Assez parlé d’amour
»La planète connut cette année-là son automne le plus chaud depuis cinq siècles. Mais de la clémence providentielle du climat qui joua peut-être son rôle, il ne sera plus question. Ce récit couvre l’espace de trois mois et même un peu plus. Que celle – ou celui – qui ne veut pas – ou plus – entendre parler d’amour repose ce livre. » Ainsi commence Assez parlé d’amour. Anna et Louise pourraient être soeurs, mais ne se connaissent pas. Elles sont mariées, mères, heureuses. Presque le même jour, Anna la psychiatre va croiser la route de Yves, l’écrivain, Louise l’avocate croise celle de l’analyste d’Anna, Thomas. A quarante ans, à ce tournant d’une vie qui ne comporte pourtant que cela, la foudre est encore permise, mais quand on a cru – à tort – que le destin était à jamais écrit, le désir et la liberté se payent cher et comptant. Hervé Le Tellier, en horloger délicat, trace la parabole de leurs trajectoires. Amoureux de ses personnages, il dessine une galerie de portraits tendres et sans pitié de femmes, d’amants et de maris.…
Les secrets d’une Shoe addict
Sandra, la folle de chaussures, n’est pas la seule à péter les plombs ! Parties à Las Vegas accompagner les enfants à un concours de musique, trois mères de famille ont cédé à toutes les addictions : jeu, sexe et shopping… Impossible d’avouer aux maris la cruelle réalité de leurs dettes. Jamais à court d’argument, Sandra suggère la solution : le téléphone rose pendant que les enfants sont à l’école ! Entre marmites et machine à laver, il va falloir s’organiser…
Dès 7 ans – Tom et sa soeur, Léa, sont projetés au temps des dinosaures !
Fascinés, ils explorent ce monde peuplé de créatures bizarres et gigantesques… jusqu’au moment où ils se retrouvent face à un tyrannosaure !
La valse lente des tortues
Qu’un crocodile aux yeux jaunes ait ou non dévoré son mari Antoine, disparu au Kenya, Joséphine s’en moque désormais. Elle a quitté Courbevoie pour un immeuble huppé de Passy, grâce à l’argent de son best-seller, celui que sa sœur Iris avait tenté de s’attribuer, payant cruellement son imposture dans une clinique pour dépressifs. Libre, toujours timide et insatisfaite, attentive cependant à la comédie cocasse, étrange et parfois hostile que lui offrent ses nouveaux voisins, Joséphine semble à la recherche de ce grand amour qui ne vient pas. Elle veille sur sa fille Zoé, adolescente attachante et tourmentée et observe les succès de son ambitieuse aînée Hortense, qui se lance à Londres dans une carrière de styliste à la mode. Joséphine ignore tout de la violence du monde, jusqu’au jour où une série de meurtres vient détruire la sérénité bourgeoise de son quartier. Elle-même, prise pour une autre sans doute, échappe de peu à une agression. La présence de Philippe, son beau-frère, qui l’aime et la désire, peut lui faire oublier ces horreurs. Impossible d’oublier ce baiser, le soir du réveillon de Noël, qui l’a chavirée. Le bonheur est en vue, à condition d’éliminer l’inquiétant Lefloc-Pinel, son voisin d’immeuble, un élégant banquier dont le charme cache bien trop de turpitudes.
Je suis mort. Et alors ?…
« Je suis mort hier. Au seuil de l’éternité, j’ai déjà mesuré le monument de bêtises qu’on édifie à chaque fin d’existence. Moi, le premier. Encore que, par superstition, j’évitais le sujet. C’est à destination des survivants provisoires que j’ai donc décidé de tenir, durant ma première année d’éternité et avant d’être gagné par la routine posthume, mes carnets de mort. » Des carnets qui n’ont rien de morbide tant ils manient l’ironie et assènent des vérités, tant la plume qui les trace se baigne d’encre douce-amère et évoque, avec une légèreté propice aux gravités éternelles, un sujet qui – hélas ! – s’adresse à chacun. Des funérailles de l’auteur fort courues aux premiers jours de solitude totale dans le cercueil, des voisins de caveaux muets aux souvenirs du passé qui eux peuvent remonter à la surface, des questions sur l’âge, la maladie, Dieu, la famille, les femmes aux réflexions sur notre monde forcément profondes – puisque venues de l’au-delà -, cet ouvrage est un délice d’humour noir… autant qu’une ode à la vie. A l’aube de ses 80 ans, Philippe Bouvard offre une formidable bouffée d’air frais littéraire, un texte sincère et hors normes qui possède une âme puisqu’il déborde d’esprit.
