Chicane au Michigan
A peine arrivé à Traverse City après sept ans de taule, Waverly se demande ce qu’il est venu y faire. Retrouver son passé, croyait–il. Ce qui l’attend, c’est d’abord la très jolie Midnight. Et puis le frère de celle-ci, Clay, qui a gardé pour lui la drogue qu’il était chargé de faire transiter, en s’imaginant que ses vrais destinataires l’oublieraient. Et enfin ces derniers. Capables de tout pour la retrouver. Y compris de « chatouiller » les copines au couteau, la nuit, sur un parking. C’est qu’il n’y a pas moins d’un demi-million de dollars en jeu. Pour son premier roman, Tom Kakonis réussit un coup de maître, un thriller détonant, violent et drôle, dans la lignée d’Elmore Léonard.
Le Docteur Faustus
L’un des plus grands romans de Thomas Mann, composé aux Etats-Unis de 1943 à 1947, et dont la trajectoire trouve un écho flamboyant et tragique dans l’histoire contemporaine, le triomphe et l’apocalypse de l’Allemagne hitlérienne.
Brassant les mythes, renouant avec le démoniaque, paraphant son véritable testament spirituel d’artiste, Mann nous livre la biographie imaginaire d’un artiste qui, comme Nietzsche, braverait la folie pour porter la souffrance d’une époque dans son orgueil de créateur et, comme Schönberg, serait l’inventeur de la musique sérielle. » Jamais, disait-il, je n’ai autant aimé un personnage imaginaire. »
Crime et déluge
Le bonheur conjugal est de courte durée pour Agatha, une fois de plus délaissée par son mari. Punition divine, un véritable déluge s’abat sur la région, plongeant le petit village de Carsley sous les eaux. C’est le moral dans les chaussettes et sous une pluie torrentielle qu’Agatha aperçoit le corps sans vie d’une jeune femme en robe de mariée, un bouquet à la main, flottant dans la rivière. Pour noyer son chagrin, Agatha n’a qu’une solution : se jeter à corps perdu dans une nouvelle enquête…
La ligne noire
Femme d'un haut fonctionnaire parisien, Anna souffre d'amnésie, d'hallucinations terrifiantes. Une psychiatre lui révèle alors qu'elle a subi une opération de chirurgie esthétique importante. Quand, où, pourquoi, de cela Anna ne se souvient pas… Dans le Xe arrondissement de Paris, deux policiers sont chargés d'élucider les meurtres particulièrement horribles de trois Turques qui travaillaient dans les ateliers clandestins. L'un est un jeune inspecteur quasi débutant, l'autre un vieux routier du district, arraché à sa retraite. Au cœur de l'enquête, « les loups gris », une organisation turque d'extrême droite, mêlée à tous les trafics, des tueurs impitoyables. Leur piste va croiser celle d'Anna qui, petit à petit, retrouve son passé dans les lambeaux de sa mémoire. Un chassé croisé sanglant, plein de bruits et de fureur, où proies et prédateurs, manipulés et manipulateurs se confondent dans les décors funèbres d'un Paris secret et d'un Istanbul de terreur, jusqu'aux confins perdus de l'Anatolie.
Les combustibles
C’est la guerre et c’est l’hiver. Deux hommes et une femme sont terrés dans un appartement. Combien de jours leur reste-t-il à vivre ?
En attendant, il n’est plus interdit de révéler ses vraies passions. L’amour, le désir, l’intelligence résistent-ils au froid ? A-t-on le droit de consumer ses dernières forces à lire de la mauvaise littérature ? Enfin, à l’heure du choix ultime, quel livre est assez important pour ne pas être mis à l’épreuve du feu ?
Nos vaches sacrées
La France est foutue ? Condamnée au déclin ? Au toujours moins ? Evidemment faux. Mais alors pourquoi la France est-elle plongée dans cette déprime sans précédent ? Pourquoi ces banlieues qui explosent ? Ce chômage que rien ne fait reculer ? La racine du mal est dans le déni. Le refus de la réalité dans lequel se sont réfugiés les Français, politiques en tête. De Chirac aux gauchistes d’Attac. De Villepin à Fabius. Pour guérir la France, un seul remède : se débarrasser de nos vaches sacrées en acceptant le monde tel qu’il est. Car la France peut supporter la vérité. Au fil de son enquête, la journaliste Ghislaine Ottenheimer nous entraîne dans les coulisses du pouvoir, décrypte un monde hypocrite, déconnecté du réel. Mais elle raconte aussi comment, ici, en France, ou ailleurs en Europe, ceux qui ont décidé de réagir ont renoué avec le succès. Le cercle vertueux est à notre portée. Aux Français d’en décider. Il y a urgence.
