Délit d’innocence
Un délit d’initié n’est pas du meilleur effet sur un CV de magistrat… Quand Ben Addison, jeune juriste ambitieux, tout juste nommé assistant de l’un des neufs juges de la Cour suprême, comprend qu’il a sauté à pieds joints dans le piège d’un imposteur, il est déjà dans un sacré pétrin. Acculé, désespéré à l’idée de voir compromis un brillant avenir professionnel, Ben se tourne vers Lisa, sa collègue, et vers ses trois meilleurs amis, jeunes golden-boys intelligents mais inexpérimentés comme lui. Objectif : retrouver l’escroc qui s’est volatilisé avec des millions de dollars. Le hic, c’est qu’ils ont largement sous-estimé leur adversaire, et lorsqu’ils réalisent l’ampleur du danger il est trop tard. Leur amitié, leur carrière et peut-être leur vie sont elles aussi sur le fil du rasoir. Mais il n’est plus question de faire marche arrière… Mêlant à son redoutable suspense une peinture sans complaisance et pleine d’humour des appétits d’ascension sociale des yuppies, ce thriller aussi original que mouvementé a été best-seller aux Etats-Unis dès sa parution.
L’impératrice des adieux
Le destin de Charlotte de Belgique commence comme un conte de fées : fille de Léopold Ier, petite-fille de Louis-Philippe, elle épouse par amour l’archiduc Maximilien d’Autriche en 1857. Quelques années plus tard, le couple princier devient empereur et impératrice du tout nouvel Empire mexicain. Accueillis triomphalement, Charlotte et Maximilien pourraient réussir dans ce pays immense et mystérieux. Mais l’aventure tourne à la catastrophe. Pour sauver l’homme qu’elle aime, Charlotte revient en hâte plaider sa cause auprès du pape, quand soudain, elle est prise d’un accès de folie en pleine audience. Comment alors, un demi-siècle durant, vécut-elle cloîtrée et inaccessible pour cause de démence ? Que devint son immense fortune étrangement disparue ? Fut-elle réellement empoisonnée ?
Piége Funéraire
Ancienne femme-flic et aujourd’hui sénateur, Ellen Chase se retrouve, en pleine campagne électorale, accusée du meurtre de son mari, un riche industriel qui avait commencé sa carrière dans les pompes funèbres. Chargé de cette affaire particulièrement délicate, le juge Quinn, bien connu pour son refus de toute compromission, soupçonne des manœuvres politiques et pense qu’il s’agit d’un coup monté. Il n’a pas tort : quand argent, sexe et politique entrent en jeu, tous les coups sont permis. Mais ce qu’il n’imagine pas, c’est que lui-même pourrait se retrouver manipulé, voire accusé de meurtre…
Il suffit d’une nuit
Une veuve, douce, jeune, belle, pauvre, des soupirants : un futur vice-roi des Indes, un vraiment mauvais sujet, un beau musicien famélique ; Florence, un suicide – l'auteur du Fil du rasoir ne lésine pas sur les poncifs du roman mondain 1930. Tout son art est d'entremêler avec un métier exemplaire de tels ingrédients et d'entraîner sans souffler le lecteur jusqu'à la dernière page. Du beau travail !
Petites natures mortes au travail
Vingt-trois courts récits qui ont pour cadre le monde du travail. Vingt-trois personnages recrutés à contre-emploi ou exposés aux paradoxes de leur statut social. Et à chaque fois, un détail inattendu qui, mettant le quotidien en porte-à-faux, excite, comme par accident, notre imagination… Les « petits métiers » d’aujourd’hui portant de drôles de noms, on croisera, au fil des pages, un consultant d’entreprise, une hôtesse d’accueil, un télévigile, un enseignant par correspondance, un acteur de complément, etc. S’il s’agissait d’un film, on parlerait de « documentaire-fiction ». C’est sur ce même fil du rasoir qu’Yves Pages a conçu ses Petites Natures mortes au travail, entre cinéma du réel et dérives imaginaires. Entre témoignages vécus et jeux de rôle fictifs.
