Jules, gentil ado sans problèmes (excepté un petit frère qui veut lui trucider son cochon d’Inde), est sélectionné par l’Agence Spatiale Mondiale pour faire partie de la première expédition vers Alpha du Centaure. Le voyage va durer huit semaines pour eux, et huit ans en temps terrestre-à cause de la relativité…Le voilà donc embarqué avec son cochon d’Inde (clandestin) et les membres de la glorieuse équipe : deux farfelus qui collectionnent sept prix Nobel ; une petite copine de chambre assez énervée au début mais ca s’arrange ; un commandant de vaisseau qui, entre une cuite et une déprime, foire ses atterrissages et met en péril la paix galaxique ; et une jolie exobiologiste qui étudiera la vie extraterrestre dés qu’ils l’auront trouvée… Et en effet, ils la trouvent. D’abord sous forme de bestioles – des boules vertes qui sautent partout en hurlant toooooiiiinn – avec lesquelles le cochon d’Inde va se reproduire comme un lapin. Puis sous forme de créatures charmantes et décontractées qui ont atteint un niveau de civilisation trés pointu sans en faire un plat. On appréciait déjà Bravo dans Aleksis Strogonov, mais cette série de SF loufoque lui va comme un gant. L’aventure rebondit bien et tout est drôle : les personnages, le langage et le dessin – une ligne claire pas trop claire (sans le coté bidon qu’elle prend parfois), avec un petit air Pim, Pam, Poum et Pieds Nickelés tout à fait pimpant. Prépubliée dans Okapi, cette nouvelle série s’adresse en principe aux jeunes, mais les moins jeunes auraient tout intérêt à s’y plonger.
Aya de Yopougon – Tomes 1 à 6
6 Albums – L’histoire se déroule à la fin des années soixante-dix, à Yopougon, quartier populaire d’Abidjan, en Côte d’Ivoire, quartier rebaptisé Yop City « pour faire comme dans les films américains ». On y rencontre trois jeunes femmes de dix-neuf ans : Aya, et ses deux amies Adjoua et Bintou. Aya souhaite devenir médecin, tandis que les deux autres préfèrent les soirées au maquis et la chasse au mari. Autour de ce trio gravitent des personnages aux destins divers.
Virus L.I.V. 3 ou la mort des livres
Dès 9 ans – Le gouvernement des Lettrés a interdit les écrans et décrété la lecture obligatoire. Face à cette tyrannie, les Zappeurs se révoltent : ces jeunes rebelles, adeptes de l’image, propagent un virus qui efface les mots des livres à mesure qu’ils sont lus. Seule Allis est capable d’identifier l’inventeur du virus et de trouver un antidote.
18 contes de la naissance du monde
Dès 11 ans – « C’était au commencement du monde. La terre existait, avec ses fleuves, ses monts, ses forêts et, au-dessus d’elle, le ciel étoilé, et déjà elle était peuplée par les Titans et par les dieux. »Comment le monde est-il né ? Est-il sorti d’un oeuf comme un oiseau, d’un ventre comme un enfant ? A-t-il flotté au fond des eaux ? Comment était-ce avant les hommes, avant les animaux ? Venus des cinq continents, ces contes merveilleux peignent des visions différentes, parfois surprenantes, de la naissance du monde.
Le Cœur glacé (tomes 1 et 2)
Le jour de sa mort, Julio Carrión, prestigieux homme d’affaires qui a acquis son pouvoir durant la dictature de Franco, lègue une fortune considérable à ses enfants. Il leur laisse également un passé incertain, caché, chargé de culpabilité, qui remonte à ses années dans la division azul, durant la guerre civile espagnole. À son enterrement, en mars 2005, son fils Álvaro, le seul à ne pas avoir voulu travailler dans les affaires familiales, est étonné par la présence d’une belle jeune femme que personne ne reconnaît et qui fut peut-être la dernière maîtresse de son père. En revanche, Raquel Fernandez Perea, fille et petite-fille de républicains exilés en France, n’a jamais oublié le mystérieux épisode de son enfance, quand, après la mort de Franco, elle avait accompagné son grand-père chez des inconnus qui lui semblaient étrangement liés à l’histoire de sa famille.
Aujourd’hui, le hasard réunit Álvaro Carrión et Raquel Fernández, irrésistiblement attirés l’un par l’autre. Dans une quête passionnante et douloureuse, ils vont découvrir l’influence dramatique d’anciennes histoires familiales sur leurs propres vies.
Le Cœur glacé est un roman magistral qui entraîne le lecteur dans son histoire comme un fleuve déchaîné
Nouvelles du Sénégal
Sénégal. Depuis son Indépendance en 1960, après deux siècles d’appartenance à l’Afrique occidentale française (AOF), et après avoir été l’un des principaux points d’embarquement de la traite négrière à Gorée et à Saint-Louis, le Sénégal a fait entendre sa voix comme peu de pays africains. Que l’on songe à la place occupée par Léopold Sédar Senghor: poète, chef de l’Etat de 1960 à 1980, membre de l’Académie française. Au travers d’un homme qui a montré la voie et qui disait : » La Négritude est la simple reconnaissance du fait d’être noir, et l’acceptation de ce fard, de notre destin de Noir, de notre histoire et de notre culture « , c’est le destin d’un peuple qui a été tracé. Outre Senghor, Cheikh Hamidou Kane, Sembene Ousmane, Boris Boubacar Diop, une spécificité de la littérature sénégalaise est la place qu’y occupent les femmes: Mariama Bâ, Aminata Sow Fall, Fatou Diome, Ken Bugul. Khadi Flane, Nafissatou Dia Diouf… Francophone et féminine, elle se présente, consciente de son passé, attachée à des traditions multiséculaires, mais aussi moderne, ouverte sur le monde, et nouant des liens subtils avec l’Amérique où vivent tant de descendants du commerce triangulaire.
