Le premier miracle
Karen Holt est agent d’un service de renseignement très particulier. Benjamin Horwood est un universitaire qui ne sait plus trop où il en est. Elle enquête sur une spectaculaire série de vols d’objets historiques à travers le monde. Lui passe ses vacances en France sur les traces d’un amour perdu.
Am stram gram
Deux jeunes gens sont enlevés et séquestrés au fond d’une piscine vide dont il est impossible de s’échapper. À côté d’eux, un pistolet chargé d’une unique balle et un téléphone portable avec suffisamment de batterie pour délivrer un terrible message: « Vous devez tuer pour vivre. » Les jours passent, la faim et la soif s’intensifient, l’angoisse monte. Jusqu’à l’issue fatale.
Les enlèvements se répètent. Ce sont les crimes les plus pervers auxquels le commandant Helen Grace ait été confrontée. Si elle n’avait pas parlé avec les survivants traumatisés, elle ne pourrait pas y croire.
Helen connaît les côtés sombres de la nature humaine, y compris la sienne; pourtant, cette affaire et ces victimes apparemment sans lien entre elles la laissent perplexe.
Rien ne sera plus terrifiant que la vérité.
Quelqu’un pour qui trembler
Comment être un père quand on arrive vingt ans après ?
Pour soigner ceux que l’on oublie trop souvent, Thomas a vécu des années dans un village perdu en Inde. Lorsqu’il apprend que la femme qu’il a autrefois quittée a eu une fille de lui, ses certitudes vacillent.Il lui a donné la vie, mais il a moins fait pour elle que pour n’importe quel inconnu.
Est-il possible d’être un père quand on arrive si tard ? Comment vit-on dans un monde dont on ne connaît plus les codes ?
Pour approcher celle qui est désormais une jeune femme et dont il ne sait rien, secrètement, maladroitement, Thomas va devoir tout apprendre, avec l’aide de ceux que le destin placera sur sa route.
Quinze rounds
J’ai passé ma vie sur la route. Tout seul. Avec la blonde. Avec mes fils, avec la musique, avec mes filles. Des milliers et des milliers de kilomètres. Coureur de savanes, enjambeur d’océans. T’as trop couru, t’as le souffle court. Les hanches, ça va toujours. Même si elles servent plus à grand-chose, elles ont le tempo pour écrire. Voilà ce que je ramène. Quinze rounds. Celui qui clôt. Qui ferme le rideau.
Une odyssée américaine
Cliff est à un tournant de sa vie. Plaqué par sa femme à soixante-deux ans, il décide de tout quitter et de prendre la route, à la recherche d’un nouveau souffle. Bientôt rejoint par Marybelle, une ancienne étudiante avec qui il vit une liaison enflammée, il poursuit son chemin au gré des obsessions américaines. Célèbre à l’envi la beauté des femmes, le désir et l’ivresse quand bien même le festin touche à sa fin. Traverse le pays de part en part, attribuant à chaque État le nom d’une tribu indienne. S’attire les foudres ou l’incompréhension de l’Amérique bien pensante dans un pays qui n’est plus à un massacre près. Son voyage, ponctué de rencontres extravagantes et cocasses, lui apportera-t-il pour autant la renaissance tant recherchée ? Une odyssée américaine est une œuvre magistrale. Un portrait des États-Unis et une profession de foi en la littérature comme Jim Harrison n’en avait jamais livré.
L’ordre et le chaos
À quarante ans, après la mort de sa mère, Merryl réalise enfin son rêve : quitter son pays de Galles natal et prendre la route à bord d’un camping-car. Mais ce qu’elle découvre n’est pas la liberté, plutôt l’injustice et la brutalité des hommes. Prise dans l’engrenage de la violence et de ce qu’elle croit être la légitime défense, Merryl devient la criminelle la plus recherchée du royaume. Mais comment l’inspecteur Milland, ex-star de Scotland Yard, pourrait-il imaginer, en remontant une route jonchée de cadavres, que cette folie meurtrière est l’œuvre d’une femme ? On retrouve l’univers sombre et la puissance psychologique de l’auteur du Cinquième jour dans un road movie atypique et paranoïaque. Du grand art.
