Un guide pratique qui répond à l’ensemble des questions concernant une maladie qui touche de plus en plus d’individus, et donne tous les conseils pour préserver son capital osseux. L’ostéoporose, c’est-à-dire la perte progressive de la masse osseuse, est une ennemie qu’aucun signe extérieur ne permet de repérer : c’est souvent à l’occasion d’une fracture du poignet que l’on s’aperçoit de la détérioration du capital osseux, et il est souvent trop tard. D’où l’importance du diagnostic et surtout de la prévention. Le docteur Serge Rafal fait le point sur ce que l’on sait aujourd’hui de l’ostéoporose, propose d’en connaître les causes et, surtout, insiste sur la nécessité d’une prise en charge raisonnable et complète, c’est-à-dire en faisant le tour des possibilités thérapeutiques et des médecines douces.
Ce nouveau 40 Leçons est un outil d’auto-apprentissage complet, un véritable » Tout en un « , comprenant : les bases de l’anglais accessible à tous ; des dialogues vivants ; des informations pratiques et culturelles ; des exercices et des tests, avec corrigés ; une grammaire, un dictionnaire.
Petit traité de la décroissance sereine
La décroissance n’est pas la croissance négative. Il conviendrait de parler d' »a-croissance », comme on parle d’athéisme. C’est d’ailleurs très précisément de l’abandon d’une foi ou d’une religion (celle de l’économie, du progrès et du développement) qu’il s’agit. S’il est admis que la poursuite indéfinie de la croissance est incompatible avec une planète finie, les conséquences (produire moins et consommer moins) sont encore loin d’être acceptées. Mais si nous ne changeons pas de trajectoire, la catastrophe écologique et humaine nous guette. Il est encore temps d’imaginer, sereinement, un système reposant sur une autre logique : une « société de décroissance ». » S.L. Serge Latouche est professeur émérite d’économie à l’université de Paris-Sud XI (Orsay). Cet » objecteur de croissance » poursuit l’analyse qu’il a donnée dans Survivre au développement (Mille et une nuits, 2004) puis dans Le Pari de la décroissance (Fayard, 2006).
Extremement fort et incroyablement près
Oskar Schell est inventeur, entomologiste, épistolier, francophile, pacifiste, consultant en informatique, végétalien, origamiste, percussionniste, astronome, collectionneur de pierres semi-précieuses, de papillons morts de mort naturelle, de cactées miniatures et de souvenirs des Beatles. Il a neuf ans. Un an après la mort de son père dans les attentats du 11 septembre, Oskar trouve une clé. Persuadé qu’elle résoudra le mystère de la disparition de son père, il part à la recherche de la serrure qui lui correspond. Sa quête le mènera aux quatre coins de New York, à la rencontre d’inconnus qui lui révèleront l’histoire de sa famille. Après le choc de « Tout est illuminé », cet étonnant objet littéraire et typographique explore à nouveau, mais sur un autre registre, les chemins d’une mémoire à jamais perdue. Quand tout a été oublié, il ne reste plus qu’à inventer.
« Pyrotechnique, énigmatique et, avant tout, extrêmement émouvant. Un exploit hors du commun. » Salman Rushdie
Kran – 5 – L’invasion des envahisseurs
Alors que Krän, Kunu et le Garou se baladent tranquillement en forêt, v’là-t-y pas qu’ils se font agresser par de méchants teutons genre « casques à pointe ». Ils s’en prennent tout de suite au Garou, mais Krän ne supporte pas qu’on joue avec lui… Après il est tout énervé et il fait du mauvais poil tout terne. Alors du coup, pétage de gueule et compagnie… Les teutons maintenant, soit ils sont morts, soit ils se sont cassés sans demander leur reste. Mais Kunu fouille dans le sac de l’un des guerriers, et vous ne devinerez jamais sur quoi il tombe ? Il espérait de la thune, eh ben non, même pas … En revanche, il découvre un plan, le plan de la grosse invasione secrète (à prononcer avec l’accent fridolin s.v.p.)… Vous concevez un instant que Krän le Barbare va répondre aux injonctions d’une immense brute lui hurlant « Papier Raus ! » à l’entrée de Torgnol ? Vous imaginez le délire ? Vous sentez comme ils vont morfler les mecs ?…
Un garçon convenable – Partie 1
« Tu épouseras un garçon que j’aurai choisi. »
Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n’a rien d’inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les moeurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d’elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d’une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXe siècle…
On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.