La clinique
Le policier Milo Sturgis et le psychologue Alex Delaware sont chargés d’élucider le meurtre de Hope Devane, féministe convaincue et professeur d’université, sauvagement assassinée devant son domicile. Les assassins potentiels sont nombreux. Hope s’était fait des ennemis parmi les universitaires en raison de ses positions extrêmes et de sa notoriété, mais aussi parmi les étudiants dont certains avaient été accusés de harcèlement sexuel au sein d’une commission qu’elle présidait. Elle entretenait une relation sexuelle avec un de ses étudiants qui aurait pu susciter la jalousie de son mari. Enfin, elle était conseillère auprès d’un médecin aux pratiques médicales peu orthodoxes. Autant de pistes dont Alex Delaware comprendra qu’elles sont des leurres. La vérité est ailleurs, dans le passé de la victime. Un roman où la vérité des personnages se révèle à mesure que se dévoile leur désarroi. Madeleine Sorel
On nous cache tout on nous dit rien ! Co-écrit par le journaliste François de Closets et l’expert informatique et enseignant au CNAM Bruno Lussato, L’Imposture informatique s’appuie entre autres sur une thèse fameuse : le monopole de « Wintel » – soit Windows pour les systèmes d’exploitation et Intel pour les processeurs – aurait été préjudiciable au développement de la micro-informatique. Les auteurs plaident pour une conjuration alliée parfois à la bêtise technocratique. Le résultat : une micro-informatique chère, lourde, difficile d’accès, peu fiable, rapidement obsolète, etc. Pour les auteurs, qui retracent l’histoire de l’informatique et donnent leurs avis d’experts ou de simple quidam, l’avenir passera par le Netbook, petit ordinateur nomade fonctionnant avec une carte mémoire. Son avènement mettrait fin au scandale planétaire. Le débutant pourra au moins s’instruire sur l’histoire de l’informatique mais le connaisseur risque de s’agacer des approximations et du manque de rigueur de l’enquête. Concernant la stratégie de domination industrielle de Microsoft, nous conseillerons plutôt : Le Hold Up planétaire de Roberto di Cosmo et Dominique Nora, un ouvrage bien informé et toujours d’actualité. Pour une critique des techniques et médias associés : Le Culte de l’Internet de Philippe Breton nous alerte avec intelligence sur les dérives technologiques et leurs discours. -Francis Mizio
Villa Vanille
Depuis longtemps ils étaient les maîtres de cette île paradisiaque. Leurs terres s’étendaient sur des milliers d’hectares au pied de la montagne. La Seconde Guerre mondiale avait passé au loin sans troubler la paix de l’île rouge. Pourtant, l’empire colonial français était miné de l’intérieur. En 1947, Madagascar s’embrase. Cette histoire tragique et oubliée, Patrick Cauvin la fait revivre ici autour d’une famille de colons, les Arians. Leur histoire, leurs conflits, leurs passions composent une fresque flamboyante et sensuelle, où la violence de l’Histoire jette des reflets de sang. C’est l’Autant en emporte le vent des colonies françaises que nous offre, sur la toile de fond d’une nature grandiose, le romancier de Rue des Bons-Enfants (prix des Maisons de la presse 1990) et d’E = MC2 mon amour.
Le repas des fauves
Un nouveau désastre, comparable à celui du Crédit lyonnais, menace les finances publiques. Pourtant, les autorités de la place de Paris feignent de croire que les poursuites engagées par les États-Unis à propos du rachat de la compagnie d’assurances Executive Life ne concernent pas les intérêts français. Comme d’habitude, le citoyen est soigneusement tenu à l’écart de dossiers dont la connaissance pourrait l’indigner. Plongeant au coeur de quelques holdings, dont ceux de François Pinault et Jean-Charles Naouri, Fabrizio Calvi et Thierry Pfister révèlent les pratiques et éclairent les enjeux de ces tractations secrètes. Balzac disait qu’à l’origine de toute fortune se cachait un « crime » : le dernier en date vient de se dérouler sous nos yeux. Les avoirs retirés au Lyonnais dans le cadre de son plan de redressement ont été bradés au profit d’un petit cercle. Jamais à ce point il n’avait été donné d’assister à la nationalisation des pertes et à la privatisation des gains. Pourquoi, lorsque l’inspection des Finances fait apparaître l’ampleur de certains trafics, le gouvernement se refuse-t-il à saisir le parquet de faits d’apparence délictueuse ?
En Anglais – – Most people, upon hearing gunfire, would run away and hide. Conflict photojournalists have the opposite reaction: they actually look for trouble, and when they find it, get as close as possible and stand up to get the best shot. This thirst for the shot and the seeming nonchalance to the risks entailed earned Greg Marinovich, Joao Silva, Ken Oosterbroek, and Kevin Carter the moniker of the Bang-Bang Club. Oosterbroek was killed in township violence just days before South Africa’s historic panracial elections. Carter, whose picture of a Sudanese child apparently being stalked by a vulture won him a Pulitzer Prize, killed himself shortly afterwards. Another of their posse, Gary Bernard, who had held Oosterbroek as he died, also committed suicide. ….. This is a riveting and appalling book. It is simply written–these guys are photographers, not writers–but extremely engaging. They were adrenaline junkies who partied hard and prized the shot above all else. None of them was a hero; these men come across as overweeningly ambitious, egotistical, reckless, and selfish, though also brave and even principled. As South Africans, they were all invested in their country’s future, even though, as whites, they were strangers in their own land as they covered the Hostel wars in the black townships. The mixture of the romantic appeal of the war correspondent with honest assessments of their personal failings is part of what makes this account so compelling and so singular among books of its ilk.
Le problème avec Jane
«Jane ne recevait jamais de paquet chez elle. Elle le prit. Solide, rectangulaire et plutôt lourd : sans doute un livre. Elle se battit contre l’enveloppe rembourrée, agrafée et collée. Elle en sortit une chemise en carton jaune. Une disquette tomba sur le sol carrelé avec un bruit sec. La chemise contenait un manuscrit en feuilles détachées. Sur la première page, elle lut : « » LE PROBLÈME AVEC JANE, roman « ». Pas de nom d’auteur. Elle regarda l’enveloppe marron : pas de nom d’expéditeur. Le paquet avait été posté à New York cinq jours plus tôt. Elle parcourut rapidement les premières pages. Il s’agissait d’elle. Quelqu’un de bien informé. Le manuscrit comptait trois cent soixante pages et s’achevait sur cette phrase : « En bas elle trouva le paquet avec le manuscrit. » À travers ce thriller psychologique, dans un style simple et tendu, c’est une radiographie des rapports amoureux et sociaux dans l’Amérique contemporaine que nous propose Catherine Cusset.