Lumière d’août
La main allait, lente et calme, le long du flanc invisible. Il ne répondit pas tout de suite. Non qu’il essayât de l’intriguer. Il avait l’air de ne pas se rappeler qu’il devait en dire davantage. Elle répéta la question. Alors, il lui dit: – J’ai du sang noir. Elle resta étendue, parfaitement immobile, mais d’une immobilité différente. Mais il ne parut point s’en apercevoir. Il était couché, calme aussi et, de sa main, doucement lui caressait le flanc.
L’esclavage en Terre d’Islam
Dans l’esprit de beaucoup l’esclavage est une affaire de mauvais Blancs, aujourd’hui rongés par les remords et la culpabilité. La traite ? Des négriers patibulaires ou des planteurs de canne à sucre sans foi ni loi et cyniques.
Posant sur ces postulats un regard neuf, Malek Chebel fait le voyage au pays des esclaves, tant en Afrique orientale que dans les pays du Sahel, du Maghreb et du Golfe, au Proche-Orient et en Asie.
Il en tire un constat terrible : l’esclavage est en réalité la pratique la mieux partagée de la planète, un phénomène quasi universel. Depuis plus de quatorze siècles, l’islam interdit de réduire quiconque en esclavage, croyant ou non-croyant, Blanc ou Noir.
Pourtant, ce phénomène demeure encore vivace : l’islam couvre-t-il les esclavagistes ? Les encourage-t-il ? Qui s’en soucie dès lors que le tabou occulte ces questions qui dérangent ?
Pour décrypter les nouvelles formes que prend la servitude dans le monde arabo-musulman, l’auteur reconstitue avec minutie le développement d’une culture esclavagiste qui s’est greffée sur l’islam.
L’acupuncture, cette technique qui nous vient d’Extrême-Orient, a su s’imposer en Occident, et ceux qui font appel à elle sont de plus en plus nombreux.
Pourquoi ne sauriez-vous pas, comme le font des milliers de Chinois, soulager vos proches et vous-même par simple pression d’un doigt ?Il ne s’agit pas, bien sûr, de traitements complets, réservés aux médecins acupuncteurs, mais de calmer rapidement, aussi bien qu’avec gouttes ou cachets, les petits maux de chaque jour.
Le docteur Roger Dalet, interne des hôpitaux, ancien chef de clinique, est chargé de former les étudiants et les jeunes médecins à la connaissance et à la pratique de l’acupuncture. Aujourd’hui, c’est à vous qu’il destine ce manuel pratique.
Le voile de la douleur
Sameem grandit dans un foyer en Angleterre depuis que sa mère est rentrée au Pakistan avec le reste de la fratrie. Ce sont des années heureuses et insouciantes. Tout change avec le retour de sa mère. Sameem devient le souffre-douleur de la famille. Une situation d’autant plus invivable qu’elle se sent étrangère : la culture et la langue pakistanaises lui sont inconnues.À l’âge de 13 ans, sa mère l’emmène au Pakistan, soi-disant pour des vacances. Loin d’un voyage d’agrément, il s’agit en réalité de marier Sameem de force à un homme qui n’a qu’un but : obtenir les papiers qui lui permettront de vivre en Europe. Enceinte, Sameem retourne en Angleterre où l’on continue de la maltraiter. Ce n’est qu’après avoir rencontré le grand amour que Sameem décide de se libérer de ce cauchemar en s’enfuyant vers Manchester accompagnée de son jeune fils. Mais elle ignore alors les représailles qui l’attendent – elle a bafoué l’honneur familial.
Toute une histoire
Dans ce récit tendre et drôle à la fois, Hanan el-Cheikh rapporte avec une scrupuleuse fi délité les confessions de sa mère analphabète, Kamleh, née au début des années 1930 dans une famille chiite extrêmement pauvre, au Sud-Liban. Après la mort prématurée de sa grande soeur, Kamleh est promise à son beau-frère alors qu’elle n’a que onze ans. Dans le quartier populaire de Beyrouth où elle s’installe avec la famille de son futur mari, elle est placée comme apprentie chez une couturière et tombe amoureuse du cousin de cette dernière, Mohamed, un jeune lettré féru de poésie. Forcée à quatorze ans de se marier avec son fi ancé, Kamleh a une fi lle l’année suivante, puis une seconde, Hanan, trois ans plus tard, mais reste follement éprise du beau Mohamed. Elle échange avec lui des lettres enfl ammées qu’elle se fait écrire et lire par ses amies, s’identifi e aux héroïnes du cinéma égyptien, se grise des paroles ardentes des chansons à la mode. Elle va surtout, bravant tous les usages, tenter d’obtenir le divorce, au risque d’être séparée de ses filles. Portrait finement dessiné d’une femme du peuple, ru sée, truculente, enjouée, ce récit a été salué à sa pa rution, en arabe puis en anglais, par une presse unanime.