La Plantation
Le Zimbabwe était leur terre, leur domaine, leur paradis… Jusqu’au jour où le » Président élu démocratiquement à vie » décide d’exproprier ces derniers Blancs qui se croyaient les rois du monde, les réduisant à la lutte ou à l’exil. Blues a dix-huit ans. Ses cheveux d’or et son caractère farouche enflamment tous les désirs. Fille d’un grand propriétaire terrien, sûre de sa supériorité et de son éducation, elle a vécu sur un nuage de privilèges, aimée, choyée, courtisée. Mais sous sa peau blanche bat le cœur, d’une femme née de cette terre d’Afrique qu’elle aime tant, et pour laquelle elle est prête à se battre et à mourir… Pour la première fois, un grand écrivain noir se met dans la peau des Blancs, des colonisateurs. Avec cette fresque tumultueuse et passionnée, Calixthe Beyala a réussi un véritable Autant en emporte le vent africain, peuplé d’êtres violents et chimériques, rusés et naïfs, Noirs et Blancs qui peinent à inventer ensemble une vie nouvelle.
« Lorsque l’enfant paraît … », il s’agit d’abord de lui trouver un prénom. Ce problème suscite généralement dans les familles une petite guerre sentimentale. La mère est ravie qu’on s’intéresse à ce point à son bébé, mais elle ne veut pas qu’on décide à sa place de quelque chose qui le concerne. Elle a raison : le choix du prénom est pour l’enfant d’une importance capitale. C’est ce que montre Pierre Le Rouzic dans ce livre amusant, instructif et… fort utile, où plus de 5000 prénoms sont cités. Il existe, sans aucun doute, des liens secrets entre le caractère d’un être et le prénom qu’il porte. Un prénom peut même, dans une certaine mesure, agir sur la personnalité de l’individu, voire sur son destin ! Ce qui incite à réflexion au moment du choix. Quels sont alors les principaux traits de caractère possédés en commun par tous les « détenteurs » d’un même prénom : les Paul, les François, les Marie …; les Guillaume, les Virginie, les Agnès … ? Au fil des pages, l’auteur passe méthodiquement en revue ce que chaque prénom suppose d’intelligence, d’intuition, de volonté, d’affectivité, de sociabilité… Un prénom pour la vie est le guide indispensable qui vous permettra de choisir, avec sérieux mais aussi avec amour, « son » prénom, attribut indissociable de sa personne – son visage pour toute son existence.
Même la vue la plus perçante
Au cours d’une nuit pluvieuse, Mundo Morales, shérif-adjoint d’une petite ville de Californie, pense être victime d’une hallucination en voyant le corps d’Attis McCurtain, son meilleur ami, flotter à la Surface de la rivière Salinas. Ce dernier, de retour du Vietnam où ils ont combattu ensemble, n’est-il pas interné pour démence ?
Pour Morales l’enquête ne fait que commencer tandis qu’à des kilomètres de là, au cœur des marécages du Mississipi, un vieil Indien, grand-oncle d’Attis, a pressenti le drame. C’est auprès de celui-ci que Cole McCurtain, le frère cadet d’Attis voulant fuir l’incorporation, est parti trouver refuge. Il ignore encore que le vieil homme l’attend afin de lui confier une bien étrange mission…
Mundo Morales et Cole McCurtain, tous deux guidés par leurs traditions – mexicaine et indienne – Vont vivre une aventure qui changera le cours de leur existence.
A travers ce roman lyrique où la nature et la spiritualité jouent un rôle majeur, Louis Owens, Choctaw et Cherokee, professeur de littérature à l’université du Nouveau-Mexique, s’affirme comme l’une des nouvelles voix de la littérature indienne contemporaine.