Un garçon convenable – Partie 2
« Tu épouseras un garçon que j’aurai choisi. » Ainsi parle à sa fille Lata une digne veuve éprise de respectabilité, Mrs Mehra. Un propos qui n’a rien d’inhabituel dans cette Inde provinciale des années cinquante, indépendante de fraîche date. Mais tout bouge dans cet immense pays. Les mœurs, les idées, les convictions religieuses ou politiques, tout est prétexte à affrontements et à débats. Courtisée par un jeune industriel, par un étudiant musulman et par un poète, Lata mettra deux ans à imposer sa liberté. Autour d’elle se déploie une fresque grandiose, prodigieusement vivante, où rajahs et intouchables, artisans et intellectuels, révolutionnaires et fanatiques, femmes libres et femmes soumises nous donnent le prisme complet d’une société placée entre ses traditions millénaires et son entrée dans le XXe siècle… On a pu évoquer le souffle de Dickens et de Tolstoï à propos de ce roman-fleuve, à la fois saga familiale et fresque historique, accueilli par un succès triomphal.
L’honneur des Bastide
D’Avignon aux rivages de la Riviera, cette saga palpitante retrace les destins croisés de deux familles, entre 1911 et 1948. Amour, secrets, vengeance et trahison se mêlent dans une époque pleine d’espoirs et de changements. Anéanti par le décès de son fils aîné, Virgile Bastide, veuf et propriétaire d’une manufacture d’impression sur coton avignonnaise, reporte son attention sur ses autres enfants, Apolline et Martial, et se rapproche de son ami Nathanaël Braunstein, un banquier juif installé sur la Riviera. Son regard va croiser celui de Tatiana, une aristocrate russe de trente ans sa cadette, qui a fui la révolution bolchevique avec sa famille. Ensemble, ils vont connaître le grand amour, et Virgile redécouvre les joies de la paternité avec la naissance de leur fils Alexis. De son côté, Apolline vit un mariage dénué de passion avec un aviateur anglais, cherchant à oublier Benjamin, le fils de Nathanaël, dont elle est amoureuse depuis toujours. Dépité, celui-ci se réfugie dans le travail et crée un studio de cinéma sur la Côte d’Azur. Quant à Martial, jaloux et avide de pouvoir, il se sert de chaque opportunité pour écraser tous ses proches. Emporté dans la tourmente de l’Histoire, parviendra-t-il à ses fins ? L’honneur des Bastide sera-t-il sauf ?
Un amour volé
Décembre 1943. En pleine occupation nazie, Claire et Henri Daussois, couple de résistants belges, recueillent sous leur toit Ted, soldat américain ayant miraculeusement survécu à l’explosion de son avion. Bientôt, Henri est lui-même obligé de vivre dans la clandestinité : des officiers allemands traquent son réseau sans répit. Restés seuls, Ted et Claire apprennent à se connaître et se rapprochent peu à peu. Mais la barbarie ambiante va rapidement les rappeler à la réalité : entre héroïsme et lâcheté, loyauté et dissimulation, l’hiver 1943 va changer leur vie à jamais.
Le parfum d’Adam
Pologne, printemps 2005. Juliette est une jeune militante écologiste, fragile et idéaliste. Elle participe à une opération commando pour libérer des animaux de laboratoire. Cette action apparemment innocente va l’entraîner au cœur d’un complot sans précédent qui, au nom de la planète, prend ni plus ni moins pour cible l’espèce humaine. L’agence de renseignements privée « Providence », aux États-Unis, est chargée de l’affaire. Elle recrute deux anciens agents, Paul et Kerry, qui ont quitté les services secrets pour reprendre des études, l’un de médecine, et l’autre de psychologie. Leur enquête va les plonger dans l’univers terrifiant de l’écologie radicale et de ceux qui la manipulent. Car la défense de l’environnement n’a pas partout le visage sympathique qu’on lui connaît chez nous. La recherche d’un Paradis perdu, la nostalgie d’un temps où l’homme était en harmonie avec la nature peuvent conduire au fanatisme le plus meurtrier. Du Cap-Vert à la Pologne, du Colorado jusqu’aux métropoles brésiliennes, Le parfum d’Adam est un thriller planétaire haletant…
Candide
Que signifie ce nom « Candide » : innocence de celui qui ne connaît pas le mal ou illusion du naïf qui n’a pas fait l’expérience du monde ? Voltaire joue en 1759, après le tremblement de terre de Lisbonne, sur ce double sens. Il nous fait partager les épreuves fictives d’un jeune homme simple, confronté aux leurres de l’optimisme, mais qui n’entend pas désespérer et qui en vient à une sagesse finale, mesurée et mystérieuse. Candide n’en a pas fini de nous inviter au gai savoir et à la réflexion.
