La cinquième profession
La cinquième profession, c’est celle de protecteur exécutif », autrement dit garde du corps. Savage, le héros de ce livre, a pour clients les riches, et les puissants du monde. Avec l’aide d’Akira, un de ses confrères japonais, il a cette fois-ci pour mission de soustraire la sueur d’une star de cinéma légendaire aux griffes d’un mari cruel et richissime. Et puis l’aventure bascule vers l’impossible, quand les deux hommes comprennent que ce n’est pas seulement leur sort qui se joue, mais celui du monde… Le roman est celui d’une amitié profonde entre deux hommes de cultures différentes, mais que rapproche une même conception de l’honneur.
On ne fait que passé
Prenez une maison de vacances dans le Sud-Ouest. Mettez-y des autochtones et citadins égarés amis choisis et pièces rapportées, ados hurleurs et aïeux malentendants, voisins anglais et sangliers en goguette, sans compter tous ceux qui ne font que passer… Ajoutez-y un grand soleil d’été et laissez agir… Chacun pourra se reconnaître dans cette comédie de moeurs savoureuse et irrésistible. Comment survit-on aux vacances en famille ? L’auteur répond avec humour et tendresse à cette éternelle question.
Lune de papier
En 1943, un bombardier B-17 américain est contraint de se poser en catastrophe en Irlande, qui est alors un pays neutre. Le temps de réparer l’avarie et de soigner les membres de l’équipage qui ont été blessés, la vie de la petite communauté rurale de Clonakilty va se trouver bouleversée à tout jamais. Et plus particulièrement celle de la jeune gitane Imelda, et de la fermière Mary Burke… Autour d’un fait réel – l’atterrissage du bombardier – l’auteur a construit un roman poignant, dont le souvenir persiste bien après que le livre a été refermé.
Mauvais sort
Quelle malédiction plane sur Mary, adolescente marginale, à la fois aventureuse et agile ? Un à un, ceux qui l’entourent ? son fiancé, ses parents… disparaissent tragiquement. Et Doris, l’amie de sa mère, qui la recueille, doit partir tourner un film au Mexique. Seuls demeurent Patrick et Béa, un couple attirant et mystérieux, rencontré au cours d’une soirée » branchée « , et qui entoure Mary d’une sollicitude de plus en plus impérieuse. Un jeune policier tentera d’arracher celle-ci à leur emprise et affrontera un réseau occulte et puissant.
Je vais bien, ne t’en fais pas
Que peut-on attendre d’un frère aimé et admiré, disparu brutalement à la suite d’une querelle avec le père, sinon quelques nouvelles ? Un simple mot, comme « Je vais bien, ne t’en fais pas ». Ce serait à peu près suffisant pour rassurer Claire, l’héroïne du premier roman d’Olivier Adam. En attendant un hypothétique retour, la jeune femme a quitté la banlieue pour être caissière dans un supermarché de Paris. Un travail sans importance pour une jeune femme sans importance. Une manière de penser à autre chose, entre deux rencontres anodines et dérisoires. Olivier Adam a bâti son récit original sur la fuite de ce frère, prétexte pour parler tout doucement de la disparition, de l’absence, du mal-être. L’exercice se poursuit dans un style minimaliste où les éléments avancent sûrement, inexorablement, comme sur un tapis roulant. Livre du non-dit, des secrets familiaux, tout en pointillés « Je vais bien, ne t’en fais pas » revêt les formes mécaniques d’un code-barre, la simplicité d’un ticket de caisse. Tous les éléments aussi d’un univers quotidien, ébauchés dans le détail, à coup d’anecdotes pleines de tendresse, de compassion juste.
Dans ce livre fondamental pour la compréhension du bouddhisme, le Dalaï-Lama analyse un texte renommé de l’un de ses prédécesseurs, le troisième Dalaï-Lama, pour nous éclairer sur l’essence de la vie. Issu de la tradition d’enseignement du Lam Rim, La voie de la lumière indique clairement comment accéder à l’éveil. Il nous rappelle que cette voie passe par les grands sujets de méditation et l’importance des progrès spirituels.Ce livre s’adresse à toute personne qui souhaite aller plus loin que la simple étude du bouddhisme tibétain.
Manhattan Transfer
Ils durent changer de train à Manhattan Transfer. Ellen avait un gant neuf, en chevreau, dont le pouce avait craqué, et elle ne cessait de le frotter nerveusement avec l’index. John portait un imperméable à martingale et un chapeau mou gris rosâtre. Quand il se tourna vers elle, en souriant, elle ne put s’empêcher de détourner les yeux et de fixer la pluie qui miroitait sur les rails. – Voilà, chère Elaine. Oh, fille de prince, voyez, nous prenons le train qui vient de la gare de Penn… C’est drôle d’attendre ainsi dans la brousse de New Jersey.
Wide sargasso sea
Jean Rhys’s late, literary masterpiece Wide Sargasso Sea was inspired by Charlotte Brontë’s Jane Eyre, and is set in the lush, beguiling landscape of Jamaica in the 1830s. Born into an oppressive, colonialist society, Creole heiress Antoinette Cosway meets a young Englishman who is drawn to her innocent sensuality and beauty. After their marriage the rumours begin, poisoning her husband against her. Caught between his demands and her own precarious sense of belonging, Antoinette is driven towards madness.