Les nouveaux amants
Un homme rencontre une femme. L’homme ? Oscar, 42 ans, marié avec une actrice, Anne. Auteur de théâtre à succès, cet homme comblé ignore, au début du roman, qu’il va vivre – et non plus seulement écrire – la pièce la plus turbulente de sa vie. Ce sera, pour lui, une comédie risquée, une anthologie de douleurs, une foire aux ivresses, un malheur merveilleux… La femme ? Ce n’est pas son épouse, bien sûr. Elle se nomme Roses de Tonnerre, 25 ans, une fille très fête en larmes, une orgie de contradictions, un merveilleux danger. Cette Roses ne respecte que l’imprévu et les jeux sans règles. Elle est, de plus, sexuellement très curieuse et d’un haut voltage sensuel…
La conscience de Zeno
Composé en 1923, La Conscience de Zeno est sans doute le premier grand roman inspiré par la psychanalyse. Mais il est bien plus que cela. Avec la confession de son héros – narrateur qui entreprend d’évoquer pour le médecin qui le soigne les faits marquants de son existence, il demeure l’un des livres fondateurs de la littérature européenne du xxe siècle. C’est Eugenio Montale, Benjamin Crémieux et Valery Larbaud qui révélèrent et imposèrent simultanément, en France et en Italie, pendant l’hiver 1925-1926, le nom d’Italo Svevo, l’écrivain triestin né en 1861, et qui allait mourir en 1928…
Quel a été le chemin parcouru par Sophie Davant avant de devenir l’une des personnalités féminines préférées des Français ? Depuis 26 ans, l’animatrice présente avec le succès que l’on sait l’émission du matin de France 2 C’est au programme, et en début d’après-midi Toute une Histoire, émission créée par Jean Luc Delarue. Elle est aussi indissociable du «Téléthon» qu’elle co-anime depuis 1997 avec un engagement personnel très fort. Aujourd’hui, arrivée à la cinquantaine, âge d’une étonnante richesse et d’un regain d’énergie, où tout est possible, elle nous raconte un parcours émaillé d’émotions, de mille et une rencontres, riche en opportunités, avec ses peines et ses bonheurs. Partant des événements décisifs de sa vie, Sophie Davant nous livre le fruit de ses petites (et parfois surprenantes) découvertes afin que chacun puisse y trouver des clefs pour explorer son chemin de vie, avec peut-être plus de lucidité, de plaisir et de sérénité…
Bridget Jones – Folle de lui
Veuve, 51 ans, mère de deux enfants en bas âge, mais toujours en quête de l’homme idéal: Bridget is back !
Elle n’est plus obsédée par ses kilos, plutôt par les réseaux sociaux, le nombre d’amis qu’elle a sur Facebook (ce qui ne peut que mal se passer, vu son niveau en informatique) et ses enfants qui la font tourner en bourrique.
Le grand Mark Darcy avec qui elle a vécu le bonheur conjugal pendant dix ans est mort dans un accident, et après une longue période de deuil, Bridget se transforme en cougar dans les bras d’un trentenaire sexy (et quelque peu immature). Mais pour combien de temps? Car elle a bien entendu toujours le don de se mettre dans des situations impossibles. Les mésaventures de cette Bridget plus posée et plus mûre n ont rien perdu de leur piquant. Au contraire.
Un roman pétillant et audacieux qui plaira aux fans de la première heure, qui ont vieilli avec Bridget et se reconnaîtront dans cette quinqua toujours aussi drôle…
ORL de l’enfant
Les ouvrages de la collection Pεdia sont écrits par les spécialistes du domaine pour les pédiatres pédiatres hospitaliers et libéraux ainsi que pour les médecins généralistes.
Précis et didactiques, ils fournissent à ces praticiens :
les éléments indispensables pour détecter et reconnaître les pathologies ;
des réponses claires à des situations cliniques précises ;
des critères d’orientation et propositions de conduites à tenir.
ORL de l’enfant aborde les particularités anatomiques, pathologiques et chirurgicales de la ‘ sphère ORL ‘, du nourrisson à l’adolescent.
L’otologie, les voies aérodigestives, la rhinologie, les pathologies cervico-faciales ainsi que les thématiques transversales RGO, génétique, troubles auditifs, imagerie et douleur sont décrites selon le schéma suivant : l’analyse clinique et la démarche diagnostique, les examens complémentaires, les principes de traitement et la thérapeutique, le suivi et éventuellement la rééducation.
Les points clés de chaque pathologie sont mis en exergue en début de chapitre.
Des fiches d’information patient concernant les malformations ORL rares et 10 vidéos en ligne complètent l’ouvrage.
Ce guide pratique est une aide indispensable pour les praticiens confirmés ou débutants dans leur accompagnement des enfants et familles touchés par ces pathologies.