Sans un mot
Jusqu’à quel point connaît-on vraiment son enfant ? Mike et Tia ne cessent de se poser la question : leur fils Adam, seize ans, a changé. Réfugié dans sa chambre, il ne quitte plus son ordinateur. Malgré leurs réticences, Mike et Tia se décident à installer un logiciel de contrôle. Un jour, un e-mail inquiétant. Et Adam disparaît. Sans un mot… C’est alors que tout bascule. Sur un rythme d’enfer, Harlan Coben nous entraîne dans un thriller plus électrisant que jamais. Pièges du web, délinquance virtuelle, tueur psychopathe, le maître de nos nuits blanches se joue de nos angoisses avec une délectation machiavélique.
La croix des Assassins
Une nouvelle race de tueurs a vu le jour. Des initiés qui ne connaissent plus la douleur, ni physique ni morale. Des élites, patrons de multinationales et hommes politiques, qui ont abandonné toute humanité pour s’emparer du pouvoir suprême. Ce sont les membres de la loge Kadosh Kaos. Ce sont des « Assassins… » Quand la franc-maçonnerie découvre l’existence de cette loge sauvage, le commissaire Antoine Marcas est choisi pour infiltrer ce groupuscule qui ne cesse de s’étendre. Mais ce que Marcas ignore, c’est qu’il va devoir affronter un terrible secret séculaire que se sont disputé les Templiers et la secte musulmane des Assassins. Jamais une mission n’aura mené le frère Marcas aussi loin. Car il devra, lui aussi, accepter de suivre la « Croix des Assassins… »
Andrew Jackson, his intimate circle of friends, and his tumultuous times are at the heart of this remarkable book about the man who rose from nothing to create the modern presidency. Beloved and hated, venerated and reviled, Andrew Jackson was an orphan who fought his way to the pinnacle of power, bending the nation to his will in the cause of democracy. Jackson’s election in 1828 ushered in a new and lasting era in which the people, not distant elites, were the guiding force in American politics. Democracy made its stand in the Jackson years, and he gave voice to the hopes and the fears of a restless, changing nation facing challenging times at home and threats abroad. To tell the saga of Jackson’s presidency, acclaimed author Jon Meacham goes inside the Jackson White House. Drawing on newly discovered family letters and papers, he details the human drama–the family, the women, and the inner circle of advisers– that shaped Jackson’s private world through years of storm and victory. One of our most significant yet dimly recalled presidents, Jackson was a battle-hardened warrior, the founder of the Democratic Party, and the architect of the presidency as we know it. His story is one of violence, sex, courage, and tragedy. With his powerful persona, his evident bravery, and his mystical connection to the people, Jackson moved the White House from the periphery of government to the center of national action, articulating a vision of change that challenged entrenched interests to heed the popular will– or face his formidable wrath. The greatest of the presidents who have followed Jackson in the White House–from Lincoln to Theodore Roosevelt to FDR to Truman–have found inspiration in his example, and virtue in his vision. Jackson was the most contradictory of men. The architect of the removal of Indians from their native lands, he was warmly sentimental and risked everything to give more power to ordinary citizens. He was, in short, a lot like his country: alternately kind and vicious, brilliant and blind; and a man who fought a lifelong war to keep the republic safe–no matter what it took.
Cadavres chinois à Houston
Au petit matin, sur une route déserte du Texas, le shérif adjoint Jackson est attiré par un camion frigorifi que qui semble abandonné. La cargaison qu’il découvre lui fait regretter amèrement sa curiosité : quatre vingt-dix-huit cadavres de clandestins chinois morts asphyxiés. Encore un sinistre drame de l’immigration ? Pas sûr. Les pages d’un carnet trouvé sur l’un des corps, ainsi que d’étranges et inquiétantes marques de piqûres, attirent l’attention des autorités sanitaires du pays. Qui a bien pu vouloir transformer ces malheureux, venus chercher des jours meilleurs en Amérique, en véritables « bombes humaines » ? Dans ce quatrième volet de la « série chinoise » de Peter May, c’est aux Etats-Unis que l’inspecteur Li Yan, dépêché par le gouvernement chinois, re trouve Elizabeth Campbell, médecin légiste, chargée d’organiser l’autopsie des quatre-vingt-dix-huit corps. En compagnie du FBI et des services de l’Immigration, ils plongent dans l’univers trouble des trafics declandestins et s’engagent dans une course contre la montre. Car si les responsables de cette machination ne sont pas neutralisés, c’est toute l’humanité qui est menacée d’une terrible et collective agonie.
