
La Salamandre
Catherine, dont la vie s’organisait autour du travail avec la haine des dimanches, le secours de la télévision, l’affection d’un chat et l’usage fréquent de somnifères, tourne le dos à la France pour s’installer au Brésil. Dépassant sa condition de touriste, elle quitte l’univers des agences de voyages pour celui des favelas. La violence avec laquelle les gens se traitent entre eux ne lui est alors plus épargnée. Dans ce récit d’un parcours absolu, Jean-Christophe Rufin livre une tragédie moderne, où l’héroïne semble soudain obéir à une loi profonde qui la pousse à se détruire et à s’accomplir en même temps. À travers ce portrait d’une femme qui se perd et se découvre, l’auteur reprend aussi un thème qui lui est cher, celui de la rencontre entre les Occidentaux et leur tiers-monde fantasmé. Loin de la vitrine exotique et du mythe révolutionnaire, il va au-delà de la vision idéalisée, tout au moins » idéologisée « , du tiers-monde, vers un monde ambivalent, fait à la fois de richesse et de violence, repoussant et attirant.
Nos résiliences
» Notre vie avait-elle irrémédiablement basculé ? Ne serait-elle plus jamais comme avant ? Étrange, cette notion d’avant et d’après. Je sentais que nous venions de perdre quelque chose d’essentiel. Aucune projection dans l’avenir. Aucun espoir. Rien. Le vide. Une ombre planait désormais sur notre vie. Et j’avais peur. Mais cette peur, je devais la canaliser, l’étouffer, l’éloigner, je ne pouvais me permettre de me laisser engloutir. »
Un seul instant suffit-il à faire basculer toute une vie ?
CeCe d’Aplièse ne s’est jamais vraiment sentie à sa place. Et à la suite du décès de son père adoptif, l’excentrique milliardaire Pa Salt surnommé ainsi par ses filles, adoptées aux quatre coins du monde elle se retrouve complètement perdue. Désespérée, n’ayant que les quelques indices laissés par son père, une photographie en noir et blanc et le nom d’une pionnière ayant traversé le monde, CeCe part à la recherche de ses origines… jusque dans la chaleur et la poussière du centre rouge de l’Australie. Cent ans auparavant, Kitty McBride, fille de pasteur, abandonne sa vie bien rangée pour accompagner une vieille dame d’Édimbourg jusqu’à Adélaïde. Son ticket pour cette terre inconnue apportera le grain d’aventure dont elle avait toujours rêvé… ainsi qu’un amour qu’elle n’avait jamais imaginé. Alors que CeCe découvre des secrets enfouis depuis bien longtemps, elle commence à penser que ce vaste et sauvage continent pourrait lui offrir quelque chose qu’elle a toujours cru impossible : un sentiment d’appartenance et un foyer…
La chute de la maison whyte
Les secrets de famille tuent plus sûrement qu’une arme. Cape Cod, ses belles villas aux bardages de bois, ses millionnaires discrets qui par-dessus tout ont peur du scandale… Mais, justement, le scandale fait vendre. Bien qu’elle s’en défende, c’est ce qu’Edith Whyte a en tête lorsqu’elle publie un livre accusant son célèbre père, grand patron des arts, de crimes inimaginables. Père et fille n’ont pas le temps de s’expliquer : William Whyte est retrouvé assassiné et le frère d’Edith est accusé du meurtre. Tandis que la famille se déchire, la bonne société bruit des rumeurs les plus folles… Un premier thriller élu parmi 150 manuscrits anonymes. 12 jurés qui représentent chacun un maillon essentiel de toute investigation judiciaire. Un prix littéraire pour le genre le plus populaire de France.
L’anomalie
« Il est une chose admirable qui surpasse toujours la connaissance, l’intelligence, et même le génie, c’est l’incompréhension. » En juin 2021, un événement insensé bouleverse les vies de centaines d’hommes et de femmes, tous passagers d’un vol Paris – New York. Parmi eux : Blake, père de famille respectable et néanmoins tueur à gages ; Slimboy, pop star nigériane, las de vivre dans le mensonge ; Joanna, redoutable avocate rattrapée par ses failles ; ou encore Victor Miesel, écrivain confidentiel soudain devenu culte. Tous croyaient avoir une vie secrète. Nul n’imaginait à quel point c’était vrai. Roman virtuose où la logique rencontre le magique, ‘L’Anomalie’ explore cette part de nous-même qui nous échappe.
Le secret Ottoman
Istanbul, 1682 : Mehmed IV, sultan de l’Empire ottoman, s’apprête à lancer le second siège de Vienne, alors capitale du Saint-Empire romain, quand un mystérieux visiteur s’introduit dans sa chambre. L’homme, couvert d’étranges tatouages, déclare au souverain pouvoir l’aider à mener à bien ses rêves de conquête… Paris, 2017 : Un drapeau rouge et blanc flotte sur la ville depuis qu’elle est tombée sous le joug des Ottomans pendant le règne de Louis XIV. Notre-Dame est une mosquée et la langue officielle, le turc. L’Empire, qui a connu son heure de gloire, vit cependant des moments difficiles et les libertés sont menacées. Kamal en sait quelque chose, lui qui traque les dissidents au sein de la police du sultan. Nisrine, sa belle-soeur, dont il est amoureux dans l’ombre, est quant à elle une avocate opposée au régime. Sa mission met bientôt Kamal sur la piste d’un patient soigné par son frère et qui prétend venir du passé. Mais lorsque les autorités veulent l’interroger, les choses tournent mal. S’ensuit une course-poursuite effrénée dont l’enjeu est un secret enfoui dans la nuit des temps. Un secret qui pourrait, une fois de plus, modifier le cours de l’Histoire…
The good country equation
« Not only does Anholt explain the challenges facing the world with unique clarity, he also provides genuinely new, informative, practical, innovative solutions. . . . The book is a must-read for anyone who cares about humanity’s shared future. »
–H. E. Mohamed Abdullahi Mohamed (Farmaajo), President of the Federal Republic of Somalia
Why doesn’t the world work? Why, despite all the power, technology, money and knowledge that humanity has accumulated, are we are still unable to defeat global challenges like climate change, war, poverty, migration, extremism, and inequality?