De la part de la princesse morte
Ceci est l’histoire de ma mère, la princesse Selma, née dans un palais d’Istamboul. Ce pourrait être le début d’un conte ; c’est une histoire authentique qui commence en 1918 à la cour du dernier sultan de l’Empire ottoman. Selma a sept ans quand elle voit s’écrouler cet empire. Condamnée à l’exil, la famille impériale s’installe au Liban. Selma, qui a perdu à la fois son pays et son père, y sera la princesse aux bas reprisés. C’est à Beyrouth qu’elle grandira et rencontrera son premier amour, un jeune chef druze ; amour tôt brisé.
De Niro’s Game
Liban, début des années 1980. Campé dans un Beyrouth dévasté par les bombes, De Niro’s Game est une odyssée chaotique, écorchée et haletante, une plongée vertigineuse au cœur de la guerre civile et de ses folies. A Beyrouth-Ouest, Bassani et Georges, deux amis d’enfance, tuent leur ennui et leur mal de vivre à coups de petits boulots minables, de maigres larcins et de soirées trop arrosées. Les jours se suivent et avec eux les alertes, les morts, les immeubles en ruine. Les filles sont inaccessibles, muselées par les traditions et les couvre-feux. Entre deux visites aux copains de lycée engagés dans la milice, les deux jeunes gens s’imaginent coulant des jours meilleurs : Bassam rêve de fuir à l’étranger, et Georges, lui, se sent de plus en plus attiré par les discours belliqueux de la milice chrétienne. Dans un ultime défi, les deux amis décident de détourner la recette de la salle de jeu où Georges travaille. Mais l’argent seul suffira-t-il à les éloigner de la guerre et à sauver leur amitié ? Porté par une écriture sans concessions, le premier – roman de Rawi Hage annonce, au-delà de la puissance du récit, l’avènement d’une nouvelle voix.
Chimères
Lorsqu’en 1948 paraît Chimères, le destin de l’Égypte semble lié durablement à celui de l’Angleterre. Cette situation voit Naguib Mahfouz s’installer dans la période réaliste de son œuvre naissante. Chimères se pose pourtant en retrait de cette tendance. Mahfouz s’y concentre sur la psychologie d’un seul personnage, brossant dans ce récit intimiste le portrait d’un être hypersensible, mal adapté à la vie en société. Après une enfance calfeutrée, il se libère de la tutelle d’une mère trop aimante pour affronter le monde du travail et découvrir l’amour. Amour pur et idéalisé, mais le mariage, hélas, loin de mettre fin aux angoisses du jeune homme, ne fera que les exacerber. L’adoration qu’il voue à sa femme entrave sa sensualité, jusqu’à le faire souffrir d’impuissance. Désespéré, tour à tour la proie de la honte, de la jalousie et de la rage, l’amoureux déçu noie son chagrin dans l’alcool comme dans les bras d’autres femmes. Désemparé et pathétique, il sera le témoin de l’écroulement inexorable de son mariage. Trahisons, adultères et deuils vont se succéder en un déchaînement passionnel. Et ce récit qui avait débuté comme une longue plainte sourde et solitaire se termine en un brasier de violence et de folie.
Le premier amour
Une femme prépare un dîner aux chandelles pour fêter son anniversaire de mariage. Elle descend dans sa cave pour y chercher une bouteille de vin, qu’elle trouve enveloppée dans un papier journal dont elle lit distraitement les petites annonces. Soudain, sa vie bascule : elle remonte les escaliers, éteint le four, prend sa voiture, quitte tout. En chacun d’entre nous repose peut-être, tapie sous l’apparente quiétude quotidienne, la possibilité d’être un jour requis par son premier amour…
Ouragan
À la Nouvelle-Orléans, alors qu’une terrible tempête est annoncée la plupart des habitant fuient la ville. Ceux qui n’ont pu partir devront subir la fureur du ciel. Rendue à sa violence primordiale, la nature se déchaîne et confronte chacun à sa vérité intime : que reste-t-il en effet d’un homme au milieu du chaos, quand tout repère social ou moral s’est dissout dans la peur ? Seul dans sa voiture, Keanu vers les quartiers dévastés, au cœur de la tourmente, en quête de Rose, qu’il a laissée dernière lui six ans plus tôt et qu’il doit retrouver pour, peut-être, donner un sens à son existence. Roman ambitieux à l’écriture emphatique et incantatoire, Ouragan mêle la gravité de la tragédie à la douceur bienfaisante de la fable pour exalter la fidélité, et l’émouvante beauté de ceux qui restent debout.
Tu n’oublieras pas deux fois !
En théorie, on n’oublie jamais son premier amour… En théorie. J’aime ton rire. Voilà ce qu’a écrit Lucas McCarthy à Georgina il y a douze ans. Un petit mot griffonné au temps du lycée mais qu’elle n’a jamais oublié. Ce qu’elle aimerait oublier, là, tout de suite, c’est qu’elle vient de se faire virer du restaurant minable dans lequel elle était passée pro en cassage d’assiettes et qu’elle a découvert son petit ami minable, lui aussi au lit avec une autre fille. Heureusement, le destin ayant à cœur une répartition annuelle des sales coups, Georgina retrouve rapidement un emploi. Et, quand elle découvre que son nouveau chef n’est autre que Lucas McCarthy, son amour de toujours, elle commence presque à croire qu’elle n’est pas maudite sur six générations. Le seul problème ? Lucas ne se souvient pas du tout de qui elle est. Pas. Du. Tout.