Un jour tu verras
« Et tu passes ta vie à te dire que, quelque part, il y a quelqu’un qui n’attend que toi sans te connaître et que tu ne rencontreras jamais… » Ce sont des quadras, ils ont vécu, aimé, souffert. Surtout lui, Laurent. Ils n’ont plus beaucoup d’illusions, ils ont appris à se moquer d’eux-mêmes. Surtout elle, Pauline. Ils sont seuls tous les deux. Et un jour, enfin, ils se rencontrent. « Guidés par le hasard », semble-t-il. Et ils se découvrent encore capables d’aimer, comme deux vieux adolescents. Un scénario classique, depuis le jour où l’amour a été inventé : hésitations, craintes, cœurs qui battent, espoir insensé. Et puis l’émerveillement partagé. Jusque-là, tout va bien », comme disait l’homme tombé du toit en passant devant la fenêtre du premier étage. Mais quand on l’a provoqué, le hasard sait se venger. Et les cicatrices, quand elles sont profondes, ne s’effacent jamais. Le passé non plus, prêt à vous prendre à la gorge… Un jour tu verras s’aventure sur les terres du polar, mais sans quitter la cité phocéenne que Jean Contrucci, romancier et journaliste, auteur des Nouveaux Mystères de Marseille (Lattés), n’a cessé de célébrer.
Princesse Eolia – Les voleurs d’eau
« Cette rivière est à moi, et je ne vendrai pas ! Jamais ! » Ainsi parle le vieil homme qui apparaît dans les rêves de la princesse Eolia. Mais la jeune fille n’a pas la tête à s’occuper de cette histoire de rivière volée. Malgré tout, elle sera entraînée dans une enquête qui va la mettre face à de redoutables hommes d’affaires. Réussira-t-elle à sauver l’eau de Nénucie ?
Le grand guide des Guerriers
Rejoins Cléo et Jack… En leur compagnie tu apprendras des choses passionnantes sur les guerriers et les héros de notre passé ! Quelles sont les armes préférées des ninjas ? Qui sont les samouraïs ? D’où viennent les vikings ? Comment Hannibal a réussi à vaincre Rome ? Si tu es curieux, tu trouveras toutes les réponses dans cet incroyable guide, et plein d’autres choses étranges à découvrir, à toucher, à bouger et à soulever…
Apocalypse maya
Maya est une petite planète perdue au fin fond du cosmos, colonisée depuis peu par la société AgroCorp qui y expérimente du maïs génétiquement modifié. Après la mort de sa mère, Jové est envoyé sur Maya chez son grand-oncle Trree, un étrange personnage d’origine indienne qui a bourlingué sur toutes les planètes colonisables. Trree va confier à Jové le secret de Maya : la planète abrite une forme de vie intelligente, des sortes de serpents à fourrure munis d’un seul œil cyclopéen, qu’il a baptisés « Suris ». Ils utilisent un langage à base de soupirs, vénèrent le dieu maïs et peuvent être de redoutables guerriers. Pour les responsables d’AgroCorp, bien décidés à exploiter la planète, les Suris ne sont que des animaux. Cette erreur se révélera tragique… Un roman poétique et visuel sur la difficile reconnaissance de l’Autre, qui renvoie (comme Les Chroniques martiennes de Ray Bradbury) au génocide indien.
7 août 1974. Sur une corde tendue entre les Twin Towers s’élance un funambule. Un événement extraordinaire dans la vie de personnes ordinaires.
Corrigan, un prêtre irlandais, cherche Dieu au milieu des prostituées, des vieux, des miséreux du Bronx ; dans un luxueux appartement de Park Avenue, des mères de soldats disparus au Vietnam se réunissent pour partager leur douleur et découvrent qu’il y a entre elles des barrières que la mort même ne peut surmonter ; dans une prison new-yorkaise, Tillie, une prostituée épuisée, crie son désespoir de n’avoir su protéger sa fille et ses petits-enfants…
Une ronde de personnages dont les voix s’entremêlent pour restituer toute l’effervescence d’une époque. Porté par la grâce de l’écriture de Colum McCann, un roman vibrant, poignant, l’histoire d’un monde qui n’en finit pas de se relever.
