
Véritable ouvrage de référence – 1800 pages – Enracinée dans une tradition historique et philosophique qui remonte à l’Antiquité, l’éthique partage avec la philosophie morale la volonté de rendre intelligibles les multiples aspects de l’action humaine. Œuvre de mémoire, de réflexion et de savoir, ce dictionnaire veut ainsi contribuer à enrichir la compréhension que l’homme contemporain a de lui-même et de son monde. Une somme indispensable… La référence pour le monde d’aujourd’hui… Un outil fondamental pour comprendre notre monde… Tels étaient les commentaires lors de la première publication en 1996. Plus de 275 auteurs français et étrangers, parmi les meilleurs spécialistes de chaque domaine, participent à cette nouvelle édition accessible à un plus grand nombre de lecteurs.
Amours en fuite
« Amours en fuite » est un ouvrage particulier puisqu’il regroupe sept récits qui peuvent se lire comme sept romans à part entière. C’est dire que le livre est dense, surtout si l’on précise que chaque histoire a les qualités émotives et fictionnelles du Liseur qui a rendu célèbre Bernhard Schlink. Dans « Amours en fuite », on retrouve d’ailleurs le thème du secret et de la révélation. Chaque intrigue se noue autour d’un personnage masculin se débattant entre les mensonges qu’il aimerait faire durer et la vérité qui lui apporterait la paix. Cette thématique, dans laquelle on entend l’interrogation de tout un pays aux prises avec son histoire, est récurrente dans la littérature allemande contemporaine. Mais si certains auteurs traitent le sujet d’une manière quasi monochrome – le pays entier serait en plein refoulement – Schlink travaille sur les failles, les tabous. À cet égard, le récit intitulé La Circoncision est magistral. Un livre superbe sur l’Allemagne d’aujourd’hui. –Isabelle Rossignol
» J’ai écrit dans l’urgence, le tremblement. Je suis allé au bout d’un élan, au plus près. J’ai compris à la mort de ma mère que j’allais devoir grandir, quitter ce que j’ai été. Je n’aurais pas dû voir ce que j’ai vu. Depuis que j’ai parlé à ma mère en la regardant pour la dernière fois, allongée dans sa boîte recouverte de fleurs, à l’église, j’ai dû mourir aussi un peu. Je me suis senti abandonné. Je ne l’étais pas. Ma mère est juste morte. La fin de la vie de ma mère et sa mort m’ont amené à la passion. Passion avait les yeux d’un bleu qui n’existe pas. Passion n’a pas supporté que j’aie si peur de la perdre. C’est ma mère que j’avais peur de perdre. J’ai perdu Passion et j’ai perdu ma mère. Je suis un homme debout grâce a mes amis. Ma souffrance m’a rapproché des leurs. Je dois grandir. A quoi ça sert ? Je viens de leur écrire. Qu’est-ce que je fais maintenant ? » D. S.
Le démon et mademoiselle Prym
L’homme est-il bon ou mauvais ? Entraînés par un mystérieux étranger, les habitants d’un petit village ont une semaine pour choisir entre le Bien et le Mal.Une parabole éblouissante sur le combat que se livrent en nous les ténèbres et la lumière, et une réflexion sur la liberté que nous avons, à chaque instant, de choisir notre chemin.
Carnets secrets d’une alternance
Ces instants où le destin d’un pays oscille
Dans les «Carnets secrets de l’alternance», l’ancien ministre sénégalais de l’intérieur, le général Lamine Cissé livre sa vision des heures qui ont précédé la proclamation de la victoire électorale d’Abdoulaye Wade.
Il est 23h40 le soir du 19 mars 2000 quand le général Lamine Cissé, ministre de l’intérieur décide d’annoncer au président Diouf qu’il a perdu l’élection présidentielle. «La situation est difficile pour vous et pour votre parti», commence le ministre de l’intérieur. L’entretien téléphonique va durer 20 minutes. Lorsque les deux hommes raccrochent, le président sortant Abdou Diouf a accepté sa défaite. Voici l’épisode central du passionnant livre écrit par le général Lamine Cissé. Un livre qui lève un coin de voile sur le second tour de l’élection présidentielle du 19 mars 2001 qui a vu la victoire de Me Abdoulaye Wade mettant fin ainsi à une opposition de vingt-six ans.
Cat et son frère Daniel viennent juste d’emménager dans une grande maison qui leur plaît beaucoup. Mais leur nouvelle vie tourne vite au cauchemar. Il y a quelque chose de terrifiant, de laid et dégoûtant sous l’évier. Quelque chose qui va empoisonner leur existence…
Une tombe en Toscane
La fin des années 50. A la mort de son père, Jean-Louis découvre des papiers secrets : Louis Malterre, industriel réputé, père de famille irréprochable, soldat valeureux, n’avait jamais révélé à ses proches certains épisodes de sa jeunesse. Du Portugal en Italie, le jeune homme mène une véritable enquête. Du mausolée d’Inés de Castro au Portugal, à une pierre tombale dans le cimetière de Sienne, sur laquelle il découvre gravé son propre nom, de la riche propriété familiale aux palais toscans, Jean-Louis, après s’être nié lui-même pour ressembler désespérément à un autre, se livre à une véritable quête de sa propre personnalité. San Gimignano, Volterra, Chiusi sont autant d’étapes qui, dans un jardin de fantômes, le conduisent vers lui-même. C’est au pays des Etrusques qu’il aura le sentiment de naître enfin.