Little bird
Après vingt-quatre années au bureau du shérif du comté d’Absaroka, Walt Longmire aspire à finir sa carrière en paix. Ses espoirs s’envolent quand on découvre le corps de Cody Pritchard près de la réserve cheyenne. Deux ans auparavant, Cody avait été un des quatre adolescents condamnés avec sursis pour le viol d’une jeune Indienne, un jugement qui avait avivé les tensions entre les deux communautés. Aujourd’hui, il semble que quelqu’un cherche à venger la jeune fille. Alors que se prépare un violent blizzard, Walt devra parcourir les vastes étendues du Wyoming sur la piste d’un assassin déterminé à parvenir à ses fins.
Avec ce premier volet des aventures du shérif mélancolique et désabusé, Walt Longmire, Craig Johnson s’impose d’emblée parmi les plus grands.
La maison des enfants
Après « Une femme en blanc », le nouveau combat de Margaux Lespoir. Margaux Lespoir a quarante ans. Après la mort accidentelle de son compagnon, elle a rangé à jamais sa blouse de chirurgien et s’occupe de l’enfance maltraitée. Meurtri, son cœur a encore de l’amour à revendre. Et à la Maison des enfants, on en a toujours besoin. Venue enquêter à Auxerre dans cet établissement qui recueille de jeunes à problèmes, elle y a découvert une équipe formidable, des enfants, tous attachants, qui ne demandent qu’à être écoutés pour prendre un nouveau départ. Elle n’hésite pas longtemps : à côté de son fils et de sa petite fille Aurore, ce sera sa nouvelle famille. Mais l’orage gronde autour de la Maison, qui, pour des raisons pas toujours avouables, en dérange plus d’un. Pour Margaux, l’heure est venue de livrer un nouveau combat.
J’ai quelque chose à te dire
New York, 1970. Greta, 20 ans, issue d’une famille juive de la Côte Est, vit une idylle sans nuage avec Jim. A la suite d’un accident de voiture, dont tous deux sortent indemnes, Greta apprend qu’elle ne pourra jamais avoir d’enfant. Un coup dur que Jim n’a pas le courage de surmonter… Pour se remettre de cette épreuve, Greta part à Paris se consacrer à sa nouvelle carrière de journaliste de mode. Son avenir professionnel, qui semblait tracé, est assombri par une nouvelle déception amoureuse, mais surtout par l’annonce de la maladie de sa mère… C’est alors toute sa vie qu’elle remet en question. Car dans les yeux de sa mère c’est son propre avenir qu’elle aperçoit et dont elle s’effraie. Un nouveau voyage au Moyen-Orient lui donnera-t-il la force de vivre, malgré la peur et les incertitudes ?
Le dernier des nôtres
«La première chose que je vis d’elle fut sa cheville, délicate, nerveuse, qu’enserrait la bride d’une sandale bleue…» Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme. Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d’un petit garçon. Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont-Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant… Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga. Vous ne dormirez plus avant de découvrir qui est vraiment «le dernier des nôtres».
La piste noire
Nord de la Suède. Un pêcheur découvre le cadavre torturé d’une femme au bord d’un lac gelé. La belle Inna Wattrang était la porte-parole de Mauri Kallis, un célèbre industriel dont l’ascension et la réussite fascinent le pays. Les indices sont minces : les deux inspecteurs de la police judiciaire de Kiruna font appel à l’ex-avocate Rebecka Martinsson, devenue substitut du procureur, pour tenter d’élucider les relations troubles entre Kallis et son employée. Derrière le meurtre d’Inna se profile un univers de mensonges, de haines et de faux-semblants où le mal se tient à l’affût comme un corbeau noir. Avec cette nouvelle enquête de Rebecka Martinsson, Åsa Larsson, Prix du meilleur roman policier suédois pour Le Sang versé, sonne le renouveau du polar Scandinave.
Inhumaine
Le Dr Kay Scarpetta enquête sur un décès suspect à Cambridge, Massachusetts, quand un message mystérieux apparaît sur son téléphone. Une vidéo s’affiche, impossible à interrompre, montrant sa nièce Lucy vingt ans plus tôt à l’académie du FBI. Ce qu’elle y découvre, Scarpetta n’ose le partager ni avec son mari Benton Wesley, agent du FBI, ni avec le détective Pete Marino, ni même avec Lucy. Elle craint que cette vidéo ne signale la réapparition de sa plus vieille ennemie, qu’elle pensait disparue depuis longtemps. Tout aussi troublant, le FBI lui-même s’acharne contre Lucy pour la confondre dans une affaire qui pourrait l’envoyer en prison jusqu’à la fin de ses jours. Ces évènements seraient-ils liés ? Pour protéger ceux qu’elle aime, Scarpetta doit affronter une meurtrière machiavélique aux actions inhumaines. Une enquête palpitante où se mêlent sciences légales, surveillance électronique et vengeance très calculée.