L’apparition
Le 12 décembre 1531, l’image de la Vierge Marie apparaît devant témoins sur la tunique de Juan Diego, un Indien aztèque. Quatre siècles plus tard, des scientifiques découvrent, dans les yeux de cette Vierge, le reflet des témoins de l’apparition. Embarrassé par les querelles d’intérêts qui se déclenchent autour de la canonisation de Juan Diego, le Vatican charge Nathalie Krentz, ophtalmologue qui ne croit en rien, d’aller réfuter le miracle. Impliquée malgré elle dans les combats secrets que se livrent scientifiques, politiques et princes de l’Église, poursuivie par l’esprit de Juan Diego qui, retenu sur Terre par les prières qu’on lui adresse, ne rêve que d’oubli, Nathalie finira par trouver ce qu’elle n’espérait plus : un sens à sa vie…
Un cercueil pour les caimans
Depuis cinq ans, Bobby Swift et sa femme Noëlle préparent l’arnaque du siècle. Par des techniques brahmaniques, Bobby va simuler la mort. Grâce à la complicité d’Eliot Wicker, l’entrepreneur des Pompes funèbres, il sera enterré vivant, avec deux bouteilles d’oxygène. De quoi tenir jusqu’à ce qu’Eliot et Noëlle viennent le délivrer. Le couple n’aura alors plus qu’à s’envoler jusqu’aux Iles Caïman où, sous une fausse identité, Bobby pourra empocher un magot de deux millions de dollars qui l’attend. Malheureusement, ce scénario parfait repose sur l’un des sentiments les plus fragiles qui soit : la confiance, et rien ne se passe comme prévu…
L’apparition
Je m’appelle Juan Diego, je suis un Indien aztèque, je suis mort en 1548 et depuis, j’attends. Je m’appelle Nathalie, je vis aujourd’hui, je suis médecin, j’ai quarante ans et je ne crois en rien. Deux personnes peuvent-elles s’entendre, se rejoindre et s’aider à quatre siècles de distance ?
Qui sommes-nous ?
Existe-t-il des « races pures » ? Les inégalités se répartissent-elles au hasard ou en fonction de l’appartenance ethnique ? La couleur de la peau détermine-t-elle le comportement et la culture ? Nul autre que Luca Cavalli-Sforza, directeur et initiateur du programme de recherche sur la diversité du génome humain, actuellement professeur de génétique à Stanford, n’était qualifié pour répondre. Faisant place nette des peurs, des tabous et des manipulations qui conduisent à la discrimination raciale et à l’épuration ethnique, le généticien italien, né à Gênes en 1922, nous raconte le vrai et fascinant roman de l’évolution humaine, où la couleur de la peau est une adaptation aux rayons solaires. Nous apprenons que les recherches sur les groupes sanguins et sur les chromosomes permettent aujourd’hui de dessiner les cartes très précises des groupes ethniques, de leur origine, de leurs croisements à travers les cent mille années d’histoire de l’homme moderne ; qu’il existe une correspondance étroite entre les groupes linguistiques et les groupes génétiques. Mais le mérite de Cavalli-Sforza tient à sa démarche interdisciplinaire qui lui permet, en s’appuyant sur les données de la génétique, de la paléontologie, de l’histoire et de la linguistique, d’analyser, puis de reconstruire les multiples aspects de la diversité humaine. Une diversité qu’il affirme être, en définitive, la meilleure garantie de survie pour notre espèce.
La rêveuse d’Ostende
Absolument dé-bor-dée !
Bienvenue dans un monde merveilleux, où il est enfin possible de solutionner un problème sans avoir à le régler et de piloter un projet sans s’en occuper. En devenant chargé de mission, Zoé Shepard pense avoir trouvé un travail : grossière erreur ! Plongée dans une ambiance de cour de recréation, elle oscille entre fou rire nerveux et consternation. Je suis officiellement prête à faire semblant de travailler.
L’Armoire des robes oubliées
Alors que sa grand-mère Elsa se meurt d’un cancer foudroyant et que tous ses proches se rassemblent pour adoucir ses derniers jours, Anna découvre que, derrière le mariage apparemment heureux de ses grands-parents, se cache un drame qui a marqué à jamais tous les membres de sa famille. Une vieille robe trouvée par hasard, et dont elle apprend qu’elle aurait appartenu à une certaine Eeva, va réveiller le passé. Cette Eeva, dont on ne lui a jamais parlé, aurait été, dans les années 60, la nourrice de sa mère. Mais Anna ne tarde pas à comprendre qu’elle a été beaucoup plus qu’une employée et que son grand-père, peintre célèbre, l’a profondément aimée.
Mrs Clark et les enfants du diable
Parce qu’elle y a été obligée, Mrs. Clark vit à New York avec ses deux enfants dans l’appartement de son oncle, le monstrueux milliardaire Willy Harrison. Elle supporte très mal de se sentir épiée jour et nuit, mais du moins ses enfants sont-ils en sécurité dans cette citadelle réputée imprenable, aux instruments de surveillance hyper sophistiqués. Et pourtant. Mrs. Clark va de nouveau se retrouver plongée dans un monde de violence et de perversité inouï. Confrontée aux grands pontes de la drogue et de la prostitution, exposée aux jalousies sordides et à la haine tenace des jumeaux, instruments de vengeance d’un mystérieux personnage, la paisible Mrs. Clark va sortir ses griffes. Cette fois, la vie d’un de ses enfants est enjeu. Après Des diamants pour Mrs. Clark, William Dickinson se révèle avec Mrs. Clark et les enfants du diable, comme un maître du roman d’action et de suspense.
