Green Day – Une conscience américaine
Trauma
Miles Kendrick est un homme comme les autres, ou presque. Souffrant d’un syndrome de stress post-taumatique, il vit à Santa Fe, sous une fausse identité fournie par le FBI, essayant de mener une existence normale et d’oublier un passé tumultueux. Sa vie bascule à nouveau lorsque sa psychiatre, le docteur Allison Vance, disparaît après l’avoir appelé à l’aide. S’il veut sauver sa peau, il doit absolument faire la lumière sur cette disparition. Bien que le FBI le soupçonne, et qu’il ait un tueur à ses trousses. Miles va devoir lutter contre la peur qui le paralyse et affronter son passé pour sortir de ce piège infernal.
La dernière preuve
Lorsqu’elle découvre un cadavre échoué sur une plage, sur une petite île proche de la côte atlantique, Riley St Joe voit soudain défiler les images d’un drame qu’elle espérait oublier. Car la victime n’est autre que Sam Cassain, le capitaine d’un navire dont le naufrage a coûté la vie à plusieurs personnes un an plus tôt. Un naufrage au cours duquel Riley a cru mourir elle aussi… La mort de Sam est-elle liée à ce drame ? La police en est d’autant plus persuadée qu’Emile Labreque, le propriétaire du navire, disparaît au même moment. Mais Riley, elle, refuse de croire à la culpabilité du vieil homme, qu’elle adore. Afin d’éclaircir cette affaire, elle se lance à la poursuite d’Emile avec l’aide d’un agent du FBI, John Straker – une aide d’autant plus précieuse qu’ils ne seront pas trop de deux pour éviter les pièges tendus par le vrai coupable…
Nicolas Sarkozy – De Neuilly à l’Élysée
Depuis janvier 2007, deux équipes de deux journalistes suivent jour par jour, heure par heure, Ségolène Royal et Nicolas Sarkozy, au fil de leur campagne électorale. Dès le lundi 7 mai, lendemain du second tour, leur livre reproduira le visage du prochain président de la République. Il inclura la biographie du nouveau président mais aussi les instantanés révélateurs de la campagne, avec des scènes inédites non révélées par la presse : il fourmillera de « mots » et de révélations sur ses acteurs principaux. Ce « livre de la victoire » sera imprimé dans la nuit du 6 au 7 mai : un exploit technique et éditorial, mais aussi journalistique.
Au cœur de l’ouragan
Plus que quelques heures… Julie Minton, thérapeute à Mangrove Bay, n’a plus que quelques heures pour retrouver sa fille Randi. Car celle-ci a mystérieusement disparu lors d’une promenade en mer avec Thad, son petit ami – alors même qu’un violent ouragan est annoncé au large des côtes de la Floride… Lorsque l’avis de tempête est lancé, Julie ne sait que faire pour retrouver les deux adolescents égarés. Car l’ordre d’évacuation mobilise entièrement la police locale et pousse les gens à fuir au plus vite : seul Zach Brockman, le père de Thad, est prêt à poursuivre les recherches avec elle. Mais l’ouragan se rapproche. Désormais, Julie n’a plus que quelques heures pour sauver Randi… et pour échapper elle-même à la mort.
La poupée brisée
Ce visage… Cette robe rose…Cela ne peut pas être une coïncidence. Claire Doucett est sous le choc. Cela fait sept longues années que sa fille Ruby a mystérieusement disparu, et qu’elle essaie de surmonter sa peine. Mais aujourd’hui, le passé refait brusquement surface lorsqu’elle découvre, dans la vitrine d un magasin de La Nouvelle-Orléans, une poupée de porcelaine qui reproduit les traits de Ruby à la perfection. Une poupée qui porte la même robe que sa petite fille adorée, le jour du drame… Après tout ce temps passé dans l’incertitude, se pourrait-il que cette poupée livre enfin à Claire la clé du mystère ? En compagnie de Dave, son ex mari, un flic miné par le chagrin, Claire est prête à tout pour comprendre ce qui a bien pu briser la vie de leur fille. Mais la poupée est enlevée à son tour, comme Ruby sept ans plus tôt. Volée par un homme que la beauté de la petite fille avait autrefois fasciné et dont l’obsession n’a jamais pris fin…
Le cri inéluctable de l’oiseau
Pierre Champion est un artiste au sens le plus humaniste du terme. Chantre de la forêt et de la nature, compagnon de tous les bestiaires et de tous les univers de nos campagnes. Cet insurgé plénipotentiaire, en perpétuelle révolte face à l’absurdité et à l’aveuglement d’un monde qu’il sait enrichir par le culte contagieux de l’amitié, écrit des textes avec la levure de sa sensibilité et de sa vision nostalgique, réaliste et poignante, des êtres et des choses. Pierre Champion sait faire vivre dans ses écrits l’attachement que chacun porte à la Nature qu’il faut protéger, une urgente nécessité planétaire et un devoir pour l’Homme d’aujourd’hui et de demain.