A.N.G.E – Tome 1 – Antichristus
À l’insu des habitants de la Terre, des hommes et des femmes travaillant pour l’Agence Nationale de Gestion de l’Étrange – mieux connue sous le nom de l’A.N.G.E. – veillent sur l’humanité. Peu importe le pays où ils sont affectés, ces agents secrets protègent les hommes des ténébreuses machinations des serviteurs du Mal. Lors d’une enquête de routine sur les enseignements trompeurs d’un prétendu gourou, les agentes Océane Chevalier et Cindy Bloom découvrent que de sombres événements prédits par certains textes bibliques sont sur le point de se produire. Leurs collègues, Yannick Jeffrey et Vincent McLeod, viennent leur prêter main-forte mais se heurtent à la mystérieuse puissance du Faux Prophète. Au même moment, les tueurs de l’Alliance, un redoutable groupe maléfique, préparent la venue de l’Antéchrist. D’autres personnages étranges viennent brouiller les pistes et plongent l’A.N.G.E. dans l’incertitude : quelle est la véritable mission de l’envoyé du Vatican qui s’intéresse aux crimes de l’Alliance ? Qui est cet homme vêtu de noir qui apparaît lorsque les agents de l’A.N.G.E. sont en péril ? Face à tous ces événements, l’Agence saura-t-elle préserver le monde de sa fin annoncée ? ANNE ROBILLARD est l’auteur des Chevaliers d’Émeraude, la série d’heroic fantasy la plus lue en France. Très attendue par ses fans, sa nouvelle saga fantastique, A.N.G.E., nous plonge dans un univers contemporain empli de magie et d’ésotérisme où le Bien et le Mal continuent de s’affronter.
Il n’y aura pas d’état Palestinien
Ziyad Clot nous plonge de manière inédite dans les secrets et les coulisses des négociations israélo-palestiniennes. Français d’origine palestinienne, il fut conseiller juridique et négociateur pour l’OLP (Organisation de libération de la Palestine). Un document choc, de l’intérieur des territoires occupés.
Encyclopédie pratique des champignons
Cèpes de Bordeaux, girolles, morilles, rosé-des-prés. Où les trouver? Comment les identifier? Comment les préparer et les cuisiner? Vous découvrirez dans ce guide 30 champignons facilement reconnaissables, des meilleurs comestibles aux pires toxiques. Milieux typiques, odeurs et textures particulières, apprenez à repérer les détails carfactéristiques de ces espèces. Observez le monde fascinant des champignons!
Géomètrie du nombre d’or
En partant de la corde et de la quine des bâtisseurs du Moyen âge, Robert Vincent, par l’art du trait , sans calcul ni raisonnement mathématique, ouvre les mystères du nombre d’or et montre des joyaux de la géométrie. Il propose des tracés antiques et souvent emblématiques et montre la présence du nombre d’or dans l’oeuvre humaine (de la pyramide de Chéops au ballon de football). Géométrie du nombre d’or est un ouvrage de base en amont de toute utilisation spécialisée ; professionnelle, graphique, artistique, philosophique, mathématique etc. mais qui permet de bien rentrer dans le sujet et sans connaissance en mathématique… d’où sans doute son succès !
La Justice universelle en question
L’intérêt de cet ouvrage est de mettre en perspective certaines ambiguïtés de la justice pénale internationale, les ressorts politiques qui les sous-tendent et le caractère encore inachevé de l’édifice en cours. En évoquant les cas de Charles Taylor, de Saddam Hussein, de Pinochet et de Hissène Habré, Sidiki Kaba relate les calculs politiques qui ont entouré leurs procès, ou l’absence de procès. On saisit la trame politique des procédures inachevées ou expéditives et des délocalisations sans raison, sinon politique, des procès.
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Pour qu’il ne meure jamais
Après la mort par overdose de son fils unique, Julian, au Cambodge, Judith n’a qu’une obsession : faire payer le prix du sang à ses assassins. Et pour elle, les assassins, ce sont les mafias du Triangle d’or qui inondent de stupéfiants tout le Sud-Est asiatique. Mais comment cette femme seule pourra-t-elle relever pareil défi ? Comment cette biologiste de profession pourra-t-elle se muer en une guerrière impitoyable ? Sans l’appui providentiel d’un ami de longue date travaillant pour les services secrets, sa mission eût été impensable. Il lui donnera les moyens de recruter quatres mercenaires, aussi inattendus que pittoresques. Avec eux, et le concours d’ethnies opprimées de la région, elle va se lancer dans une traque qui l’amènera des bas-fonds de Phnom-Penh, aux casinos véreux de la frontière birmane, et dans tous les lieux interlopes qui bordent le Mékong. Grâce à ses compagnons, elle parviendra à s’infiltrer au cœur du dispositif ennemi, chez les mafieux les plus cruels du monde, là où aucune police n’a encore osé se risquer. Et pour cause…
Lorsque Lake Warren apprend que son ex-mari exige la garde de leurs enfants, elle est persuadée que sa situation ne peut pas empirer. Le bon côté des choses, c’est qu’elle vient de passer la nuit avec le séduisant Dr Keaton, avec qui elle travaille dans une clinique d’insémination artificielle. Mais au matin, elle découvre le cadavre de Keaton dans une mare de sang… Pour ne pas risquer la garde de ses enfants, elle doit mentir à la police et découvrir elle-même la vérité. Elle ne tarde pas à comprendre qu’elle est dangereusement proche des secrets sordides de la clinique et de Keaton. Peut-elle tout arrêter avant qu’il ne soit trop tard ?