Simon Anholt has spent decades helping countries from Austria to Zambia to improve their international standing. Using colorful descriptions of his experiences–dining with Vladimir Putin at his country home, taking a group of Felipe Calderon’s advisors on their first Mexico City subway ride, touring a beautiful new government hospital in Afghanistan that nobody would use because it was in Taliban-controlled territory–he tells how he began finding answers to that question.
Ultimately, Anholt hit on the Good Country Equation, a formula for encouraging international cooperation and reinventing education for a globalized era. Anholt even offers a « selfish » argument for he shows that it generates goodwill, which in turn translates into increased trade, foreign investment, tourism, talent attraction, and even domestic electoral success. Anholt insists we can change the way countries behave and the way people are educated in a single generation–because that’s all the time we have.
The Cancer Code
Our understanding of cancer is slowly undergoing a revolution, allowing for the development of more effective treatments. For the first time ever, the death rate from cancer is showing a steady decline … but the ‘War on Cancer’ has hardly been won.
In The Cancer Code, Dr Jason Fung offers a revolutionary new understanding of this invasive, often fatal disease – what it is, how it manifests and why it is so challenging to treat. In this rousing narrative, Dr Fung identifies the medical community’s many missteps in cancer research – in particular, its focus on genetics, or what he terms the ‘seed’ of cancer, at the expense of examining the ‘soil,’ or the conditions under which cancer flourishes. Dr Fung – whose ground-breaking work in the treatment of obesity and diabetes has won him international acclaim – suggests that the primary disease pathway of cancer is caused by the dysregulation of insulin. In fact, obesity and type 2 diabetes significantly increase an individual’s risk of cancer.
In this accessible read, Dr Fung provides a new paradigm for dealing with cancer, with recommendations for what we can do to create a hostile soil for this dangerous seed. One such strategy is intermittent fasting, which reduces blood glucose, lowering insulin levels. Another, eliminating intake of insulin-stimulating foods, such as sugar and refined carbohydrates.
For hundreds of years, cancer has been portrayed as a foreign invader we’ve been powerless to stop. By reshaping our view of cancer as an internal uprising of our own healthy cells, we can begin to take back control. The seed of cancer may exist in all of us, but the power to change the soil is in our hands.
Docus-dys – Football
Bienvenue dans la planète Foot ! Dans ce livre adapté, un auteur jeunesse et une spécialiste des troubles DYS répondent à la curiosité de tous les enfants sur les règles du jeu, les stratégies, les meilleurs joueurs, les clubs prestigieux, les championnats de légende…
Réalisé en partenariat avec la Fédération Française des DYS, cet ouvrage facilite la lecture et répond parfaitement aux besoins des enfants DYS ou en difficultés d’apprentissage. Tous les critères sont réunis pour permettre une découverte sereine du sujet par tous les enfants : police de caractères adaptée (OpenDyslexic), mise page aérée, fond beige, photo légendées et découpe du texte par unité de sens.
L’Hôtel de Ville de Dakar
Etat neuf – L’Hôtel de Ville de Dakar, coeur emblématique du pouvoir municipal
C’est un lieu d’une grande portée symbolique. Dans la capitale du Sénégal (plus de 3 millions d’habitants), où se concentre 80% de l’activité économique, le symbole est peut-être encore plus fort qu’ailleurs. Car l’endroit est chargé d’histoires ; celle avec un grand « H » qui lui donne sa profondeur mais aussi une multitude de petites histoires qui en font la richesse.
Cet ouvrage raconte sa construction en 1914, évoque les différents maires qui l’occupèrent, les évènements culturels qu’il accueillit et décrit enfin les travaux qui, en 2020, lui permirent de retrouver son éclat.
17e siècle, dans l’Empire allemand. Apprenant que sa sœur est mourante, notre bourreau au grand cœur, Jakob Kuisl, décide de se rendre à Ratisbonne. Après un voyage mouvementé sur le Danube en crue, et aussitôt qu’il arrive à bon port, il trouve sa sœur et son beau-frère baignant tous deux dans leur sang. Le testament le désignant comme unique héritier, tout porte à croire qu’il est le meurtrier. Il est alors arrêté. Pendant ce temps, sa fille Magdalena et Simon Fronwieser, le médecin auquel elle est secrètement fiancée, sont injustement accusés d’avoir provoqué la mort d’une femme qu’ils aidaient à accoucher. Ils s’enfuient hors de Bavière et arrivent eux aussi à Ratisbonne où ils ne tardent pas à apprendre la fâcheuse situation dans laquelle se trouve Kuisl. Ils décident de mener l’enquête, bientôt rejoints par un diplomate italien quelque peu excentrique et par les mendiants de la ville qui exercent un pouvoir souterrain…
L’auteur, Oliver Pötzsch, est lui-même le descendant des Kuisl, une lignée de bourreaux ayant exercé en Bavière.