Ipso facto
Insouciants amis bacheliers ! Vous qui batifolez dans l’hydromel de votre vie bien huilée, laissez-moi vous conter ma descente aux Enfers, c’est comme du plomb qu’on m’aurait fait couler dans la gorge, et je vous avoue franchement : c’était bien fait pour moi. J’avais perdu mon Baccalauréat ! Ne prenez pas la vie pour un placebo, mes frères ! Soyez vigilants. Votre Baccalauréat peut disparaître comme le mien, il n’y a pas de raison que je sois le seul crucifié. Alors quand le destin vous aura percutés, vous verrez que vous n’aurez pas acheté ce livre pour rien. Vous le lirez comme on lit un manuel de survie.
La porte fatale
Alors que le détective George Felse, au retour d’un week-end au pays de Galles, traverse le village de Mottisham et assiste à la cérémonie de » reconsécration » d’une porte en chêne massif, à la voûte en gothique flamboyant et au heurtoir de fer ancien, il ne pense pas que très bientôt il va y revenir pour enquêter sur un meurtre… On retrouve, dans ce onzième volume de la saga Felse, les qualités qui avaient fait d’Ellis Peters, longtemps avant le triomphe de son frère Cadfael, une reine du suspense à l’anglaise et la lauréate de quelques-uns des plus prestigieux trophées du genre.
Lame de fond
Le meurtrier a commencé par droguer la jeune femme, puis l’a violée. Il lui a ensuite brisé les doigts et l’a jetée par dessus bord. Elle n’a pu nager jusqu’à la côte. Les inspecteurs Ingram, Galbraith et Carpenter n’ont rien d’autre que ce corps anonyme échoué sur la plage de la baie de Chapman. Pas de mobile. Pas d’empreinte. Pas de témoin. Enfin, presque. Il y a cette fillette de trois ans traumatisée par ce qu’elle a vu. Mais l’enfant sans nom s’est enfermée dans le mutisme. Les inspecteurs de la police de Lymington en sont réduits aux conjectures nébuleuses. Et à retourner cette question dans tous les sens : quelle sorte d’homme peut s’acharner ainsi sur sa victime ?
L’enfant léopard
16 octobre 1793. Dans sa cellule de la Conciergerie, Marie-Antoinette se prépare à mourir. Au-dehors, un ultime complot s’est formé. Il ne reste que douze heures pour sauver la reine. Pendant ce temps, dans ce Paris tumultueux de la Révolution, on traque un mystérieux enfant léopard. Certains pour le protéger. D’autres pour le tuer. Mais qui est cet enfant léopard si convoité ? Est-il vrai qu’il est le fils caché d’une grande dame du royaume, voire de la reine elle-même ? Difficile à croire. Et pourtant… C’est à une folle cavalcade romanesque derrière ce mystère que nous invite Daniel Picouly. Les intrigues s’entremêlent, les péripéties se bousculent comme chez Alexandre Dumas. Les deux inspecteurs noirs qui recherchent l’enfant, dans un étrange Harlem derrière le Luxembourg, sont tout droit sortis de l’univers de Chester Himes. L’occasion de se souvenir que Dumas lui-même était métis. Ce roman joyeux, aussi fantaisiste qu’érudit, et qui trace un émouvant portrait de Marie-Antoinette, mère assassinée, étrangère devenue bouc émissaire, a valu à son auteur le prix Renaudot 1999.
L’ABCdaire du cheval
Propose des commentaires détaillés des différents usages du cheval (armée, attelage, courses, labour, randonnée…), les différentes races (arabe, anglais, percheron…), les différents types d’élevage et de harnachement ainsi que la place du cheval dans l’histoire et la mythologie (amazone, licorne, centaure, Pégase).
L’univers
Quelque part dans le Pacifique, un homme est rejeté par la mer. Victime d’une forme particulière d’amnésie, il tente de recomposer les événements de son passé. Il élabore ainsi le dictionnaire d’une vie tumultueuse que mille avatars jalonnent et dont le protagoniste n’a plus la clé. Un vieux dictionnaire culinaire lui permet de retrouver par bribes sa mémoire. Son fil d’Ariane sera la succession alphabétique : il retrouve des événements minuscules de son enfance quelque part en Europe de l’Est, la pension Kuntz, une famille en partie décimée dans les camps de la mort, des périples sur un cargo, ou les amours tumultueuses avec une acrobate de cirque. Toute son existence peu à peu se redessine, avec ses passions erratiques, son expérience d’astrophysicien perché dans un phare. « Un livre fou, inventif, féerique » (Olivier Le Naire L’Express), dans le plus pur imaginaire de la littérature. « Un de ces livres monstres qui résistent, qu’on reprend, qui finissent par exercer une fascination profonde et durable. Une de ces œuvres écrites pour l’avenir.» Bertrand Fauconnier, le Magazine littéraire. « Hubert Haddad n’en est pas à son coup d’essai, ce qui ne l’empêche pas, avec l’Univers, de faire un coup de maître. » Les Inrockuptibles. « Qui n’a pas lu Hubert Haddad ignore l’un des écrivains français les plus féconds et les plus talentueux d’aujourd’hui. » Jacques de Decker, Le Soir.