Mort au cachemire
Janvier 1947. A Gulmarg, surplombant la vallée du Cachemire, pour une trentaine de Britanniques c’est la dernière saison de ski : dans quelques mois, dans l’Inde et tous ses protectorats, ce sera l’indépendance. Dernière saison à Gulmarg? Pour la vieille et charmante Mrs Matthews, pour la jeune et jolie Janet Rushton, il n’y aura plus jamais de sports d’hiver, ni en Inde, ni ailleurs : mortes toutes les deux, à trois jours d’intervalle, sur la piste Bleue. Curieux accidents pour des skieuses émérites. Pourquoi a-t-il fallu que Sarah Parish se réveille cette nuit-là ? Qu’elle écoute les dangereuses confidences de Janet ? Des millions de vies sont en jeu, et elle est seule, désormais, à savoir. Seule… avec l’assassin.
Natalia
Satovka, un village perdu au coeur de la Sibérie, on croit encore aux malédictions et aux sortilèges. Ainsi nul n’oserait franchir le seuil de la maison hantée depuis 150 ans par la comtesse Albina. Pourtant Tassburg, le jeune ingénieur venu de la ville, décide de s’y installer, et chacun pense qu’il n’en ressortira pas vivant. En pleine nuit, Tassburg est réveillé par une jeune fille qui prétend s’appeler Natalia. Poursuivie par un-homme, fuyant à travers la taïga, elle se cacherait depuis plusieurs jours dans la maison. Devant sa beauté peu commune, Tassburg tombe passionnément amoureux. Mais la mystérieuse et farouche Natalia n’est-elle pas le fantôme de celle qui fut assassinée là jadis, la comtesse Albina Igorevna?
Les prénoms épicènes
Les prénoms épicènes peuvent être à la fois masculins et féminins. A ce nom savant on préfère souvent le terme de prénoms mixtes. Derrière le titre d’Amélie Nothomb, l’histoire d’une relation père fille. Ce roman sera en quelque sorte une contrepartie du précédent « Frappe-toi le cœur », qui traitait d’une relation mère fille.
Les gens de Misar
Cité du désert, Misar s’est retirée du monde depuis trente ans. Plus personne n’y entre, plus personne n’en sort. Seul, un professeur français est invité officiellement dans son université. Jérôme Ligner se porte volontaire. Misar ? Une ville austère et baroque, misérable et opulente, pétrifiée dans la chaleur et dans l’angoisse — une ville en forme de piège. Les gens de Misar ? Depuis le temps, ils ont désappris la révolte ; ils vivent par habitude. Mais pour Jérôme Ligner, chaque visage est une étape dans la connaissance de cette ville. Roman d’aventures ? Fable politique ? Quête amoureuse ? En tout cas, Misar, ce rêve de pureté figé dans la pierre du désert, n’est pas peuplée de monstres, et le malaise qu’elle provoque naît d’une réalité qui est peut-être la nôtre. Ecrit dans une langue qui allie la sobriété à la sensibilité, ce très beau roman a obtenu le Prix des Quatre Jurys.
Tome 1 – Sur tous les fronts
Le nouvel objectif du terrorisme islamiste : frapper au coeur l’Amérique profonde plutôt que ses symboles. Et pour mieux infiltrer le pays, un allié aussi improbable que déterminé : les cartels de la drogue mexicains. Ex membre des commandos SEAL recruté par les services spéciaux de la CIA, Max Moore revient du Pakistan. Il est l’homme de la situation. Le seul capable de combattre sur tous les fronts. « Espérons que ce plan d’attaque des grands aéroports américains ne tombera pas entre les mains des talibans ! Des attentats du 11 septembre à l’exécution de Ben laden, Tom Clancy a souvent fait preuve d’un incroyable sens de l’anticipation, alors croisons les doigts… Vous allez dévorer ce Clancy pur jus ! » Washington Times.