Se mettre à l’anglais en 10 mn par jour
A peine avez-vous posé le pied en Angleterre ou aux States, que déjà vous ne comprenez plus rien, pourtant vous avez toujours été bon en anglais, à l’école… Mais c’était il y a déjà un petit bout de temps, non ? Il faut le reconnaître, certaines expressions vous échappent ; dès que vous dites quelque chose on vous regarde comme un petit » frenchy » en ballade et ce n’est pas du tout ce dont vous rêvez. Ce guide est donc fait pour vous : Un héros français qui se retrouve dans 45 situations courantes pour dialoguer en anglais avec des Américains ou des Anglais. En face de chaque dialogue, les points de grammaire et de vocabulaire repris pour l’essentiel ; l’anglais tel qu’on le parle aujourd’hui avec ses contractions et ses idiomes ; une méthode très ludique pour s’y remettre, sans leçon de grammaire ennuyeuse, sans exercices… juste des dialogues à lire et relire pour s’imprégner de la langue.
Retour en Ecosse
Jane March, orpheline de mère, vit aux États-Unis avec son père. Une visite impromptue du notaire de sa grand-mère précipite son retour dans les Highlands, où elle retrouve son cousin Sinclair, qu’elle a toujours aimé. Dans cette même région, la belle Victoria Bradshaw vient retrouver l’homme qui l’a déçue deux ans auparavant et qui la supplie maintenant de vivre à nouveau avec lui… Pour Flora qui a découvert l’existence de sa soeur jumelle Rose, ce pays est un lieu de mensonges et de révélations. En renouant avec leur enfance ou le passé, dans cette lointaine contrée sauvage baignée par les lochs solitaires, ces trois femmes sauront-elles trouver le secret de la sérénité et du bonheur ?
L’anglais tel qu’on le parle » au travail » a ses codes, ses termes spécialisés, ses expressions consacrées. Pour vous aider à le maîtriser tout en révisant les structures grammaticales essentielles et en enrichissant votre vocabulaire économique et commercial, vous trouverez dans ce livre : – 600 exercices (exercices à trous, QCM, orthographe, reconstitutions de phrases, thèmes…) classés par ordre alphabétique des points de grammaire ; – une batterie de tests destinés à évaluer vos connaissances et à créer des automatismes indispensables ; – tous les corrigés pour vérifier que les structures sont bien acquises. Cet ouvrage s’adresse aux étudiants, aux personnes qui travaillent dans les secteurs de l’import-export, du marketing, de l’informatique, de la banque ou de la communication et à tous ceux qui s’intéressent aux langages de l’Internet et de la presse internationale.
A novel of Pearl Harbour – A boy at war
December 7, 1941: A morning like any other, but the events of this day would leave no one untouched.
For Adam, living near Honolulu, this Sunday morning is one he has been looking forward to — fishing with friends, away from the ever-watchful eyes of his father, a navy lieutenant. Then, right before his eyes, Adam watches Japanese planes fly overhead and attack the U.S. Navy. All he can think is that it’s just like in the movies. But as he sees his father’s ship, the Arizona, sink beneath the water, he realizes this isn’t make-believe. It’s real.
Over the next few days, Adam searches for answers — about his friends, the war, and especially, his father. But Adam soon learns sometimes there are no answers.
Heartland – Tome 1 – Je reste !
A partir de 10 ans. Heartland, c’est toute la vie de Laura. Là, elle a vu sa mère redonner confiance à des chevaux maltraités. Là, elle l’a vue guérir les cas les plus désespérés. Laura aussi a hérité de ce don, cette capacité à comprendre et à écouter les chevaux. Mais un tragique accident vient tout bouleverser. A présent, ce qui reste à Laura, c’est Pegasus et ce que sa mère lui a appris des chevaux : les miracles peuvent toujours arriver à Heartland…
Meurtres au clair de lune
Dans l’Angleterre de l’après-guerre, un tueur en série se déchaîne à Brentford, les soirs de pleine lune. Deux jeunes frères de onze et treize ans vont jouer les détectives amateurs et prêter main-forte à Bétarice Bradley, cette vieille dame excentrique, conseillère en psychologie auprès de Scotland Yard.
Après Patricia Wentworth et Ngaio Marsh, « Grands Détectives » se devait de rendre justice à Gladys Mitchell (1901-1983), cette reine du crime, considérée par P.D. James comme l’un des meilleurs auteurs du genre. Le Point (moi, je dis bof : c’est très ennuyeux)
Dans l’Angleterre de l’après-guerre, un tueur en série se déchaîne à Brentford, les soirs de pleine lune. Deux jeunes frères de onze et treize ans vont jouer les détectives amateurs et prêter main forte à Béatrice Bradley, cette vieille dame excentrique, conseillère en psychologie auprès de Scotland Yard.