Anciens combattants
C’est un travail de mémoire salutaire et émouvant. Le photographe burkinabè Warren Saré publie « Anciens combattants », un livre qui est le fruit de longues années de travail auprès de soldats africains engagés dans l’armée française, à l’époque coloniale, pour combattre en Algérie, en Indochine ou sur d’autres théâtres de guerre. Warren Saré a sillonné l’Afrique de l’Ouest (Burkina Faso, Bénin, Mali, Niger, Côte d’Ivoire, Sénégal, Guinée Conakry) et un peu la France à la recherche des anciens combattants qui ont marqué l’Histoire de la France et de l’Afrique. Depuis 19 ans, de village en village, il mène ses investigations pour retracer leurs portraits afin de pouvoir les présenter aux jeunes générations d’Afrique et d’Europe. L’objectif étant d’entretenir le devoir de mémoire.
Odile et Xavier (Intégrale)
1922. Xavier Blain, banquier, revient à Douceville vingt ans après avoir été éconduit par Clarisse. Devenue veuve, cette dernière tente de le séduire, mais c’est à Odile, la fille de Clarisse, que s’intéresse Xavier. Une inclinaison nourrie de tendresse, de désir et, pourquoi pas, d’un rêve de vengeance…
Ce cadavre exquis à grande échelle, qui a impliqué les élèves de quatre classes de Dakar, invente plusieurs destins entrelacés à partir de celui de la jeune Fatim, lancée dans un combat pour un monde meilleur, contre la résignation et l’impuissance devant l’injustice. Sa fin tragique ouvre sur le retour en Afrique de Ndèye, sa meilleure amie, dont nous suivons les pérégrinations, puis sur le sort incertain de Sabrina, sa fille, qui rencontrera enfin Fadel. Cette saga traduit le regard porté par les enfants sur le monde contemporain, ses valeurs en mutation, son devenir : migrants, traversées catastrophes avec leurs drames mortels, terrorisme, misère urbaine, sort des femmes, exil… mais aussi et surtout l’amour et les liens fraternels et familiaux ; tels sont les thèmes traités en profondeur et avec la légèreté apparente de la fiction.
La fille sans nom
Au retour d’un voyage épuisant, en descendant du train, une jeune femme se rend compte que son sac lui a été volé. Mais elle a un problème nettement plus grave : alors qu’elle veut déclarer le vol, elle ne se souvient plus de son nom. Elle a complètement perdu la mémoire. Son seul souvenir, c’est l’adresse de sa maison. N’ayant plus ses clés, elle frappe à la porte. Deux personnes inconnues lui ouvrent. Elle dit qu’elle habite là, dans cette maison. Tony et Laura affirment pourtant ne jamais l’avoir rencontrée. Quelqu’un ment forcément. Mais qui ? Et pourquoi ? Et la ressemblance de la jeune amnésique avec Jemma Huish, une dangereuse criminelle psychotique disparue depuis des années est pour le moins troublante. Seraient-elles une seule et même personne ? Que croire et à qui faire confiance quand on ne sait plus qui on est ?
Les cicatrices de la nuit
En se faisant muter à la brigade criminelle après vingt ans de « Mondaine », le commandant Philippe Valmy espérait s’éloigner des bars et des boîtes où il restait jusqu’à l’aube, et ainsi sauver son mariage. Mais quand il découvre que la victime de sa première affaire de meurtre est une de ses anciennes indics, il comprend tout de suite qu’il va devoir replonger dans les eaux troubles du Paris nocturne. Pour le pire. Les cicatrices de la nuit sont de celles qui ne s’effacent pas…
Sérotonine
« Mes croyances sont limitées, mais elles sont violentes. Je crois à la possibilité du royaume restreint. Je crois à l’amour » écrivait récemment Michel Houellebecq. Le narrateur de Sérotonine approuverait sans réserve. Son récit traverse une France qui piétine ses traditions, banalise ses villes, détruit ses campagnes au bord de la révolte. Il raconte sa vie d’ingénieur agronome, son amitié pour un aristocrate agriculteur (un inoubliable personnage de roman, son double inversé), l’échec des idéaux de leur jeunesse, l’espoir peut-être insensé de retrouver une femme perdue. Ce roman sur les ravages d’un monde sans bonté, sans solidarité, aux mutations devenues incontrôlables, est aussi un roman sur le remords et le regret.
Cap Canaille
Ancien du 36, désormais en poste à Marseille, Henri Saint-Donat est confronté à son premier « barbecue », règlement de comptes en vogue parmi les trafiquants de la cité phocéenne, qui consiste à enfermer un corps dans le coffre d’une voiture à laquelle on met le feu.
Flanqué d’équipiers hauts en couleur, le commandant commence l’enquête, mais la piste de la guerre des gangs ne donne rien. Lorsque l’identité de la victime est enfin confirmée, les choses prennent un nouveau tour : Henri a connu cette personne autrefois à Paris, et elle n’avait pas du tout le profil pour finir sa vie dans une voiture incendiée par des dealers marseillais …
Comme une ombre
Alexandra, la ravissante fille du milliardaire Richard Dickinson, se cherche en parcourant le monde. D’un tempérament plutôt indépendant, elle ne veut plus de sa jeunesse dorée ni des gardes du corps qui la suivent partout. D’ailleurs, elle s’acharne à les faire craquer les uns après les autres… Cependant, avec le nouvel ange gardien dont son père l’affuble, les choses s’annoncent différemment: en bon militaire, Tom Drake semble bien décidé à remplir sa difficile mission et à résister aux affronts de celle qu’il considère comme une petite fille gâtée. De Rio aux mystérieux palais sahariens, Tom la suivra comme une ombre. Coûte que coûte. Pourtant, à Marrakech, lorsqu’Alexandra lui joue un mauvais tour en faisant croire qu’elle a été enlevée, Tom est à deux doigts de jeter l’éponge. Mais il résiste encore. Et quand Alexandra est réellement kidnappée, il est le premier à risquer sa vie pour sauver celle de la jeune femme…
LIVRE NEUF – Première édition en 2011. Une nouvelle édition, disponible à la Librairie l’Agneau Carnivore à St Louis, avec un choix iconographique en partie différent mais même pagination est réalisée en 2020. Pierre Tacher naît en Saône et Loire en 1875 ; il débute sa vie professionnelle dans la fonction publique qu’il quitte très vite pour la photographie qui le passionne. Il ouvre d’abord un studio dans le centre de Lyon puis part avec son fils Maurice pour le Sénégal où il reprend très vite ses activités de photographe et d’éditeur de cartes postales aidé par sa femme qui le rejoint. Il se consacre principalement à la région de Saint-Louis pour laquelle il nous laisse environ 360 cartes postales qui constituent un patrimoine iconographique de premier intérêt couvrant le début du XXe siècle. C’est cette collection quasi-complète qui est présentée dans cet ouvrage suivant un regroupement thématique.
