita ; un père tardivement reparu, qui refusera le mariage que la jeune femme lui offre ; un amour impossible pour Saverio, qui est son cousin. Tels sont quelques-uns des souvenirs qu’elle espère soustraire à l’oubli, après une vie de déceptions et d’angoisse. Autour de cette enfance revit la communauté villageoise, isolée sur cette pauvre terre, avec ses haines, ses malheurs, ses luttes, symbole de l’éternelle solitude humaine. A ces thèmes simples, Mariateresa Di Lascia confère une dimension universelle, une poésie puissante, inoubliable, couronnée, en 1996, par le prix Strega – le Goncourt italien -, accueillie en France par une critique unanime, cette œuvre unique d’une romancière disparue à quarante ans, en 1994, est d’ores et déjà devenue classique.
Parbati reine des éléphants
Un journaliste britannique, Mark Shand, défenseur acharné des éléphants d’Asie, doit traverser l’Inde à dos de pachyderme à la demande d’un producteur de télévision : excellente occasion pour lui de rencontrer Parbati Barua, fille du dernier prince de Gauripur, la mystérieuse « reine des éléphants »… Célèbre dans tout le pays pour sa connaissance exceptionnelle de ces animaux, elle se bat depuis des années pour leur existence, que la déforestation intensive rend de plus en plus précaire. Contre toute attente, Parbati accepte de prendre part à ce périple, qui doit conduire l’équipe jusqu’au fond du Bengale mais elle pose une condition : que Mark Shand soit son élève et accepte de subir les épreuves traditionnelles imposées aux apprentis cornacs. Chronique insolite et pleine d’humour, plaidoyer pour la sauvegarde du monde animal, récit d’une initiation, le livre de Mark Shand nous fait surtout découvrir une personnalité mythique, Parbati, véritable légende vivante de l’Inde d’aujourd’hui.
Djebel
Dans ce livre, Claude Dumont, engagé dans l’armée française en 1959, parle constamment de son extrême découragement, causé avant tout par l’inutilité totale de la guerre d’Algérie, laquelle, comme toutes les autres guerres, a été une terrible dévoreuse d’êtres humains pour rien !
Apocalypse non !
Avoir un enfant aujourd’hui, à l’époque de la surpopulation et de la pollution de notre planète, est, tout autant que l’avortement, un acte contre nature. Surtout si pour inaugurer votre grossesse – forcément surmédicalisée – on vous transperce le ventre avec une canule sous prétexte d’examiner la » normalité » du fœtus. Le jour où Mlle Ragotsky annonce qu’elle attend un enfant, ses collègues de bureau ne montrent guère d’enthousiasme. Quant au père, désigné par les initiales A.C., il préfère, d’évidence, à la vie de famille la ponte de ses articles sur la musique sacrée. Et les problèmes ne font que commencer… On retrouve avec délices, dans ce récit percutant, la superbe sinistrose et l’humour au vitriol de l’auteur de Dîner de moules.