Alors qu’ils s’intéressaient à Léonard de Vinci et au suaire de Turin, Lynn Picknett et Clive Prince ont remarqué l’importance que de nombreuses sociétés secrètes accordaient à deux personnages bibliques Jean-Baptiste et Marie-Madeleine. Poussant leur enquête plus avant, ils ont été amenés à étudier attentivement l’aventure cathare, l’épopée templière et l’émergence de la franc-maçonnerie. Les croyances de ces organisations font apparaître un tableau d’une cohérence remarquable. Les hérétiques semblent ainsi avoir été les dépositaires d’un secret, qui constituerait le « chaînon manquant » du christianisme, et qui éclairerait de nombreuses questions fondamentales mettant en jeu le mystère de la véritable nature du Christ. Il se pourrait que nous soyons à l’aube d’une révélation qui fera vaciller les fondements mêmes de l’Église catholique.
Rimbaud le fils
Pierre Michon n’est pas le biographe de Rimbaud. Il ne cherche à ajouter aucun chapitre, aucune ligne aux hagiographies et études existantes. Simplement, il enfile la personnalité du poète, se glisse dans l’intime de son écriture, tâchant de rejoindre, en définitive, la sienne. À coups de « on dit que » ou « on ne sait si », il parcourt, commente, hésite, rêve, abandonne, reprend l’aventure d’Arthur Rimbaud. Il ne donne aucune réponse, ne résout rien, mais s’interroge (en même temps qu’il interroge le jeune poète) : qu’est-ce qui pousse un homme à écrire ? À rechercher l’excellence ? Qu’est-ce qui fait soudain mûrir ses vers, « autant que s’il avait écrit d’un seul trait de plume La Légende des siècles, Les Fleurs du mal et La Divine Comédie » ? Le regard de Pierre Michon sur le « jeune versificateur bien doué, roué et hugolâtre » est délectable. Car il vibre de son désir de dire la genèse de sa propre écriture et, partant, de toute création.
La mort blanche
Lorsque la voiture piégée explosa dans une rue de Dublin, John O’Neill vit mourir sa femme et ses deux fils par la faute d’un terroriste. Il était un génie, il devint le Fou. Il avait perdu toute raison d’exister sauf une, la vengeance : il allait faire partager sa souffrance par la Terre entière. Seul, dans son laboratoire de fortune, il fabriqua une arme bactériologique terrifiante, la peste blanche, qui tuait les femmes, toutes les femmes, sans remède.
Si je vous dis le mot passion…
Si je leur dis le mot passion, chacun ou chacune de ces gens de haut bord me répond par le mot amour. N’y aurait-il que ça au cœur de l’homme, au vôtre, au mien : le désir amoureux, l’amour toujours ? Et sous sa forme la plus extrême, ravageuse, délétère parfois qu’est la passion ? Certains, pourtant, élargissent leur quête jusqu’à serrer entre leurs bras une passion que je ne dirais pas plus haute -rien n’est plus haut que l’amour humain – ni plus épurée – rien n’est plus pur que l’amour vrai -, mais plus universelle.
Émilie de Beauharnais, née en 1781, est la nièce – presque la fille adoptive – de l’impératrice Joséphine. Grande et jolie, elle a dix-sept ans quand Bonaparte, sans lui demander son avis, la donne en mariage à son fidèle aide de camp, Antoine de Lavalette, pour le remercier des services qu’il lui a rendus pendant la campagne d’Italie. Lorsqu’en 1815, il est condamné à mort, avec les autres opposants à Louis XVIII, Émilie imaginera et mènera à bien une spectaculaire évasion. Elle refuse de rejoindre son mari en exil. En détruisant des archives qu’elle voulait soustraire à la police, elle a découvert les aventures extraconjugales de son époux. Elle tombe amoureuse de celui qui la soignait : Guillaume Dupuytren, sans doute le chirurgien le plus célèbre de son époque. En marge de cette histoire d’amour au parfum de scandale qui a défrayé la chronique du temps, apparaît un étonnant mystère de trésor disparu. Lavalette a écrit, dans ses Mémoires, que l’Empereur, en 1812, avant la campagne de Russie, lui avait demandé de cacher dans son château de La Verrière, près de Rambouillet, une véritable fortune : un million six cent mille francs-or. Une partie de cette somme fut confiée à Eugène de Beauharnais avant les Cent Jours. Mais qu’advint-il du reste ? Y avait-il un lien entre la relation amoureuse du couple Émilie-Guillaume et la disparition du trésor ? Véritable casse-tête pour le policier Martin Varennes, jeune commissaire pugnace et intelligent chargé de l’enquête et passionnante énigme pour le romancier.