De plus loin que la nuit
Comme les meilleurs romans, les femmes d'exception laissent dans le cœur de ceux qui les ont connues un souvenir vivifiant, qui pousse à entreprendre, à conquérir, à vaincre. Ainsi, Ruth Gordon, l'héroïne de ce livre. Issue d'un milieu modeste, Ruth croit trouver le bonheur en épousant Derek. Un bébé qui s'annonce, une maison dans un joli quartier… le hasard ferait bien les choses. Hélas, Derek meurt soudainement. Le désespoir submerge Ruth. II lui faudra faire appel à toute sa volonté pour prendre sa revanche sur le destin. C'est l'histoire de ce défi qu'Alexandra Connor conte dans De plus loin que la nuit avec plus de passion, plus d'émotion que jamais.
L’enfant des illusions
Depuis qu’un meurtrier s’est introduit dans l’école de Duncan et a abattu un enfant, Martha, la mère de Duncan, vit dans la terreur qu’un tel événement ne se reproduise, et que son fils soit à son tour la cible d’un tueur. Duncan, sa raison de vivre. Mais serait-elle la seule à se soucier de lui ? Personne, pas même son mari, ne semble vouloir l’aider à protéger leur fils de six ans. Pour soustraire Duncan aux dangers de la ville, Martha s’enfuit avec lui et trouve refuge dans une grotte sur les berges du Rio Grande. Une vie d’ermite que seul un détective privé pourrait venir troubler… Avec L’Enfant des illusions, Kathy Hepinstall fait entendre une voix qui renouvelle le genre du suspense psychologique. L’issue de son roman – imprévisible à moins d’être doté d’un sixième sens – ne laisse qu’une envie : le reprendre à la première page…
Week-end Turbo – Le guide
Dominique Chapatte anime Turbo depuis 20 ans sur M6. 20 ans, et plus de 1 000 émissions qu'il présente d'un petit coin de France ou d'ailleurs. Pour cet anniversaire, Dominique Chapatte vous emmène sur les routes de France, pour découvrir des paysages et des sites remarquables tout en vous faisant profiter de ses bonnes adresses gourmandes. Des plaines de Flandre aux bords de la Méditerranée, du pays basque à l'Alsace, prenez la route avec le guide Week-end Turbo, pour 50 week-ends incontournables. Et pour les passionnés d'automobile, un bonus : une présentation des 20 manifestations les plus intéressantes.
The deportees and other stories
En Anglais – For the past few years Roddy Doyle has written stories for Metro Eireann, a magazine by and for immigrants to Ireland. Each of the stories takes a new slant on the immigrant experience, something of increasing relevance and importance in Ireland today. The Deportees now brings those stories together for all of Roddy’s devoted readers, ranging from a terrifying ghost story, “The Pram,” in which a Polish nanny grows impatient with her charge’s older sisters and decides–using a phrase she has just learnt–to “scare them shitless,” to the glorious title story itself, where Jimmy Rabbitte, the man who formed the beloved Commitments, decides it’s time to find a new band, and this time no white Irish need apply. Multicultural to a fault, the Deportees specialize not in soul music, but in the songs of Woody Guthrie.
Le prince et le moine
Gyula, qui possédait le pouvoir temporel et veillait sur les hommes, et le Künde, qui veillait sur les âmes. Au Ier siècle, l’Europe centrale est au cœur de toutes les convoitises : Rome et Byzance se partagent les territoires, tandis que la menace germanique croît inexorablement. Dans ce même temps, les Magyars ont vécu une tragédie fatidique : le Künde Kurszán, pris dans un piège, a été assassiné ainsi que son fils ; depuis, les Magyars n’ont plus d’instance spirituelle et errent tels des enfants désemparés. Confronté à l’extension de l’empire germanique, le pape choisit un émissaire en la personne de Stephanus, un bénédictin, pour faire une proposition d’alliance entre l’Église romaine et les Magyars afin de contrer le pouvoir de l’empereur Othon. Le Prince et le Moine plonge au cœur du mythe fondateur de la Hongrie, de ses rites chamaniques et de ses légendes.