Après Patricia Wentworth et Ngalo Marsh, « Grands Détectives » se devait de rendre justice à Gladys Mitchell (1901-1983), cette reine du crime, considérée par P.D. James comme l’un des meilleurs auteurs du genre.
La lune était noire
Cassie Black, la trentaine, un passé douloureux, a connu la prison à cause d’un casse qui a mal tourné. Alors qu’elle est en liberté conditionnelle, on lui propose de voler une mallette bourrée d’argent dans la suite d’un casino de Las Vegas, le Cleopatra. Un endroit hyper-sécurisé, truffé de caméras et de gardes armés. Le coup n’est pas sans risque mais Cassie, qui ignore la réelle importance de l’enjeu, décide de le tenter. Elle ne sait pas que les dés sont pipés…
Le couperet
ll n’est pas un seul PDG qui n’ait commenté publiquement la vague de compressions de personnel qui balaie l’Amérique sans l’expliquer par une variation sur la même idée: « la fin justifie les moyens. » Burke Devore, cadre supérieur au chômage, décide d’appliquer la méthode dans son propre intérêt. Déterminé à retrouver son statut social et à recréer des liens familiaux qui se désagrègent, il bascule dans la logique absurde de la loi du plus fort. Il est prêt à tout, même à tuer, pour retrouver sa place dans la société. Et qu’on ne s’avise pas de lui demander des comptes car il ne fait qu’appliquer la logique du système! Avec ce récit, Donald Westlake, célèbre pour son humour, change de registre. Ni pamphlet, ni ouvrage rhétorique, ce roman, d’une grande noirceur, décrit de façon implacable et déroutante le poids du couperet de l’ultra-libéralisme et les conséquences terrifiantes pour ses victimes. L’auteur met tout son talent au service d’une fiction qui démonte les mécanismes cruels de l’individualisme.
Écrit entre 1940 et 1942, le long roman (en trois tomes volumineux) décrit la vie des habitants d'un quartier de Pékin sous l'occupation japonaise 1937-1945. Et plus particulièrement celle d'une famille vivant dans l'étroit hutong (ruelle) du Petit Bercail, très semblable à celle où l'auteur lui-même est né. Tous ne sont pas d'accord sur la conduite à tenir face à l'occupant, qu'il s'agisse des voisins (collaborateurs avec les japonais : la famille Guan) ou des intellectuels persécutés, prêts à se battre (famille Qian),ou des membres de la famille Qi (pivot de l'histoire), ou encore de Monsieur Li, déménageur, Maître Sun, barbier, Petit Cui tireur de pousse, etc. La troisième partie du roman a forcément été écrite après aout 1945 puisqu'il évoque la bombe atomique sur Hiroshima et la capitulation du Japon. Lao She montre ainsi avec minutie les multiples facettes du peuple de Pékin reflet de la Chine et de son destin. Ce projet énorme prend la forme du roman traditionnel chinois dont le modèle pourrait être le Rêve dans le Pavillon rouge. Dans son introduction intitulée « Lao She, le professeur », Le Clézio qualifie l'œuvre ainsi : « c'est sans aucun doute le plus chinois des romans de Lao She. » Il entend par là qu'il s'inscrit dans la tradition du Rêve du pavillon rouge, avec la multipicité des protagonistes et la description précises des modes de vie chinois.
SAS (145) – Le roi fou du Népal
La référence du roman d’espionnage : 200 missions effectuées à travers le monde par Son Altesse Sérénissime le Prince Malko Linge ! » Jamais la vérité n’a été aussi proche. »
La lanceuse de couteaux tournait le dos à son compère et se trouvait face à Malko. il se demanda si elle allait jeter ses poignards par dessus son épaule. Soudain, les ongles de Guluth s’enfoncèrent dans son bras. La lanceuse masquée venait de prendre dans sa ceinture un de ses poignards. Elle le saisit par la pointe et, d’un élan de tout son corps, comme un lanceur de javelot, le lança en direction de Malko.
Les Requins
À la découverte des requins : leurs ancêtres et les différentes espèces de requins…La biologie des requins : comment se nourrissent-ils, les techniques de chasse, la reproduction…Le monde des requins : leurs milieux de vie, les graves menaces qui pèsent sur eux.
L’un des classiques (1906) de la littérature « pour enfants » de ce siècle (toujours en tête des ventes en Italie. Un petit traité de désobéissance dont Umberto Eco recommande la lecture à tous les enfants. L’auteur vu par l’éditeur Vamba : pseudonyme de Luigi Bertelli, journaliste et écrivain catholique, né à Florence en 1858, mort en 1920. Fondateur en 1906, d’un Giornalino pour enfants, où signent Pirandello, de Amicis, d’Annunzio, il y publie ce Giannino furioso.
L’hippopotame
En digne héritier d’Oscar Wilde et de Noël Coward, Stephen Fry s’attaque à tous les interdits dans une énorme satire de l’establishment anglais.