L’Emprise (2) Quinquennat
Favori à l’élection présidentielle, Launay a scellé pendant la campagne un pacte avec son plus farouche adversaire, Lubiak, issu du même parti que lui. Mais Launay rêve de s’inscrire dans la postérité. Alors il change la donne en soumettant au référendum une nouvelle constitution. Une lutte à mort débute entre les deux hommes. Launay décide de se défaire de l’emprise que les services américains ont sur lui. Les alliances de circonstance, soudées avant l’élection, se renversent, et la lutte entre services de renseignement s’intensifie. Dans cette intrigue vertigineuse et actuelle, Marc Dugain réussit à entrer au plus profond de l’intimité psychologique de ses personnages et de la réalité tragique du pouvoir, là où les raisons de la lutte n’importent plus et où l’élimination de l’autre devient un objectif en soi.
Le vieux qui voulait changer sa vie
Frank Derrick a 81 ans. Le jour de son anniversaire, le vieux grincheux se fait renverser par le camion du laitier et se retrouve immobilisé chez lui. Déjà que la vie n’était pas très drôle avant son accident… Depuis, il n’a plus rien à faire et les journées durent une éternité. Jusqu’au jour où une bouffée d’air frais entre dans sa vie sous la forme généreuse de Kelly, jeune aide à domicile. Avec sa petite voiture bleue qu »elle conduit comme un chauffard, c’est un vrai tourbillon de joie. Elle rit même aux blagues de Frank, c’est dire !… A fil des jours, Kelly va changer la vie trop banale de Frank en quelque chose d’extraordinaire. Grâce à elle, le vieux bonhomme se souvient qu’il y a un monde au-delà des murs de son appartement et que la vie lui appartient. Il suffit de le vouloir…
Envoyée spéciale
Constance étant oisive, on va lui trouver de quoi s’occuper. Des bords de Seine aux rives de la mer Jaune, en passant par les fins fonds de la Creuse, rien ne devrait l’empêcher d’accomplir sa mission. Seul problème : le personnel chargé de son encadrement n’est pas toujours très bien organisé.
Le dernier des nôtres
Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme. Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d’un petit garçon. Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont-Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant… Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga. Vous ne dormirez plus avant de découvrir qui est vraiment « le dernier des nôtres ».
L’Elysée Off
Dom Juan
Molière Dom Juan ou le Festin de pierre Il a traversé l’histoire, il a inspiré bien des artistes et bien des séducteurs, mais c’est Molière, au sommet de son art dans sa « grande comédie », qui l’a élevé au rang de mythe. Don Juan se joue de l’amour, de la famille, de l’honneur, de la religion, de l’argent, de la mort aussi… Jusqu’à l’ultime défi. Il a voulu jouer, et il a perdu : on peut le penser… mais qui sait si, dans son extrême solitude, Don Juan n’aura pas été maître du jeu jusqu’à la fin, jusqu’à la mort. Le texte intégral annoté. Six questionnaires d’analyse de l’œuvre. Un dossier « Spécial bac » avec deux sujets d’écrit et deux sujets d’oral. Une analyse des personnages .Une rubrique « Portfolio » pour la lecture d’images
J’aimais mieux quand c’était toi
Nelly est comédienne de théâtre, sa journée est entièrement aimantée vers le rôle qu’elle joue en soirée : la Mère de Six personnages en quête d’auteur de Pirandello. Ce soir-là quand débute la représentation, elle reconnaît au cinquième rang l’homme qui l’a quittée quelques mois auparavant, qu’elle aime toujours, et dont elle a refoulé jusqu’au nom. Prise dans le vertige d’une passion qui la broie à nouveau, l’actrice en elle s’affaisse et ne peut plus jouer.
Une constellation de phénomènes vitaux
Dans un village enneigé de Tchétchénie, Havaa, une fillette de huit ans, regarde, cachée dans les bois, les soldats russes emmener en pleine nuit son père, accusé d’aider les rebelles. De l’autre côte de la rue, Akhmed, son voisin et ami de sa famille, observe lui aussi la scène, craignant le pire pour l’enfant quand les soldats mettent le feu à la maison. Mais quand il trouve Havaa tapie dans la forêt avec une étrange valise bleue, il prend une décision qui va bouleverser leur vie. Il va chercher refuge dans un hôpital abandonné où il ne reste qu’une femme pour soigner les blessés, Sonja Rabina.