Et ne cherche pas à savoir
A l’aéroport, Lucy achète « Moby Dick » et une bouteille de scotch. De quoi tuer le temps avant de prendre livraison d’un client. Lucy collecte les âmes pour Lucifer. A la morgue, le Dr Hegel remercie « le piqueur », un serial killer qui a déjà poignardé onze victimes avec un pic à glace, de lui envoyer sur sa table de dissection de superbes jeunes femmes. Au cimetière, Véronique Hegel converse avec sa mère, enterrée depuis des années. Quant à Walter Gôsta, il se planque. Son délai terrestre a expiré, mais il refuse d’honorer son contrat. Lucy est à sa recherche. Le sens de tout ça ? « Ne cherche pas à savoir. De toute façon, qu’est-ce que signifient la vie, la mort, toutes ces foutaises ? » Un serial killer, un ange de l’enfer, un médecin nécrophile, un cadavre en fuite, des damnés qui croient échapper à leur destin en s’aspergeant d’eau bénite. Ce sont quelques-uns des personnages de ce thriller de Marc Behm, l’auteur inclassable et génial de La Reine de la nuit, Mortelle randonnée, Trouille et A côté de la plaque. « La grâce behmienne est indicible. » (Bertrand Audusse, Le Monde) »
Quatrième de couverture – Comment sortir de son isolement une littérature qui a le destin paradoxal d’être dynamique et féconde, mais méconnue à l’intérieur et à l’extérieur de ses frontières nationales ? Pour corriger une telle anomalie, Moussa Mahamadou et Issoufou Rayalhouna sont partis à la découverte de 36 écrivains et de 81 textes dont la plupart sont aujourd’hui oubliés. Ces données chiffrées montrent certes l’ampleur de leur tâche, mais elles ne révèlent pas toute la densité de leur anthologie. Regroupés autour de douze thèmes à la fois variés et profonds, les textes retenus se présentent comme un miroir de la vie et de l’âme nigériennes. Ils invitent le lecteur à s’ouvrir au monde pour réfléchir à l’humaine condition.
En direct du couloir de la mort
Dans les prisons américaines, plus de 3000 condamnés à mort, dont de très nombreux Afro-Américains, attendent aujourd’hui, dans des conditions souvent inhumaines, leur exécution. C’est la terrible réalité que vit depuis 1982 un de ces hommes en sursis, et qu’il raconte dans ce livre poignant, publié pour la première fois en 1995. Accusé de l’assassinat d’un policier blanc, Mumia Abu-Jamal refuse de se laisser briser : il décrit l’enfer quotidien du » couloir de la mort » et l’usage systématique des techniques d’isolement et d’humiliation, qui constituent une véritable forme de torture high tech. Parce qu’il est noir, journaliste, ancien membre du Black Panther Party et toujours militant, Mumia Abu-Jamal s’est attiré la haine de la police et de certains représentants du système politique et judiciaire américain. Tous les juristes indépendants s’accordent à reconnaître en son procès une caricature de justice. Son témoignage est un plaidoyer contre la peine de mort, la dégradation des êtres humains et la restriction de la liberté d’expression dans la plus grande démocratie occidentale.
Les imaginations du sable
Kristien s’était juré de ne plus revenir dans son pays, l’Afrique du Sud, révoltée par l’apartheid comme par la frilosité des progressistes. Durant dix ans, elle a vécu sur un autre continent une vie librement choisie de femme moderne. Il faut l’appel d’Ouma, sa grand-mère, grièvement blessée dans un attentat, pour la convaincre de revenir.Ouma entreprend de lui conter la vie des neuf générations de femmes qui les ont précédées. Neuf générations de rebelles, qui tissent les mille et une nuits de l’Afrique du Sud. De Kamma, changée en arbre, à Lottie, disparue à la recherche de son ombre, de Samuel, qui étrangla son mari dans ses cheveux, à Rachel, enfermée dans une cave, peintre de fresques scandaleuses et ineffaçables, ces destinées prises entre légende et histoire incarnent l’insoumission des femmes à la brutalité coloniale et raciste.Leur héritage ? Un imaginaire commun à tous, Blancs et Noirs, enraciné dans le même amour de la terre africaine.