Poète déchu, critique dramatique acariâtre, vieux libidineux aigri, confit de misanthropie et imbibé de whisky, Ted Wallace est un inébranlable rationaliste, un irréductible pourfendeur de tabous, un ennemi tonitruant des bonnes manières.
Aussi entrevoit-on le désastre lorsqu’il est lâché dans la très chic partie de campagne de lord Logan, investi d’une délicate » mission secrète » : faire l’entière lumière sur de prétendues guérisons miraculeuses…
Sous les yeux alarmés d’une poignée d’aspirants miraculés, Ted et ses diatribes insolentes de bon sens vont semer la panique au royaume des tartufes : les femmes, les hommes, les vieux snobs ringards et les jeunes cons prétentieux, les crédules et les sceptiques… Tandis que le ravissant David, quinze ans poursuit un énigmatique dialogue avec les forces de la nature, personne ne sort indemne de cette impitoyable et provocante comédie de mœurs.
Quand le lion a faim
1876, Afrique du Sud.
La brousse du Natal a bercé l’enfance des jumeaux Courtney. Fiers, curieux, bagarreurs, ils parcourent l’immense domaine familial, boomerang à la ceinture, quand une proie inédite les surprend, au détour d’un fourré : une énorme antilope. Ils reviendront demain, avec un fusil. Cette funeste résolution décidera de leur séparation. Amputé d’une jambe, Garrick restera dans l’ombre de son frère. Et les guerres zouloues viendront définitivement couper les amarres de l’irrésistible Sean, qui se lance dans l’aventure, à l’image de ses ancêtres corsaires.
De Johannesburg à Pretoria, des guerres zouloues à la spéculation financière, de l’or du Witwatersand à l’ivoire des éléphants, Sean parcourt son pays en suivant son destin. Un destin de guerre, de sang, de rêves et de grands chagrins…Car rien n’apaise le lion, quand il a faim.
Rendez-vous à la malouinière
Commencée sous Louis XIV avec Ces messieurs de Saint-Malo, poursuivie avec Le temps des Carbec à l’époque révolutionnaire, la saga des Carbec se prolonge ici au cours du XXe siècle. En juillet 1914, la famille a renoué avec la tradition en se réunissant à la malouinière : branches émigrées de Poméranie ou d’Amérique, jeune génération insouciante, bientôt jetée dans la guerre. Certains ne reviendront pas. D’autres poursuivront leur destin à travers les années folles ; quelques-uns s’établiront en Afrique du Nord. Le dernier rendez-vous de la malouinière a lieu en 1946. Saint-Malo est détruit. Certains Carbec sont morts, d’autres ont grandi. La vie l’emporte…
Le cinquième patient
Lorsqu’un malade vous menace de mort pour vous convaincre de le tuer, lorsque le fric et les combines sont plus forts que la santé de milliers d’hommes, lorsque vous ne savez plus qui sont vos amis et que les morts s’enchaînent, il n’y a plus grand chose à faire. Mais il faut le faire vite.
Otage à Jolo
» Ceci est mon journal. 140 jours vécus n’importe comment et à n’importe quel prix sur une île perdue au sud des Philippines. Otage. Monnaie d’échange pour des pirates arriérés, qui sous couvert e religion et de lutte pour l’indépendance font régner la terreur dans cette partie du monde, et survivent grâce à leurs armes et à la corruption. J’ai écrit ces pages au fur et à mesure, sur tous les supports disponibles. Certains passages ont été enregistrés sur des cassettes audio (mi-août jusqu’à ma libération le 9 septembre 2000). Je n’ai jamais voulu mettre les pieds aux Philippines. Je ne remettrai jamais les pieds aux Philippines. Je ne suis qu’un plongeur qui avait imaginé pouvoir admirer l’une des cinq merveilles sous-marines du monde, sur Sipadan en Malaisie. D’aucuns trouveront dans ces pages une vulgarité et une agressivité inutiles. Ils peuvent prendre l’avion jusqu’aux Philippines, puis le ferry depuis Zamboanga sur l’île de Mindanao, jusqu’à l’île de Jolo, et marcher sur les plages sublimes que je n’ai pas pu voir. En quelques minutes, ils se verront offrir la pension complète par les pirates qui infestent toujours cette île, malgré l’opération militaire d’envergure qui s’y déroule depuis des mois, depuis notre libération. Rentré à la maison en France, j’écoute ces enregistrements pleins de hurlements et de détonations d’armes à feu et je me sens mal. » Stéphane Loisy Ecrit à Jolo sur le vif, ce journal d’un otage est un document d’une intensité exceptionnelle.