Tweede Kans
En Néerlandais – In Danielle Steels roman Tweede kans begint hoofdredacteur Fiona Monaghan halsoverkop een relatie met weduwnaar John Anderson. Fiona Monaghan is hoofdredacteur van het zeer invloedrijke modetijdschrift Chic in New York. Ze is dol op haar werk. Ze leidt een zeer hectisch leven en daarom is voor haar een huwelijk nooit een optie geweest. En dan ontmoet ze John Anderson, een weduwnaar. Het is alsof de bliksem inslaat, zo verliefd wordt ze. Een paar weken later trekt John bij Fiona in. Al snel begint hun relatie scheurtjes te vertonen. Maar in het leven is het nooit te laat om een tweede kans te krijgen…
Le ciel m’attendra
25 septembre 2005. La présentatrice du journal télévisé et animatrice d'un des talk-shows les plus populaires du Liban et du Moyen-Orient est victime d'un attentat à Jounieh (nord de Beyrouth), pour avoir osé défendre l'indépendance de son pays contre la mainmise syrienne et révéler ouvertement des éléments de l'enquête sur l'assassinat du Premier ministre Rafic Hariri et sur les douze attentats qui ont suivi. Amputée d'un bras et d'une jambe, opérée à vingt-six reprises, elle suit plusieurs mois de rééducation en France avant de rentrer dans son pays le 11 juillet 2006. Elle y est accueillie comme une martyre, une héroïne, une reine. Une fête de courte durée car le lendemain, la guerre entre Israël et le Hezbollah est déclenchée. Liban au destin tragique si semblable à sa vie, May Chidiac nous raconte son combat, celui d'une femme devenue un symbole de la liberté d'expression dans le monde. Grandie par l'épreuve, celle qui s'est promis d'être » la voix des martyrs de la liberté » présente à nouveau le journal télévisé, anime des émissions politiques, donne des cours à l'université…, farouchement décidée à écrire son histoire. Sa vie est plus urgente que jamais.
Chirac, Mon ami de trente ans
Jean-François Probst a travaillé pendant trente ans pour le RPR. Collaborateur de Jacques Chirac à Matignon, bras droit de Jérôme Monod, de Charles Pasqua, de Michèle Alliot-Marie, ami de Dominique de Villepin et conseiller de Jean Tiberi, il a œuvré sous les ordres du mystérieux Jacques Foccart… Sa mission principale? Officiellement la « com » de ses patrons. En réalité cet agent d’influence s’est occupé des relations avec les parlementaires et a passé son temps à manipuler la presse quand il ne montait pas des « coups ». En 1995, dans le plus grand secret et sur ordre direct de Jacques Chirac, il a été chargé de torpiller la campagne d’Édouard Balladur… avec l’aide des réseaux Foccart. Aujourd’hui indépendant et libre, Jean-François Probst regarde avec lucidité le parcours de ces trente années qui ont mené Jacques Chirac jusqu’à l’Élysée. Son témoignage raconte des années de coulisses
La femme fatale
Ségolène Royal a surgi dans la course à la présidentielle sans qu'on saisisse vraiment où elle puisait son ambition. Aiguillonnée par une blessure secrète, débarrassée de ses scrupules, investie d'une mission, elle a choisi de contourner le PS et François Hollande. Seuls quelques proches ont compris l'incroyable scénario qui se jouait entre le premier secrétaire et la candidate. Rares sont ceux qui ont saisi l'ampleur du défi que cette dernière, en bousculant les réflexes militants et en plaçant les » éléphants » hors jeu, imposait aux socialistes en même temps qu'à son couple. Écartelée entre son parti et sa garde rapprochée, prête à bousculer tous les dogmes pour sauver ses chances, elle entraîne malgré elle son camp vers une défaite fatale, qui signe la fin du PS de Mitterrand. « La gauche ne peut pas perdre, » répétaient les socialistes. Voici l'histoire secrète de ce rendez-vous manqué.