La proie
Au Cap, Benny Griessel et Vaughn Cupido, de la brigade des Hawks, sont confrontés à un crime déconcertant : le corps d’un ancien membre de leurs services, devenu consultant en protection personnelle, a été balancé par une fenêtre du Rovos, le train le plus luxueux du monde. Le dossier est pourri, rien ne colle et pourtant, en haut lieu, on fait pression sur eux pour qu’ils lâchent l’enquête.À Bordeaux, Daniel Darret, ancien combattant de la branche militaire de l’ANC, mène une vie modeste et clandestine, hanté par la crainte que son passé ne le rattrape. Voeu pieux : par une belle journée d’août, un ancien camarade vient lui demander de reprendre du service. La situation déplorable du pays justifie un attentat. Darret, qui cède à contre coeur, est aussitôt embarqué, via Paris et Amsterdam, dans la mission la plus dangereuse qu’on lui ait jamais confiée. Traqué par les Russes comme par les services secrets sud-africains, il ne lâchera pas sa proie pour autant…
Une chance sur un milliard
Je venais d’avoir onze ans lorsque j’ai pris conscience de ce qu’était le destin. C’est drôle, en repensant à cette soirée et à tout ce qui m’est arrivé d’important depuis, je me dis que dans une vie, on ne voit jamais venir les événements qui vont vraiment compter. Depuis ce jour, plus personne ne m’a pris dans ses bras. Enfin, jusqu’à la semaine dernière. C’était encore pour m’annoncer une nouvelle qui allait dynamiter mon existence. Il n’y a pas que les insectes qui se prennent des coups de pantoufle. Je ne sais pas qui les donne, mais si c’est un dieu, il chausse grand. À travers une histoire aussi réjouissante qu’émouvante, Gilles Legardinier nous entraîne au moment où chacun doit décider de ce qui compte réellement dans sa vie. Plus de temps à perdre. Plus question de s’égarer. Se jeter sans filet. Remettre les pendules à l’heure, dire, faire, espérer. Aimer, libre comme jamais.
Histoire d’@
Et si votre passé retrouvait le chemin de votre boîte mail ? Il est parti sans se retourner vers New-York qui lui tendait les bras. Et l’a laissée dans une incompréhension majeure. Douze ans après, il réapparaît derrière son écran, et commence alors une correspondance par mail, comme une conversation. L’occasion d’évoquer les souvenirs, et de se parler de leur vie. Mais quand le passé ressurgit, comment le présent pourrait-il ne pas être ébranlé ? Un roman épistolaire moderne qui rend hommage à l’amitié, questionne l’amour, et interroge les choix de vie.
La dame de Reykjavik
« L’inspectrice islandaise Hulda Hermannsdóttir est la meilleure héroïne tragique que nous avons lue depuis longtemps. » The Times
Hulda a tout donné à sa carrière. Mais en faisant toujours cavalier seul. Elle a beau être une des meilleures enquêtrices du poste de police de Reykjavik, à soixante-quatre ans, sa direction la pousse vers la sortie. La perspective de la retraite l’affole. Tout ce temps et cette solitude qui s’offrent à elle, c’est la porte ouverte aux vieux démons et aux secrets tragiques qu’elle refoule depuis toujours. Et ses échappées dans la magnificence des paysages islandais, pour respirer à plein poumons la sauvagerie de son île, ne suffiront plus, cette fois. Alors, comme une dernière faveur, elle demande à son patron de rouvrir une affaire non résolue. Elle n’a que quinze jours devant elle. Mais l’enquête sur la mort d’Elena, une jeune russe demandeuse d’asile, bâclée par un de ses collègues, va s’avérer bien plus complexe et risquée que prévu. Hulda a-t-elle vraiment pesé tous les risques ?
Promenons-nous dans ce bois
L’arrivée de la star du polar allemand !Un camping-car prend feu en pleine nuit, au milieu de la forêt. À l’intérieur : un homme carbonisé. Le commissaire Bodenstein et sa collègue Pia Sander découvrent vite qu’il s’agit d’un meurtre, bientôt suivi par d’autres, dans la même petite ville. Des gens sans histoires, qui de toute manière n’avaient plus longtemps à vivre. Quel intérêt de les supprimer maintenant ? L’enquête ramène les deux inspecteurs quarante ans en arrière, à l’été 1972, lorsque le meilleur ami de Bodenstein, Artur, disparut sans laisser de traces. Un traumatisme d’enfance dont le commissaire ne s’est jamais remis, et une histoire que beaucoup auraient préféré oublier. Un lien semble exister entre les meurtres récents et la disparition de ce petit garçon, jamais élucidée. Visiblement, le meurtrier n’a pas fini de faire taire ceux qui pourraient parler. Pour l’arrêter, un seul moyen : découvrir ce qui s’est vraiment passé à l’époque, là-bas, dans ce bois?
