L’affaire Lord Spenser
Claire est médecin et mène à Londres une vie apparemment sans histoires. Enfant, elle a pourtant eu à subir un événement traumatisant : tandis qu’elle dormait à l’étage de la propriété familiale, sa nounou a été assassinée et sa mère a échappé de justesse à l’agresseur. Le meurtrier présumé serait le père de Claire, un membre de l’aristocratie britannique, disparu sans laisser de traces. La mère a prétendu avoir reconnu son mari, les riches et puissants amis de celui-ci ont toujours clamé son innocence. Presque trente ans plus tard, Claire n’a pas surmonté le passé. Apprenant par la police que le fantôme qui la hante est peut-être encore en vie, elle part en quête d’une vérité qui lui est devenue indispensable. S’inspirant librement d’une célèbre affaire criminelle des années 1970 –; l’affaire Lord Lucan, le premier lord reconnu coupable de meurtre depuis le XVIIIe siècle –;, ce thriller glaçant met en scène une héroïne marquée au fer, déchirée par les liens du sang. Il offre aussi une réflexion très actuelle sur les ravages de la violence au sein du cocon familial, les privilèges de classe et la loi du silence.
Les jours heureux
« Edouard Vian et Laure Brankovic ont formé puis déformé pendant trente ans le couple le plus terrible et le plus célèbre du cinéma européen. Ils se sont mariés trois mois avant ma naissance. Ils ont divorcé quand j’avais un an. Se sont remariés quand j’en avais cinq et se sont à nouveau séparés pour mes quinze ans. Ils ont signé leur dernier divorce la veille de mes vingt-cinq ans. Entre temps ils ont fait une trentaine de film ensemble et un seul enfant : moi. A eux deux ils ont créé une sorte de légende, lui à la réalisation, elle au scénario. Moi… c’est une autre histoire. » Oscar, un jeune homme talentueux tente d’échapper à l’amour écrasant de ses parents, couple infernal et merveilleux qui ne sait vivre que dans l’urgence et la passion. Les tenir à distance est pour lui la meilleure manière de les aimer, jusqu’à ce matin de février où, dans le bureau glacial d’un hôpital, il apprend que sa mère est condamnée. Un secret qu’elle tient farouchement à garder. Naît alors en Oscar une idée absurde et obsédante : inciter ses parents à se retrouver une dernière fois, avec l’espoir secret que sa mère en sera sauvée. La difficulté ? Edouard Vian s’affiche depuis deux ans avec Natalya, une jeune franco-russe, influenceuse dans le milieu de la mode. Si, au départ, Oscar a le plus grand mal à supporter cette évaporée, Natalya va se révéler beaucoup plus complexe qu’il ne l’imaginait. Ainsi commence une ronde, entre Fitzgerald et Schnitzler, où ces héros fantasques et attachants jouent, se cachent, s’aiment, des marches de Cannes aux studios hollywoodiens, de Paris à New York et de la Grèce au Mexique, avant d’être percutés par les secousses de la grande histoire qui font peu à peu basculer le monde dans une ère nouvelle. A leur côté, dans les rues de Paris, sur un plateau de tournage, ou au sommet des Alpes, des amis, des amants, des femmes venues du passé. Mais aussi des disparus, des êtres de cruauté, et bien des énigmes. Tout mot est réplique. Tout personnage porte un masque. Connaître est impossible sans se départir d’un secret. Et tous aiment la vie, imparfaite mais follement vécue. Un talent romanesque magnifique et tendre, qui voit Oscar grandir, se débattre, oser, écrire, dissimuler avant de comprendre enfin ce qui l’affranchira de ses démons.
Le dernier des nôtres
«La première chose que je vis d’elle fut sa cheville, délicate, nerveuse, qu’enserrait la bride d’une sandale bleue…» Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme. Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d’un petit garçon. Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont-Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant… Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga. Vous ne dormirez plus avant de découvrir qui est vraiment «le dernier des nôtres».
Le dernier des nôtres
Manhattan, 1969 : un homme rencontre une femme. Dresde, 1945 : sous un déluge de bombes, une mère agonise en accouchant d’un petit garçon. Avec puissance et émotion, Adélaïde de Clermont-Tonnerre nous fait traverser ces continents et ces époques que tout oppose : des montagnes autrichiennes au désert de Los Alamos, des plaines glacées de Pologne aux fêtes new-yorkaises, de la tragédie d’un monde finissant à l’énergie d’un monde naissant… Deux frères ennemis, deux femmes liées par une amitié indéfectible, deux jeunes gens emportés par un amour impossible sont les héros de ce roman tendu comme une tragédie, haletant comme une saga. Vous ne dormirez plus avant de découvrir qui est vraiment « le dernier des nôtres ».