D’Artagnan
Grâce à Alexandre Dumas, d’Artagnan est devenu une des figures les plus populaires et les plus emblématiques de l’imaginaire français et mondial. Sa destinée est à la hauteur de la légende : du terroir gascon de Lupiac où il naquit au début du XVIIe siècle, à sa mort au combat, à Maastricht, en 1673, d’Artagnan connut un parcours d’exception : aux côtés de Mazarin et d’Anne d’Autriche pendant la Fronde, chargé de missions d’Etat par Louis XIV, il fut capitaine-lieutenant de la première compagnie des mousquetaires du roi, gouverneur de Lille et maréchal de camp. Cet ouvrage retrace l’histoire du plus célèbre des mousquetaires et analyse, pour la première fois, la construction et le développement d’un mythe qui a traversé les siècles au point de faire du XXe, grâce au cinéma, le » siècle d’Artagnan « .
Des chrétiens et des maures
« Un matin, Le Petit a décrété : – Je veux mon papa. Il a repoussé son bol de chocolat et j’ai su, moi, Benjamin Malaussène, frère de famille, que Le Petit n’avalerait plus rien tant que je n’aurais pas retrouvé son vrai père. Or ce type était introuvable. Probablement mort, d’ailleurs. Après deux jours de jeûne Le Petit était si transparent qu’on pouvait lire au travers. Mais il repoussait toujours son assiette : – Je veux mon papa. »
Passion fatale
Une nuit, alors qu’elle rentre tranquillement chez elle, Kissy Mellors, la vingtaine sexy, évite de justesse deux jeunes inconscientes qui se jettent sous ses roues. Mais le conducteur du véhicule, derrière elle, trop rapide et passablement éméché, n’a pas les mêmes réflexes : il tue sur le coup une des jeunes filles. Scène choc qui donne le ton dès l’ouverture. Après l’accident, angoisses et culpabilité ne lâcheront plus Kissy. Même les bras du beau Junior Clootie – la star de hockey locale ne parviennent pas à éloigner les spectres. Rassurant, responsable, Mike Burke, le lieutenant dépêché sur les lieux de l’accident le soir fatal. Incarne-t-il le salut pour Kissy ?
Le premier amour
« On n’oublie jamais son premier amour ». Mais quel est ce premier amour? Celui du jardin d’enfants, celui des premiers émois d’adolescent? Dans cet essai l’auteur aborde la question de l’amour qui nait et évolue en même temps que la vie et le fait que les rivalités,peurs,espoirs,joies qui ont nourri ces expériences précédentes peuvent aider dans la future vie amoureuse.
La clinique de l’aéroport
Considéré comme l’une des plaques tournantes du trafic aérien en Europe, l’aéroport de Francfort comporte une clinique. Chaque jour le Dr Hansen et l’équipe médicale doivent affronter des drames inattendus.
Créations africaines pour la jeunesse
En littérature, dans les revues, au cinéma, au théâtre, de nouvelles écritures pour la jeunesse s?affirment, qui délaissent la pédagogie pesante pour réécrire ludiquement la modernité. Exploration, coups de c?ur et critiques. Entretiens avec Henriette Zoughebi, Véronique Tadjo, Vincent Nomo, Mary Jay, Kidi Bebey, Dani Kouyaté, Mustapha Dao, Binda Ngazolo, Florisse Adjanohoun.
Single & Single
Un avocat d’affaires travaillant pour la maison londonienne Single et Single exécuté par un gang mafieux sur une colline turque après avoir été accusé de crimes dont il ignore tout, un magicien pour enfants convoqué nuitamment à sa banque dans le Devon pour expliquer l’arrivée sur le compte de sa fille d’une somme d’argent colossale, un cargo russe arraisonné dans la mer Noire, un baron de la finance qui disparaît dans la nature, un officier des douanes britanniques sur la piste de la corruption et du meurtre. Autant de personnages pittoresques et d’événements en apparence isolés qui s’entrecroisent dans une intrigue dont les fils se nouent progressivement pour tisser une formidable tapisserie romanesque avec pour thèmes centraux l’amour, la trahison, la famille et l’humanisme triomphant.
Ce roman d’un John le Carré au mieux de sa forme nous entraîne dans un voyage mouvementé au cœur des milieux de la haute finance et de l’internationale du crime, dont les ramifications s’étendent de la vénérable City aux calmes rives du Devon, de la Russie post-communiste déliquescente au mystérieux Bosphore en passant par les hauteurs paradisiaques du Caucase.
Maigrir en grande forme
» Après des années de recherche au laboratoire de nutrition humaine de l’INSERM et grâce à ma pratique quotidienne de médecin nutritionniste, j’ai mis au point une méthode pour maigrir en grande forme et sans risque pour la santé. Simple, efficace, adaptée à la vie d’aujourd’hui, cette méthode vous permet de perdre du poids à votre rythme et selon les attentes et les exigences qui vous sont spécifiques. Avec cette méthode, vous pouvez: – Etre en grande forme tout en perdant du poids. – Ne vous interdire aucun aliment. – Manger plus le soir qu’à midi. – Ne pas vous compliquer la vie. – Manger en famille ou avec des amis sans faire « menu à part ». – Vous faire plaisir. – Ne pas reprendre le poids perdu. » Dr Jacques Fricker.