Lettres de sang
Hubert Hutchinson Alden Jr., businessman milliardaire, a tout pour lui : une femme superbe, un fils de huit ans qu’il adore, et une fortune qui ne cesse de croître. Assurer le bien-être des plus riches… Mais cette vie parfaite vole en éclats lors d’une nuit d’horreur, quand il découvre la tête décapitée de son chauffeur dans un sac sur lequel sont inscrites, en lettres de sang, les initiales de son fils. Peu après, ce dernier est enlevé… Jusqu’au jour où frappe un ennemi invisible ! À New York, seul un corps d’élite tel le NYPD Red, qui protège les rich and famous, est à même de « traiter » une telle affaire. Mais Zach Jordan et sa partenaire Kylie MacDonald – son ex-petite –, deux enquêteurs aguerris, sont loin de se douter du piège que leur a tendu le criminel…
Toutes les couleurs de la nuit
Le diagnostic est irrévocable. D’ici trois semaines, Vincent aura perdu la vue. Confronté à son destin, ce prof de tennis de trente-cinq ans qui avait tout pour être heureux expérimente le déni, la colère et le désespoir. Comment se préparer à vivre dans l’obscurité ? Sur qui compter ? Alors que le monde s’éteint petit à petit autour de lui et que chaque minute devient un parcours d’obstacles, il se réfugie à la campagne où il renoue avec ses souvenirs d’enfance. Les mains plongées dans la terre, Vincent se connecte à ses sens, à l’instant présent et aux autres. Il tente de gagner le match de sa nouvelle vie. C’est l’histoire lumineuse d’une renaissance, d’une transmission familiale et d’un amour hors normes. Une immersion sensorielle dans un univers méconnu.
Un terrain de basket-ball dans la jungle des Philippines ; une statue de la liberté à Taïpei ; des camions livrant du Coca-Cola dans les rues de Lahore ; un campus Rockefeller à l’université de Lyon ; un McDonald’s à Alexandrie : autant de signes de la dimension planétaire de l’empreinte états-unienne. Nés au XVIIIe siècle, et ayant connu un développement extraordinairement rapide, les États-Unis sont sans doute le premier pays, dans l’histoire contemporaine, à avoir eu à la fois l’ambition et les moyens de rayonner à l’échelle de la planète et de la reconfigurer, tant sur le plan économique que politique ou culturel. Y sont-ils parvenus ? Du cinéma à l’exportation de la démocratie en passant par la consommation de masse ou la peinture abstraite, Ludovic Tournès offre la première analyse totale du processus d’américanisation. Examinant son évolution et ses transformations, mais aussi ses limites, aux États-Unis comme ailleurs, depuis plus de deux siècles, il renouvelle notre compréhension d’un phénomène bien plus complexe qu’il n’y paraît. Ludovic Tournès est professeur d’histoire à l’université de Genève. Il a publié de nombreux ouvrages, parmi lesquels New Orleans Sur Seine. Histoire du jazz en France (Fayard, 1999), L’Argent de l’influence. Les fondations américaines et leurs réseaux européens (Autrement, 2010), ou encore Les États-Unis et la Société des Nations (1914-1946) : le système international face à l’émergence d’une superpuissance (Peter Lang, 2015).
Civilizations
Civilizations est le roman de cette hypothèse : Atahualpa débarque dans l’Europe de Charles Quint. Pour y trouver quoi ? L’Inquisition espagnole, la Réforme de Luther, le capitalisme naissant. Le prodige de l’imprimerie, et ses feuilles qui parlent. Des monarchies exténuées par leurs guerres sans fin, sous la menace constante des Turcs. Une mer infestée de pirates. Un continent déchiré par les querelles religieuses et dynastiques. Mais surtout, des populations brimées, affamées, au bord du soulèvement, juifs de Tolède, maures de Grenade, paysans allemands : des alliés. De Cuzco à Aix-la-Chapelle, et jusqu’à la bataille de Lépante, voici le récit de la mondialisation renversée, telle qu’au fond, il s’en fallut d’un rien pour qu’elle l’emporte, et devienne réalité.
La chambre bleue
Policiers, juge et psychiatre cherchent à comprendre l’étrange comportement de Tony Falcone, après la mort de Nicolas, le mari de sa maîtresse. Ancien ouvrier, fils d’immigré italien à la tête d’une petite entreprise de vente de tracteurs et de machines agricoles, Tony est marié à Gisèle et père d’une petite Marianne. Mais il vivait en secret, il y a quelques mois encore, une relation amoureuse avec Andrée. Etait-il amoureux d’elle ? Il ne peut aujourd’hui l’affirmer. Ses jeudis après-midi, dans la chambre bleue de l’hôtel, dont son frère Vincent est le propriétaire, étaient bercés de « je t’aime » auxquels, il ne savait quoi répondre. Andrée et lui « formaient un tout avec leur corps, leur salive, leur sueur ». Des promesses étaient effleurées et surtout des questions restaient sans réponse : « Dis moi, Tony, si je devenais libre ? Tu te rendrais libre aussi ? » À la mort suspecte de Nicolas, Tony est brusquement parti avec sa famille et affirme aujourd’hui, à ceux qui l’interrogent n’avoir jamais reçu les lettres qu’Andrée lui adressait. « Tout va bien », écrivait-elle. Tony sait que, même innocent, il est coupable. Et les jurés s’apprêtent à le condamner. Henry Miller écrivait à propos de Simenon : « Je ne pensais pas qu’il était possible d’être à la fois aussi populaire et aussi bon. »
Un jardin en Australie
Quelque part vers le centre de l’Australie, la cité minière de Salinasburg s’étale en bordure du désert. Tout au bout, une petite maison de bois se cache dans un jardin à l’abandon. Deux femmes se racontent depuis cet endroit que les Aborigènes nommaient « le lieu d’où les morts ne partent pas ».