11 ans et + – Cher lecteur, Je mettrais ma main au feu que tu as pris ce livre par mégarde ; aussi, je t’en conjure, remets-le où tu l’as pris. Ce lugubre récit relatant le bref séjour des orphelins Baudelaire dans la sinistre ville de N.D.C., est truffé de détails détestables. Je me suis fait un devoir de coucher sur le papier la vie tourmentée des Orphelins Baudelaire, mais je comprendrais parfaitement, cher lecteur, que tu te fasses un devoir de lire quelque chose de plus léger.
Avec mes sentiments respectueux,
Lemony Snicket
11 ans et + – Cher lecteur, Ce récit a de quoi nourrir les pires cauchemars. Il serait plus prudent, pendant qu’il est encore temps, de choisir une autre lecture. Au cours de cet épisode, aussi vertigineux que sombre, Violette, Klaus et Prunille Baudelaire vont affronter tout à tour un escalier obscur, un souterrain obscur, un cagibi obscur, deux cages obscures, trois initiales obscures, quatre ou cinq trompe-l’œil et impostures, sans parler d’un repas tout au saumon, ni de divers autres poissons, vrais ou faux. Si tu veux opter pour quelque chose de moins noir, tu gagneras sans doute de ne pas t’endormir les yeux rouges. Avec mes sentiments respectueux, Lemony Snicket.
11 ans et + – Cher lecteur, si tu recherches un récit de collège tout en farces joyeuses, n’ouvre surtout pas ce livre ! A la place, tu découvriras une pension de la pire espèce avec règlement stupide, crabes mal lunés, moisissures coulantes, violon écorcheur d’oreilles, redoutables tests de contrôle et triple dose de système métrique. Telles sont les malédictions qu’affrontent les orphelins Baudelaire dans ce consternant épisode, mais rien ne t’oblige, cher lecteur, à les suivre en ce sinistre lieu. Sauf, bien sur, si tu désires que ton propre collège, par contraste, te semble être un paradis. Avec mes sentiments respectueux, Limony Snicket
A partir de 6 ans – « Qui a pu venir dans la classe pendant la récréation ? Qui a détruit le château de Chambord de Léa ? » La journée d’école commence très mal. Léa pleure et madame Bellefille, l’institutrice, veut un coupable. Antoine soupçonne Cédric, un garçon qui lui fait un peu peur. Mais Cédric n’avoue pas et, surtout, il fixe Antoine.
Antoine fait alors une chose inattendue : il lève la main et se désigne comme coupable.
Un livre pour les enfants qui aiment déjà lire tout seuls.
L’orchidée sauvage
En ce début de XXe siècle, après trois années de pensionnat en Angleterre, Sophie Monroe regagne la plantation familiale en Jamaïque. A dix-neuf ans, elle est pétillante, fière et passionnée, trop peut-être pour une communauté coloniale repliée sur elle-même et sur ses principes. Ses liens avec ses amis d’enfance, la belle métisse Evie, et Ben, le palefrenier, dérangent. D’autant plus que, depuis leurs retrouvailles, Ben et Sophie sont irrésistiblement attirés l’un par l’autre. Si la jeune fille n’est pas de celles qui renoncent, Ben, lui, croit cet amour impossible : Sophie, par sa naissance, ne lui sera jamais destinée. Leur passion réussira-t-elle à triompher des préjugés ?
Handa’s surprising day
En Anglais – All day long, Handa loses things from right under her nose : Grandma’s hen, the fuit from her basket … But what’s that, creepoing up behind her ? Is Handa in for one final surprise ?
Contes
TEXTE INTEGRAL
Qui n’a tremblé pour la femme de Barbe bleue ou ri de l’astuce du Chat botté ? Qui n’a rêvé d’embrasser la Belle au bois dormant ou d’aider le petit Poucet ? Merveilleux, alertes et souvent pleins d’humour, les contes en prose de Perrault nous enchantent. Prisonniers de leur charme, nous les dévorons avec un appétit d’ogre ! L’édition réunit de nombreuses gravures de Gustave Doré. Le dossier offre de larges extraits de « Peau d’Âne », le plus célèbre des contes en vers écrits par Perrault, et souligne la modernité de récits qui inspirent encore aujourd’hui les écrivains (Pierre Gripari et Joël Pommerat) et auteurs de bandes dessinées (René Goscinny et Gotlib).
Sylvie Vartan dans la lumière
C’est grâce à Eddie, son frère, que Sylvie Vartan enregistre son premier disque, Panne d essence. Très vite, la chanson devient un tube. Dès lors, la vie de celle que l’on surnomme la collégienne du twist ne connaît plus de répit. Émissions de radio et de télévision, Olympia, enregistrements avec les plus grands. Sylvie a décidé de lever le voile, d offrir au public qui l a toujours soutenue un livre complet sur son parcours et sur sa vie, car l un ne va pas sans l autre. Plus de trois cents illustrations, dont beaucoup inédites, enrichissent ce témoignage unique, personnel, sur la carrière exceptionnelle de Sylvie Vartan. Toutes ses scènes, tous ses albums, toutes ses émotions d artiste, ses rencontres et ses bonheurs. Après le grand succès de son autobiographie, Entre l ombre et la lumière, 240 000 exemplaires vendus, Sylvie nous livre un nouveau témoignage précieux.