L’eau dans tous ses états
L’eau est aussi bien une originalité physique, une curiosité chimique et par là même un véhicule de pollution, mais aussi une richesse et donc un enjeu économique. Le présent ouvrage aborde ces quatre points, du point de vue du physico-chimiste, avec des ouvertures sur la physique, la géologie ou la biologie. Il ne s’agit ni d’un livre de cours de chimie, ni d’un article de revue pour un journal scientifique, mais d’un fascicule qui, partant de la très spéciale molécule d’eau, dont les propriétés fondamentales en physico-chimie sont résumées, montre que la physico-chimie est une science conduisant à de nombreuses applications pratiques dont l’importance est fondamentale sur le plan économique. Cet ouvrage est d’un niveau très accessible, allant des élèves des classes de lycée, voulant comprendre le monde environnant, aux professeurs, en passant par un public curieux scientifiquement qui s’interroge sur le pourquoi des choses. Nous espérons que cet opuscule fera percevoir au lecteur le vaste domaine d’intervention de la chimie et lui fera prendre conscience de l’intérêt pratique de notions rencontrées dans un cours académique.
Je vous appelle amis
Le frère Timothy Radcliffe, quatre-vingt-cinquième maître de l’Ordre des frères prêcheurs (les Dominicains), le plus jeune depuis Cajetan – élu à quarante ans en 1508 est une personnalité hors du commun. Une profonde conviction l’anime : la relation constante avec Dieu, « comme avec un ami « , est au cœur même de tout dialogue. Et la vie humaine n’est possible que dans le dialogue ; sinon elle se dissout dans la violence. Qu’il s’agisse d’une communauté religieuse, où les « frères » doivent pouvoir se parler, quelles que soient les différences, voire les antagonismes, qui les séparent ; ou qu’il s’agisse simplement des communautés humaines les plus éloignées de l’idéal religieux. Et pour que le dialogue puisse s’établir, pour que l’autre soit accepté dans sa différence, quelle peut être la meilleure référence que cet Autre, qui a voulu se faire Parole ? Le frère Timothy sait en parler avec chaleur, en faisant appel à son expérience quotidienne (un film, la vue d’une « pub. », un voyage), pour s’adresser à la fois à l’intelligence et au cœur. Sans jamais s’embarrasser du langage convenu de la bienséance ecclésiastique, il semble toujours conscient que la devise de son Ordre est Vérité.
Mon best of
Il n’est pas méchant, il est infernal ! Au théâtre, à la radio, à la télévision, dans ses livres, il tire sur tout ce qui bouge et même sur ce qui ne bouge plus. Chaque année révolue devient, sous sa plume insolente, un cocktail livresque détonnant et roboratif. Dix ans d’énormités rocambolesques, dont l’humour nous avait parfois échappé. Tout le monde en prend pour son grade : acteurs, politiciens, journalistes, astrologues, sportifs, princesses en mal d’amour et chevaliers d’industrie en prison quatre étoiles. Et ça fait mouche à tous les coups : l’élection présidentielle, les couacs de la cohabitation, les affaires, les Verts, l’extrême droite, les mesures antipollution, la réduction du temps de travail, le foot… A la lecture de ce best of incluant les derniers inédits de la saison 2001, véritable anthologie en forme d’éclats de rire, notre passé récent se transforme en souvenir radieux. » Du concentré de poil à gratter, hilarant, souvent grinçant, toujours décapant. Et salutaire. » L’Yonne républicaine Egalement chez Pocket : il faut savoir changer de certitudes, je ne vais pas me gêner, Vu à la radio et C’est chronique.
Les enfants de l’île du levant
En février 1861, un convoi d’une soixantaine d’enfants de cinq à vingt et un ans sort de la prison de La Roquette à Paris. Leur destination : la plus sauvage et la plus belle des îles d’Or, Le Levant. Ils seront les premiers pensionnaires de la » colonie agricole » de Sainte-Anne dont le propriétaire est le comte de Pourtalès. En autorisant les bagnes privés pour mineurs, l’empereur Napoléon III entend débarrasser les villes et les campagnes des innombrables gavroches, vagabonds et orphelins qui les peuplent. Il y a là Jean Devillaz, un solide savoyard qui a fui les sévices de son oncle ; Théo Gruner, matelot depuis l’âge de huit ans et arrêté à l’occasion d’une bagarre sur le port de Marseille ; Roncelin, apprenti forgeron ; Beaumais, un jeune aventurier belge … Ensemble, ils vont constituer la bande des » Vulnérables » qui défendra les plus jeunes et les plus fragiles. Ensemble, ils vont survivre aux brimades, privations, mutineries et évasions qui se succéderont jusqu’à leur libération. En s’appuyant sur les archives de l’époque et à travers un récit plein de rebondissements, Claude Gritti a reconstitué l’histoire du plus terrible et du plus émouvant des bagnes, celui pour enfants de l’île du Levant.
Bleu marine
Alors qu’elle visite la grotte bleue à Capri, Maria fait tomber son émeraude au fond de l’eau. Elle plonge pour la récupérer et se retrouve transportée dans l’Antiquité sous le règne de Tibère. Recueillie par l’empereur lui-même, elle échappe au harem en lui racontant l’Ancien Testament chaque nuit. Elle s’enfuit et traverse la Méditerranée pour sauver le Christ… Bleu marine, c’est le récit des aventures de Maria, mais c’est aussi la découverte de l’Ancien et du Nouveau Testament.