Je m’en vais
« Je m’en vais » annonce Félix Ferrer à la femme qui partage sa vie. Et le voici lancé dans une grande aventure. Sur la foi de son collaborateur Delahaye, ce galeriste parisien part pour le Pôle Nord. Quarante ans plus tôt, un navire a fait naufrage sur la banquise et à son bord se trouveraient des œuvres d’art inestimables : de l’art boréal, paléobaleinier. Le trésor trouvé, rapporté à Paris, entreposé, alors que Delahaye est mort, voici qu’il est dérobé. Ferrer est effondré, au bord de la faillite. A-t-il été manipulé, otage d’une sordide affaire combinée à son insu ? Les événements vont s’enchaîner, de plus en plus incroyables, insolites et fascinants…
Félix Ferrer, séducteur quinquagénaire au système cardiaque peu brillant et propriétaire d’une galerie d’art moderne sur le déclin, s’en va. Il quitte sa femme pour en rejoindre une autre. Il abandonne Paris six mois plus tard et embarque à bord d’un bateau pour une expédition dans le Grand Nord canadien, à la recherche d’objets d’art inuit, enfouis dans une épave échouée sur la banquise. En effet, sur les conseils en investissement de son informateur et assistant Delahaye, Ferrer se décide à aborder l’art ethnique, plus à la mode que la peinture moderne. Il rentre à Paris avec son trésor inuit qui vaut une petite fortune. Quelques jours après son retour, les antiquités disparaissent mystérieusement… Ferrer, de nouveau victime d’alertes cardiaques, se réveille un jour à l’hôpital. Son regard se pose sur une belle jeune femme. Cette fois-ci, de façon surprenante, elle ne l’attire pas… Par la magie d’une écriture pleine d’ironie et de légèreté, Je m’en vais, faux polar mais vrai roman, récompensé par le prix Goncourt 1999, conduit très progressivement son lecteur au dénouement des intrigues avec une sorte de désinvolture et un humour certain.
Mangeclous
Mangeclous, un des sommets de la littérature contemporaine. Mangeclous, livre plein d’une verve triomphale, livre d’une liberté extraordinaire (nous sommes à l’époque des livres contraints), livre riche (nous sommes à l’époque des livres pauvres), livre gras (nous sommes à l’époque des livres maigres), grand livre enfin. Mangeclous est pour moi l’exemple à peu près unique, dans la littérature contemporaine, d’une épopée comique, c’est-à-dire d’un comique grand. Une épopée, et pourtant on ne cesse pas de hurler de rire. Félicien Marceau, de l’Académie française. Un héros comme Mangeclous atteint à l’épique. Il y a là, à mon sens, quelque chose sans aucune espèce de comparaison. Il y a du souffle de Rabelais. C’est comme dans Rabelais: on accepte tout. On accepte tout parce qu’il y a encore un amour du personnage, parce qu’il y a une manière démesurée de le traiter qui fait que simplement on est ébloui. Joseph Kessel, de l’Académie française. L’admirable Mangeclous, un grand héros comique d’une drôlerie extraordinaire. Le comique de Mangeclous est juif par sa subtilité, par les récifs de mélancolie qui affleurent soudain, par l’observation féroce et tendre qui le nourrit. Mais ce roman acquiert une portée générale par son humanité, son grand rire salubre, sa verve populaire. Sa fraîcheur, sa fruste saveur, sa robuste simplicité le font accéder à la majesté des légendes populaires et des grandes épopées.
Le ranch
C’est au Ranch, superbe résidence hôtelière cachée dans les montagnes du Wyoming, que Mary Stuart, Tanya et Zoe se retrouvent après s’être perdues de vue pendant près de vingt ans. Ces retrouvailles vont leur donner l’élan nécessaire pour continuer à se battre et apaiser les souffrances que la vie leur a infligées. Riche, belle, mariée à un grand avocat, Mary Stuart semble avoir tout pour être heureuse. Mais, depuis le drame qui l’a frappée un an plus tôt, Mary Stuart est une femme brisée et son mariage part à vau-l’eau. Superstar de la chanson adulée par des millions de fans, la vie de Tanya n’est pas aussi dorée qu’il y parait. Poursuivie par les paparazzis, harcelée par les médias, Tanya n’a pas un instant de tranquillité et sa vie sentimentale est un immense fiasco. Médecin de renom, spécialisée dans la lutte contre le sida, Zoe mène la vie qu’elle souhaite, surtout depuis qu’elle a adopté une adorable petite fille. Mais tout est remis en question quand Zoe doit faire face à une terrible nouvelle qui bouleverse sa vie. Ces vacances au Ranch, en pleine nature, vont transformer leur existence. Mary Stuart rencontre un écrivain veuf qui tombe éperdument amoureux d’elle ; Tanya fait la connaissance d’un beau cow-boy ; quant à Zoe, son ami et associé lui déclare enfin sa flamme. Mary Stuart et Tanya retourneront-elles auprès de leurs maris, Zoe acceptera-t-elle l’amour de Sam? Ce séjour va permettre aux trois amies de redonner un sens à leur vie pour repartir, gonflées d’espoir et pleines de projets d’avenir.