Tout commence dans les années 30. Ann, née dans la bonne bourgeoisie de Sydney, choisit contre l’avis de sa famille de suivre son mari aux confins du désert. Elle aura toute sa vie le projet fou d’y faire pousser un parc luxuriant. Soixante-dix ans plus tard, une jeune Française, Valérie, dirige un festival d’art contemporain dans la même région reculée. Sur un coup de cœur, elle s’installe dans une maison décrépie mais envoûtante, entourée de plantations désormais délaissées. Valérie est très inquiète pour sa petite fille Elena. A trois ans, Elena ne se décide pas à parler. Après sa mort solitaire, Ann veille secrètement sur ce qui reste de son jardin et sur ses nouveaux habitants….
Si éloignées, si dissemblables, Ann et Valérie affrontent toutes deux l’adversité et trouvent un vrai réconfort là, au bout du monde. Et bien qu’elles ne puissent se connaître ni même se croiser, elles se rencontrent par-delà les années dans cet envoûtant coin de verdure. Un havre de liberté. Un jardin à soi.
L’illusion
Bienvenue à Val Quarios, petite station de ski familiale qui ferme ses portes l’été. Ne reste alors qu’une douzaine de saisonniers au milieu de bâtiments déserts. Hugo vient à peine d’arriver, mais, déjà, quelque chose l’inquiète. Ce sentiment d’être épié, ces « visions » qui le hantent, cette disparition soudaine. Quels secrets terrifiants se cachent derrière ces murs ? Hugo va devoir affronter ses peurs et ses cauchemars jusqu’à douter de sa raison. Bienvenue à Val Quarios, une « jolie petite station familiale » où la mort rôde avec la gourmandise d’une tempête d’été.
La fille du train
Entre la banlieue où elle habite et Londres, Rachel prend le train deux fois par jour : à 8 h 04 le matin, à 17 h 56 le soir. Et chaque jour elle observe, lors d’un arrêt, une jolie maison en contrebas de la voie ferrée. Cette maison, elle la connaît par coeur, elle a même donné un nom à ses occupants, qu’elle voit derrière la vitre. Pour elle, ils sont Jason et Jess. Un couple qu’elle imagine parfait. Heureux, comme Rachel et son mari ont pu l’être par le passé, avant qu’il la trompe, avant qu’il ne la quitte. Rien d’exceptionnel, non, juste un couple qui s’aime. Jusqu’à ce matin où Rachel voit Jess dans son jardin avec un autre homme que Jason. Que se passe-t-il ? Jess tromperait-elle son mari ? Rachel, Bouleversée de voir ainsi son couple modèle risquer de se désintégrer comme le sien, Rachel décide d’en savoir plus sur Jess et Jason. Quelques jours plus tard, c’est avec stupeur qu’elle découvre la photo de Jess à la une des journaux. La jeune femme, de son vrai nom Megan Hipwell, a mystérieusement disparu…
Ce que je ne veux pas savoir
Deborah Levy revient sur sa vie. Elle fuit à Majorque pour réfléchir et se retrouver, et pense à l’Afrique du Sud, ce pays qu’elle a quitté, à son enfance, à l’apartheid, à son père – militant de l’ANC emprisonné –, aux oiseaux en cage, et à l’Angleterre, son pays d’adoption. À cette adolescente qu’elle fut, griffonnant son exil sur des serviettes en papier. Telle la marquise Cabrera se délectant du « chocolat magique’, elle est devenue écrivaine en lisant Marguerite Duras et Virginia Woolf. En flirtant, sensuelle, avec les mots, qui nous conduisent parfois dans des lieux qu’on ne veut pas revoir. Ce dessin toujours inédit que forme le chemin d’une existence. Ce que je ne veux pas savoir est une œuvre littéraire d’une clarté éblouissante et d’un profond secours. Avec esprit et calme, Deborah Levy revient sur ce territoire qu’il faut conquérir pour écrire. Un livre talisman sur la féminité, la dépression, et la littérature comme une opération à cœur ouvert.
Lettre d’amour sans le dire
Alice a 48 ans, c’est une femme empêchée, prisonnière d’elle-même, de ses peurs, de ses souvenir douloureux (origines modestes, native de Cambrais, séduite et abandonnée, fille-mère, chassée de chez elle, cabossée par des hommes qui l’ont toujours forcée ou ne l’ont jamais aimée). Ancienne professeur de français, elle vit dans ses rêves et dans les livres auprès de sa fille, richement mariée et qui l’a installée près d’elle, à Paris. Tout change un beau jour lorsque, ayant fait halte dans un salon de thé, Alice est révélée à elle-même par un masseur japonais d’une délicatesse absolue qui la réconcilie avec son corps et lui fait entrevoir, soudain, la possibilité du bonheur. Cet homme devient le centre de son existence : elle apprend le japonais, lit les classiques nippons afin de se rapprocher de lui. Enfin, par l’imaginaire, Alice vit sa première véritable histoire d’amour. Pendant une année entière, elle revient se faire masser sans jamais lui signifier ses sentiments, persuadée par quelques signes, quelques gestes infimes qu’ils sont réciproques. Le jour où elle maitrise assez la langue pour lui dire enfin ce qu’elle ressent, l’homme a disparu… D’où la lettre qu’elle lui adresse, qui lui parviendra peut-être, dans laquelle elle se raconte et avoue son amour. Tendre, sensuelle, cette lettre est le roman que nous avons entre les mains : l’histoire d’un éveil. Ce qu’Alice n’a pas dit, elle l’écrit magnifiquement. Prête, enfin, à vivre sa vie.