Marianne (Saga en 6 volumes)
La vie prodigieuse de Marianne d’Asselnat de Villeneuve commence en Angleterre, dans le paisible domaine de sa tante Ellis Selton qui l’a recueillie après la mort de ses parents, guillotinés sous la Terreur. Son adolescence prend fin brutalement le jour même où elle épouse le beau Francis Cranmere dont elle est secrètement éprise depuis longtemps. Au cours d’une nuit de noces effroyable elle perd à la fois son amour, sa fortune et sa sécurité. Marianne doit fuir, abandonner tout ce qu’elle aime, revenir en France où règne l’homme qu’on lui a appris à haïr jour après jour : Napoléon. …..
Le sens de la nuit
« Depuis des années, la fin du jour condamnait Marge à une petite mort. Quand le soleil sombrait, elle se rendait compte combien son existence était vague, nuageuse, fragile, et son anxiété incommunicable. Pendant quelques instants, où qu’elle fût, Marge s’éclipsait. Pour certains esprits sensibles, c’est un passage qui révèle la dualité du clair et de l’obscur, du connu et de l’inconnu. Mais à d’autres, qui en sont franchement bouleversés, ce mystérieux passage dénonce un combat plus ambigu encore : le pur contre l’impur, le Bien contre le Mal. J’ai approché un assassin qui, dans la tradition des grands monstres du crime, devenait fou à la tombée du soir. « Le crépuscule excite les fous », écrit Baudelaire dans l’un de ses petits poèmes en prose ; puis il évoque la nuit comme un vrai moment d’espoir et d’apaisement. (Faut-il le croire ?…). On imagine plus volontiers Baudelaire, pris dans la fièvre nocturne de ses désirs, palper les ténèbres et se livrer à de sombres orgies. Mais revenons à mon assassin… »
Un ornithologue suisse est trouvé mort d’une crise cardiaque… dans un nid de cigognes. Malgré cette disparition, Louis, l’étudiant qu’il avait engagé, décide d’assumer seul la mission prévue : suivre la migration des cigognes jusqu’en Afrique, afin le découvrir pourquoi nombre d’entre elles ont disparu durant la saison précédente… Parmi les Tsiganes de Bulgarie, dans les territoire occupés par Israël, puis en Afrique, Louis court d’énigme en énigme et d’horreur en horreur : observateurs d’oiseaux massacrés, cadavres d’enfants mutilés dans un laboratoire… Les souvenirs confus de son propre passé – ses mains portent des cicatrices de brûlures depuis un mystérieux accident – se mêlent bientôt à l’enquête. Et c’est au cœur de l’Inde, à Calcutta, que surgira l’effroyable vérité… Suspense, imagination, vérité documentaire : ce thriller captivant, véritable coup de maître, est le premier roman de l’auteur du best-seller « Les Rivières pourpres. »
Cambodge année zéro
Où en est aujourd’hui, le Cambodge, après le 17 avril 1975, date de la victoire des révolutionnaires khmers ? Témoin oculaire de la prise de Phnom Penh, François Ponchaud nous en fait revivre les péripéties : entrée des révolutionnaires, exode forcé de toute la population. Il retrace la prise du pouvoir dans les provinces, la désertion des villes et des bourgades par un peuple livré de force au travail de production agricole. Par une analyse du discours officiel tenu par la radio, l’auteur décrypte les objectifs de la révolution, l’organisation de la nouvelle société, la formation idéologique du peuple, la création d’une nouvelle culture. Par sa radicalité même, cette révolution comporte des traits spécifiques que l’auteur situe dans le contexte historico-social qui l’a vue naître, ainsi que dans l’histoire personnelle de ses leaders actuels. Révolution fascinante et terrifiante… L’expérience cambodgienne est un défi qui interpelle tout homme.
Rêve caché
Ils ont grandi ensemble sur la même île. Ils pensent se connaître parfaitement. Pourtant, ils ont tout à découvrir. C’est l’hiver sur Chatham Island. Au propre et au figuré. Entre les filles de la bande, l’atmosphère est quasiment glaciale. Un peu comme si elles n’avaient plus rien à se dire, plus rien en commun… Des intérêts différents, peut-être ? La vérité, c’est que Zoé, Nina, Aisha et Claire ont chacune un secret et, pour la première fois depuis qu’elles se connaissent, elles ne le partagent pas. Or s’il est une chose que l’amitié supporte mal, ce sont les cachotteries…
Les écorchés
Fiona a disparu. Elle avait 7 ans. Ce jour tragique marque à jamais son frère Pilot. Vingt ans plus tard, le diagnostic est clair: Pilot est schizophrène à forte tendance paranoïaque. Pour preuve, il accuse son frère Eric, un neurochirurgien respectable, d’avoir assassiné Fiona… Une plongée angoissante dans les lourds secrets de famille.