Net force 2 : Programmes fantômes
2010. Panique sur le Net : vols de fichiers, blocages de réseaux et détournements de fonds bancaires se multiplient. Ce n’est que le début. Bientôt, des informations confidentielles sont divulguées : formules de fabrication de puissants explosifs chimiques, liste des agents de la CIA opérant à l’étranger. Les unités d’intervention de la Net Force doivent faire face à ce qui pourrait être un fléau. D’autant plus qu’une commission sénatoriale met en doute l’efficacité de l’homme qui est à la tête de ce service : Alex Michaels. L’enjeu est de taille, la sécurité du monde en danger. Pour les agents de la Net Force et autres internautes, le temps presse L’ennemi est peut-être plus dangereux qu’on ne le pense. Après Net Force 1, la suite de la série-culte signée Tom Clancy. Entre réalité virtuelle et géopolitique, espionnage et technologie de pointe, Net Force explore les arcanes du Web.
Commandant en chef 2
Des éco-terroristes coulent un navire en Lituanie. Au Venezuela, un procureur est sauvagement assassiné. Des pseudo-milices d’extrême-droite font des dizaines de morts dans l’attaque d’un train blindé russe. à Bruxelles, un attentat vise les institutions européennes. Aux quatre coins de la planète, un seul et même objectif : déstabiliser l’équilibre international. Mais au profit de qui ? Jack Ryan et ses hommes en sont persuadés : Volodine, le maître du Kremlin, est prêt à tout pour récupérer les marchés de l’énergie, au risque de déclencher une troisième guerre mondiale. Mais, pour agir, il faut des preuves. Tandis que les services secrets tentent l’impossible pour remonter aux sources du chaos, Jack Ryan se bat pour rassembler une coalition de nations décidées à abattre l’ennemi. Car c’est bien la liberté du monde occidental qui est en jeu.
Lorsque j’étais une œuvre d’art
Qui n’a jamais rêvé de devenir un objet ? Mieux même, un objet d’admiration? Tel est le pacte que scellent un artiste excentrique et un jeune homme désespéré. Le premier, avide de scandale, propose au second, avide d’exister, de le transformer en oeuvre d’art. Après tout, il n’a rien à perdre, sinon la liberté.
La boîte de Pandore
Savez-vous qui vous êtes vraiment ? Êtes-vous sûr de ne pas avoir vécu d’autres vies ? René Toledano, professeur d’histoire, assiste à un spectacle d’hypnose au cours duquel il est choisi dans le public pour participer à une séance. Il se retrouve alors projeté dans ses vies précédentes et se demande s’il peut influer sur les événements.
La dictature des syndicats
Qui dirige Bercy ? Matignon ? Le ministre ? Non : le SNUI, le syndicat maison. Et l’Éducation nationale ? Le SNES et la FSU. Et la liste est longue. Car ils font la loi. Ils sont en grève quasi permanente comme à la SNCF. Ils refusent tout changement et cassent les ministres qui s’essaient à de timides réformes. Qui sont-ils ? Les syndicats bien sûr. FO, la CGT, SUD, la CFDT, chacun a son bastion et le défend, au besoin contre l’intérêt général. Nulle part ailleurs la politique fiscale ou les avancements au sein de l’administration ne sont décidés par des syndicalistes ; nulle part ailleurs un gouvernement démocratiquement élu n’est forcé de s’incliner devant leur diktat. Et pourtant, ils sont numériquement les plus faibles de toute l’Europe. Quels intérêts préservent ces lobbies qui, derrière la conservation des « avantages acquis », bloquent la France ? D’où vient leur argent ? Que peuvent faire les citoyens et les entreprises victimes de cette dictature pour s’en défendre ? Autant de questions auxquelles ce livre apporte des réponses précises et claires dans cet essai sur les nouveaux maîtres de la France.