L’épilepsie, dans sa forme aigüe, peut générer des réactions de dégoût, voire de peur pour l’entourage et une mise en danger physique et sociale pour le malade. L’aspect du malade après une crise suscite des représentations liées à la mort, et les craintes d’accidents font également de cette maladie un handicap au quotidien. Ces diverses représentations sont à l’origine d’un isolement social de la part de la société et du malade lui-même. Alors qu’en Europe, aujourd’hui, les malades participent plus facilement à une vie sociale en suivant un traitement approprié, dans certaines régions africaines, les malades ne bénéficient pas de médicament anticonvulsif. Il a par ailleurs été démontré, d’une part, que les modalités d’exclusion varient selon chaque époque, chaque société mais aussi chaque famille et, d’autre part, qu’elles ne doivent pas être envisagées sans prendre en compte les possibilités d’intégration sociale, y compris dans le cas d’absence de médicament. Ce constat permet de redonner de l’importance au rôle de la relation sociale dans l’intégration des malades épileptiques. Afin d’éclaircir ces divers aspects, ce travail anthropologique de terrain au Mali, en milieu rural bambara, repose sur des entretiens avec les malades, les familles, les divers soignants et la population. Il rend compte de la dimension sociale et culturelle à travers laquelle l’exclusion liée à la maladie est nuancée dans ses représentations et pratiques. Après avoir examiné les différentes significations sociales que cette maladie a suscitées en Europe à travers les époques, l’auteur étudie plus précisément la situation des malades et de leur famille au Mali où les savoirs ancestral, coranique et occidental guident les repères et les représentations des gens au quotidien. En outre, ces savoirs institués, relatifs à l’épilepsie, sont réinterprétés à travers des histoires de malades. Enfin, cet ouvrage permet de comprendre le rôle de l’anthropologie médicale dans un programme de prise en charge thérapeutique en milieu rural.
ROMAN 10/14 ANS – Ses montagnes moisies, sa mare odorante, ses magiciens, ses elfes, ses dragons…
Bienvenue au marais qui pue
Jean-Michel Chanourdi, 10 ans, n’aurait jamais dû aller promener son chien, jamais dû s’approcher de ce buisson…
Car Randalf le Sage, apprenti magicien, l’a piégé. Désormais, Jean-Michel sera Jean-Mi le Barbare, un superguerrier. Sa mission : terrasser Engelbert le Gigantesque, l’ogre le plus terrible de tout le Marais qui pue.
Ça va faire mal. Très mal…
Nouvelles sous ecstasy
Certains territoires du cervelet et d’autres champs de la conscience sont restés inexplorés avant les années quatre-vingt et la découverte d’une nouvelle drogue, la MDMA, plus connue sous le nom d’ecstasy. Drogue dure, cette « pilule de l’amour » à effet rapide « avec une montée et une descente comme dans les montagnes russes » rend la vie des personnages de ce recueil de nouvelles parfois difficile : jouissive avant d’être sombre, heureuse avant d’être déprimante. On s’aime, on se déchire, on fait des choses folles comme voir le monde au bord du gouffre, oublier ses inhibitions et ses tabous… et puis… passer les bornes. Oui sans doute, sans doute, car voilà tout le talent de Beigbeder. Avec beaucoup d’humour et d’invention, il nous propose une réflexion sur l’amour et sur la folie, deux concepts aux multiples ramifications. Et avec toute l’affection dont il est capable, il partage le « trip » de ses personnages, nous offrant la possibilité d’hésiter : est-ce l’auteur qui écrit sous ecstasy ou le récit de la vie d’individus en plein envol ? Peut-être bien les deux, ce qui ne gâche en rien le plaisir de la lecture.
Les pintades à Téhéran
Non, à Téhéran les femmes ne sont pas toutes voilées de noir de la tête aux pieds.
Oui, elles ont le droit de vote et peuvent même être élues.
Non, elles ne sont pas cloîtrées à la maison, et 60 % des étudiants sont des étudiantes.
C’est sûr, la vie des pintades téhéranaises est pleine de contraintes et d’interdits. Au regard de la loi, elles ne valent que la moitié d’un homme.
Leur quotidien est un pied de nez permanent à la censure, une lutte de tous les instants contre une république islamique qui ne leur fait pas de cadeaux.
Découvrez une basse-cour voilée, mais pas prude !
Plongez sous les voiles et derrière les portes, dans l’intimité de femmes ultra féminines, bourrées de contradictions, et pénétrez dans leur univers, à travers des chroniques, des anecdotes, leurs bons plans et leurs meilleures adresses remises à jour.