Eva dort
Mille trois cent quatre-vingt-dix-sept kilomètres. Eva voyage en train depuis son Tyrol du Sud natal jusqu’en Calabre pour rendre visite à Vito, disparu de sa vie trop tôt et depuis trop longtemps, que la maladie menace d’emporter. Durant ce trajet du nord au sud de l’Italie, de sa région frontalière et germanophone au Sud profond, c’est toute son enfance et l’histoire de sa mère Gerda qui défilent dans sa tête. Celle-ci est si belle, si libre, une fille-mère parvenue à mener une prestigieuse carrière de chef cuisinière dans un grand hôtel de montagne et qui rencontre Vito, sous-officier des carabiniers en garnison dans ce coin de la péninsule agité par un mouvement indépendantiste. Eva se remémore aussi le destin du Haut-Adige, passé en 1919 de l’Empire austro-hongrois défait à l’Italie, que Mussolini essaya d’italianiser de force et qui par la volonté d’un homme, Silvius Magnago, obtint de Rome un statut d’autonomie mettant fin aux actions terroristes et évitant une probable guerre civile. Si sa région a finalement connu la paix et la prospérité, Eva, héritière innocente d’un amour impossible, a dû grandir sans Vito qu’elle veut à présent retrouver avant qu’il ne soit trop tard. Inoubliable fresque historique et familiale, Eva dort brosse le portrait d’une mère exceptionnelle et, à travers l’histoire du Tyrol du Sud, celui de toute la nation italienne à l’unité encore fragile. Kilomètre après kilomètre, le récit nous entraîne vers la rencontre du présent et du passé en un double voyage bouleversant.
Le cœur converti
Lorsque Stefan Hertmans apprend que Monieux, le petit village provençal où il a élu domicile, a été le théâtre d’un pogrom il y a mille ans et qu’un trésor y serait caché, il part à la recherche d’indices. Une lettre de recommandation découverte dans une synagogue du Caire le met sur la trace d’une jeune noble normande qui, à la fin du onzième siècle, convertie par amour pour un fils de rabbin, aurait trouvé refuge à Monieux. La belle Vigdis est tombée amoureuse de David, étudiant à la yeshiva de Rouen. Au péril de sa vie, elle le suit dans le Sud, commence à prier son dieu et devient Hamoutal. Son père ayant promis une forte somme à qui la ramènerait, des chevaliers se lancent à sa poursuite. Puis les croisés, de plus en plus nombreux sur le chemin de Jérusalem, semant mort et destruction dans leur sillage, s’intéressent à cette femme aux yeux bleus. C’est le début d’un conte passionnant et d’une reconstruction littéraire grandiose du Moyen Âge. S’appuyant sur des faits et des sources authentiques, cette histoire d’amour tragique, menée comme une enquête, entraîne le lecteur dans un univers chaotique, un monde en pleine mutation. Stefan Hertmans nous offre aussi un roman contemporain, celui d’une femme en exil que guide l’espoir.
Énergique et souriante, Camille, que ses proches appellent Milou,croque la vie à pleines dents. Elle est entourée de son mari et de ses amies et portée par un job qui la dynamise. Heureuse mère de trois enfants, elle attend un petit quatrième. Ce bébé, elle l’aime déjà et le surnomme Melba. Pourtant, un matin d’avril, l’examen échographique laisse entrevoir une malformation qui peut s’avérer lourde de conséquences pour le bébé. Milou se voit arrêtée dans son élan aussi brutalement que soudainement. Que faire ? Garder cet enfant dont son mari ne veut plus ? Se résoudre à se séparer du bébé ? Avec franchise et non sans humour, Camille Mortier aborde la difficile question du choix, et des décisions qui en découlent lorsqu’une femme doit envisager de mettre un terme à sa grossesse. Où s’arrête l’injonction sociale, et où commence le sacrifice de soi ? Doit-on suivre son intuition et aller à l’encontre de son entourage ou, au contraire, apprendre à renoncer pour le mieux de tous ? Un récit résolument optimiste, qui permet de comprendre, pas à pas, ce qu’une femme peut traverser tout au long de cette épreuve si particulière qu’est l’interruption médicale de grossesse.
L’île du crâne (1)
A PARTIR DE 10 ANS – David Eliot vient d’être renvoyé du collège et cette fois ses parents ont décidé de sévir ! Il se retrouve dans une école bien étrange, sur la sinistre île du crâne, au large de l’Angleterre. Très vite, il soupçonne le pire. Mais il est encore loin de la vérité…
The Animalies
Dans une petite ville paumée du Kentucky, une improbable complicité se noue entre cinq excentriques. Opal, octogénaire lubrique en bottes de cow-boy. De soixante-douze ans sa cadette, Ember, bassiste surdouée aux pulsions destructrices. La satanique Aurora, bombe frigide qui ne prend son pied qu’à la batterie. Ray, Irakien efféminé à la recherche du soldat qu’il a blessé pendant la guerre du Golfe. Enfin, le charismatique Luster, poète afro-américain,éternel incompris qui gagne sa vie comm commissaire de piste dans un cynodrome. Tous ont une passion, la musique, et un rêve conquérir le monde avec leur groupe totalement déjanté, The Anomalies.
Ceux qu’on aime
Une odyssée familiale puissante et passionnante.