Hiver 1683. Louis XIV a quarante-cinq ans. Il est au sommet de sa puissance, et le soleil de la vie décline. Et les courtisans grelottent dans le château de Versailles aux deux mille pièces qu’on ne réussit pas à chauffer. Mais qui oserait quitter la Cour, ne plus vivre dans la proximité du grand roi, même si inexorablement l’ombre envahit le château ? La prière et les messes ont remplacé les spectacles et les ballets. Mme de Maintenon, dévote et que le roi veuf a épousée secrètement, veille. La guerre, la chasse aux protestants, la maladie, la mort des proches, rendent la vie de Cour toujours austère, parfois sinistre. C’est l’hiver du grand roi. Et dans ce long crépuscule Louis XIV révèle un courage physique et moral qui fascine. Le roi ne se laisse ni affaiblir ni terrasser. Jusqu’aux dernières heures de sa vie, il lutte. Il gouverne. Le souverain jouisseur et séducteur des débuts du règne est devenu ce roi pieux qui songe à son Salut sans jamais renoncer à être le Grand Roi. Max Gallo nous donne ici à découvrir ce souverain terriblement humain.
Un mouton dans la baignoire
Un soir de novembre 2003, à la Foire du Livre de Brive-la-Gaillarde, le romancier et sociologue Azouz Begag, enfant des bidonvilles et de la banlieue à Lyon, croise Dominique de Villepin, flamboyant ministre des Affaires étrangères. Sur le mode de la plaisanterie, Azouz lui fait savoir combien il aimerait être ambassadeur dans quelque pays lointain d'Afrique. Dix-huit mois plus tard, le jeudi 2 juin 2005, son portable sonne : c'est Villepin, nouveau Premier ministre, qui lui annonce de but en blanc qu'il l'a nommé ministre délégué à la Promotion de l'égalité des chances. Une nomination symbolique pour incarner la diversité française ? ou bien une promotion destinée à faire contrepoids à l'image répressive du ministre de l'Intérieur, Nicolas Sarkozy ? De fait, à compter du jour où le mot « racaille » est lancé par ce dernier et à compter du début de la crise des banlieues de novembre 2005, c'est la guerre ouverte entre l'hôte de la place Beauvau, son entourage, et le ministre délégué.
1981
Été 1981. Pour la moitié du pays qui vient de porter la gauche au pouvoir, c’est un été de grâce. Pour l’autre moitié, celle qui redoute que » Mitrand » avec ses ministres communistes ne transforme l’Élysée en Kremlin, ce même été est celui de toutes les calamités. Dans le cortège mondain et militant qui accompagne Mitterrand lors de sa visite au Panthéon, Louis, fils d’un banquier qui organise la fuite des capitaux, croise Élise, jeune chargée d’études dans les premiers cercles du nouveau pouvoir. La gauche et le pays, Élise et Louis : du Panthéon à Solutré, des coulisses de l’Élysée aux banques helvétiques, avant que le romantisme ne cède la place au pragmatisme, deux histoires commencent. Et en politique comme en amour les instants de grâce se vivent d’autant plus intensément qu’on les sait éphémères.
Côté pile, un visage d’ange et une image de rénovatrice. Côté face, une travailleuse acharnée aux méthodes de tueuse, une conception conservatrice de la famille, du travail et de l’éducation. Ségolène Royal a bien deux visages. Les auteurs, qui ont recueilli à Paris comme à Poitiers de nombreux témoignages inédits et rencontré ses proches, racontent la femme politique, appréciée pour son énergie et son volontarisme, qui séduit le grand public autant qu’elle agace les éléphants du PS. Mais aussi l’élue de Poitou-Charentes, que nombre d’anciens collaborateurs dépeignent comme autoritaire, cassante et manipulatrice. L’envolée de Ségolène Royal est due à une stratégie médiatique très calculée. Mais aussi à un événement qui a bousculé le jeu à gauche : sa victoire en 2004 aux élections régionales. Aymeric Mantoux et Benoist Simmat analysent le personnage et évaluent les atouts dont elle dispose, dressant un portrait sans concession de la première Française en mesure de devenir présidente de la République.
Les espions du Vatican
La papauté suscite beaucoup de fantasmes quant à sa secrète influence tris l'histoire occidentale. De nombreux romans lui attribuent un rôle occulte et déterminant dans des affaires politiques. Pour la première fois, un ouvrage rigoureux basé sur des archives permet de rétablir la vérité des faits. Peuplée de têtes couronnées et de chefs d'État, mais aussi de diplomates espions, de prêtres déchus et autres mercenaires, cette fresque dévoile les sorts peu connus de l'histoire diplomatique du XIXe et du XXe siècle. Passant en revue dix pontificats, de Pie VII (farouche adversaire de Napoléon), jusqu'à Pie XII, accusé après la Seconde Guerre mondiale de complaisance envers le nazisme, l'auteur brosse la première histoire de l'espionnage au service du Vatican. L'on apprend que, pendant la Première Guerre mondiale, l'assistant personnel du pape Benoît XV était un espion allemand, et que pendant la Seconde Guerre mondiale, les nazis ne reculèrent devant rien pour faire pression sur Pie XII et pour infiltrer le Vatican de faux prêtres allemands.