Maigrir le grand mensonge
« Depuis quelque temps, je constate un grand désarroi parmi mes patients. Qu’il s’agisse d’une femme ne supportant plus ses kilos, d’un enfant qui vire obèse ou d’un quadra qui veut retrouver la taille de sa jeunesse, tous s’avouent “perdus”. Et multiplient les questions. “Docteur, on nous dit de manger mieux, de manger sain, mais concrètement ça veut dire quoi ?”, “Docteur, cinq fruits et légumes par jour, c’est vrai ? Mais, sous quelle forme ?”, “Docteur, j’ai entendu parler d’un régime hamburger ou ananas, ça marche ?” etc., etc. Devant ce flot d’incertitudes, à mon tour, je m’interroge. Comment résoudre, pour eux, l’équation régime/bien-être/efficacité rapidement ? Comment entreprendre avec eux une approche efficace et pédagogique de l’alimentation alors que, déboussolés, ils mélangent toutes les infos nutritionnelles dont on les abreuve ? Paniqués par les scandales alimentaires (le lait frelaté, le poulet à la dioxine…), apeurés par les messages gouvernementaux (“manger moins gras”…), attirés par les méthodes peu sérieuses (pilules dangereuses, potions empoisonnées, machines inefficaces…), ils ne s’y retrouvent plus. Alors, j’ai eu envie de tout reprendre à zéro. De montrer, dans cet ouvrage, combien l’art de maigrir revient à lutter contre un vaste mensonge. Mais comme dénoncer ne sert à rien si on n’apaise pas les angoisses qui taraudent les aspirants au régime, j’ose en plus proposer des solutions. À travers un régime universel – agrémenté de menus goûteux – qui marche parce qu’il se fonde, lui, sur des vérités connues de tous les scientifiques. Après la lecture de ce livre, j’en suis sûr : vous verrez vos problèmes de poids autrement. Alors, j’aurai gagné mon pari : vous permettre de manger intelligent, de maigrir malin, de mincir sain. » DrJean-Michel Cohen
Des hommes comme les autres
Un témoignage percutant et pertinent sur le traitement de l’information par les médias. Ancien correspondant au Moyen-Orient, Joris Luyendijk décrypte dans ces pages savoureuses mais sévères le travail des médias lorsqu’ils sont confrontés aux dictatures et aux conflits de cette région du monde. Il nous éclaire sur le fossé énorme qui existe entre ce qu’il observait chaque jour sur le terrain et ce qu’en rapportaient les journaux, la radio et la télévision. Il explique ainsi pourquoi les médias ne parviennent à donner de cette région qu’une image partielle, altérée ou filtrée et par conséquent pourquoi il nous est si difficile de la comprendre. Mais ce livre va plus loin : en révélant le manque cruel de journalisme objectif, il est un appel à la vigilance et à la curiosité des lecteurs, deux vertus cardinales dans un monde saturé d’informations, où certains n’hésitent pas à détourner les mots et les images pour en faire de véritables armes de guerre. Incroyable succès critique et commercial, Des hommes comme les autres a été traduit en neuf langues et a obtenu le Prix des Assises du Journalisme en 2010.
Une vie de Pintade à Beyrouth
A Beyrouth, les pintades ont du vent dans les voiles, des talons vertigineux, des griffes manucurées en toute saison. Ici, être belle est un devoir. Jonglant habilement entre toutes les influences culturelles, elles chérissent leurs mezzés autant que leurs smoothies. Et quand elles ont fini de se demander qui elles sont exactement (chiites ou maronites, de la montagne ou de la plaine, du Nord ou du Sud), elles se retrouvent sur la Corniche, sur le front de mer, pour voir autant que pour être vues. Émancipées et pleines de tabous, féminines et militantes, superficielles et courageuses, les habitantes de Beyrouth sont pétries de contradictions. Femmes soumises, les Libanaises ? Sûrement pas ! Dans une ville sous tension qui risque de déraper à tout moment, être une pintade est une déclaration de guerre à la guerre. Ce livre est à la fois une étude de mœurs, une galerie de portraits, une mine de conseils et de bonne adresses.
Au temps de Louis XIV, Charlotte, Hortense, Isabeau et Louise sont pensionnaires à Saint-Cyr. Racine écrit pour les jeunes filles une pièce de théâtre : Esther. Les demoiselles sont toutes excitées à l’idée de jouer devant la cour du roi. Pendant une représentation, Hortense tombe amoureuse du frère de Charlotte. Elle qui voulait vouer sa vie à Dieu se trouve confronter à un dilemme…
Est-il indispensable de faire une école ? Internet, ça recrute vraiment ? Sans piston, point de salut ? L’alternance, un bon moyen de mettre le pied à l’étrier ? La presse écrite, c’est fini ? Toutes les réponses à ces questions et bien d’autres pour vous aider à choisir le métier qui vous correspond et à vous orienter vers la formation la plus adaptée.