Corps et ame
À New York, dans les années quarante, un enfant enfermé dans un sous-sol regarde les chaussures des passants. Pauvre, sans autre protection que celle d’une mère excentrique, Claude Rawlings semble destiné à demeurer spectateur d’un monde inaccessible. Mais dans la chambre du fond, enseveli sous une montagne de vieux papiers, se trouve un petit piano désaccordé. En déchiffrant les secrets de son clavier, Claude va se découvrir lui-même : il est musicien. Ce livre est l’histoire d’un homme dont la vie est transfigurée par un don. Son voyage, jalonné de mille rencontres, amitiés, amours, le conduira dans les salons des puissants, et jusqu’à Carnegie Hall. La musique, évidemment, est au centre du livre musique classique, grave et morale, mais aussi la pulsation irrésistible du jazz. Autour d’elle, en une vaste fresque foisonnante de personnages, Frank Conroy brosse le tableau fascinant, drôle, pittoresque et parfois cruel d’un New York en pleine mutation.
Forteresse digitale
Un code inviolable. Une menace pour la liberté. Une femme en danger. Salué comme le techno-thriller le plus réaliste et le plus captivant de ces dernières années, le premier roman de Dan Brown dépeint la limite incertaine entre la défense des libertés individuelles et les exigences de la sécurité nationale. À la National Security Agency, l’incroyable se produit. TRANSLTR, le puissant ordinateur de décryptage, ne parvint pas à déchiffrer un nouveau code. Appelée à la rescousse, Susan Fletcher, la belle et brillante cryptanalyste en chef, comprend qu’une terrible menace pèse sur tous les échelons du pouvoir. La NSA est prise en otage par l’inventeur d’un cryptage inviolable qui, s’il était mis sur le marché, pulvériserait tout le système du renseignement américain ! Emportée dans un tourbillon de secrets et de faux-semblants, Susan se bat pour protéger son pays et sortir l’agence de ce piège. Bientôt trahie par tous, c’est sa propre vie qu’elle devra défendre ainsi que celle de l’homme qu’elle aime. Lorsque l’ordinateur le plus puissant au monde, arme absolue contre le terrorisme, est saboté, Susan, brillante cryptographe, est appelée de toute urgence. Ce qu’elle découvrira va ébranler ses plus intimes convictions… Prise au piège dans les entrailles de l’agence la plus secrète des Etats-Unis, Susan va avancer dans une toile tissée de mensonges et de secrets. Trahie et manipulée, elle devra lutter pour sauver son pays, mais aussi sa propre vie. Et très vite, celle de l’homme qu’elle aime.
Alabama Song
Alabama, 1918. Quand Zelda, » Belle du Sud « , rencontre le lieutenant Scott Fitzgerald, sa vie prend un tournant décisif. Lui s’est juré de devenir écrivain : le succès retentissant de son premier roman lui donne raison. Le couple devient la coqueluche du Tout-New York. Mais Scott et Zelda ne sont encore que des enfants : propulsés dans le feu de la vie mondaine, ils ne tardent pas à se brûler les ailes. Gilles Leroy s’est glissé dans la peau de Zelda, au plus près de ses joies et de ses peines. Pour peindre avec une sensibilité rare le destin de celle qui, cannibalisée par son mari écrivain, dut lutter corps et âme pour exister. Mêlant éléments biographiques et imaginaires, Gilles Leroy signe ici son grand « roman américain ».
Manuel Montano
Bande Dessinée en état quasi-neuf – Apparu pour la première fois en août 1988 dans les pages du mensuel (À Suivre), Manuel Montano, détective privé de son état, apparaît comme un improbable croisement entre Humphrey Bogart et Buster Keaton – sans oublier un soupçon de Jack Palmer pour la poisse et la déveine. L’imper mastic trop grand pour lui, le sourire en berne et l’énergie à plat : le moins qu’on puisse dire est que Manuel Montano, avec son scooter fatigué et ses méthodes qui ne le sont pas moins, ne donne pas l’impression d’être un aigle… Et pourtant, au fil de la demi-douzaine d’enquêtes qui composent ce recueil, on se prend d’affection pour cet éternel maladroit si peu efficace et tellement humain. Et si Manuel, finalement, était un peu le reflet de chacun d’entre nous ?