Robert des noms propres
Les tueurs ont des fragilités plus ou moins incompréhensibles. Et l’on n’imagine pas l’influence du hoquet d’un fœtus sur une fillette de dix-neuf ans enceinte, à fleur de peau ! A fortiori après huit heures d’insomnie. Ajoutez à cela une petite querelle sur le choix du prénom… et hop, voilà Lucette qui vide le chargeur d’un revolver sur la tempe de son mari endormi ! Rien de tel pour faire disparaître le hoquet ! Vite fait, bien fait… D’ailleurs, tout file sur les chapeaux de roue dans ce nouvel opus d’Amélie Nothomb. Robert des noms propres est l’histoire de cette enfant née en prison, dont la mère a flingué sèchement le père avant de baptiser sa fille Plectrude et de se suicider dans sa cellule. Il y a mieux comme géniteurs ! Surtout quand par la suite on est recueilli par un oncle et une tante qui vous élèvent comme une princesse, à tort et à travers, avec qui tous les coups sont permis, les plus excentriques, les plus capricieux. C’est là l’itinéraire d’une gamine hors norme, belle et farouche, rebelle et prodigieusement intelligente, cancre et douée à la fois, qui se voit danseuse et petit rat à l’Opéra, se nourrit des pages du dictionnaire Le Robert, sombre dans l’anorexie avant de connaître les révélations de sa naissance, de vivre avec « l’homme de sa vie » et de rencontrer… l’auteur ! Conduisant son récit avec légèreté et une distance ironique, Amélie Nothomb démontre bien encore (à raison d’un roman par an !) qu’elle possède le feu de l’écriture. Le feu de Dieu et des démons à en croire la touche finale de ce Robert des noms propres, au titre aussi subtil que Cosmétique de l’ennemi ou Hygiène de l’assassin… –Céline Darner
L’exécuteur du Mékong
Membre du 3ème détachement d’Infanterie américain. Après son service militaire, il a terminé ses études à l’Université de l’Arizona avec un diplôme de journalisme et est allé travailler pour Newsweek comme un journaliste, se rendant par la suite au Vietnam et au Liban. Il s’est ensuite retrouvé Chef de Bureau de Newsweek à Londres et, plus tard, à Nairobi. Retraité en 1981, il a consacré son temps à l’écriture de romans et de nouvelles.
Lettre ouverte aux fatiqués…
Né en 1937, Lionel Chouchon a fait toute sa carrière dans la publicité en tant que concepteur-rédacteur et créateur d’agences (Promo 2000 devenu Le Public Systeme). C’est également un grand amateur de cinéma : il est délégué général du festival d’Avoriaz (aujourd’hui festival international du Film fantastique de Gérardmer), créateur et délégué du festival du Film américain de Deauville et délégué du festival international du Film policier de Cognac. Il a écrit un dizaine d’ouvrages, la plupart sur le ton de l’humour, dont De la boulotique à la débilotique en passant par la Lorraine avec mes sabots (Grand Prix de l’humour 1989), Par 35 ° de lassitude nord, L’Homme qui ne supportait pas les infos.
Le soleil de minuit
Mandchourie, 1926.
Un ingénieur français s’installe à l’arsenal de Moukden. Un homme rangé, ce Forestier. Bon père de famille. Brillant polytechnicien. Et pourtant… Une rencontre, un soir… Soudain tout bascule ! Au Soleil de minuit, bar étrange perdu parmi les ruelles poisseuses de la ville, il l’a reconnue… La princesse Armide ! Eblouissante princesse au parfum d’ivresse ! Jadis, dans le tumulte de la Révolution soviétique, il l’avait aimée à la folie.
Pour elle, il avait tout risqué : sa vie, sa fortune, son honneur… Mais elle exigeait de lui davantage : une soumission totale à son ivrogne de père, ancien général du Tsar. Puis un matin, le père et la fille avaient disparu sans laisser de traces. Voilà qu’il la retrouve… Est-il prêt à la suivre de nouveau ? Au Soleil de minuit, une autre histoire commence…
« Grand voyageur, reporter passionné, Pierre Benoit (1886-1962) a fait rêver des générations de lectrices, et de lecteurs, avec ses romans flamboyants où un érotisme sous-jacent le dispute à un exotisme assumé.
Les roses noires
Cybèle, Nora, Rome, Vivi : quatre femmes, quatre histoires qui représentent chacune une forme de résistance. À la guerre, au fascisme, à la mort, à l’oubli. Quatre roses noires qui n’ont pour arme que leur courage, leur détermination et leur force d’aimer. Ce sont elles les véritables héroïnes de cette dystopie. Entraînant dans leur sillage Orden, un poète réfractaire, poursuivi par la milice armée à la solde de l’ordre nouveau qui gouverne le pays, elles sont les fers de lance d’un réseau de résistance qui prépare une insurrection. Dans ce roman politique, engagé, Gérard Mordillat, l’auteur de La Tour abolie et La Brigade du rire, nous parle de la France d’aujourd’hui et d’un monde qui est presque déjà le nôtre : celui de la confiscation des outils démocratiques, de la carte blanche laissée à la police, de la surveillance généralisée, de l’ambiance insurrectionnelle qui ne cesse de croître. L’écrivain des Vivants et les morts va droit au but : « Ce livre d’urgence, il faut le lire comme on boit un alcool fort ! »
Le Dit de Tianyi
Lors d’un voyage en Chine, l’auteur retrouve le peintre Tian-yi, connu autrefois, qui lui remet ses confessions écrites. Tian-yi a vécu l’avant-guerre dans une Chine en plein bouillonnement. Plus tard, dans les années 1950, il est allé en Occident, où il a découvert une autre vision de l’art et de la vie.