Au début du XVI? siècle, humanistes et théologiens s’élèvent contre les abus du clergé et entrent en rébellion contre l’Église, prônant un retour à une religion plus simple. À leur tête, Luther et, quelques années plus tard, Calvin, dont les idées de Réforme se propagent dans presque toute l’Europe, avant de la diviser profondément. L’Église réagit, puis persécute. Les massacres de la Saint-Barthélemy signent en lettres de sang l’ère des guerres de Religion, qui ne prendront fin qu’avec l’édit de Nantes, en 1598. Mais le temps de la tolérance est encore loin.Olivier Christin nous fait traverser cette Europe déchirée par la Réforme.
La seule de ma race
« J’éteins mon téléphone. Allongée sur le lit, je reste un moment à repasser en boucle l’étrange proposition qui vient de m’être faite. Je ne sais si je dois m’en réjouir, si j’ai le droit de m’en réjouir. La femme qui vient de m’appeler veut tenter de réparer l’énorme préjudice qu’elle m’a causé il y a plus de quarante ans. Cette femme m’a tout simplement abandonnée à la naissance. Et moi, je l’ai retrouvée. »
La brève et merveilleuse vie d’Oscar Wao
Peu importe en quoi vous croyez, le fukû, lui, croit en vous. Le fukû, c’est la malédiction qui frappe la famille d’Oscar, une très ancienne légende dominicaine. Oscar, rêve de mondes fantastiques, s’imagine en Casanova ou Tolkien, tombeur des îles et génie des lettres… au lieu de quoi il grandit et grossit au fond de sa classe et de son New Jersey, binoclard fou de SF, souffre-douleur obèse et solitaire.
Suscinio, une histoire d’oiseaux
Découverte des oiseaux peuplant les marais situés près du château de Suscinio, dans le Morbihan, aux quatre saisons : canard pilet, gorge-bleue à miroir blanc, avocette élégante, vanneau huppé, poule d’eau, sterne pierregarin, mésange à moustaches, etc. Avec une fable mettant en scène les oiseaux des marais.
Tout sur les chevaux et les poneys :Les différentes races de chevaux et de poneysS’occuper d’un poneyMonter à cheval.
Thérèse desqueyroux
Pour éviter le scandale et protéger les intérêts de leur fille, Bernard Desqueyroux, que sa femme Thérèse a tenté d’empoisonner, dépose de telle sorte qu’elle bénéficie d’un non-lieu. Enfermée dans la chambre, Thérèse tombe dans une prostration si complète que son mari, effrayé, ne sait plus quelle décision prendre. Doit-il lui rendre sa liberté ? Dans ce livre envoûtant, François Mauriac a réussi un portrait de criminelle fascinant.
Kiki Strike – Dans la cité clandestine
Ananka est brillante et s’ennuie à mourir dans son collège, le plus prestigieux de Manhattan. Un beau jour, elle découvre en plein cœur de New York l’entrée d’une cité souterraine et tombe sur Kiki Strike, une élève mystérieuse, lilliputienne et albinos, qui joue les espionnes la nuit venue. Désormais, finis les cours, les devoirs, les pestes de sa classe ! Avec l’aide des Irrégulières, une bande de collégiennes aux super talents cachés, Ananka et sa nouvelle amie partent à la découverte des tunnels inexplorés de la Cité Clandestine…
Kiki Strike – La tombe de l’impératrice
C’est une nouvelle aventure qui débute pour les Irrégulières. De Chinatown aux belles demeures de Manhattan en passant par les tunnels infestés de rats de la Cité Clandestine, voilà les six justicières embarquées dans une affaire de trafic humain, d’impératrice félonne et de fantômes surgis du passé. Leur amitié survivra-t-elle à ces nouvelles épreuves ?
Enfant 44
Moscou, hiver 1953. Le corps d’un petit garçon est retrouvé nu sur une voie ferrée. Alors que la famille de l’enfant croit à un assassinat, Leo, agent du MGB, police d’État chargée du contre-espionnage, reste fidèle à la ligne du parti : le crime n’existe pas sous le parfait régime socialiste, il s’agit d’un accident. L’affaire est classée mais le doute s’installe. Tombé en disgrâce, soupçonné de trahison, Leo est contraint à l’exil avec sa femme, Raïssa. Et, dans une petite ville des montagnes de l’Oural, il va faire une troublante découverte : un autre garçonnet mort dans les mêmes conditions que celles de « l’accident » de Moscou. Prenant tous les risques, Leo et Raissa vont se lancer dans une terrible traque, qui fera d’eux des ennemis du peuple …
Catalogue de 360 pages. Pour les passionnés de montres. Le spécialiste de la haute horlogerie d’occasion et de collection, MMC, décide d’offrir à tous les passionnés de montres-bracelets d’exception un outil pour estimer la valeur de leurs montres ou de leurs futures acquisitions. Rassemblant près de 1700 montres produites par les plus grandes marques horlogères, l’ouvrage, riche en couleurs, présente chacune d’elles avec ses principales caractéristiques, son prix catalogue lorsqu’elle est encore en production et sa cote.