Pour Sonja, chirurgienne russe talentueuse et implacable, l’arrivée d’Akhmed et de Havaa est une mauvaise surprise. Exténuée, débordée de travail, elle n’a aucune envie de s’ajouter ce risque et cette charge. Car elle a une bonne raison de se montrer prudente : accueillir ces réfugiés pourrait compromettre le retour de sa sœur disparue. Pourtant, au cours de cinq jours extraordinaires, le monde de Sonja va basculer et révéler l’entrelacs de connexions qui lie le passé de ces trois compagnons improbables et décidera de leur destin. À la fois récit d’un sacrifice et exploration du pouvoir de l’amour en temps de guerre, Une constellation de phénomènes vitaux est surtout une œuvre portée par le souffle profond de la compassion, vers ce qui doit être et ce qui demeure.
Le mystère du tableau
Pour Sara, marchande d'art chez Perfect Touch, la Muse représente bien plus que l'unique portrait peint par le célèbre Custer. C'est un défi, une quête, l'oeuvre qui donnera à sa carrière l'élan dont elle a besoin. Encore faut-il mettre la main dessus?Pour cela, elle est prête à tout. Et même à délaisser son cher San Francisco pour un ranch perdu au fin fond du Wyoming. Car c'est là-bas qu'a vécu Custer, au milieu des montagnes majestueuses et des prés verdoyants. C'est là-bas que l'a invitée Jay Vermilion, l'héritier du peintre, un homme aussi sexy que différent d'elle.Seulement voilà, arrivée sur place, Sara comprend qu'elle est loin d'être la seule à s'intéresser au tableau. Tandis que Jay subit de fortes pressions de la part de sa belle-mère qui tente de lui ravir son héritage, un couple est retrouvé assassiné au ranch Vermilion. Le prélude à une série de menaces qui s'abattent bientôt avec violence sur Sara et son troublant cow-boy ?
Trop vite
« Je ne me plains pas, j’explique. Je réfléchis – un petit peu. J’ai 24 ans, quand je me regarde dans une glace, je vois une fille jeune, mais derrière mon image, j’ai l’impression d’être beaucoup plus vieille. Ce que j’ai vécu, je veux le raconter. Dire enfin ma pensée, mon ressenti. Reprendre le contrôle de ma vie. Ces dernières années ressemblent à un petit roman d’aventures où on rit, où on pleure, où on aime et n’aime pas. J’ai fait tout ça à fond. Je ne crache pas dans la soupe, j’explique… Pour remercier ceux qui m’ont soutenue en espérant les divertir. Et être moins méprisée par les autres – si possible… »
Cartoville – Madrid
De la Plaza Mayor à la Puerta del Sol, de la Gran Vía au Museo del Prado, de Malasaña à Salamanca, du Parque del Retiro à la Plaza de Toros de las Ventas, la capitale espagnole se déploie en un clin d’œil avec un guide pas comme les autres. • Un concept unique : une carte grand format, dépliable par quartier, pour se repérer immédiatement • Les 10 incontournables et 10 idées pour vivre à l’heure de Madrid • 200 sites, monuments et adresses chroniqués par des auteurs-voyageurs et localisés sur les cartes • Les échappées à 1 heure de la capitale • 100 photos pour tout voir • Toutes les informations pratiques indispensables.
« Espionnes ! Le mot affole l’imagination. Au-delà du mythe féminin qui fascine le cinéma et les séries télé, j’ai infiltré les services secrets français pour découvrir le vrai visage des femmes engagées dans la sûreté nationale. Pour la première fois, une cinquantaine d’entre elles, officiers traitants à la DGSE, agents de la DGSI et des nouveaux RG, contre-espionnes militaires ou superdouanières, ont accepté de se confier. Pendant un an, alors que les attentats de Charlie Hebdo et ceux du 13 novembre endeuillaient la France, j’ai rencontré les femmes les plus secrètes de la République. Elles m’ont révélé ce qu’elles ne livrent ni à leurs maris, ni à leurs collègues. Leurs doubles vies sous haute tension, la traque des terroristes, le poids du secret dans le couple, le machisme des espions et leur combat pour s’imposer dans ce monde d’ombre et de pouvoir. Sans rien occulter des failles et des succès des services secrets dans la lutte contre le terrorisme… »
Le Convoi
À Campan, petit village isolé d’Amazonie, la tranquillité imposée par le Fleuve semble menacée. Un mystérieux convoi traverse la forêt : on parle de femmes venues du monde entier, d’une caisse jalousement gardée, d’un bébé aux pratiques étranges. Personne ne connaît la destination ni ne comprend le dessein de ce convoi. Pas même Julie, qui a quitté Paris pour le rejoindre, attirée par les mots d’Alakipou, que l’on surnomme » le poète « . La rumeur enfle dangereusement au cœur de Campan et les peurs se réveillent. Elles bouleversent la solitude de Tiouca, qui fuit son passé sur le Vieux Continent, le quotidien ennuyeux de Lune, jeune ado mal dans sa peau, les petits trafics louches de Jonathan, le fils du procureur, la tristesse de Marie qui ne souhaite rien d’autre que de voir sa mère sourire un jour. Quant à Félicité, qui tient le bazar du village et offre sa volupté sans vraiment compter, elle sent avant tout le monde les contractions de la forêt, les morts et les disparitions inexpliquées. Alors qu’elle a décidé de mettre un peu d’ordre dans le chaos de sa vie, elle va voir son destin et celui de ses amis bouleversés par l’arrivée du convoi.