La vie de Mia est bien compliquée ! Non seulement elle vient d’apprendre qu’elle est Princesse de Genovia mais voilà que : sa mère attend un bébé et en plus le père est son prof de maths !, ils vont se marier, des messages d’amour s’affichent sur son ordinateur, mais ils sont anonymes, et d’ailleurs Mia aime en secret Michael qui ne la regarde jamais (ou presque). Heureusement, elle peut se confier à son journal…
11 ans et + – Affolés, Violette, Klaus et Prunille sautent dans une camionnette , qui se trouve être celle des VDC, les Volontaires pour Dérider les Convalescents. Les passagers se rendent à la clinique Heimlich afin d’y apporter leur soutien aux malades. Parvenus à la clinique, les orphelins cherchent un moyen de se cacher. Ils acceptent donc de travailler en sous-sol, dans la salle des archives, où personne ne les verra. Sur une page d’un des articles à classer, les orphelins trouvent une photographie de leurs parents, lorsqu’ils étaient jeunes. Sous la photo, une phrase laisse entendre que l’un d’eux est encore en vie…
11 ans et + – Cher lecteur, Je mettrais ma main au feu que tu as pris ce livre par mégarde ; aussi, je t’en conjure, remets-le où tu l’as pris. Ce lugubre récit relatant le bref séjour des orphelins Baudelaire dans la sinistre ville de N.D.C., est truffé de détails détestables. Je me suis fait un devoir de coucher sur le papier la vie tourmentée des Orphelins Baudelaire, mais je comprendrais parfaitement, cher lecteur, que tu te fasses un devoir de lire quelque chose de plus léger.
Avec mes sentiments respectueux,
Lemony Snicket
La dernière trace
10 janvier 2003. Pour la première fois, Elaine Dawson quitte son village du Somerset afin de répondre à l’invitation de Rosanna, une amie de la famille qui se marie à Gibraltar. Mais tous les vols au départ de Heathrow sont annulés à cause du brouillard. Alors que la jeune provinciale s’apprête à passer la nuit dans une salle d’embarquement, un aimable Londonien propose de l’héberger. Elaine accepte. On ne la reverra plus. Cinq ans plus tard, Rosanna doit écrire une série d’articles sur les disparitions inexpliquées pour un magazine. L’occasion pour elle de savoir enfin ce qui est arrivé à Elaine. La journaliste est loin de se douter qu’en s’engageant dans cette enquête elle va se mettre en danger de mort.
Une vie en rouge et bleu
Le secret du dernier des poilus Régis Féraz (on dit Féra, non point Féraz car Régis est d’origine savoyarde et le z ne se prononce pas), est le dernier de nos poilus, le der des ders. Ancien éclusier à Clos du May sur le Canal latéral à la Loire, il n’est Bourbonnais, certains disent Bourbonnichon, que d’adoption. Qu’il le veuille ou non Régis Féraz est devenu un héros. On voudrait d’ailleurs l’honorer, recueillir de sa bouche un ultime témoignage. Mais le centenaire passe pour un peu « bredin », pour un peu fou du cerveau, car depuis des années il ne veut plus entendre parler de la Grande Guerre. Seule Léone sait de quel souvenir indicible son grand-père veut se garder. Au journaliste venu pour le rencontrer elle est prête à le révéler. Mais pour ce faire, il faut commencer par le commencement. Sans jamais se départir de cette ironie tendre qui fait notre délice, Jean Anglade nous entraîne alors sur les pas d’un enfant de la Patrie, ballotté par l’histoire et emporté dans les cruautés d’un siècle meurtri par la folie des hommes. Vous avez raison. Tout le monde a un grain de folie. Parfois deux. Parfois trois.
Ceux qui nous sauvent
Anna Schlemmer a toujours refusé d’évoquer sa vie en Allemagne pendant la Seconde Guerre mondiale. Trudy, sa fille, n’avait que trois ans lorsqu’un soldat américain les emmena avec lui dans le Minnesota, et n’a donc que peu de souvenirs de cette époque. Mais elle trouve, parmi les photos de famille, un cliché la montrant avec sa mère aux côtés d’un officier nazi. Cet homme était-il l’amant d’Anna? Est-il son père biologique ? Devenue professeur d’histoire allemande, Trudy veut connaître la vérité et, dans le cadre de ses travaux universitaires, elle recueille les témoignages d’Allemands de Minneapolis qui ont vécu la guerre, tentant ainsi désespérément de faire la lumière sur le passé de sa mère. Entre l’Amérique d’aujourd’hui et l’Allemagne nazie, un bouleversant premier roman sur la culpabilité et la responsabilité individuelle face à l’histoire.