Mon cœur à l’étroit
Nadia, la narratrice, est institutrice à Bordeaux dans la même école que son mari, Ange. Ils vivent leur profession comme un apostolat et en tirent une authentique félicité. Mais depuis quelques temps, le couple est l’objet d’une vindicte générale, harcelante et inexplicable. Nadia tente de comprendre la nature du complot qui la broie, tandis qu’un brouillard épais ensevelit Bordeaux. Quelle faute a-t-elle commise, qui justifierait ses malheurs? Pourquoi son fils s’est-il éloigné d’elle? Ange est-il vraiment son allié dans l’épreuve? Et qui est ce voisin qui les accable de propos lénifiants, ce Noget qui s’impose peu à peu comme leur protecteur tout puissant? Le roman de Marie NDiaye baigne dans une clarté crépusculaire. L’écriture étonne encore une fois par sa précision, sa retenue, sa profonde singularité. La douceur constante du ton, le caractère familier des épisodes qui se succèdent, l’enchainement implacable et comme naturel des malheurs qui frappent la narratrice, mais aussi les fréquentes pointes d’humour et la cocasserie des situations plongent le lecteur dans le ravissement inquiet que font naître les contes.
Le gardien du phare
Trois femmes, qui dissimulent de lourds secrets, échouées sur une île sauvage dont une tour de pierres grises barre tous les chemins. Un gardien qui jamais ne se montre. Elles guettent, sentent et redoutent sa présence, sans être sûres qu’il existe vraiment. Pour quelle obscure raison le destin les a-t-il jetées sur ce bout de terre isolé, ce monde clos et hors du temps que rien ne semble atteindre ? Prix Femina pour Le Grand Vizir de la nuit, Catherine Hermary-Vieille retrouve ici les eaux sombres et tempétueuses des sœurs Brontë, les landes et les passions des grands romans anglo-saxons, avec une intensité, une émotion que cristallise l’écriture pure et troublante d’un véritable écrivain.
Quelques-uns des cent regrets
Elle portait des cheveux un peu plus longs que par le passé. Sa blondeur s’était mêlée d’argent. Son visage gardait la beauté simple qui en était la marque. A peine les rides l’avaient-elles tissé d’un mince réseau de blessures. Le temps s’était déposé en elle, avec sa fatigue et son poids, comme une poussière. Étaient-ce les années vécues sans la voir qui me faisaient la croire plus jeune qu’elle n’était en vérité ? A la mort de sa mère, le narrateur revient sur les lieux de son enfance, dans une petite ville du Nord inondée par la crue d’une rivière. Durant les trois jours qu’il passera là surgissent les figures disparues, celle de la mère bien sûr, jadis aimée plus que tout, et celle plus inquiétante du père absent dont la légende dit qu’il est mort dans une guerre lointaine. Roman poignant où, par petites touches, Philippe Claudel explore l’amour filial avec une extrême délicatesse et une surprenante réserve.
Grundlich
Si un jour tu écrivais cette histoire, tu devrais l’appeler Gründlich. Ce serait un drôle de titre. C’est un mot allemand, pas exactement traduisible. Disons que c’est l’idée de faire le boulot soigneusement, méticuleusement, jusqu’au bout, sans en laisser une miette. Elle aimait tant l’Allemagne. Elle a toujours été gründlich, ta petite fille. Elle t’a aimé gründlich, dès la première nuit. Tu étais si séduisant, dans ton malheur. Ensuite elle a fait le boulot gründlich, rien à redire. Elle t’a raccommodé, elle t’a réconcilié, elle t’a avalé tout entier, comme elle avalait les cerises, avec les noyaux. Si seulement tu avais voulu, elle t’aurait emmené au bout du monde. Et jusqu’en Chine, puisque tu y as rendez-vous, avec le secret de ta vie. Mais, petit juge, c’est loin, la Chine. Et un beau jour, tu le savais bien, elle te plaquerait là, tout seul avec un sac de cerises, dans les riantes avenues de ton joli quartier. Gründlich.
Cette semaine, c’est la fête à East High ! Chaque jour, les élèves doivent relever un nouveau défi. Et l’événement le plus attendu, c’est le bal… Cette fois, ce sont les filles qui invitent les garçons ! Gabriella a bien l’intention d’y aller avec Troy. Mais elle oublie vite le bal quand elle surprend une conversation téléphonique de sa mère… Devra-t-elle de nouveau déménager, et quitter East High où elle est si heureuse ?