36, boulevard Yalta
Mu par une logique impénétrable, le nez rivé à ses dossiers mystérieux, Brano Sev, inspecteur de la Sécurité d’État, est l’œil du Parti au sein de la Brigade criminelle, dans la Capitale d’une république socialiste. Mais en 1966, tout ça c’est du passé pour le major Sev, impliqué dans un meurtre en Autriche. Sa hiérarchie l’expédie dans sa ville natale, pour enquêter sur un probable agent double. Cette investigation le ramènera à Vienne où, en pleine Guerre froide, se presse une nuée d’espions de tous bords. Abandonné par ses » camarades « , coincé entre Est et Ouest, Brano Sev connaîtra – pour la première fois – la tentation de faire passer sa vie personnelle avant son devoir patriotique.
Fruit d’une longue enquête auprès de nombreux proches, amis et connaissances, et dans tous les cercles fréquentés par Cécilia, cet ouvrage révèle, pour la première fois, la face cachée de l’ex-Première dame.
Boris Vian et moi
Elsa a vingt ans, des parents trotskistes et un grand amour en déclin. Le jour où on la charge de ranger la bibliothèque de Boris Vian, l’auteur fétiche de Louis, elle croit tenir une chance de le reconquérir, quitte à tomber amoureuse du mort, au détriment du vivant.
Je sais que je ne suis pas seul
« Je regarde le ciel, le désert puis de nouveau le ciel, et n’y vois personne. Ce monde est un jeu de massacre où les gens se fracassent les uns contre les autres comme des poupées de verre. » Horizon bouché : Romain, dix-sept ans, a l’impression de vivre en cage. Les semaines en pension s’enchaînent, ponctuées par les week-ends avec son père-homme d’affaires ou avec sa mère et » celui qui la baise « . Il choisit de s’évader en inventant des rêveries horrifiques : histoires de femme-baleine, de démon du bitume, de rock star infernale… sa vie imaginaire est aussi riche que son existence est terne. Non, Romain n’est pas seul : ses cauchemars l’accompagnent.
Achetons équitable
Alimentation, bien-être, loisirs, vêtements, accessoires de mode, décoration de la maison, tourisme solidaire… Le commerce équitable investit tous les domaines de la consommation. Mais comment faire le tri entre les démarches reconnues et les simples coups publicitaires ? Quels produits sont proposés ? À quel prix ? Où les acheter ?Pour vous guider dans vos achats, en fonction de vos envies, de vos coups de cœur et de vos convictions, Achetons équitable a sélectionné 100 marques ou importateurs qui ont mis en œuvre une démarche de commerce équitable, tout en alliant esthétique, qualité, modernité et design.Guide pratique, ce livre dresse également un panorama des visages du commerce équitable. À l'heure où la mondialisation et la pollution mettent chaque jour davantage en péril la survie de la planète et de ses habitants, le commerce équitable constitue une véritable solution alternative.Simple, concret, précis, Achetons équitable est un outil indispensable pour faire de chacun un consommateur responsable.
Britney Spears
Britney Spears voit le jour en décembre 1981 en Louisiane. Ses parents l'élèvent dans le respect des vieilles traditions du sud des Etats-Unis et des valeurs morales édictées par l'Eglise baptiste à laquelle ils appartiennent. Très tôt Britney s'intéresse au chant et à la danse. En 1997 elle décroche un contrat dans une prestigieuse maison de disques et enregistre un premier album « Baby one more time ». En quelques mois la petite fille du sud se retrouve numéro 1 des ventes de disques à travers le monde. Le phénomène Britney est en marche. Britney ne laisse rien au hasard. Elle se façonne une image et s'impose comme l'incarnation du rêve américain. Sacrée princesse de la pop par les médias et le public, plus rien ne semble pouvoir l'arrêter. En grandissant Britney s'émancipe, rejette son rôle de modèle pour la jeunesse et, pour pérenniser sa carrière, décide de suivre les traces de Madonna. Sa nouvelle image choque l'Amérique puritaine ; Britney s'en moque et le public la suit.