L’âge de nylon – Roses à crédit
L’âge de nylon I Roses à crédit …….. La nature a beaucoup donné à Martine, les hommes peu. Elle est belle, elle a le rare don d’aimer. Mais à notre âge de nylon, elle est venue au monde dans des conditions de l’âge de pierre. Aussi le confort moderne, le cosy-corner seront-ils son premier idéal, et le métier de manucure parmi les miroirs et les parfums d’un salon de coiffure suffit à ses rêves de beauté. Elle est en cela semblable à des millions d’êtres. Daniel Donelle, l’amour de Martine, est déjà au-delà de cet idéal électroménager. Rosiériste, touché par l’aile de la science, il rêve à une rose nouvelle qui aurait la forme de la rose moderne, et le parfum inégalable de la rose ancienne. Un jour, Daniel créera la rose parfumée Martine Donelle, mais elle ne sera plus un hommage qu’à la souffrance.
Dans les années 1870, au temps des cerises, une gamine dessine sur le trottoir du boulevard Rochechouart. Un monsieur important remarque sa beauté et son talent. Il s’appelle Puvis de Chavannes et lui demande de poser pour lui.Dix ans plus tard, la jeune fille, qui a pris le nom de Suzanne Valadon, connaît déjà tous les peintres de la butte Montmartre, ce quartier encore champêtre où le génie semble courir les rues. Renoir, Degas, Toulouse-Lautrec, et même Erik Satie le musicien, entrent dans sa vie. Suzanne devient leur modèle, leur muse, leur maîtresse. En marge de cette vie d’art et d’amour, elle élève le petit Maurice, enfant d’une liaison passagère avec un Catalan nommé Utrillo.Et aussi, et surtout : elle continue à peindre, magnifiquement…
Pilgrim
Il serait peut-être exagéré d’affirmer que Timothy Findley nous tient en haleine durant la totalité de ce gros roman. Mais il n’en soutient pas moins l’intérêt, et ce résultat frise déjà la performance. Car autant prévenir : ces 500 pages ont pour cadre presque exclusif une clinique d’aliénés suisse, où notre héros se trouve enfermé – et confronté à l’autre protagoniste majeur de cette abracadabrante histoire : le célèbre Dr. Karl Jung, disciple, rival et antithèse vivante de Sigmund Freud. Abracadabrante, pour des esprits cartésiens, cette évocation de la métempsycose – on croit comprendre que notre héros a jadis incarné Monna Lisa, sainte Thérèse d’Avila, et autres icônes éternelles. Mais comme devant certains succès hollywoodiens récents, on peut aussi se montrer bon public, trouver ce mélange des genres – histoire de l’art, psychiatrie et « spiritisme » – fort habilement mené, apprécier la composition virtuose du récit, l’extrême soin apporté aux dialogues, et surtout, une approche originale de la folie, prudente, documentée et non dénuée de poésie parfois.
Le Fils-récompense
Ancien tirailleur sénégalais et invalide de guerre, Blaise Massamba Diouf a le coeur gros : en dépit de ses efforts, sa Coumba Diallo ne se laisse pas « enceinter », le ventre de sa chérie noire refuse de porter fruit. Est-il condamné à demeurer un « écourté », un homme sans postérité ? Non pas… …Car l’océan complice et familier poussera un jour vers son rivage une calebasse qui contient, ô merveille, l’ enfant tant désiré, un tigou blanc. Penché sur le chérubin qui semble né du complot des vagues, Blaise Massamba reste en extase, émerveillé et pétrifié d’amour devant le calbasse-berceau. Quand il soulève son précieux fardeau et l’emporte vers sa case, sa décision est déjà prise : quoi qu’il advienne, cet enfant est son » fils-récompense », jamais il ne le rendra. Dès lors, le couple élu devra fuir avec son trésor et se cacher pour échapper à la loi. Lunes et lunes passeront, Le tigou mystérieux grandira, il deviendra maître en sortilèges, suscitant des prodiges et apportant la bénédiction sur les siens. Dans ce grand roman dont elle a choisit de situer l’action en Afrique noire, Anne Bragance revisite les grands mythes de l’humanité et suggère que l’enfant est toujours le sauveur, celui qui nous rappelle que « la vie est en vie ».
Cœurs en otage
Joe Duval, officier de police à Chicago, est confronté à une série de morts inexplicables ; les victimes sont retrouvées la poitrine brutalement déchiquetée. Cela ne provient ni d’un coups de feu ni d’une arme blanche. Et toutes ces personnes avaient été guéries de leur insuffisance cardiaque par la pose d’un pacemaker. L’enquête est complexe et inquiétante. Le tueur utiliserait-il ces appareils comme des bombes à retardement ? C’est une course contre la montre pour sauver les futures victimes potentielles ….. Haletant !