Moi, Trésilien-Théodore Augustin
Ce n’est pas un mauvais bougre, ce Trésilien-Théodore Augustin qui se proclame Général-Président à vie pour dynamiter l’inertie de son île-pirogue, dont il déplore la nonchalante passivité. Mais franchement, instaurer, pour rattraper des siècles d’immobilisme, une direction des montres, horloges et calendriers, chargée de liquider des saints contre-révolutionnaires, court-circuiter saisons et fêtes carillonnées, ou interdire aux crabes de marcher de côté pour cause d’exhibition déviationniste, est-ce bien raisonnable ? Alors, le jour où Trésilien décide de supprimer le samedi, c’en est trop : Vent Debout et son bataillon de marchandes d’amour – dont c’est le meilleur jour – déclenchent la grève générale. Avec un succès à faire pâlir d’envie les syndicats de tous pays, jusqu’aux bulles d’eau gazeuse qui refusent de remonter à la surface ! Et le grand bond en avant de Trésilien s’écrasera le nez dans la mangrove… Sous le charme d’un conte éblouissant de verve, une question fort sérieuse, en écho à la phrase d’Aimé Césaire mise en exergue : Il y a, dans la société antillaise, plus de Polpots potentiels que vous ne le croyez.
L’oiseau de soleil
Depuis quelque deux mille ans, les vestiges d’une antique civilisation sont demeurés enfouis au fin fond de l’Afrique australe, au coeur du Botswana, dont les rouges collines rocheuses semblent vouloir enfin livrer le secret qu’elles renferment. Grâce au soutien financier de son ami, le magnat Louren Sturvesant, et avec l’appui de sa belle assistante Sally, Ben entreprend de percer ce mystère. De magnifiques peintures murales, encore intactes dans une grotte, et les ruines de la légendaire » Ville de la Lune « , au pays des Bochimans, témoignent de l’existence passée d’une cité florissante et de sa destruction totale. Mais s’il y avait plus que cela ? Au fur et à mesure de leur progression, Ben, Sally et Louren devront se rendre à l’évidence : ce sont les Carthaginois – le peuple d’Hannibal et d’Hamilcar – qui sont venus il y a vingt siècles jusqu’en Afrique pour y implanter une nouvelle civilisation, brillante et opulente. Et c’est là qu’ils ont enterré le trésor d’Opet, leur dernier roi.
La femme sacrée
En 1843, Lakshmi, rani de Jansi, devient veuve. Elle choisit alord d’assurer le gouvernement de ce petit état du nord de l’Inde en place de son fils adoptif Damodar, encore trop jeune. Mais les autorités anglaises qui gèrent le pays décident de la destituer et de gouverner directement Jansi et elle doit s’incliner.
La foudre
À quarante-deux ans, Alexandra a tout ce qu’une femme peut désirer : un métier passionnant, un mari qu’elle aime comme au premier jour, une petite fille adorable. Rien ne semble pouvoir assombrir leur bonheur. Et pourtant, soudain, c’est le drame. Alexandra apprend qu’elle est atteinte d’un cancer du sein. Commence alors une longue descente aux enfers: l’opération mutilante, la chimiothérapie extrêmement éprouvante et, comme si cela ne suffisait pas, son mari – incapable de faire face à la situation – la rejette et la quitte. Heureusement, Alexandra trouve un peu de réconfort auprès de son jeune assistant, mais réussira-t-elle pour autant à surmonter cette terrible épreuve ? Ce texte fait référence à une édition épuisée ou non disponible de ce titre.
Peintures
Après un long séjour en Polynésie qui lui a inspiré Les Immémoriaux, Victor Segalen (1878-1919) part pour la Chine en 1909, à la recherche de formes nouvelles : il projette d’écrire un essai sur la peinture chinoise. Il découvre vite que les tableaux anciens ont disparu… Avec Peintures, c’est la seule magie des mots qui recrée les visions d’un monde rêvé. Dans cette œuvre sans précédent dans notre littérature, influencée par le taoïsme, » tout est mouvement, tout est spectacle impalpable « .
Autoguide de la route – Permis B
Les compétences à acquérir dans le but de devenir un conducteur responsable ont récemment évolué pour favoriser la prise de conscience et la maîtrise des facteurs de risques sur la route. L’Autoguide Rousseau, ouvrage de préparation au code de la route mais aussi à la conduite, prend largement en compte cette évolution dans la formation. Il vous donne les clés pour mieux comprendre les règles et les procédures de conduite.