Paris au mois d’août
o Henri Plantin n’est rien, dans la vie, ou pas grand-chose
o Patricia Greaves, dite « Pat », nul ne sait rien d’elle, depuis trois jours qu’elle est arrivée à Paris.
o Il est français, de la rue Saint-Martin. Un Français quelconque, de ceux « dont on ne dit rien ».
o Elle est anglaise de Londres. Une jolie Anglaise de celles dont on dit: « Une belle fille ».
o Ils ne sont absolument pas faits pour se rencontrer.
o Ils se rencontrent pourtant, un soir, à Paris au mois d’août.
o Ils n’ont que trois semaines devant eux pour vivre… une histoire sans histoire.
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Ils marchèrent côte à côte, lentement. Plantin n’était pas pressé de la perdre, adoptait un pas de flâneur des deux rives. Elle balançait, heureuse, un petit sac à main noir. Oui, elle était heureuse, épanouie, jeune et vive. Elle devait avoir vingt-cinq ans, ou vingt-six. Elle était même un peu plus grande que lui. Il est vrai qu’elle était anglaise. Henri n’avait jamais parlé à une Anglaise.
Le pavillon des pivoines
Pour la jeune Pivoine, recluse dans les appartements des femmes et promise à un mari qu’elle n’a jamais rencontré, la vie est monotone. Aussi, lorsque dans les jardins de la famille Chen, parmi les senteurs de gingembre, de thé vert et de jasmin, une troupe de théâtre vient jouer son opéra favori, Pivoine supplie ses parents de la laisser assister au spectacle. Sa mère, réticente par souci des convenances, est rassurée par son époux : les femmes regarderont l’opéra derrière un paravent. Mais durant la représentation, la jeune fille s’éprend d’un homme élégant aux cheveux de jais. Commence alors l’inoubliable récit du destin de Pivoine et de ses amours contrariées. Le nouveau roman de Lisa See nous plonge, dans la Chine du XVIIe siècle, après la chute de la dynastie Ming et la prise du pouvoir par les Mandchous. C’est à un long voyage dans les affres de la passion et ses conséquences jusque dans l’au-delà – que nous convie Le Pavillon des Pivoines : un roman d’amour fou, imprégné du mystère des traditions chinoises.
Caroline Aigle : Vol brisé
Première femme pilote de chasse, Caroline Aigle a été fauchée en été 2007 par un cancer. Elle avait 33 ans. Enceinte de son deuxième enfant, elle a accouché juste avant de mourir. Polytechnicienne, triathlète, Caroline Aigle se préparait à devenir astronaute. Derrière cette volonté hors du commun, une exceptionnelle intensité humaine. En retraçant son parcours à partir de nombreux témoignages de ses proches, Jean-Dominique Merchet trace le portrait d’une femme, plus encore qu’une héroïne. Ce récit d’un destin brisé suscite autant d’émotion que d’admiration.
Tableaux d’une exposition
De son écriture tout en nuances, Patrick Gale nous livre une chronique familiale douce-amère autour de la figure maternelle d’une artiste peintre bohème et excentrique, dans le décor splendide de la Cornouailles. Par une belle journée d’hiver, Rachel Kelly s’écroule dans son atelier. Cette peintre renommée laisse derrière elle une œuvre impressionnante et une famille déchirée. Un homme, d’abord, Antony, qui fut son compagnon, son soutien, son souffre-douleur aussi, quand ses crises dépressives étaient trop fortes ; deux fils qui ne se sont jamais sentis à la hauteur de cette mère trop douée, trop passionnée, trop vivante ; une fille, Morwenna, qui a choisi de fuir…Comment les liens qui les unissaient se sont-ils distendus ? Qui était vraiment cette artiste de génie, gravement malade, qui a toujours fait passer l’art avant tout ? Pourquoi la fragile Morwenna a-t-elle soudain rompu avec ses parents ? Qu’est-il arrivé à Petroc, le petit dernier, le fils préféré, disparu trop tôt ? Quels secrets les tableaux de Rachel Kelly ont-ils encore à livrer ?