J’attendrai la fin du monde
En 1967, les Mauriciens sont partagés entre indépendantistes et partisans de la domination britannique. Au coeur de ce conflit, Horace Baudelaire, journaliste de son état, a bien du mal à trouver sa place. Descendant d’un des plus grands poètes français, ce gentil garçon souffre d’un mal étrange : il ne peut s’empêcher d’agir (et d’écrire) à rebours de ses convictions profondes. Avec un mélange d’humour toujours un peu cruel et de tendresse lucide, Alain Gordon-Gentil dépeint la société mauricienne qu’il connaît si bien. Retraçant un demi-siècle d’histoire, il nous livre ici une réflexion originale sur la question très actuelle de l’identité et des origines.
L’inconnu du parvis
Les franges d’une ville, quelque part en Europe, ruelles pleines d’ombre, friches industrielles. Là, vit Antoine Comino, garagiste. Son train-train quotidien est ponctué par deux passions : une moto d’époque qu’il bichonne sans fin et un petit carnet dans lequel il répertorie soigneusement chaque client avec ses particularités faciales. La découverte au point du jour d’un cadavre anonyme, gisant sur l’esplanade de la mairie, va bouleverser cette non-vie. Les enquêteurs concluent au suicide. Seul indice : le véhicule avec lequel la victime s’est rendue sur les lieux du drame. Antoine Comino, qui a eu cette voiture en main, est alors taraudé par une question : pourquoi cet homme a-t-il mis fin à ces jours ? Il ne veut pas s’en tenir aux apparences. Il décide de se lancer sur les traces du » suicidé « . Commence alors un curieux jeu de piste dont l’objectif se dérobe dès qu’il semble s’en rapprocher. Il rencontre tour à tour les étranges adhérents d’un club de billard, un trafiquant de clandestins, une prostituée. Au bout de cette quête, Antoine Comino ne trouvera pas ce qui a causé la mort de l’inconnu. En revanche, découvrira-t-il un sens à sa vie ?
« Le lecteur doit vivre ce que tu vis », avait dit Lidwine. Mais qu’est-ce que je vivais au juste ? J’avais pas l’air maligne avec mon rêve de devenir écrivaine. Et là, une idée m’est venue. J’allais raconter comment Dirkje était entrée dans notre vie. J’ai ouvert mon ordinateur portable et j’ai retroussé mes manches. Mais mes doigts sont restés immobiles sur le clavier. Avant d’en venir à Dirkje, il faudrait d’abord que j’écrive que ma mère n’est plus là, et que je parle de mon père et de Kalle, de notre maison et du fait qu’on ne mange jamais à table. Je devais commencer par le commencement. Mais où commençait le commencement ? Il était une fois une fille à Hilversum ?
La mémoire des vaincus
Qui est Fred Barthélemy, dont Michel Ragon nous fait une biographie si passionnante ? Qui est Flora, la petite fille de ses amours enfantines, devenue marchand de tableaux célèbre et richissime ? La Mémoire des vaincus mêle personnages réels et personnages inventés en une vaste fresque où l’histoire, le mythe, le romanesque et l’autobiographie se conjuguent. Dans le cours du roman, communisme, anarchisme, fascisme apparaissent dans leur complexité, dans leurs luttes féroces, par le biais de personnages historiques dont Michel Ragon nous fait d’étonnants portraits ; mais aussi d’hommes et de femmes moins connus, les obscurs, les éternels vaincus par un pouvoir omnipotent, sans cesse attaqué et sans cesse renaissant. Il n’empêche que ces vaincus, qu’ils se nomment Makhno, Durruti ou Lecoin, ne s’avouent jamais battus et qu’à l’heure où le totalitarisme marxiste fait naufrage, leur increvable esprit de liberté ressuscite.