Les carnets de Douglas
Romain Brady, héritier d’une célèbre dynastie, quitte à dix-huit ans cette vie qui ne lui ressemble pas. Le même jour, Eléna Tavernier fuit une maison pleine de sang et de fracas pour se réfugier à Rivière-aux-Oies. C’est là, au cœur de la forêt, que les deux jeunes gens vont se découvrir et s’aimer. Et qu’Eléna donnera à Romain le nom du plus solide et spectaculaire des arbres: Douglas. Les années passent. Une famille singulière s’improvise, malgré les ragots et en dépit des blessures. Entre un médecin au cœur rafistolé, une institutrice au nom imprononçable et une enfant surgie des bois.
Le mec de la tombe d’à côté
Désirée se rend régulièrement sur la tombe de son mari, qui a eu le mauvais goût de mourir trop jeune. Bibliothécaire et citadine, elle vit dans un appartement tout blanc, très tendance, rempli de livres. Au cimetière, elle croise souvent le mec de la tombe d’à côté, dont l’apparence l’agace autant que le tape-à-l’œil de la stèle qu’il fleurit assidûment. Depuis le décès de sa mère, Benny vit seul à la ferme familiale avec ses vingt-quatre vaches laitières. Il s’en sort comme il peut, avec son bon sens paysan et une sacrée dose d’autodérision. Chaque fois qu’il la rencontre, il est exaspéré par sa voisine de cimetière, son bonnet de feutre et son petit carnet de poésie. Un jour pourtant, un sourire éclate simultanément sur leurs lèvres et ils en restent tous deux éblouis… C’est le début d’une passion dévorante. C’est avec un romantisme ébouriffant et un humour décapant que ce roman d’amour tendre et débridé pose la très sérieuse question du choc des cultures.
Coeur des ténèbres
C’est une lente et funèbre progression qui mène le capitaine Marlow et son vieux rafiot rouillé, par les bras d’un tortueux fleuve-serpent, jusqu’au « cœur des ténèbres. »
Kurtz l’y attend, comme une jeune fille endormie dans son château de broussailles. Ou comme Klamm, autre K., autre maître du château tout aussi ensorcelé de Kafka. Éminemment moderne, le récit de Conrad, écrit en 1902, suscitera toutes les interprétations : violent réquisitoire contre le colonialisme, féconde représentation d’une libido tourmentée, rêverie métaphysique sur l’homme et la nature, chacun de puiser selon son désir dans ce texte d’une richesse et d’une portée sans limites. Car au bout du voyage, les ténèbres l’emportent. L’illusion domine un monde où pulsions de mort, masques et travestissements ont stérilisé l’amour. Mais pas le rêve qui, par la magie de cette écriture inflexible, se lève et déploie ses splendeurs comme une brume aux échos incertains. Scarbo. Le récit, au fil de la remontée d’un fleuve en forme de serpent, nous entraîne dans une expédition au coeur du continent africain, peuplé de combattants invisibles et de trafiquants d’ivoire rongés par la fièvre. C’est l’un d’eux, M. Kurtz, que Marlow, le narrateur, est chargé par sa compagnie de ramener en Europe. Mais le responsable du comptoir perdu s’est » ensauvagé « , et les indigènes tentent de s’opposer à son départ…
Arrivées au terme de leur période embryonnaire,des milliers de larves cachées dans le sol d’Enkidiev s’apprêtent à sortir de leur torpeur.Après quelques années de paix,les Chevaliers doivent donc se préparer à affronter ce nouveau fléau.Bien décidé à se venger de Parandar, Akuretari profite de cette occasion pour attaquer les humain en possession des armes de Danalieth.Il apprender à ses dépend la force de leur instinct de survie. C’est lors d’une tragédie au Royaume de Diamant que le Roi Onyx se montre sous son vrai jour. Son attitude imprévisible sèmera le doute dans l’esprit de ses Chevaliers. Malgré tout ,son fidèle amie de toujours tentera de le ramener à la raison. Frustré par les incessant déboires de son sorcier,l’Empereur Noir se décide à passer lui-même à l’attaque.Avec cette terrible incursion commence la réalisation de la prophétie. Mais en même temps, L’Ordre se retrouve privé du précieux bouclier de Lassa.
Alex cross’s trial
From his grandmother, Alex Cross has heard the story of his great uncle Abraham and his struggles for survival in the era of the Ku Klux Klan. Now, Alex passes the family tale along to his own children in a novel he’s written-a novel called Trial. As a lawyer in turn-of-the-century Washington D.C., Ben Corbett represents the toughest cases. Fighting against oppression and racism, he risks his family and his life in the process. When President Roosevelt asks Ben to return to his home town to investigate rumors of the resurgence of the Ku Klux Klan there, he cannot refuse. When he arrives in Eudora, Mississippi, Ben meets the wise Abraham Cross and his beautiful granddaughter, Moody. Ben enlists their help, and the two Crosses introduce him to the hidden side of the idyllic Southern town. Lynchings have become commonplace and residents of the town’s black quarter live in constant fear. Ben aims to break the reign of terror-but the truth of who is really behind it could break his heart. Written in the fearless voice of Detective Alex Cross, Alex Cross’s Trial is a gripping story of courage in the face of prejudice and terror.