Efina
T est un acteur de théâtre marginal et fantasque, Efina une de ses admiratrices. Une lettre que T lui avait envoyée et qu’ils avaient tous deux oubliée les pousse à s’écrire et à se revoir. Ils entament alors une liaison faite d’attirance et d’éloignements, de curiosité et d’ennui, qui les obsédera toute une vie.
Cruel autant que drôle, ce roman est un magnifique portrait de l’amour en scène.
Le lièvre de Vatanen
Vatanen est journaliste à Helsinki. Alors qu’il revient de la campagne, un dimanche soir de juin, avec un ami, ce dernier heurte un lièvre sur la route. Vatanen descend de voiture et s’enfonce dans les fourrés. Il récupère le lièvre blessé, lui fabrique une grossière attelle et s’enfonce délibérement dans la nature. Ce roman-culte dans les pays nordiques conte les multiples et extravagantes aventures de Vatanen remontant au fil des saisons vers le cercle polaire avec son lièvre fétiche en guise de sésame. Il invente un genre : le roman d’humour écologique.
11 ans et + – Trois enfants, Violette, Klaus et Prunille, apprennent la mort de leurs parents dans un incendie par leur banquier et gestionnaire des dernières volontés des deux disparus, Mr Poe. Selon ces derniers, ils sont amenés à vivre chez leurs plus proches parents dont le premier à les accueillir est le comte Olaf, un acteur raté. Le trio se rendra bien vite compte des véritable envies de leur tuteur qui espère pouvoir voler et profiter de leur immense fortune et cela par tous les moyens, même si cela signifie, entraver la lois. Dans un monde où personne ne croit les enfants, comment parviendront-ils à déjouer les plans du diabolique Olaf sans l’aide des autorités ? C’est avec de nombreux mystères laissés par leurs parents qu’ils devront tout faire pour sauver l’honneur de leur famille.
Tome 1 – Tout commence mal …
Tome 2 – Le laboratoire aux serpents
Tome 3 – Ouragan sur le lac
Tome 4 – Cauchemar à la scierie
Tome 5 – Piège au collège
Plats uniques, plats pratiques
101 plats complets à réaliser en peu de temps et avec un minimum d’ustensiles. De multiples idées de soupes (velouté de brocolis au chèvre…), de plats de viande (poulet gratiné à la tomate…) ou de poisson (cabillaud aux légumes d’été…) et de plats végétariens (curry aux petits pois…), ainsi qu’une sélection de desserts pour clore le repas.
Et l’eau devint sang
Ismay et Heather vivent dans la maison où leur beau-père est mort neuf ans plus tôt, mystérieusement noyé dans la baignoire. Si les deux sœurs très unies n’évoquent jamais le drame qui les hante, Ismay a toujours soupçonné Heather d’être la meurtrière. Elle n’avait que treize ans alors, mieux vaut tout oublier…
La mort dans les bois
Trois enfants ne ressortent pas des bois où ils ont pass l’après-midi. La police retrouve un seul garçon. Il ne se rappelle de rien : les deux autres ne réapparaîtront jamais. Vingt ans plus tard, Rob, l’unique rescapé, est devenu inspecteur de police. Quand une fillette est tuée dans ces mêmes bois, il est chargé de l’enquête et doit affronter les secrets d’un passé qui le hante.
Pas de berceuse pour Fanny
Elle s’est absentée pour deux heures seulement. David, son mari, était censé surveiller leur petite fille âgée de deux semaines. Mais quand Alice Francourt entre dans la chambre du bébé, le cauchemar commence. Car, Alice en est certaine, le nourrisson qui dort dans ce berceau n’est pas sa petite fille. C’est un bébé inconnu. Son mari refuse de la croire et devient de plus en plus agressif. Il jure qu’elle est folle ou qu’elle ment. Alice doit à tout prix convaincre la police qu’elle dit vrai. Sinon, il sera trop tard.
L’empreinte de l’Ours
La première fois que je l ai vu, il a fendu la foule qui s était massée autour de l ours abattu. Puis, après avoir examiné le fauve, il a lancé un énigmatique : « Ce n est pas le mien. » Cet homme, c est Modeste Bestéguy. Armé d un couteau de cuivre et de nacre, il traque inlassablement l ours qui a tué son père. Mais son « ennemi » lui échappe toujours au pied des crêtes infranchissables. Parfois, je me demande ce qui se cache vraiment derrière cette bête insaisissable.