Jeux de dupes
Comment se reconstruire après un drame ? Spécialiste des traitements post-traumatiques, le Dr Samantha Laschen va avoir l’occasion de confronter ses théories à la réalité. La police lui a en effet confié la garde de Finn Mackenzie, une adolescente qui a miraculeusement survécu au massacre de sa famille. Mais l’enquête piétine et les assassins courent toujours. S’ils en ont après Finn, ils n’épargnent pas non plus ceux qui lui apportent leur aide. Et d’apaisant refuge, la tranquille maison de Samantha, isolée sur la lande, pourrait bien se transformer en un piège mortel…
Mincir au féminin
Avec une multitude de CONSEILS MALINS et faciles à appliquer au quotidien pour éviter de craquer, il aborde toutes les questions : QUEL EST LE POIDS IDEAL ? Comment se débarrasser définitivement de la cellulite ? Est-il vrai que le sport ne fait pas maigrir ? Parmi tous les régimes proposés dans la presse, lequel est le plus efficace ? Comment ne pas reprendre le poids perdu à l’arrêt du régime ?
Le sourire de Sarah Bernhardt
Née entre 1841 et 1844, Sarah Bernhardt se découvre très tôt une passion pour le théâtre. À quinze ans, elle entre au Conservatoire, puis à la Comédie-Française. En 1867, elle connaît un premier succès dans « Athalie ». Dès lors, la « voix d’or » interprète tous les grands rôles : Phèdre, Andromaque, Tosca, la Dame aux camélias, l’Aiglon – écrit spécialement pour elle ; elle inspirera la Salomé d’Oscar Wilde. // Femme adulée et haïe, nombre d’hommes succombent à sa beauté et à son talent, ou à tout le moins l’admirent. C’est aussi une patriote attachée à « une certaine idée de la France », qu’elle défend en 1870 et qu’elle représente partout à l’étranger : en Europe, mais également aux États-Unis, en Amérique du Sud, en Australie, en Russie. Sa devise, « Quand même », résume le courage et l’énergie de cette femme, depuis son engagement en faveur de Dreyfus jusqu’à l’amputation de sa jambe malade, qui ne l’empêcha pas de se produire sur scène. Elle inspire ici un récit à deux voix : celle de l’actrice, pendant les dix jours qui précèdent sa mort en 1923 à l’âge de 80 ans, et qui se souvient des grands moments de sa vie, et celle d’un jeune biographe partagé entre l’admiration éperdue qu’il voue à cette femme et la rigueur du travail qu’il y consacre.
Tout sur ATTAC
Deux syllabes qui claquent : Attac ! En moins de deux ans, cette association, née d’une initiation du Monde diplomatique, s’est imposée dans le débat public et a essaimé hors de France. En identifiant l’hégémonie des marchés financiers, caractéristique majeure de la mondialisation libérale, comme une mise sous tutelle de la démocratie,Attac a explicitement formulé ce que ressentent des millions de citoyens. Les nombreux chantiers sur lesquels l’association est engagée vont de la taxe Tobin a la lutte contre une OMC pour laquelle le monde n’est qu’une marchandise. Vous voulez compendre et agir ? Cet ouvrage vous donne toutes les informations, que vous soyez déjà membre ou simplement intéressé par ce nouveau mouvement.
Cryptonomicon
En Anglais – Cryptonomicon zooms all over the world, careening conspiratorially back and forth between two time periods–World War II and the present. Our 1940s heroes are the brilliant mathematician Lawrence Waterhouse, crypt analyst extraordinaire, and gung-ho, morphine-addicted marine Bobby Shaftoe. They’re part of Detachment 2702, an Allied group trying to break Axis communication codes while simultaneously preventing the enemy from figuring out that their codes have been broken. Their job boils down to layer upon layer of deception. Dr. Alan Turing is also a member of 2702, and he explains the unit’s strange workings to Waterhouse. « When we want to sink a convoy, we send out an observation plane first… Of course, to observe is not its real duty–we already know exactly where the convoy is. Its real duty is to be observed… Then, when we come round and sink them, the Germans will not find it suspicious. » All of this secrecy resonates in the present-day story line, in which the grandchildren of the WWII heroes–inimitable programming geek Randy Waterhouse and the lovely and powerful Amy Shaftoe–team up to help create an offshore data haven in Southeast Asia and maybe uncover some gold once destined for Nazi coffers. To top off the paranoiac tone of the book, the mysterious Enoch Root, key member of Detachment 2702 and the Societas Eruditorum, pops up with an unbreakable encryption scheme left over from WWII to befuddle the 1990s protagonists with conspiratorial ties.