Le grand retour de Victoria Hislop à la saga historique.
Athènes, milieu des années 1940. Récemment libérée de l’occupation allemande, la Grèce fait face à de violentes tensions internes. Confrontée aux injustices qui touchent ses proches, la jeune Themis décide de s’engager auprès des communistes et se révèle prête à tout, même à donner sa vie, au nom de la liberté. Arrêtée et envoyée sur l’île de Makronissos, véritable prison à ciel ouvert, Themis rencontre une autre femme, militante tout comme elle, avec qui elle noue une étroite amitié. Lorsque cette dernière est condamnée à mort, Themis prend une décision qui la hantera pendant des années.
Au crépuscule de sa vie, elle lève enfin le voile sur ce passé tourmenté, consciente qu’il faut parfois rouvrir certaines blessures pour guérir….
Une passionnante fresque familiale.
L’incident
Un virus à peine plus létal que la grippe a stoppé la marche du monde durant plusieurs mois. Un coronavirus, plus précisément, dont l’origine géographique n’est pas douteuse, contrairement à sa nature qui conserve aujourd’hui encore nombre de mystères. Face à lui, les institutions internationales ont failli, les gouvernements ont paniqué et les peuples ont été abreuvés de mensonges puis couverts de reproches. Dans certains pays, à l’instar de la France, l’impéritie des pouvoirs publics a provoqué une crise sanitaire sans précédent dans l’histoire récente. Des dizaines de milliers de personnes sont mortes parce que « le monde libre » l’est trop, tellement favorable à la circulation qu’il hésite à la restreindre même lorsqu’une épidémie frappe à ses portes. Les libéraux se définissent comme des pragmatiques ; pourtant, dans leur refus de fermer les frontières comme dans leur incapacité à produire des masques et des tests, c’est bien l’idéologie qui prime. Et c’est donc sur ce terrain-là, comme un fil rouge et en dernier lieu, qu’il faut replacer l’événement. Nicolas Lévine travaillait déjà au plus près de l’exécutif, quand la Covid-19 a commencé à tuer. Du marché de Wuhan aux maisons de retraite d’Europe en passant par les mégapoles occidentales avalées dans l’éclair de la pandémie, Nicolas Lévine reprend toutes les pièces du dossier. Ce faisant, il révèle l’incroyable légèreté de chefs dont le tempérament, les idées et la formation nous condamnaient au désastre. Revenant sur la naissance et l’expansion du virus, il pointe la responsabilité de la Chine, qui la nie avec un culot sidérant. Il fallait remonter toutes les pistes et relier toutes les polémiques de ce fantôme des nécropoles, et, grâce à des informations inédites, combler les trous dans le parcours tentaculaire de la pandémie, pour voir enfin, dans le silence de la mort mécanique, sa véritable histoire surgir des mers.
City trip : Lisbonne
Juste pour un week-end ou un séjour de quelques jours.Le guide qui vous fait voir l’essentiel et vous fait vivre comme un local. Dans chaque ville, les 12 lieux incontournables à ne pas louper et le meilleur des expériences restos, shopping et sorties.Un plan de la ville, une carte détaillée de chaque quartier et un plan des transports. « Première fois » ou thématiques, des idées de séjour détaillées pour profiter de la ville du matin au soir et jusque tard dans la nuit. Plus de 200 adresses authentiques ou « tendance » sélectionnées et testées par un auteur du cru : hôtels design ou locations d’appartement, boutiques de créateur ou friperie, restos gastro ou bistros sans chichi, bar classieux ou club alternatif.. Les interviews de figures de la ville avec leurs tuyaux et leurs adresses préférées. Un ton incisif et synthétique pour saisir l’esprit de la ville en un clin d’oeil.
Vous êtes enceinte et l’idée d’être privée de sommeil à l’arrivée de votre petit ange vous tourmente ? Vous feuilletez les différents livres de parentalité en espérant trouver une méthode simple, validée scientifiquement et sans pleurs ? Alors ce livre est fait pour vous. L’arrivée du petit ange au sein de la famille, chamboule assez souvent les habitudes de celle-ci et surtout le sommeil des parents. C’est normal un bébé a un tout petit estomac et doit être nourri fréquemment, ce qui n’est pas normal est que ça dure, au-delà des premières semaines de sa vie. Ce qui en résulte, des parents épuisés et surtout une maman stressée et fatiguée. « Si j’avais eu ce livre à l’époque de mes bébés j’aurais probablement eu moins d’inquiétude surtout à mon premier. Comme toutes les mamans on se pose énormément de questions pour un premier poupon. Je suggère donc à toutes les nouvelles mamans d’appliquer les méthodes recommandées dans ce magnifique livre qui déborde d’amour et de tendresse. Des textes clairs et des méthodes à votre portée rendront votre vie de nouvelle maman plus harmonieuse avec votre bébé et le reste de la famille. Il suffit d’un peu de courage et d’amour. Bonne lecture. » G.G maman de deux enfants.
La belle de Jérusalem
LE DESTIN DÉCHIRANT DE PLUSIEURS GÉNÉRATIONS DE FEMMES. Une malédiction semble avoir atteint la famille Ermoza : aucun des hommes ne se marie avec la femme qu’il aime. Même David, le mari de Luna, la « Belle de Jérusalem » que toute la ville courtise, ne peut en réalité oublier son amour perdu. Quand la tragédie frappe, Gabriela, la fille de Luna, découvre les secrets et mensonges qui lient les femmes de sa famille depuis plusieurs générations. Sur fond de bouleversements historiques, de la gouvernance turque à la création de l’État d’Israël, l’histoire de femmes qui font preuve de résilience face à un destin souvent déchirant.