Ce grand cadavre à la renverse
Pour Bernard-Henri Lévy, comment ne pas s'attrister de l'état de crise, voire de décomposition, du progressisme contemporain ? Comment ne pas se souvenir du mot terrible de Sartre qui, dans la préface à Aden Arabie de Paul Nizan, définissait déjà la gauche de son époque comme « un grand cadavre à la renverse où les vers se sont mis » ? Et comment ne pas s'inquiéter, enfin, de ce que les héritiers du dreyfusisme et des combats antifascistes ont fait de leurs valeurs et du souffle qui inspira leurs aînés ? Trente ans après ses débuts, Bernard-Henri Lévy retrouve ici l'esprit de ses premiers livres.
Le centième homme
Un torse d’homme, sans tête ; trouvé par une : nuit torride en Alabama. On suppose qu’il appartenait, à un prostitué, tué dans le feu de la passion : Pour le chef de la police, l’affaire est classée, mais l’inspecteur Carson Ryder n’est pas satisfait : la mise en scène délibérée, l’absence totale de sang, le message étrange écrit sur la chair de la victime, tout cela trahit la préméditation. Et l’avis de Ryder compte, depuis qu’il a résolu une série de meurtres atroces, un an plus tôt. Mais ce succès est bâti sur un secret, un secret terrible, qu’il dissimule même à son meilleur ami. Or voilà qu’on découvre un autre torse mutilé, avec un message encore plus étrange. Et cette fois, le mort n’est pas un prostitué… Chassant des ombres pendant que leur patron leur coupe l’herbe sous le pied, Ryder et son équipier en viennent à comprendre que la cible réelle des crimes est toute proche. De ses premières pages, explosives, à ses ultimes rebondissements, Le Centième Homme décrit un monde absurde où les héros ne peuvent gagner sans l’aide des fous, et où les morts sont plus dangereux que les vivants.
Le temps des victimes
Alors que notre société prône le culte du gagnant, la figure de la victime en est arrivée à occuper celle du héros. La médiatisation des catastrophes a révélé que l’unanimité compassionnelle était en train de devenir l’ultime expression du lien social. Et les demandes de réparation auprès des psychiatres et des juristes sont sans fin. Jusqu’où irons-nous dans cette « victimisation » généralisée ? Caroline Eliacheff et Daniel Soulez Larivière croisent leurs expériences et leurs disciplines pour démonter et explorer ce courant qui a émergé dans les années 80 sur tous les fronts et se nourrit de l’idéal égalitaire et de l’individualisme démocratique. Ils dénoncent les dangers que nous fait courir ce primat du compassionnel et de l’émotionnel qui, parfois déjà, affecte l’intérêt des victimes et pourrait se retourner contre la société tout entière.
Dans le village de Paillar, le rugby est roi : même les ronds-points sont ovales ! L’équipe de Paillar n’a peur que d’une chose, c’est que des Anglais mal intentionnés transforment L’Albala-Digeo, le bar local, en salon de thé ! Pour le reste, ce ne sont pas les gnons, les beignes, les marrons et les tampons de l’équipe adverse qui feront reculer les joueurs du Paillar athletic club ! Au contraire, ils sont convaincus que les filles adorent leurs oreilles broyées ou leurs yeux pochés… Nos joueurs, Loupiote, La Couâne, L’Anesthésiste, La Teigne et Bourrichon vont vous faire pénétrer au cœur des vestiaires, des mêlées, des club-houses et des légendaires troisièmes mi-temps… Bref, au cœur de l’ovalie !
Sang royal
York, 1541. Aux portes de la ville, quatre têtes coupées sur des piques, font le régal des corbeaux. C’est la réponse, royale et sanglante, à la conspiration papiste. Bientôt, le roi lui-même viendra mettre un terme, par sa seule présence, aux troubles de la province. D’ici là, Matthew Shardlake, avocat à la Cour, assurera la protection du meneur catholique, le bouillant Broderick, jusqu’à son transfert à Londres où l’hérétique sera remis aux questionneurs de la Tour… Quel entêtement dans son silence ! Très vite, Shardlake devine que la rébellion du Yorkshire menace bien moins l’unité religieuse du pays que la légitimité de la Couronne. Connaissant Henri VIII, dont la cruauté proverbiale a souillé le nom des Tudor, l’avocat se sait lui-même en grand danger.