Le dico des filles 2008
Encore un millésime exceptionnel! Le Dico des filles 2008, c’est : -de nouveaux textes : les 200 mots de la vie des filles ont été entièrement réécrits, adaptés, actualisés. -47 nouveaux mots, comme Blog, Cité, Concert, Déclaration d’amour, Déménager, Femmes, Gothique, Mag, Parfum, Peau, People, Prostitution, Rompre, Séries télé, Soldes, Star, Téléchargement, Téléréalité. -un nouveau graphisme encore plus féminin et plus tendance : nouvelles illustrations, nouvelles photos et maquette entièrement rénovée! le magazine spécial 2008 : 80 pages avec la mode en avant-première, l’actu et la vie des filles, des bons plans. -les 24 premières pages de la première BD des filles en exclu!
Petits pénibles et gros casse-pieds
Vous vous sentez parfois cerné(e) par les paranos, les grincheux, les passifs-agressifs, les hystéros, les pervers, les énervés, les narcissiques ? Ne tremblez plus, ne pestez plus : vous avez désormais la solution entre les mains, avec cet ouvrage ! Vous y trouverez votre kit de survie dans la jungle des casse-pieds : pourquoi ils sont comme ça, ce qui les attire et ce qui les repousse, et surtout comment agir face à eux. Des textes pour comprendre et ne plus subir, des dessins pour prendre du recul avec humour.
A la poursuite de l’arche sacrée
L’assassinat du Dalaï Lama, au coeur d’une énigme qui va révolutionner l’humanité toute entière. Le Dalaï Lama vient de mourir assassiné. Il y a dans la tombe de Toutankhamon un message qui concerne l’humanité toute entière sont ses dernières paroles. Un généticien français qui s’intéresse à l’ADN du jeune pharaon entame une course contre la montrer pour le décoder. Son enquête le mène jusqu’aux confins du Soudan, dans la crypte de l’Arche sacrée déjà où un dieu surpassant tous les dieux donna à Toutankhamon la clef de l’immortalité. Mais une organisation terroriste religieuse fondamentaliste traque implacablement tous ceux qui en révèleraient l’existence. Ce Dieu suprême représente une menace inacceptable en terre d’islam. Ce THRILLER haletant prouve que l’Egypte ancienne et les tombes pharaoniques n’ont pas livré tous leurs SECRETS FUNESTES.
La Chambre des parfums
Alors que son père se meurt, Tan quitte les Etats-Unis où il réside depuis de longues années pour revenir en Inde, dans sa province natale. Dans la chambre des parfums, où repose le corps de son père avant la crémation, Tan réalise combien il s’est éloigné de sa culture d’origine. Écartelé entre hindouisme et christianisme, entre une société de castes et des sympathies d’extrême gauche, il devra apaiser le conflit intérieur qui, jusqu’alors, n’a cessé de le déchirer. Qualifié de « Philip Roth indien » par la critique, Inderjit Badhwar conjugue avec une rare maîtrise lucidité, humour et émotion. Premier roman en grande partie autobiographique, La Chambre des parfums s’est classé, dès sa sortie en Inde, dans les meilleures ventes, et a obtenu, en France, le Prix du premier roman étranger en 2004.
Chaleur et poussière
Dans les années soixante-dix. une jeune journaliste arrive à Bombay, attirée par l’histoire d’Olivia, la première épouse de son grand-père. En 1923, celle-ci avait bravé toutes les conventions et ses propres peurs pour rejoindre un prince indien, nabab décadent d’une province musulmane. Cette aventure trouve une étrange résonance dans la vie de la voyageuse…
Ainsi se dessinent les portraits croisés de deux femmes qu’un demi-siècle sépare, mais que semble animer une même soif de liberté.
Par petite touches intimistes, la grande Ruth Prawer Jhabvala nous livre l’histoire d’une passion qui tend à se confondre avec une quête spirituelle. Avec comme toile de fond l’Inde éternelle, à la fois sombre et flamboyante, cette terre d’accueil où les Occidentaux désenchantés tentent de panser leurs plaies.
Couronnée par le Booker Prize en 1975, adaptée au cinéma en 1982 par l’auteur et James Ivory, « Chaleur et Poussière » est une œuvre forte qui entremêle le passé et le présent de manière émouvante.
Babyji
Delhi, années 1990. La violence des castes déchire le pays, les étudiants s’immolent lors de manifestations contre le gouvernement.
Elles sont trois une lycéenne, une divorcée, une bonne à graviter autour de Babyji, petite lolita indienne qui, inspirée par ses cours de physique quantique, conjugue la passion du savoir avec le plaisir des sens. Au travers du jeu des possibles entre ces femmes que tout devrait séparer, c’est l’Inde moderne loin du folklore et des clichés qui est décodée. Roman d’apprentissage et témoignage social, Babyji dévoile une Inde inconnue, tiraillée entre passé et modernité.
Une passion indienne
LA VERITABLE HISTOIRE DE LA PRINCESSE DE KAPURTHALA
1908 : la superbe danseuse andalouse Anita Delgado épouse le maharajah de Kapurthala.