Les dons précieux de la nature
La nature est sans prix puisque sans elle nous ne serions pas. Elle nourrit, guérit et offre mille services gratuits dont nous n’avons même pas idée. Les sols cultivables s’épuisent. Les stocks de produits de la mer régressent et on pêche des poissons des profondeurs à 40 ans, alors qu’ils ne se reproduisent qu’à 50. Les populations d’abeilles s’effondrent, compromettant la pollinisation et donc la production de fruits et légumes. Partout les ressources se raréfient et ce qui était gratuit devient soudain payant. Face à notre gloutonnerie, la nature peine à suivre. Si tous les Terriens vivaient comme les Américains, il faudrait quatre planètes pour répondre à leurs besoins. Or nous n’en avons qu’une : la nôtre. Dans ce nouvel ouvrage riche de savoureuses anecdotes, Jean-Marie Pelt, en humaniste, et sans jamais sombrer dans le pessimisme ambiant, plaide pour la sauvegarde d’une biodiversité qui, par la palette des ressources qu’elle nous procure, est une véritable assurance vie pour l’humanité.
Work et Vapeur
Envie de faire voyager vos papilles ? Plus de 100 recettes et variantes pour savourer toutes les saveurs de la cuisine chinoise : Salade de vermicelles pimentée, Dés de dinde sauce ananas, Boulettes aux nouilles chinoises, Dés de boeuf aux vermicelles chinois..
Là où les chemins nous mènent
À vingt-deux ans, réceptionniste aux Verreries Wright, la splendide Jewel est prête à tout pour échapper à la médiocrité de son existence. Le temps d’une soirée, dans la somptueuse demeure des Wright, elle sent que sa vie pourrait changer aux côtés de Jeff, un brillant homme d’affaires. Jeune héritière de la dynastie Wright, Gwen n’a elle que faire du luxe qui l’entoure et préfère passer ses journées dans les livres. Jusqu’à ce qu’elle tombe sous le charme de Stan, un simple électricien. C’est alors que sa rencontre avec Jewel et les terribles révélations de celle-ci vont tout faire basculer. Secrets de famille, jalousies sociales, rivalités amoureuses. Quand le destin frappe à nouveau, c’est pour plonger les deux femmes dans un tourbillon de désir, de vengeance et de trahison qui va les mener là où elles n’auraient jamais cru aller.
Aimé Césaire
Ecrivain, poète, dramaturge, militant politique, Aimé Césaire (1913-2008) est l’un des acteurs prépondérants de la révolution noire qui s’est jouée sur tous les continents dans l’après-guerre. Mais cet homme du monde incarne d’abord l’intellectuel français, dont l’histoire et la vie jalonnent les grands moments de notre histoire.Il y a cent ans naissait Aimé Césaire. De la Martinique à l’Assemblée nationale, sa vie est jalonnée de rencontres décisives et d’amitiés essentielles. Poète, politique et dramaturge, Césaire incarne avec Brio la figure de l’intellectuel noir dont les idées, les œuvres et l’action ont accompagné l’histoire de tous les opprimés et colonisés du XXe siècle. Soulignant sa prose remarquable au service de causes justes, l’auteur insiste également sur son amour inconditionnel pour la scène théâtrale.Professeur de littérature francophone à l’université Paris-Sorbonne où il dirige le centre international d’études francophones (CIEF), Romuald Fonkoua est également professeur à Middlebury Collège (Vermont, États-Unis) et rédacteur en chef de la revue Présence africaine. Cet ouvrage a obtenu le prix Robert Delavignette de l’Académie des sciences d’outre-mer. « Une biographie très documentée, aussi admirative qu’inspirée. » Catherine Golliau, Le Point
Une anthologie de perles authentiques à offrir, à s’offrir et, surtout, à partager
Il est un aspect de la crise financière qui a été peu abordé, sinon à la marge, lors de scandales ponctuels comme l’affaire Maddoff : les rapports du capitalisme financier avec la fraude et la délinquance. Or ils sont des plus troubles. Magistrat, auteur de plusieurs livres sur l’évolution contemporaine de la criminalité, en particulier économique, Jean de Maillard apporte un éclairage nouveau sur le développement du capitalisme dérégulé depuis une trentaine d’années. À rebours des idées reçues, il rattache l’écroulement de l’économie de l’automne 2008 à une histoire longue, où la fraude a servi de variable d’ajustement et de mode de gestion de l’économie depuis le triomphe des idées néolibérales. La sphère financière s’est en effet déployée autour du brouillage de plus en plus prononcé des critères du légal ou de l’illégal. Aussi les incantations sur les thèmes de la moralisation et la régulation ne risquent-elles guère d’avoir de prise sur une activité qui s’est constituée précisément pour contourner les normes. De lecture obligatoire pour les politiques en charge de remédier à la crise, l’ouvrage sera utile aussi au citoyen confronté aux retombées de pratiques qui lui restent incompréhensibles à s’en tenir aux discours officiels ou autorisés. Il fournit des clés pour déchiffrer un domaine particulièrement opaque.
La vie est un conte de filles (tome 2)
Crow est au paradis des stylistes, Nonie a tapé dans l’œil d’un magnifique garçon, Jenny joue dans une pièce de théâtre. Mais la pauvre Edie a des problèmes… les rumeurs laissent entendre que ce seraient des enfants indiens qui auraient fabriqué sa collection de prêt-à-porter. C’est l’heure pour les filles de sauver leur rêve de mode !