La couleur de l’espoir
Lorsque le malheur les frappe, les Connelly sont en vacances en Nouvelle-Angleterre, dans leur propriété familiale, comme chaque été. Josie, la fille aînée, disparaît en mer sous les yeux des siens, impuissants. Sa famille est effondrée. Comment continuer à vivre ? Comment dépasser le sentiment de culpabilité ? Chacun se retranche derrière un douloureux mutisme et Ruth, mère déchirée et brillante avocate d’affaires de Boston, décide de fermer pour toujours leur maison secondaire. Pourtant, le corps de Josie n’ayant toujours pas été retrouvé, elle garde espoir. Soutenue par la force de son intuition, Ruth va tout faire pour restaurer l’équilibre familial et pouvoir enfin affronter la vérité sur les lieux du drame?
Simple vengeance
L'histoire très mouvementée de trois jeunes femmes trahies par leurs maris, profondément blessées mais bien déterminées à avoir le dernier mot. Lorsque le soir de leur premier anniversaire de mariage, Reid, play-boy aussi séduisant que désinvolte, lui avoue ses incartades, Angela tombe de haut. Partie se réfugier dans la paisible banlieue new-yorkaise où vivent ses parents, elle met son talent d'avocat au service d'une association dédiée à la cause des femmes. Là, elle rencontre Jada, une jeune mère afro-américaine acculée au désespoir par les manigances de Clinton, mari infidèle et chômeur professionnel, et son amie Michelle, qui vient de découvrir que son bonheur conjugal et familial reposait sur un odieux mensonge. Auprès d'elles, Angela trouve des âmes sœurs avec qui partager sa douleur, sa révolte, et l'espoir, peut-être, d'un nouveau départ. Mais comment passer outre au ressentiment quand, dans le clan des maris, on multiplie sans vergogne coups bas et marchés de dupes ? Puisqu'il faut bien se défendre, les trois jeunes femmes, solidaires pour le meilleur et pour le pire, imaginent, entre rires et larmes, une vengeance sur mesure pour chacun des traîtres…
Un chat à la maison ?
DECOUVRIR : le chat passe en moyenne les deux tiers de sa vie à dormir ou à sommeiller. SAVOIR : à l’origine un félin, aujourd’hui familier, le chat a traversé 6 000 ans d’histoire aux côtés des hommes. VOIR : portraits insolites et contrastés, félins noirs et murs blancs, quand le chat s’évade en Grèce… COMPRENDRE : mieux connaître les et les habitudes du chat pour le respecter au quotidien. TROUVER : compléter ses connaissances avant l’arrivée d’un chat à la maison.
Les Européens
Un frère et une sœur élevés en Europe, Félix et Eugénie, rendent visite à leurs cousins de Boston, dans l’Amérique puritaine des années 1860. Félix est peintre et bohème, heureux dans ce paradis retrouvé. Il tombe amoureux de sa cousine Gertrude : sa fantaisie à lui et sa candeur à elle en font un couple heureux. De son côté, Eugénie, mariée à un baron allemand, tente sans succès de se remarier avec un riche ami de la famille. Quiproquos savoureux entre Européens et Américains s’accumulent. Né à New York en 1843 et mort à Londres en 1916, Henry James est un écrivain majeur de la fin du XIXe siècle. Célébre pour ses romans et ses nouvelles, il est surtout connu pour Portrait de femme adapté au cinéma par Jane Campion, et Les Papiers de Jeffrey Aspern.
Le livre de tous les jeux
Environ 150 jeux référencés, tous classiques. Jeux de pions, de cartes, de dominos, de casino etc. Un ouvrage de référence pour trouver les règles des grands classiques.
J’en sais rien
Madalena est une journaliste âgée de trente ans qui, soutenue par ses meilleures amies Mariana, Catarina et Luisa, essaye de refaire sa vie après une liaison tumultueuse avec Ricardo. J’en sais rien raconte la vie au quotidien d’une génération qui assume difficilement des engagements, ne sait pas faire des choix et qui justement pour cela se sent en permanence insatisfaite. Un roman intense et prenant, grand best-seller au Portugal en 1999, devenu désormais une référence pour toute une génération.
Le Cornac
À travers les aventures d’un jeune diplômé sans emploi, cramponné à une vocation que les nouvelles techniques rendent inutile, l’auteur évoque avec humour et causticité ce qui, pour des milliers d’individus, représente une véritable tragédie : le chômage. Le héros de ce roman picaresque d’aujourd’hui devient tout à tour père Noël chez des banquiers, promeneur de teckels, conducteur de caninette, souffleur de feuilles, chauffeur de maître, sondeur pour une multinationale de la collanterie, figurant de parc d’attractions, laveur de carreaux, livreur de pizzas, baby-sitter, etc…
Le Dragon de Cracovie
Il est des gens pour lesquels donner la mort n’est rien et la recevoir pas grand chose. À Naples, on les appelle des « Camorristes » et, comme on les craint, on les respecte. Ils ont souvent le cœur sur la main, ce qui ne les empêche pas de garder le doigt sur la gâchette ! C’est dans cet univers impitoyable de passion et de sang que va débarquer un frêle Autrichien, doué pour le meurtre et la peinture. Il a de drôles de mœurs, un drôle de nom et une façon terrifiante d’affronter la vie. De Vienne à Munich, de Naples à Cracovie, il va nous entraîner sur la route sanglante et désespérée qu’il s’est tracée.