Cartoville – Amsterdam
Du marché aux fleurs au musée Van Gogh, de la ceinture de canaux aux rives de l’Amstel, du Jordaan au Plantage, la capitale des Pays-Bas se déploie en un clin d’oeil avec un guide pas comme les autres.
Le garçon qui ne parlait pas
Tandis que les feuilles d’automne commencent à tomber, le vice questeur Patta demande à Brunetti d’enquêter sur une petite infraction commise par la future bru du maire. Le commissaire Brunetti n’a guère envie d’aider son patron à récolter les faveurs politiques, mais il est bien obligé de s’incliner. Puis c’est au tour de sa femme, Paola, de lui présenter une requête. L’handicapé mental employé par leur pressing vient de mourir d’une overdose de somnifères, et Paola ne peut pas supporter l’idée que dans la vie comme dans la mort, personne ne l’ait remarqué ni aidé. Brunetti se met au travail mais, à sa grande surprise, il ne découvre rien sur cet homme : pas d’acte de naissance, pas de passeport, pas de permis de conduire, pas de carte de crédit. Pour l’administration italienne, il n’a jamais existé. Plus étrange encore, sa mère refuse de parler à la police et assure au commissaire que les papiers d’identité de son fils ont été volés lors d’un cambriolage. Au fil des révélations, Brunetti commence à soupçonner les Lembo, des aristocrates, d’être mêlés à cette mort mystérieuse. Mais qui a bien pu vouloir tuer ce malheureux simple d’esprit ?
Ce troisième volume s’ouvre sur la Restauration et nous conduit jusqu’à la Révolution de 1830 : après la carrière du voyageur puis de l’écrivain, voici venu le temps du politique. Nommé pair de France en 1815, Chateaubriand devient ambassadeur dans plusieurs capitales d’Europe, et surtout ministre des Affaires étrangères de 1822 à 1824. Mais comme frappé de mutisme au moment d’évoquer le véritable exercice du pouvoir, le mémorialiste reste silencieux sur ces mois de gouvernement, soudainement impuissant à se représenter pleinement comme acteur de l’Histoire. L’écrivain en tout cas fragmente son tableau d’une Restauration qui se déréalise peu à peu sous nos yeux, et le présente d’emblée sur le ton du désenchantement : » Retomber de Bonaparte et de l’Empire à ce qui les a suivis, c’est tomber de la réalité dans le néant, du sommet d’une montagne dans un gouffre. »
Le maître des illusions
Il y avait le père, Henry Wingo, pêcheur de crevettes, violent, buté. La mère, Lila, belle, ambitieuse, monstrueuse. Et les disputes, les cris, les coups…
Luke, le fils aîné, Tom et Savannah, les jumeaux, auraient peut-être pu, malgré tout, sortir indemnes de leur enfance saccagée. Car ils avaient l’île Melrose, les marais, le parfum d’eau salée de la Caroline du Sud, l’or de ses lunes et de ses soleils… Peut-être auraient-ils échappé aux stigmates du passé, s’il n’y avait eu le moment d’horreur absolue, un soir, dans la petite maison blanche. Et si leur mère ne leur avait pas imposé la silence, les condamnant ainsi à revivre le drame, jour après jour, nuit après nuit. Dans une Amérique actuelle et méconnue, au coeur du Sud profond, un roman bouleversant qui mêle humour et tragédie.
Raspoutine
Né au déclin du siècle dernier, dans un obscur village de Sibérie, Grégoire Raspoutine apparaît, dans sa jeunesse, comme un moujik à demi illettré, porté sur la boisson et sur les femmes, mais également attiré par les secrets de la religion. / Doué d’un magnétisme incontestable, il commence par fasciner et séduire des paysannes, puis, poussant son avantage, il s’attaque aux vénérables représentants de l’Église orthodoxe qui découvrent en lui un vivant exemple de la simple et saine sagesse populaire et l’aident à s’introduire dans la meilleure société de Saint-Pétersbourg. / En peu de temps, Raspoutine rassemble autour de lui une cour d’adoratrices. A la fois inspiré et dépravé, il est même admis dans l’intimité de la famille impériale. La tsarine, qui est une névrosée, et dont le jeune fils est atteint d’hémophilie, ne doute bientôt plus que les prières du » saint homme » soient seules capables de sauver l’héritier du trône et, avec lui, toute la nation. / Ce qui pourrait n’être qu’un scandale limité aux abords du palais devient vite une menace pour l’ensemble du pays. Quand éclate la guerre, en 1914, la haine du » moujik imposteur » rassemble autour du couple impérial tous ceux qui craignent de voir un charlatan diriger en sous-main le destin de la patrie. / De complot en complot, l’atroce assassinat de Raspoutine précipite la chute de l’Empire. Rarement un homme parti de si bas est monté si haut, rarement un tel dévoiement de la foi a engendré de si larges remous politiques, rarement le mystère de l’âme russe, avec ses excès et ses contradictions, s’est trouvé si profondément incarné dans un individu. / Raspoutine détiendrait-il une des clefs les plus sûres pour comprendre la Russie ?