1925 : la « cinquième épouse » se sépare de son mari et quitte l’Inde. Entre ces deux dates, Anita aura vécu une passion tumultueuse à l’origine d’un des plus grands scandales de l’Empire britannique. Une plongée étourdissante dans les fastes d’un monde emporté par l’Histoire, entre conte de fées moderne et roman vrai d’une femme libre.
Le Festin de Roses
Nur Jahan, l’impératrice dont la beauté éclipse l’éclat du soleil, fascine ses sujets… Un jeune audacieux se risque enfin à contempler sa souveraine, un privilège réservé à son époux, le Grand Moghol Jahangir. Pour restaurer l’honneur bafoué de Nur Jahan, l’empereur dépouillera tous les rosiers d’Ispahan et déposera aux pieds de la femme qu’il adore des myriades de pétales chatoyants en gage d’amour éternel. Forte de cette passion, Nur Jahan ne craint plus personne. Mais le pouvoir de l’impératrice vacille lorsque son mari meurt… Afin de conserver son influence au sein du palais, elle va mettre en avant sa nièce, pour qui un nouvel empereur, fou d’amour, érigera le légendaire Taj Mahal.
Comme une tombe
Lorsqu’il se réveille six pieds sous terre dans un cercueil avec du whisky, une lampe de poche, une revue érotique et un sérieux mal de crâne, Michael Harrison pense à une mauvaise blague. Très vite, il se remémore la soirée arrosée de la veille avec ses copains pour son enterrement de vie de garçon. Seulement les heures passent et personne ne vient le chercher. A la surface, sa fiancée s’inquiète. A trois jours des noces, elle signale la disparition de Michael à Roy Grace, inspecteur aux méthodes peu conventionnelles, dans la ligne de mire de sa hiérarchie. Pour retrouver le futur époux il n’a qu’un seul indice : ses témoins. Mais leur camionnette est en pièces et aucun d’eux n’a survécu à l’accident.
Mariage arrangé
« Et un mot vous vient du ciel qui s’ouvre. Le mot amour. Vous vous rendez compte que vous ne l’aviez jamais compris auparavant. C’est comme la pluie, et quand vous levez votre visage, comme la pluie, il vous lave de tout ce qui n’est pas essentiel, vous laissant vide, propre, prête à commencer. »
Au mot « amour », une mère indienne respectueuse des traditions ne donne pas la même signification qu’un jeune amant américain. Comment concilier la puissance d’un sentiment avec les codes sociaux qui tentent de le réglementer ? À cette question, chacune des onze histoires de Mariage arrangé propose une réponse singulière. Onze figures de femmes confrontées à ce dilemme, qui doivent faire un choix et prendre en main leur vie. Qu’elles soient restées au pays de leurs mères ou vivent en femmes libres loin de la terre natale, elles découvrent l’expérience fondatrice de l’amour dans ses arrangements avec la réalité, et le deuil de l’impossible perfection du bonheur.
L’amant en culottes courtes
Si ce livre peut être considéré comme un roman, c’est dans la mesure où toute initiation, toute expérience formatrice, entre en dialogue avec l’imagination dès le moment vécu, puis dans le souvenir et tout au long de l’existence. Dans ce récit strictement autobiographique, tout l’effort consiste à retrouver et à restituer avec leurs composantes contradictoires les circonstances, l’état d’esprit, les états de corps, les sentiments, les sensations, les pulsions, d’une aventure amoureuse et sexuelle qui est celle de la première fois. Cela se passe à Londres en juillet 1957, alors que l’auteur, âgé de treize ans, séjourne dans une famille pour apprendre la langue anglaise. Pendant quelques jours, cohabitent violemment dans le même être le désir érotique pour une jeune fille de sept ans son aînée, et la volonté farouche de rester un petit garçon en culottes courtes, attaché à son univers d’enfance. Alain Fleischer interroge le mystère d’une relation et d’événements dont la force a déposé une empreinte d’une précision insoupçonnée, que seule l’écriture, dans sa fonction archéologique, permet de faire émerger des sables de la mémoire.