Bébés chats
Farouches, Craintifs, Ebouriffés ou agiles, les chatons sont des forces de la nature. Apprentis de la vie, mais déjà félins dans l’âme, ils apprennent rapidement à devenir des chats, sous le regard attentif et protectif de leur mère.
Vous êtes débutant ou vous n’avez pas pratiqué l’anglais depuis plusieurs années ?
Cette méthode, progressive et concrète, a été conçue pour vous permettre de vous débrouiller dans toutes les situations de la vie quotidienne, pour vous aider à comprendre, lire et parler l’anglais d’aujourd’hui.
chaque leçon comprend :
• un dialogue ou un texte en anglais et sa traduction,
• des conseils de prononciation,
• des points de grammaire et de vocabulaire,
• des exercices, avec leurs corrigés
• un lexique en fin de volume.
Vous manquez de vocabulaire ? Vous voulez mettre à jour votre anglais ? Vous souhaitez enrichir votre lexique avec les expressions qui font mouche ? Ce MiniGuide vous permet d’aborder la langue ou de vous perfectionner en travaillant un vocabulaire adapté en fonction des situations. Il vous procure une base solide pour parler l’anglais fluently : Plus de 5 000 mots et expressions usuels pour apprendre et réviser l’anglais de façon vivante. Des listes de phrases prêtes à l’emploi, faciles à mémoriser. La transcription de chaque terme dans l’alphabet phonétique international. 70 thèmes de la vie quotidienne pour vous exprimer dans l’anglais courant ! Ce guide est la garantie d’acquérir le vocabulaire opérationnel. Il a été conçu pour aborder les thèmes incontournables : se présenter, voyager, faire des achats, se divertir, exprimer des sentiments ou des opinions, comprendre l’actualité, etc. Enfin un outil accessible, conçu pour vous apporter juste l’essentiel et l’essentiel le plus juste !
Sous mon Niqab
Zeina est née dans une banlieue française.
Elle a été élevée au sein d’une famille musulmane traditionnelle.
Elle ne voulait pas porter le voile.
Pourtant, elle a dissimulé ses cheveux, son corps, puis son visage, jusqu’à ses yeux. Elle a revêtu le hijab, puis le jilbab et enfin le niqab. Son mari l’y a contrainte, à force de reproches, de blâmes, puis de coups. Sa propre famille l’y a encouragée :pour tous, elle était devenue « la fierté de l’islam ». Zeina, elle,se sentait devenir une ombre, « un spectre » : peu à peu, elle a abdiqué sa volonté, sa dignité, son identité.
Pendant des années, elle s’est soumise. Sous son niqab, elle avait peur de se révolter. Hantise des coups, angoisse du déshonneur, terreur de l’Enfer dont la menaçaient les « sœurs » de la mosquée depuis qu’elle était enfant.
Jusqu’au jour où, aidée par une voisine, elle a trouvé le courage de s’enfuir. Elle a alors connu la rue, la misère, la traque impitoyable des siens. Elle a réussi, seule, à s’évader de la prison qui s’était refermée sur elle : aujourd’hui, Zeina a retrouvé un travail, sa liberté, et elle se reconstruit.
En butte au mépris des siens, au rejet, à la haine, aux menaces physiques, elle a décidé de raconter l’enfer qu’elle a vécu et son combat pour en sortir.
L’histoire de Zeina s’est déroulée en France, au XXIe siècle, à quelques centaines de mètre de chez nous.
Sous le regard de l’ange
Lieutenant à la brigade des homicides de Nashville, Taylor Jackson ne se laisse pas facilement décontenancer. Mais l’effroyable sauvagerie du meurtre d’une jeune femme et, plus que tout, la présence d’une petite fille qui a visiblement été témoin du meurtre de sa mère la bouleversent profondément. Prête à tout pour élucider ce crime, elle découvre avec stupeur que la victime, une mère de famille irréprochable en apparence, participait au tournage de films pornographiques et de vidéos de couples filmés à leur insu. Pire encore pour Taylor : plusieurs de ces vidéos la mettent elle-même en scène, ce qui non seulement menace sa carrière et sa réputation, mais fait bientôt peser sur elle les pires soupçons. Et malgré la protection de John Baldwin, le brillant profileur du FBI avec qui elle vit une relation passionnée, Taylor, prise dans un engrenage qui lui échappe, sent l’étau de resserrer impitoyablement autour d’elle.
1940 : De l’abime à l’espérance
Janvier 1940 : c’est la « drôle de guerre » entre la France et l’Allemagne, une attente interminableconçue par Hitler comme un piège dans lequel les armées alliées s’enlisent. En mai, c’est la « guerreéclair », l’assaut, et la France s’écroule comme un château de cartes. C’est l’abîme, l’étrange défaite. Et tous sont coupables. Ces généraux français enfermés dans leur passé. Ces hommes politiques profitant de la défaite pour régler leurs vieux comptes. Hitler qui jubile, Rommel qui fonce avec ses panzers. Le maréchal Pétain, appelé comme un sauveur, qui sollicite l’armistice. Et pourtant l’espérance se lève, au creux même du désastre. Le général de Gaulle clame le 18 juin : « La flamme de la résistance française ne doit pas s’éteindre ». Elle ne s’éteindra pas.