Le soupirant
Ce dimanche-là, elle s’était juré de ne pas assister au sacro-saint déjeuner familial, mais après tout c’était l’anniversaire de son père, malade en sursis, et peut-être même le dernier. Et justement, quelques heures plus tard, les voilà tous, la narratrice, son frère, sa soeur et leur mère, à compter les soupirs du père agonisant, un pour chaque bougie, pensent-ils. Dans l’attente de l’heure fatidique, chacun se révèle dans la plus cruelle nudité, jaugé par le regard impitoyable de l’héroïne. Cette jeune fille qui se croit transparente, qui n’a jamais d’avis, jamais d’amant et à qui l’on a volé son prénom. A travers le récit de ce huis-clos familial, Isabelle Minière signe un roman grinçant et drôle à la fois.Un vrai régal.
Ma grande vadrouille
Qui a oublié le tandem Bourvil – de Funès, les gags rocambolesques, l’action échevelée, les situations désopilantes de La Grande Vadrouille, un des chefs d’œuvre de Gérard Oury ? La légèreté, la fantaisie, ce sont des qualités que le célèbre réalisateur a toujours cultivées dans ses films, mais aussi dans sa vie, faisant sienne la maxime d’Eve Curie, » il est poli d’être gai « . C’est dans le même esprit scintillant qu’il nous propose sa » Grande Vadrouille » à lui : de A comma Avarice, à Z comme Zut, en passant par M comme Moi, voici un abécédaire de sa vie, qui file grand train sous le signe de l’humour et de la tendresse, poivré de piques contre la mesquinerie et la bêtise humaines. Portraits d’amis, de comédiens, de personnalités, rêves, confidences, bons mots, regrets, admirations… , Gérard Oury laisse galoper sa mémoire et son esprit. On croise Montand, Bourvil, de Funès, Michèle Morgan, le général de Gaulle, Coluche au Mexique, Romain Gary, Marcel Pagnol, Sophia Loren, Belmondo et tant d’autres, familiers de l’auteur. C’est le vagabondage drolatique et émouvant d’un jeune homme de quatre-vingt-un ans, de surcroît académicien et pétillant.
Une haine aveugle
Alors qu’elle rend visite à Max Owen, son ex-mari, l’actrice Verna Dunn est assassinée à coups de fusil. Peu de temps après, Dorcas Reese, l’employée de maison des Owen, est retrouvée étranglée. Les soupçons de la police se portent sur une certaine Jenny Kennington qui a eu une violente altercation avec l’actrice, la nuit du meurtre. Bien qu’étranger à l’affaire, le commissaire Richard Jury, secrètement amoureux de la jeune femme, décide de mener l’enquête. Mais comment prouver l’innocence d’une accusée lorsque celle-ci s’enferre dans ses mensonges ?
Quinze ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Léa, intrépide héroïne de La Bicyclette bleue, est de retour en France. Entre-temps, le monde bouleversé de l’après-guerre l’avait conduite d’Argentine à La Havane révolutionnaire, en passant par une Indochine en plein chaos. Pourtant, à la fin des années cinquante, la France n’est pas de tout repos : la guerre qui fait rage en Algérie agite tout le pays. Le général de Gaulle charge alors François Tavernier de sonder, outre-Méditerranée, une population inquiète et une armée tentée par le putsch. Restés à Paris, Léa et Charles, son fils adoptif, prennent peu à peu le parti de l’indépendance et s’engagent, aux côtés des « porteurs de valises », dans de dangereuses opérations de soutien aux militants algériens. Alors que la rébellion de janvier 1960 précipite Alger au bord du gouffre, Léa doit rejoindre François pour échapper aux soupçons de la DST : les voilà projetés au coeur d’événements dramatiques qui, une fois encore, les mettront durement à l’épreuve, éprouvant autant leurs convictions que leur amour.
Comme un vol d’aigles
Décembre 1978.
À Téhéran, à quelques jours de la chute du Shah, deux ingénieurs américains de l’Electronic Data Systems sont jetés en prison. À Dallas, Ross Perot, le patron de cette multinationale, remue ciel et terre pour obtenir leur libération. En vain : le gouvernement américain ne veut pas pour le moment s’engager. Perot décide alors d’agir seul. Il confie au colonel Bull Simons, un ancien des Bérets Verts du Vietnam, un commando composé de cadres E.D. S. , tous volontaires bien qu’ils soient prévenus du côté suicidaire de la mission, et les expédie à Téhéran. Leur objectif : ramener à Dallas leurs camarades.
Comme un vol d’aigles : un récit parfaitement authentique, où rien n’est inventé et où tout paraît plus stupéfiant, plus extraordinaire que le plus échevelé des romans d’aventures.