Les quatre saisons de l’été
Été 99, dont certains prétendent qu’il est le dernier avant la fin du monde. Sur les longues plages du Touquet, les enfants crient parce que la mer est froide, les mères somnolent au soleil. Et partout, dans les dunes, les bars, les digues, des histoires d’amour qui éclosent. Enivrent. Et griffent. Quatre couples, à l’âge des quatre saisons d’une vie, se rencontrent, se croisent et s’influencent sans le savoir. Ils ont 15, 35, 55 et 75 ans. Ils sont toutes nos histoires d’amour.
Belgravia
Le 15 juin 1815, le bal devenu légendaire de la duchesse de Richmond réunit à Bruxelles tous les grands noms de la société anglaise. La plupart des beaux officiers présents ce soir-là périront quelques heures plus tard sur le champ de bataille de Waterloo, faisant de cette réception l’une des plus tragiques de l’histoire. Mais cette nuit va aussi bouleverser le destin de Sophia Trenchard, la ravissante fille du responsable de l’intendance du duc de Wellington. Vingt-cinq ans plus tard, les Trenchard, en pleine ascension sociale, se sont installés dans le nouveau quartier de Belgravia et pensaient laisser derrière eux ces terribles événements. Mais dans un monde en mutation où l’aristocratie côtoie désormais la classe émergente des nouveaux riches, certains sont prêts à tout pour que les secrets du passé ne menacent pas leurs privilèges…
Les perles noires de Jackie O.
Gaby, la soixantaine déprimée, est femme de ménage dans les beaux quartiers new-yorkais. Un matin, elle trouve par hasard la combinaison du coffre-fort d’un de ses employeurs, un vieux marchand d’art fortuné. Décidée à mettre la main sur son contenu – et notamment sur un collier ayant autrefois appartenu à Jackie Onassis –, elle imagine un plan particulièrement audacieux. Seulement, cambrioler un appartement huppé de l’Upper East Side, c’est un peu comme plier un drap sans se faire aider, ça demande un certain entraînement…
Cellule 8002 vs Mafia
Cellule 8002 vs Mafia est l’histoire inédite d’enquêteurs qui ont battu le crime organisé sur son propre terrain à coups de provocations, de filatures spectaculaires et de gestes d’éclat. L’enquête Colisée, dont ils ont été des acteurs clés, a changé à tout jamais le visage de la mafia montréalaise, et son impact se ressent toujours, dix ans plus tard. Elle a été, bien malgré elle, le catalyseur d’une sanglante guerre intestine qui mine le crime organisé montréalais encore aujourd’hui. Le 22 novembre 2006 avait lieu la plus grande frappe antimafia de l’histoire au Canada. Si l’enquête Colisée a marqué les annales du crime au pays, elle ne s’est toutefois pas déroulée sans heurt. Pendant que la Gendarmerie royale du Canada cherchait à avoir la tête de l’insaisissable parrain de la mafia Vito Rizzuto en l’attaquant sur sa fortune, l’enquête s’est mise à piétiner et aurait pu se retrouver dans un cul-de-sac…
Au rendez-vous des mariniers
C’est l’histoire d’un restaurant populaire dans l’île Saint-Louis, où l’on prenait ses repas à même le marbre des tables et où la patronne présentait l’addition sur une ardoise. Son enseigne ne trompait pas : Au Rendez-vous des Mariniers… Au 33, quai d’Anjou, s’y donnèrent rendez-vous, de 1904 à 1953, les habitants du quartier, les patrons des péniches amarrées sur les berges et les blanchisseuses des bateaux-lavoirs tout proches… Nombre d’écrivains et d’artistes y trouvèrent aussi refuge et s’en firent souvent l’écho dans leurs œuvres – de Jean de la Ville de Mirmont à Picasso, de John Dos Passos à Pierre Drieu la Rochelle, d’Hemingway à Aragon, de Simenon à Blaise Cendrars, etc. Et c’est encore là que dînèrent, un soir de mars 1933, François Mauriac et Louis-Ferdinand Céline – une rencontre entre deux romanciers que tout opposait !