Belle du Seigneur
1968. Solennels parmi les couples sans amour, ils dansaient, d’eux seuls préoccupés, goûtaient l’un à l’autre, soigneux, profonds, perdus. Béate d’être tenue et guidée, elle ignorait le monde, écoutait le bonheur dans ses veines, parfois s’admirant dans les hautes glaces des murs, élégante, émouvante, exceptionnelle, femme aimée, parfois reculant la tête pour mieux le voir qui lui murmurait des merveilles point toujours comprises, car elle le regardait trop, mais toujours de toute son âme approuvées, qui lui murmurait qu’ils étaient amoureux, et elle avait alors un impalpable rire tremblé, voilà, oui, c’était cela, amoureux, et il lui murmurait qu’il se mourait de baiser et bénir les longs cils recourbés, mais non pas ici, plus tard, lorsqu’ils seraient seuls, et alors elle murmurait qu’ils avaient toute la vie, et soudain elle avait peur de lui avoir déplu, trop sûre d’elle, mais non, ô bonheur, il lui souriait et contre lui la gardait et murmurait que tous les soirs ils se verraient. Ariane devant son seigneur, son maître, son aimé Solal, tous deux entourés d’une foule de comparses : ce roman n’est rien de moins que le chef-d’œuvre de la littérature amoureuse de notre époque.
Les allergies polliniques
L’allergie est un sujet inépuisable, à peu près sans limites, puisqu’il illustre les difficultés de la relation de l’homme avec tout ce qui l’entoure, tout ce qui est extérieur à lui : avec son environnement, de la chambre à l’habitat tout entier, du lieu de vie au lieu de travail en passant par l’école et les loisirs. Quoi qu’il en soit, l’allergie n’est plus ce qu’elle était. L’allergologie est en pleine mutation : le « théâtre », le décor ont changé, l’environnement est différent. Les acteurs également ont changé, l’allergologue, l’allergique et l’allergène (la cause de l’allergie) ne se reconnaissent plus ; ils jouent de nouveaux rôles, ils revêtent de nouveaux costumes. Question de mode ou de modes en question, mode(s) de vie, mode(s) d’alimentation, mode(s) d’emploi. Question de mots, question de maux… La fréquence des patients atteints est en pleine explosion. La population mondiale est-elle la proie de nouveaux allergènes ? Assiste-t-on à une efflorescence de nouveaux allergiques, victimes d’une sollicitation sans cesse plus opiniâtre de leurs systèmes immunologiques ? Comme un « écho » logique à ces inquiétudes, l’allergologue doit se mobiliser et prendre les positions conformes à sa responsabilité, à la responsabilité que lui impose son statut de médecin, envers et contre tous, sur un sujet qui intéresse le plus grand nombre.
Le sang des innocents
Dix-neuvième volume des aventures de Lord Melrose Plant et de l’inspecteur Jury. Comment peut-on tuer une enfant ? Confronté au plus odieux des crimes, le commissaire Richard Jury n’écarte aucune piste. Cette affaire pourrait-elle être liée à la disparition d’une autre fillette, Flora, trois ans auparavant ? Étrange coïncidence, un meurtre vient justement d’être commis dans le parc de la propriété que Flora habitait et où le père adoptif de la petite fille, Declan Scott, vit en reclus depuis le drame. Pour forcer la réserve de ce passionné de jardinage, Jury dispose, en la personne de son ami Melrose Plant, d’un atout décisif. Car l’érudition de Plant est légendaire, y compris en botanique.
Danse avec les stars
Quelle fille n’a pas rêvé de danser avec son idole, de l’accompagner dans les soirées les plus branchées et de connaître tous ses secrets ? Pour Kelly, ce rêve est devenu réalité : tout l’été, elle a dansé au côté de Darcy Barnes, la plus grande pop star du monde ! Accrochez-vous, Kelly va vous prouver que la vie de star est bien plus passionnante et plus stressante qu’on le croit !
Tome 2 – Miss la gaffe
Lizzie est de retour ! Battant le pavé de New York à la recherche d’un emploi, d’un logement et d’une place bien à elle dans l’univers. Lorsque Luke, son amour de vacances, lui propose de « vivre ensemble », elle abandonne aussitôt son projet de colocation avec sa meilleure amie Shari, pour emménager avec lui. Mais Lizzie n’a pas autant de chance dans sa recherche d’emploi. Elle est restée une pipelette invétérée, ce qui ne tarde pas à lui attirer des ennuis, aussi bien au travail qu’à la maison. Lecture conseillée aux plus de 15 ans.
En Anglais – In very good condition – 256 pages – « These soups ARE the Best-Ever! I’ve made dozens of these recipes and they have all been wonderful: french onion soup, bisques, bean soups, asian broths, hearty stews, refreshing summer recipes, etc. And, it is so easy to make them even more special by adding or substituting a few of your own favorite ingredients. Yum! Great photos with the recipes, too. »
La jeune Orchidée, issue d’une famille ruinée de la petite noblesse, se présente au palais de la Cité interdite dans l’espoir de devenir concubine de l’empereur, et sortir ainsi sa famille de la misère. Ayant apprivoisé l’empereur, elle lui devient indispensable après lui avoir donné un fils. Dans le monde clos du palais, à force d’intrigues, Orchidée devient une toute-puissante impératrice.