King Suckerman
D’origine grecque, Dimitri Karras est revendeur « d’herbe » dans un quartier pauvre de Washington. Accompagné de son ami, le Noir Marcus Clay, il passe se ravitailler chez un petit caïd italien, Eddie Marchetti. Celui-ci est en pleine transaction avec un quatuor de tueurs venus de Caroline pour acheter de la cocaïne. L’entretien tourne mal. Quelques coups sont échangés avec les sudistes et en représailles, Clay empoche le paquet de dollars qu’ils avaient versés à l’Italien. Les deux parties vont désormais s’affronter et tous les coups seront permis. Sur cette trame de vengeance et de guerre mortelle (qui s’achève le 4 juillet, alors que la population fête joyeusement le bicentenaire de l’indépendance), Pelecanos reconstitue de façon efficace l’atmosphère d’un quartier de Washington avec moult détails sur la vie quotidienne des Noirs. Si les petits matchs de basket, la fumette et la soul music occupent une place importante dans leur existence, le cinéma est aussi très présent, plus particulièrement ce qu’on a appelé la « blaxploitation », cette série de films violents avec des « héros » noirs, qui débuta en 1971 avec Sweet Sweetback Baadass Song, écrit, réalisé et produit par Melvin Van Peebles. Premier volet d’une chronique sur la ville de Washington durant les années soixante-dix, King Suckerman est une reconstitution historique chaleureuse, écrite de façon béhavioriste, et qui permet de découvrir un milieu jusqu’alors bien négligé par le roman noir. On retrouve le héros du roman dans Un nommé Peter Karras, prix Cognac 2001 du roman noir étranger. –Claude Mesplède
L’île de la lune
1826. Émile a treize ans, et s’embarque avec son père à bord de La Belle Hortense, direction les îles de l’Océan indien. L’objectif est simple : ramener en Bretagne l’Ylang-ylang, une fleur blanche plus parfumée que toutes ses sœurs de toutes les couleurs, qu’elles soient de Pernambouc, de Bahia, de Ponchidéry ou de Madras. Mais l’île sous la lune est loin, et le voyage parsemé d’embûches. A partir de 11 ans.
Jamais deux sans toi
Lui est célibataire et heureux de l’être. Elle rêve du grand amour sans se l’avouer. Autant dire que la rencontre des deux va provoquer des étincelles. Eh oui, l’amour c’est comme ça ! Cela arrive quand on ne s’y attend pas !
Un roman à quatre mains, délicieusement impudique, impertinent et drôle !
Galops 1 à 4
Voici le nouveau manuel des Galops 1 à 4, correspondant au brevet de cavalier. Les chapitres répondent point par point aux demandes du nouveau programme des examens fédéraux d’équitation. Points forts : l’élève cavalier suit directement sa formation dans l’ordre des chapitres abondamment illustrés. Au cours de l’ouvrage, des rubriques » connaissances particulières » donnent de précieuses indications pratiques, qui se situent en marge du programme. Enfin, des tests d’évaluation corrigés permettent au cavalier de vérifier ses connaissances par rapport au programme du galop qu’il prépare.
L’apparition
Le 12 décembre 1531, l’image de la Vierge Marie apparaît devant témoins sur la tunique de Juan Diego, un Indien aztèque. Quatre siècles plus tard, des scientifiques découvrent, dans les yeux de cette Vierge, le reflet des témoins de l’apparition. Embarrassé par les querelles d’intérêts qui se déclenchent autour de la canonisation de Juan Diego, le Vatican charge Nathalie Krentz, ophtalmologue qui ne croit en rien, d’aller réfuter le miracle. Impliquée malgré elle dans les combats secrets que se livrent scientifiques, politiques et princes de l’Église, poursuivie par l’esprit de Juan Diego qui, retenu sur Terre par les prières qu’on lui adresse, ne rêve que d’oubli, Nathalie finira par trouver ce qu’elle n’espérait plus : un sens à sa vie…
L’apparition
Je m’appelle Juan Diego, je suis un Indien aztèque, je suis mort en 1548 et depuis, j’attends. Je m’appelle Nathalie, je vis aujourd’hui, je suis médecin, j’ai quarante ans et je ne crois en rien. Deux personnes peuvent-elles s’entendre, se rejoindre et s’aider à quatre siècles de distance ?
Armand le vampire
Au chevet de leur ami Lestat, plongé dans un profond coma au retour de son voyage aux Enfers, David Talbot, l’archiviste du Talamasca, rencontre Armand, peut-être le plus mystérieux et sans conteste le plus séduisant des vampires. Il entreprend de lui faire raconter l’histoire de sa vie. Une histoire cruelle et flamboyante qui nous mène des steppes de la Russie, où il est enlevé par des marchands d’esclaves, à Constantinople et enfin à Venise, où il est sauvé par Marius, un peintre qui vit avec faste et dont il ignore qu’il s’agit d’un vampire… Mais Marius, esthète et philosophe éclairé, est un homme de la Renaissance, dont le mode de vie et la tolérance suscitent la haine des autres vampires. Ses ennemis le font brûler sous les yeux d’Armand et celui-ci, emmené au loin, endoctriné, n’a d’autre choix que de se soumettre. Commence alors pour lui une plongée dans un univers d’obscurantisme et de superstition, une errance de plusieurs siècles qui le conduit à Londres, Paris et enfin New York, où, grâce à deux enfants, Sybelle et Benji, et à la magie de la musique, il pourra enfin entrevoir une forme de rédemption.