La vallée des roses
La Vallée des roses est l’histoire d’une ambition folle qui réussira, d’une ascension qui n’avait pas une chance sur un million de se réaliser, celle d’une fleur, d’une beauté à la grâce incarnée : une jeune fille qui a nom Yi. Yi, qui caresse un rêve inouï : devenir la femme de l’Empereur régnant et, en le subjuguant, régner sur la Chine aux 500 millions de sujets. On voudrait tout citer, tout raconter. D’abord Hieng-Fong, le Soleil Impérial, le souverain auquel Yi rêve de s’unir, « … dégénéré, ivrogne et débauché, une raclure, un être sans foi ni loi… » On voudrait dire aussi la Cité Violette de Pékin, que gardent des régiments de castrats… Et encore le Concours du Concubinat où gardée par le Grand Eunuque et le Grand Surveillant, la Mère du Ciel (mère de l’Empereur), choisira parmi cent filles dénichées d’un bout à l’autre de la Chine, les trente qui seront les concubines de son fils, formeront le Harem Impérial et tenteront de séduire l’implacable pédéraste… Comment passer sous silence la scène où Yi séduit Héros Coupé, l’Eunuque Grand Surveillant. On aimerait raconter encore Yi Concubine Impériale, son ascension jour après jour. Comment devenue Impératrice Tseu-hi, Souveraine Absolue, elle empoisonne l’Empereur, cependant que les Barbares, c’est-à-dire les Blancs (Français et Anglais), sont aux portes de Pékin, au terme d’une marche qui fournit les pages d’horreur les plus hallucinées, les plus chargées de mort et de sang que l’on ait jamais écrites. Ce roman de moeurs est un fantastique roman d’aventures qui à chaque page confronte le lecteur à la réalité la moins vraisemblable et, génie de l’auteur, à la gorge, gonfle et magnifie le style de Bodard – qui n’était jamais allé aussi loin dans la description comme fascinée, et toujours méticuleuse, de l’horreur ou de l’insolite.
La fortune de Cassia
A la mort de sa marraine, l’extravagante Leonora, Cassia hérite de cinq cent mille livres sterling, une somme colossale dans l’Angleterre des années trente. Aussitôt, elle s’octroie des vacances, s’achète une voiture et engage une nurse pour s’occuper des enfants, afin de reprendre sa carrière médicale abandonnée à contrecœur. Edward, son époux, comprend mal son désir d’indépendance, et le fossé entre eux se creuse d’autant plus que Cassia passe désormais beaucoup de temps à Londres. Là, elle renoue avec la société d’avant-garde qu’elle fréquentait dans sa jeunesse, revoit le bel acteur Rupert, son amour d’adolescence, ou encore Harry, qui est loin de la laisser indifférente. Mais, au moment même où son mariage vacille, de bouleversantes découvertes concernant Leonora l’obligent à s’interroger sur l’origine de cette fortune inespérée.
Des photos époustouflantes qui révèlent le monde de l’infiniment petit dans le corps humain, les plantes, les petites bêtes et les roches. Des photos époustouflantes qui révèlent le monde de l’infiniment petit dans le corps humain, les plantes, les petites bêtes et les roches. Des informations supplémentaires, de l’histoire des microscopes aux micromachines et à la nanotechnologie. Des expériences simples pour se servir de son propre microscope, ainsi que des informations pratiques sur son achat et son entretien. Des liens Internet vers des sites Web qui permettent de pousser encore plus avant cette exploration du monde microscopique.
Code SSN
21 février 2003 : la United Fuels Corporation annonce la découverte en mer de Chine d’un gigantesque gisement pétrolier, au large des îles Spratly. 23 février 2003 : coup d’État en Chine. Le conservateur marxiste Li Peng s’empare du pouvoir. 26 février 2003 : la Chine envahit les îles Spratly. Un pétrolier américain est arraisonné. 27 février 2003 : l’US Navy est placée en alerte maximum. Les porte-avions Nimitz et Independence font route vers l’archipel. A bord de l’USS Cheyenne, un sous-marin nucléaire de la dernière génération, fleuron de la flotte américaine, le commandant Bartholomew « Mack » Mackley reçoit l’ordre de les rejoindre. Sa vraie mission : empêcher la déflagration mondiale. Après Octobre rouge, Jeux de guerre et Danger immédiat, le nouveau technothriller de Tom Clancy nous plonge dans un suspense plus angoissant que jamais, nourri d’une connaissance hors pair des technologies militaires les plus avancées.
Destins de guerre
À Tokyo, les ultra nationalistes ont pris le pouvoir, menés par l’ambitieux Atsuko Abe. Leur objectif : mettre la main sur les immenses champs pétrolifères de Sibérie. Même si le prix à payer est une troisième guerre mondiale… Le conflit éclate. Les États-Unis décident de ne pas intervenir directement mais fournissent à la Russie une escadrille mercenaire formée de F-22 Raptor, le seul avion de chasse capable de tenir tête au terrible avion furtif Zéro des japonais. Deux armes. Deux hommes : le colonel Cassidy et le capitaine Jimura, autrefois amis. Devront-ils s’affronter en un combat mortel, pour épargner au monde une nouvelle bataille nucléaire ? Commence un festival de combats aériens exceptionnels, orchestrés par l’auteur du Vol de l’Intruder, maître absolu du thriller de guerre.
