Beautiful Bastard
Beautiful Bastard met en scène la relation tumultueuse et torride entre un patron odieux et exigeant, l’irrésistible Bennett Ryan, et sa jeune collaboratrice, la superbe Chloé Mills, forte tête promise à un brillant avenir.
Un duel amoureux au bureau raconté alternativement par deux êtres dévorés par l’ambition et le désir.
« Un parfait mélange de sexe, d’audace et de sentiments » – C.S. Stephens
L’esprit vif, bosseuse et volontaire, Chloé Mills n’a qu’un seul problème, son patron : Bennett Ryan. Exigeant, direct, dépourvu de tact, ou d’une quelconque considération à l’égard d’autrui, il est absolument… irrésistible. Un salaud magnifique.
Bennett retourne à Chicago après avoir séjourné en France pour jouer au sein de l’entreprise familiale qu’il dirige, un grand groupe de media, un rôle de premier plan. Rien ne laissait supposer que son assistante chargée de l’aider à distance lorsqu’il était à l’étranger, puisse se révéler être, cette sublime créature – dotée d’une innocence toute provocatrice et absolument exaspérante – avec laquelle il allait désormais devoir travailler chaque jour.
Malgré sa réputation, Bennett n’est pas du genre à entretenir une aventure sur son lieu de travail. Mais Chloé est si séduisante qu’il envisage de faire une entorse à la règle – pour ne pas dire, la faire complètement voler en éclats – si c’est le seul moyen pour lui, de la conquérir, de se l’approprier, de la posséder.
Alors que désir et attirance mutuelle ne cessent de croître jusqu’à un point limite, de non-retour, Bennett et Chloé doivent décider exactement ce qu’ils sont prêts à perdre ou à sacrifier, pour continuer à s’auto-posséder, l’un l’autre sans répit.
Margot la ravaudeuse
Margot la ravaudeuse. Le Canapé couleur de feu. La Belle sans chemise ou Ève ressuscitée « Il y avait longtemps que le saint homme me convoitait, Dieu sait s’il fut fâché de trouver une si belle occasion de satisfaire le lubrique appétit qui le dévorait. (…) Le bon prêtre fit pendant toute la nuit et fort avant dans la journée des miracles de nature. Lorsque énervé, outré de fatigue il semblait prêt à succomber sous le plaisir, aussitôt son imagination luxurieuse inépuisable en ressources, lui prêtait de nouvelles forces. Chaque partie de mon corps était pour lui un objet d’adoration, de culte et de sacrifice. Jamais Arétin ni Clinchetel, avec tout leur savoir, ne furent capables d’inventer la moitié des attitudes et des postures qu’il me fit tenir ; et jamais les mystères de l’amour ne furent célébrés de meilleure grâce, ni de tant de manières différentes. »
L’homme assis dans le couloir
« Un homme, une femme. Un homme assis dans l’ombre d’un couloir, une femme allongée dans un jardin à quelques mètres de lui. On sait quelles niaiseries moralisatrices peut engendrer cette simplicité édénique. Marguerite Duras les esquive toutes à une altitude de sobriété et de rareté où l’oxygène manque pour en dire plus. Comme une émotion suffocante pour ce dernier épisode de ses aventures esthétiques (…) Pour dire cette simplicité fondamentale, Duras a renoncé aux coquetteries stylistiques qui firent précédemment sa renommée (…) L’écriture y gagne en intensité, tout entière dans ses répétitions, ses hésitations, ses troubles, ses silences, à la hauteur du sujet..»
Histoire d’O
Scandaleuse et mystérieuse, « Histoire d’O » est le récit d’une femme cherchant ses limites dans une sexualité violente et paroxystique. Prisonnière de son amant, celle-ci découvre dans le château de Roissy les plaisirs du sado-masochisme. Son initiation l’entraînera plus loin qu’elle ne l’imaginait: là où la jouissance ultime est d’appartenir à l’autre. Ce roman pornographique singulier d’une crudité rare est servi par une écriture froide et concise.
Nana blues
Leila est belle, riche et célèbre, mère comblée, peintre à succès. « Dard » Donegal profite d’elle, la torture, l’humilie, la trompe et Leila est prisonnière de la passion charnelle que lui inspire son jeune amant. Il faut qu’elle se reprenne, faute de quoi elle sombrera de nouveau dans l’alcool, la drogue, l’autodestruction.
Le bonheur
Un homme et une femme. Ils se plaisent, s’évitent, se trouvent. Ils font l’amour. Sans un je t’aime. Alors commence le bonheur. Mener deux vies, l’une officielle et l’autre non. Mettre le sexe au centre de tout. Croire à ce bonheur-là.
Désirs de femmes
Françoise Allain, Marie Boman, Lucie de Boutiny, Sophie Cadalen, Laure Clergerie, Anne-Lise David, Jeanne Decize, Marie-Laure Dougnac, etc …
Ces nouvelles érotiques écrites par les meilleurs auteurs féminins du genre couvrent toute la palette des désirs et des fantasmes. De la vengeance à la soumission, sans oublier la frustration, chacune des dix-sept nouvelles de l’ouvrage aborde sans retenue tous les penchants de la sexualité vue du côté des femmes. Désirs étranges, bizarres, sages, vicieux ou inavouables, c’est un nouvel univers de plaisirs qui s’offrent ainsi à la lecture. Du mâle torero, privé de ses attributs virils et jeté en pâture à une maîtresse sadique et vengeresse (Tauromachie),à l’homme à la verge d’or tant convoitée (Chadolor), en passant par les plaisirs inassouvis d’une vierge futuriste dans un paysage cybernétique (Terminal Désir) ou encore à la femme pantelante de soumission (Sur un air de piano) ; chaque récit traite avec justesse de l’érotisme féminin contemporain. Les textes de Françoise Allain, Marie Boman, Lucie de Boutiny ou Sophie Cadalen ont ceci de précieux qu’ils savent à la fois s’inspirer de légendes ou fantasmes les plus anciens et de visions particulièrement modernes de la sexualité. Les amoureux d’ébats sensuels, les adeptes du sado-masochisme ou encore des tentations saphiques, tous y trouveront le reflet de leurs rêves les plus fous, au gré des pages et dans un style propre à chacun des auteurs, invitant le lecteur à un voyage inédit dans les arcanes d’un érotisme à la fois tendre et sulfureux.
Les menottes et le radiateur
Vous dînez chez des amis. La conversation roule sur la passion. On raconte une histoire : amour fou, menottes et radiateur… L’imagination de chacun s’enflamme. Le plus torride reste à venir. Choderlos de Laclos et Vivant Denon hantent ce jeu littéraire, aussi moderne que malicieux. Un clin d’œil plein de légèreté et d’humour.