Mourir
Dans cette nouvelle version, augmentée d’un chapître sur le suicide et mise à jour, d’un livre paru pour la 1ère fois en 1988, Claude Javeau dresse l’état des lieux de la mort dans notre société, à la croisée de l’hypertechnicité médicale, du voyeurisme des medias, de la revendication du droit de mourir dans la dignité, du refus contemporain de la souffrance. Ce faisant, il nous livre non seulement une interrogation sur la prétendue « crise de la mort » dans le monde moderne, mais aussi une réflexion plus vaste sur notre civilisation à l’aube de son troisième millénaire.
Hors-les-murs
« J’avais vingt-deux ans au sortir de la guerre et je voulais vivre après la peur permanente et les scintillements ambigus de l’Occupation. Vivre comment ? Vivre pour moi n’avait qu’un sens : mes livres. Ces livres chargés d’exprimer les non-dits de mes mutismes traqués. Encore fallait-il les faire accepter. Encore fallait-il qu’une fois acceptés, ils soient lus. Des années durant, ils ne furent ni acceptés ni lus. C’est ce combat que je raconte. Si j’avais échappé aux bourreaux-massacreurs pendant la guerre, ce n’était pas pour périr sous les médiocres-massacreurs pendant la paix. Dur combat car les médiocres connaissent le secret de la durée. Ils inoculent à qui les gêne le venin suicidaire de la paix. Tant de fois j’ai traîné comme une épave. Mais au plus obscur de moi-même, je savais que le feu, inextinguible, finit par brûler ceux qui veulent l’éteindre. Et j’ai rejoint mon aujourd’hui. » – B.S.
Chère madame ma fille cadette
« Mon père était auteur dramatique. Personne, à part cela, ne peut dire vraiment qui il était : célèbre et inconnu, pauvre et riche, sinistre et rigolo, inoccupé et sur-occupé, glorieux et misérable, humble et matamore, bon et très méchant, passif et violemment révolutionnaire, doux et agressif, amusant et désespérant, plein d’amour et parfois vachard… A force de pudeur et de secret il a brouillé les pistes jusque dans l’œuvre multiforme et inclassable qu’il a laissée. Ce n’est donc qu’un fragment de l’homme encore , qu’on trouvera ici : celui que mes propres difficultés d’être, entre onze et vingt ans, ont conduit à m’écrire de nuit, au sein de la famille, six lettres déposées avant l’aube sous la brosse à cheveux de la salle de bains – et l’homme de quelques autres lettres aussi… »
Le temps des ivresses – Suzanne Valadon
En 1900, quand s’ouvre le nouveau siècle, Suzanne Valadon a trente-cinq ans. Le temps des folies de jeunesse s’éloigne. Grâce à ses maîtres et amants – Renoir, Lautrec, Degas – l’ancienne gamine de la Butte qui dessinait sur les trottoirs est une artiste déjà célèbre. Elle se marie, s’installe en banlieue. Mais peut-on vivre et travailler loin de Montmartre et de ce « Bateau-Lavoir » où, autour de Picasso, on rivalise d’extravagance et de génie ? Là est sa vraie vie. Mais elle est aussi près de Maurice, son fils adolescent dont la postérité retiendra l’ivrognerie et le talent sous le nom d’Utrillo. Les années qui s’annoncent n’épargneront à Suzanne ni de nouveaux orages, ni de nouvelles passions.
Flint
En anglais – Undercover cop Grace Flint is cool, quick-thinking and fearless under pressure. Until an operation to trap international money-launderer Frank Harling goes wrong – and Grace is almost beaten to death. After reconstructive surgery, Grace is physically restored to an icy beauty. But inside, her superiors fear that she has been irreversibly damaged. So when she insists on returning to duty, there are those who are certain she’s going to crack. And when her new target reveals a link to Frank Harling, Grace refuses to back off. Determined to track down the man who almost destroyed her, Grace is on a collision course with her worst nightmare…adian frontier.
The faithful tribe
En anglais – The first, intimate portrait of the Orange Order. // If there is any more controversial body of men (and, with the exception of Ruth Dudley Edwards, who has been admitted to an honorary position in her very own lodge, they are all men) in the British Isles, it is hard to think who they might be. To most outsiders, grown men parading in bowler hats, white gloves, coloured sashes or collarettes, rolled umbrellas and banners showing scenes from the Old Testament or from a war that ended three centuries ago, are anachronistic, silly and provocative; to their enemies they are triumphalist bigots; to most of their members, the lodges’ parades are a commemoration of the courage of their forefathers, a proud declaration of their belief in civil and religious freedom, a demonstration of their Britishness, a chance to catch up with old friends and a jolly day out. // Ruth Dudley Edwards is an unlikely Joan of Arc for the Orangemen, but that she is; a trusted and liked sympathizer, a woman, a Catholic from southern Ireland; one who sees them as possibly rather bumptious and certainly their own worst enemy, endlessly outpaced by the nimble Republicans in terms of PR (which the Orangemen scorn to meddle with). She has written a fond but not uncritical, indeed rather exasperated, portrait of this tribe, with lashings of insider detail and revelation which no one else could hope to obtain.