Le sous-marin de la dernière chance
Les sous-marins russes de la classe » kilo » sont presque parfaits. Indécelables dès qu’ils sont en immersion. Idéal pour la Chine : lors d’une invasion de Taïwan, ils pourraient neutraliser toute intervention américaine. Dix exemplaires en provenance de la Russie sont sur le point d’être livrés. Il faut, à tout prix, empêcher cela. Le Columbia, sous-marin de l’US Navy, va intervenir. A son bord, le commandant Boomer Dunning. De la Volga au Pôle Nord, en passant par les îles Kerguelen, les missions d’interception se multiplient. Reste un sous-marin. C’est celui de la dernière chance. Et à ce jeu mortel, il n’y a qu’un gagnant.
Mordoc
Des cadavres, Kay Scarpetta en a vu beaucoup dans sa carrière de médecin légiste. Souvent démembrés, découpés, étranglés. Mais elle n’en avait pas encore vu dont la peau présente, comme signe distinctif, les symptômes de la même maladie. Une maladie depuis trente ans éradiquée de la planète ! Qui est donc Mordoc, tueur en série, assez audacieux pour se présenter à Kay sur l’Internet, assez diabolique et assez fou pour propager un virus mortel ? Après Postmortem, Une mort sans nom et Morts en eaux troubles, la reine du thriller, au succès international, parvient à repousser un peu plus loin les limites de la terreur.
De plume et d’épée (roman Louis XIII)
Le jeune Arnaud d’ Espalungue – gentilhomme béarnais tiraillé, comme feu Henri IV, entre deux religions – » monte » à Paris chercher gloire et fortune alors que Richelieu et le père Joseph, son Eminence grise, gouvernent contre vents et marées une France exsangue et misérable. Parcours ardu, où notre héros, de duel en duel, tantôt trompé, tantôt trompeur, devra se frayer périlleusement son chemin entre des ambitions opposées : celles du grand Cardinal, qui rêve d’ abaisser les Habsbourg à n’importe quel prix, celles de la belle Anne d’ Autriche, alors espagnol de coeur, celles du roi Louis XIII, peu porté sur les femmes, mais obsédé par le désir d’ avoir enfin un héritier, celles des jésuites ondoyants, des jansénistes rigoureux ou des comploteurs incorrigibles… D’ Artagnan, Aramis et Porthos, personnages beaucoup plus historiques qu’ on ne croit, des amours de tête et d’ oreiller, une touchante nonne alsacienne sauvée in extrémis du lupanar, jouent leur rôle dans ces multiples aventures, et le Masque de fer lui-même, dernière surprise, est discrètement au rendez-vous.
The horrific torture and execution of hundreds of thousands of Cambodians by Pol Pot’s Khmer Rouge during the 1970s is one of the century’s major human disasters. David Chandler, a world-renowned historian of Cambodia, examines the Khmer Rouge phenomenon by focusing on one of its key institutions, the secret prison outside Phnom Penh known by the code name « S-21. » The facility was an interrogation center where more than 14,000 « enemies » were questioned, tortured, and made to confess to counterrevolutionary crimes. Fewer than a dozen prisoners left S-21 alive. During the Democratic Kampuchea (DK) era, the existence of S-21 was known only to those inside it and a few high-ranking Khmer Rouge officials. When invading Vietnamese troops discovered the prison in 1979, murdered bodies lay strewn about and instruments of torture were still in place. An extensive archive containing photographs of victims, cadre notebooks, and DK publications was also found. Chandler utilizes evidence from the S-21 archive as well as materials that have surfaced elsewhere in Phnom Penh. He also interviews survivors of S-21 and former workers from the prison.
Le thé au harem d’Archi Ahmed
Une cité H.L.M. Sur les murs : graffitis, slogans, appels de détresse, dessin obscènes. Madjid vit là. Il est fils d’immigrés, paumé entre deux cultures, deux langues, deux couleurs de peau, et s’invente ses propres racines, ses attaches. Il attend. Sans trop y penser à cause de l’angoisse, insupportable. La peur règne. La violence. L’amour aussi. Pour la mère Malika, les frères et sœurs, le père – un petit vieux tombé d’un toit et qui a perdu la raison. Pour les copains et l’ami Pat, celui des bons et des mauvais coups, de la drague et de la drogue. La tendresse, l’amitié, quelques rires : ce sont les seules lueurs dans une existence vouée à l’échec. » Ca chante pas le béton, ça hurle au désespoir comme les loups dans la forêt, les pattes dans la neige, et qui n’ont même plus la force de creuser un trou pour y mourir. «
Les mystères de Jérusalem
À New York, Paris, Moscou et jusque sur les bords de la mer Morte, un manuscrit vieux de plus de deux mille ans fait couler bien du sang : il dévoile l’une des soixante-quatre énigmes du rouleau des Ta’amrés, qui protègent encore aujourd’hui le trésor du Temple de Jérusalem. Mais au-delà de l’appât de l’or, érudits, mafieux et terroristes convoitent ce manuscrit plusieurs fois millénaire parce qu’il pourrait éclairer l’énigme des énigmes : Pourquoi Jérusalem ? Pourquoi un village accroché aux flancs arides des monts de Judée a-t-il été choisi par l’Éternel pour y bâtir sa demeure ? Les clés se trouvent aux sources mêmes de l’histoire de ce lieu où se croisent depuis des siècles tous les espoirs et toutes les violences. Un écrivain passionné par l’histoire de la ville se laisse entraîner par un jeune journaliste du Veux York Times dans cette chasse au passé. Il a conscience pourtant du danger : percer les mystères de Jérusalem fera trembler le monde. Roman policier, roman d’aventures, roman de culture, Les Mystères de Jérusalem mêlent la fiction et la réalité, le suspense et l’érudition, pour emporter le lecteur avec un art aussi subtil qu’efficace.