De retour dans son pays soumis aux bouleversements de la révolution, il a voulu retrouver deux êtres chers : Yumei, l’amante, et Haolang, l’ami.
Mais une histoire dramatique les a emportés dans des tourmentes où Tian-yi, à son tour, sera pris …
Poète, traducteur, essayiste, spécialiste des arts de son pays d’origine, François Cheng a su métamorphoser le témoignage vécu en une extraordinaire fresque romanesque, saluée par toute la critique et couronnée par le prix Femina 1998.
Un enfant
Le roman débute sur le gros coup de blues d’une star du journalisme : « Toutes les roueries des journalistes, leurs petites habitudes, leurs obsessions monomaniaques, leurs opinions pré-congelées lui étaient devenues insupportables. » Dès les premières lignes on se dit qu’on est en route pour une autobiographie masquée, un roman à clé où la fatuité des journalistes de « Téléramage », le caractère velléitaire de la chaîne Canal Première et un certain Jacques Lestrade sont habilement mis en scène et démasqués. Assurément Patrick Poivre d’Arvor s’amuse. Et règle quelques comptes au passage. Le gros chat placide sort ses griffes. C’est une autobiographie masquée, c’est ça ? Eh bien non, c’est une fiction. Un enfant le nouveau roman signé PPDA, met en scène une jolie femme brune de 39 ans, Barbara Pozzi, journaliste accomplie, considérée comme le fer de lance de la chaîne Canal Première. Barbara a, comme on le dit dans ces cas-là, tout ce qu’une femme peut espérer à son âge: la beauté, l’argent, la gloire. Cela ne lui suffit vraiment pas, elle doute. D’elle, des hommes, de son métier. Voilà qu’une enquête sur le clonage animal redonne un coup de fouet à l’instinct intrépide de la belle journaliste. Elle apprend par une indiscrétion l’éventualité d’un clonage humain réalisé en Écosse. Barbara plaque tout et part enquêter. Adieu roman à clé…le thriller peut commencer. Denis Gombert
Lentement, place de l’église
» J’écris cela au début d’un siècle, n’importe lequel, dequelque part en France. Il a gelé la nuit dernière, nousverrons à la Pentecôte, peut-être avant, si les rosiersauront résisté. J’ai retrouvé le pull-over rouge que lafemme du Duc avait tricoté pour Stéphane. Je ne prendraipas froid. Ma mère m’appelle « mon grand ». Plus rien nepresse. » P. S.Avec le temps, le journal prend une autre dimension. Abrupt, choquant, outrancier, péremptoire, mais authentique et souvent juste, il s’inscrit dans la lignée des idoles littéraires de son auteur : Emmanuel Berl, dont il fut le secrétaire et l’ami, Jouhandeau, Chardonne, Léautaud.(Hugo Marsan, Le Monde.)
Embrassez-moi
C’est à New York aujourd’hui. C’est à Rochester dans les années 80. C’est à Hollywood… C’est à Paris… C’est en Tchéquie avant et après la chute du Mur… Angela est française. Elle est souvent passée à côté de l’amour sans le voir, mais cette fois, elle est face à sa peur viscérale d’aimer… Louise est américaine, ancienne star de cinéma. Elle dialogue avec Angela, lui raconte sa vie, ses amours, ses échecs. C’est auprès de Louise qu’Angela cherche des réponses… Virgile est français. Il aime, mais il se méfie, on ne sait presque rien de lui… Mathias est tchèque. Rien ne peut le détourner de sa route. Il refuse de s’abandonner. Angela le cherche, il la fuit, ils se retrouvent… Il y a tous les autres, les fantômes du passé qui entrent et sortent, qui forment une grande ronde de secrets, de blessures, de rires et d’amour…
Automne 1830, dans un Paris fiévreux encore sous le choc des Journées révolutionnaires de juillet, le gouvernement de Louis-Philippe, nouveau roi des Français, tente de juguler une opposition divisée mais virulente.
Valentin Verne, jeune inspecteur du service des mœurs, est muté à la brigade de Sûreté fondée quelques années plus tôt par le fameux Vidocq. Il doit élucider une série de morts étranges susceptible de déstabiliser le régime.
Car la science qui progresse, mêlée à l’ésotérisme alors en vogue, inspire un nouveau type de criminalité. Féru de chimie et de médecine, cultivant un goût pour le mystérieux et l’irrationnel, Valentin Verne sait en décrypter les codes. Nommé par le préfet à la tête du « bureau des affaires occultes », un service spécial chargé de traquer ces malfaiteurs modernes, il va donner la preuve de ses extraordinaires compétences.