The keepers of truth
En anglais – The last of a manufacturing dynasty in a dying industrial town, Bill lives alone in the family mansion and works for the « Truth, » the moribund local paper. He yearns to write long philosophical pieces about the American dream gone sour, not the flaccid write-ups of bake-off contests demanded by the « Truth. » Then, old man Lawton goes missing, and suspicion fixes on his son, Ronny. Paradoxically, the specter of violent death breathes new life into the town. For Bill, a deeper and more disturbing involvement with the Lawtons ensues. The Lawton murder and the obsessions it awakes in the town come to symbolize the mood of a nation on the edge. Compulsively readable, « The Keepers of Truth » startles both with its insights and with Collins’s powerful, incisive writing.
One day in the life of Ivan Denisovich
En Anglais – – First published in the Soviet journal Novy Mir in 1962, One Day in the Life of Ivan Denisovich stands as a classic of contemporary literature. The story of labor-camp inmate Ivan Denisovich Shukhov, it graphically describes his struggle to maintain his dignity in the face of communist oppression. An unforgettable portrait of the entire world of Stalin’s forced work camps, One Day in the Life of Ivan Denisovich is one of the most extraordinary literary documents to have emerged from the Soviet Union and confirms Solzhenitsyn’s stature as « a literary genius whose talent matches that of Dosotevsky, Turgenev, Tolstoy »–Harrison Salisbury
Du crime au bourreau
Les meurtres se succèdent à Daybreak, petit bourg d’Australie-Occidentale. Mais comment trouver le coupable sans mobile apparent ni preuve convaincante ? La police, bredouille, appelle l’inspecteur Napoléon Bonaparte à la rescousse. Homme à tout faire, barman, dresseur de chevaux… Bony n’aura jamais autant travaillé. Mais il n’oubliera pas son enquête et, patiemment, comme un chat guette une souris, il attendra que l’assassin commette une erreur. A l’opposé des détectives occidentaux, qui trouvent leurs marques au cœur des villes, Napoléon Bonaparte, lui, déchiffre ce qu’il appelle le « livre de la brousse ».
Le gué du diable
Pourquoi haines anciennes et querelles récentes ont-elles conduit les Gérold et les Nibelung, vassaux directs de Charlemagne, à un affrontement sanglant ? Que s’est-il réellement passé au Gué du diable ? Ce sont des démons – mais sortent-ils tous de l’enfer ? – que vont devoir démasquer et défaire l’abbé Erwin le Saxon et le comte Childebrand pour rétablir la paix civile dans le comté d’Auxerre et sauver un amour précieux en cet an de grâce 804.
Le sabre du Calife
u terme de l’an 802, sur le mandat de Charlemagne, Erwin le Saxon et le comte Childebrand font route vers Bagdad pour une mission hautement diplomatique. Ils ont en charge de faire la lumière sur la situation économique et politique de l’Empire abbasside (la Perse) et le pouvoir réel de celui qui deviendra un des héros des Mille et Une Nuits, le calife Haroun-al-Rachid. Avant leur départ, Charlemagne confie à ses missi dominici un magnifique sabre, présent destiné au monarque sarrasin. Mais les ambassadeurs francs ont à peine débarqué en terre arabe que leur campement est attaqué par des Bédouins et leur précieux cadeau dérobé. Qui cherche à faire échouer leur mission ? Cette nouvelle enquête nous entraîne à la découverte du monde musulman de l’époque.
Les noyées du grau de Narbonne
Près de Narbonne, un pêcheur, Faustin, découvre le cadavre d’une femme nue qui flotte sur un étang, pieds et poignets entravés. La malheureuse était la belle-fille d’un riche négociant surnommé Le Rapace. Les hommes du comte Sturmion, administrateur de la région, se voient confier l’enquête. Mais Oremus, l’assistant d’Erwin Le Saxon, missi dominici de l’empereur Charlemagne,écrit à son seigneur pour solliciter son aide. Quelques semaines plus tard, Laure, la belle-fille d’un drapier, est elle aussi retrouvée noyée. Elle avait quitté depuis un an son époux pour un certain Amalbert, soupçonné de se livrer au commerce d’esclaves sans payer d’impôts…
La petite française
Bébé a les ongles roses, confond les Beatles et les Doors et collectionne les cœurs Tiffany que son père lui ramenait de New York. Un jour, elle rentre chez elle et trouve son appartement sans dessus dessous. Bouleversée, elle ne peut rester seule et… se résout finalement à sonner chez le voisin, qui va tomber éperdument amoureux d’elle. Un grand roman, au ton léché et au style frais.