Wolverine – La mort aux trousses
En résumé : Wolverine, 100% Marvel T1 – La mort aux trousses Wolverine est doté de sens particulièrement aiguisés ainsi que d’un facteur autoguérisseur qui cicatrise toutes ses blessures, mais ses griffes rétractibles constituent son arme la plus redoutable. Le Mot de l’éditeur : Wolverine, 100% Marvel T1 – La mort aux trousses. Enseveli sous une tonne de gravats, Mc Leish aurait pu y rester.Il a l’intention de se venger. Sa victime sera Wolverine. L’X Man semble être une proie facile pour ce tueur fou et déterminé.
Les griots wolof du Sénégal
Détenteurs de l’histoire orale, bardes, hérauts, panégyristes, généalogistes, moralistes, garants des traditions, précepteurs, chanteurs et instrumentistes, maîtres incontestés de la parole et de la musique, les griots hantent l’imaginaire ouest-africain. Ils jouèrent un rôle prépondérant dans l’ancien empire du Mali et les royaumes wolof subséquents et persistent dans la société sénégalaise actuelle. L’essor du mbalax, la nouvelle musique de Dakar, dérivée de rythmes de griots et le succès international de musiciens tels que Youssou N’Dour et Doudou N’Diaye Rose, issus de lignées de griots, témoignent à la fois de l’inventivité du Sénégal et de la vigueur de ses traditions. Tout en maintenant certaines de ces traditions, les griots wolof, en raison des vicissitudes de l’histoire, ont été contraints de s’adapter non sans parfois des traumatismes à des contextes nouveaux. Ce livre retrace leur saga depuis l’ère des royaumes pré-coloniaux jusqu’à l’époque contemporaine. Il analyse leur rôle et leurs fonctions dans des contextes historiques et sociaux différents ainsi que la façon dont ils ont été affectés par les changements survenus depuis la colonisation. Il aborde également l’évolution des musiques et danses wolof, depuis les temps anciens jusqu’à l’époque actuelle.
Le labyrinthe des cœurs
Le jour où sa mère quitte mari et enfants pour aller vivre avec James Barton, le magnat local du textile, la vie de Rowan bascule. Fou de chagrin, son père disparaît peu après dans des conditions dramatiques, laissant derrière lui une filature au bord de la faillite. Et Rowan, sans un sou, se retrouve en charge de sa soeur Sally et de son frère Andy. Aux yeux de la jeune fille, le responsable de leurs malheurs a un nom : James Barton. Afin de venger leur honneur et de prendre sa revanche sur cet homme odieux, elle décide de le défier sur son propre terrain, celui des affaires. Avec pour seuls atouts l’audace de ses dix-sept ans et une détermination farouche, Rowan va se lancer dans une folle entreprise : tenter de sauver la firme familiale. Mais alors qu’à force de ténacité elle parvient à redresser la barre, son mariage avec Saul, le demi-frère de Barton, lie une nouvelle fois son destin à celui de son ennemi. Entre amour, ambitions et trahisons, une formidable galerie de personnages en proie aux passions les plus dévorantes. Après le succès d’Au risque de la vie, son précédent roman, Elizabeth Walker signe une nouvelle et extraordinaire saga familiale.
La valse des mensonges
Lindsay, journaliste de mode londonienne, veut changer de vie. Elle décide donc de renoncer une fois pour toutes à son amour secret pour Rowland McGuire. Son voyage aux Etats-Unis, et sa liaison avec Colin, un ami de Rowland, l’aideront peut-être à tourner la page… A New York, Natasha Lawrence est sur le point de craquer. La star de cinéma, ex-femme du célèbre metteur en scène Tomas Court, est harcelée par un dangereux pervers, qui menace sa famille. Pour lui échapper, elle emménage au Conrad, une résidence haut de gamme garantissant la sécurité de ses habitants. Le soir de Thanksgiving, Lindsay et Natasha se retrouvent au Conrad. Un terrible drame se prépare dans l’ombre. L’heure a sonné de payer le prix des mensonges passés.
Décor sur Porcelaine
La céramique est un art du fond des temps qui n’a jamais cessé d’intriguer l’homme ; elle est le fruit d’une passion que l’auteur nous communique ici avec ferveur et professionnalisme. Frises et motifs guident le lecteur à travers les époques et les traditions de chaque pays – terre cuite, faïence, Art nouveau et l’amènent à une réflexion où passé et présent ne cessent de se mêler. Des photographies en couleurs, des fiches techniques et de nombreux dessins légendés permettront aux peintres de tous niveaux d’approfondir les étapes qui président à l’élaboration des modèles.