Un jour, ils auront des peintres
« Vous comprendrez, quand vous verrez l’Amérique, qu’un jour ils auront des peintres, parce que ce n’est pas possible, dans un pays pareil, qui offre des spectacles visuels aussi éblouissants, qu’il n’y ait pas de peintres un jour ». La prophétie date de 1933. Comme tous les autres Européens de retour des Etats-Unis, Matisse se dit envoûté Il annonce l’avènement d’une nouvelle ère, celle des peintres américains. Tout commence à Paris, le 1er juilet 1867, dans les fastes de l’Exposition Universelle : après la guerre de Sécession, les paysagistes d’outre-Atlantique, qui forment la première véritable école de leur pays, retrouvent, optimistes, le chemin de l’Europe. Mais les critiques français leur réservent ricanements et sarcasmes : « Cette exposition est indigne des fils de Washington. Au milieu de nos vieilles civilisations, les Américains font l’effet d’un géant fourvoyé dans une salle de bal. » … L’épopée des peintres américains racontée par Annie Cohen-Solal nous transporte de Paris à New-York, de Giverny à Chicago, de Pont-Aven à Taos, au Nouveau-Mexique, et s’achève à la Biennale de Venise, en 1948, lorsque sont présentées, pour la première fois en Europe, huit toiles de Jackson Pollok, un artiste inconnu des Européens de l’époque, mais bientôt célébré dans le monde entier comme le premier véritable maître américain.
365 jours pour la Terre
Aller toujours plus loin pour marquer l’esprit des gens. Pour les obliger à penser la terre différemment. Tel semble être l’objectif que s’est fixé Yann Arthus-Bertrand. On commence par l’Amazone, on finit par l’Égypte. Ce nouveau livre du photographe-phénomène regroupe 365 photos commentées par Hervé Le Graf, démographe, et son équipe de chercheurs. Même équipe que pour La Terre vue du ciel et pourtant, une approche différente, plus affûtée peut-être. Pas seulement de belles images mais aussi des textes pour prendre conscience d’un état du monde fluctuant. Entre richesse et pauvreté, entre beauté et vision d’horreur, entre naïveté et dégoût. Plus que la terre, l’homme est le sujet préféré de Yann Arthus-Bertrand. Il photographie son empreinte et semble rêver d’un endroit oublié que l’homme n’aurait jamais foulé. Livre de photos, de belles photos, luxuriantes de réalisme, à feuilleter… pour réfléchir.
L’Équateur
Equatorien d’origine, Omar-Alfredo Guerrero est venu en France pour étudier la psychologie. Par ce livre, il cherche à nous faire partager sa connaissance de cet attachant pays anodin qu’est l’Equateur.
DVD ETAT NEUF
Durée : 52 minutes
Le film retrace le parcours de Valdiodio N’Diaye, avocat et ministre du gouvernement sénégalais injustement oublié par l’histoire du fait de sa rivalité avec Senghor, et le récit de sa lutte pour l’indépendance des pays africains et du Sénégal en particulier. Le 26 août 1958, Valdiodio N’Diaye, prince héritier du royaume des « Gelwaar » est au premier rang pour affronter le Général De Gaulle afin de réclamer l’indépendance de son pays. À Dakar, il exprime, du haut d’une tribune, l’aspiration de tous les peuples d’Afrique noire : « Nous disons indépendance, unité africaine et confédération ». Mais deux ans après l’indépendance du Sénégal, en 1962, le destin de Valdiodio N’Diaye bascule. Accusé de tentative de coup d’État, aux côtés de Mamadou Dia, le Président du Conseil, il est emprisonné au mois de mars 1963.
Le bricolage acquiert aujourd’hui ses lettres de nobles. Il devient un agrément du quotidien pour aménager sa maison, changer de décor, réaliser ses propres créations. Cet ouvrage, destiné à un large public, vous dit tout sur la petite menuiserie, le bois et la façon de la travailler. De l’apprentissage à la réalisation, vous découvrirez, pas à pas, le mode d’emploi des outils et comment vous constituez un atelier, mais aussi, et surtout, les diverses techniques – lambris, tenons et mortaises, assemblages à mi-bois…-, les secrets de la restauration, de l’entretien et de la préservation du bois, etc. vous saurez rapidement monter un tiroir de rangement à glisser sous le lit, habiller le fond d’un vaisselier de grand-mère, rénover une chaise, un fauteuil ou une marche d’escalier, monter les étagères d’une grande bibliothèque, restituer toutes sa beauté à une commode ancienne… Rédigé dans un langage aussi clair que précis, abondamment illustré de photographies et de schémas explicatifs, enrichi d’encadrés détaillant telle ou telle opération un peu délicate, éclairé de recommandations et d’astuces qui facilitent le travail et évitent les erreurs, La Menuiserie dans la maison est un guide sérieux qui vous parle de plaisir…
Grand Atlas du Monde
Toute la planète dans un atlas, à un niveau de détail exceptionnel. Des cartes entièrement révisées avec les dernières technologies d’infographie permettent une couverture rigoureuse et homogène de la Terre. On trouvera facilement les lieux les plus reculés dans les quelque 120 pages d’index et sur les très belles cartes au 1/ 500 000e. L’homogénéité d’échelle aide à mieux appréhender l’ensemble. Les cartes comprennent également les informations routières et touristiques essentielles, en plus des traditionnels reliefs, tracés hydrographiques, villes et toponymies. La France est l’objet d’un zoom régional au 1/900 000e. Originalité de l’ouvrage : le voyage imaginaire se nourrit de photos satellites, servant de cartes de situation à chaque chapitre ou simplement d’illustration ; les photos de l’Amazonie, de la Sibérie, du Rhône et du Sahara illustrent la diversité de la planète. À l’usage du voyageur, du curieux, du rêveur…