Mais qui est vraiment ce policier solitaire, obsédé par la traque d’un criminel insaisissable connu sous le seul surnom du Vicaire ?
Qui se cache derrière ce visage angélique où perce parfois une férocité déroutante ?
Qui est le chasseur, qui est le gibier ?
Dans la lignée des grands détectives de l’Histoire, de Vidocq à Lecoq en passant par Nicolas le Floch, un nouveau héros est né.
Tome 2 – Gaspard des montagnes
Lorsqu’en 1922, Henri Pourrat obtenait le Prix du Figaro pour son Gaspard des Montagnes, une nouvelle renommée littéraire naissait qui ne devait cesser de grandir. L’Académie consacrait ce choix, en 1931, en décernant à Henri Pourrat son Grand Prix du Roman, pour les quatre volumes de l’histoire de Gaspard. jamais l’âme et les traditions d’un pays n’avaient été mieux exprimées par un auteur. Henri Pourrat a su se plonger au sein du folklore d’Auvergne pour nous en faire sentir, à travers le récit pittoresque des amours de Gaspard et d’Anne-Marie et grâce à l’enchantement d’un style fleurant bon le terroir, toute la poésie et les qualités humaines.
Tome 1 – Gaspard des montagnes
Lorsqu’en 1922, Henri Pourrat obtenait le Prix du Figaro pour son Gaspard des Montagnes, une nouvelle renommée littéraire naissait qui ne devait cesser de grandir. L’Académie consacrait ce choix, en 1931, en décernant à Henri Pourrat son Grand Prix du Roman, pour les quatre volumes de l’histoire de Gaspard. jamais l’âme et les traditions d’un pays n’avaient été mieux exprimées par un auteur. Henri Pourrat a su se plonger au sein du folklore d’Auvergne pour nous en faire sentir, à travers le récit pittoresque des amours de Gaspard et d’Anne-Marie et grâce à l’enchantement d’un style fleurant bon le terroir, toute la poésie et les qualités humaines.
Le chasseur vert
L’enfant et le garde-chasse (le chasseur vert du titre). Beau roman nervalien qu’on peut également rapprocher du « Grand Meaulnes », dans lequel on retrouve la sensibilité de l’auteur pour les arts (la vieille servante peint des « portraits d’âme », etc.) et son goût du merveilleux.
Op-Center – Tomes 5, 6, 7 et 10
Tome 5 – Rapport de force – Tragique événement pour Op-Center : l’un de ses agents vient d’être abattu en pleine rue, à Madrid où il menait une mission diplomatique secrète. Les meurtriers ? Les terroristes basques sont bien sûr soupçonnés. Mais ne s’agit-il pas plutôt d’une machination ? … L’Europe tout entière qui risque de se transformer en une véritable poudrière.
Tome 6 – Etat de siège – État de siège à l’ONU : un groupe d’ex-Casques bleus vient de s’emparer de diplomates et de leurs invités lors d’une réception officielle à New York. Parmi les otages, la fille de Paul Hood, l’homme à la tête d’Op-center. 100 millions de dollars : le prix de la rançon. L’enjeu est grave.
Tome 7 – Diviser pour régner – La crise internationale et le désordre politique sont à leur paroxysme. Situation idéale pour s’emparer du pouvoir. Mais pour régner, il faut diviser. Attiser les tensions entre l’Iran et l’Azerbaïdjan et impliquer les États-Unis et la Russie : c’est le but d’un redoutable réseau terroriste.
Tome 10 – Chantage au nucléaire – Lorsqu’un homme d’affaires influent prend goût au terrorisme,
le pire est à craindre … Panique en Asie du Sud-Est ! Au large des côtes indonésiennes, non loin d’un site de décharge nucléaire utilisé par la Chine, la Corée et le Japon, la collision entre un mystérieux yacht et le sampan de pirates singapouriens fait de nombreuses victimes…
Power Games (04) – Frappe biologique
Ce n’est plus un cauchemar.
C’est peut-être déjà la réalité.
L’arme parfaite. Celle qui a le pouvoir de détruire l’humanité entière mais permet de cibler ses victimes.
Un virus dormant qu’une simple injection de microcapsules permet d’activer.
Toutes les capitales du monde sont en état d’alerte. Il faut trouver la riposte à ce fléau qui menace la planète.
Maintenant ou jamais.
Avec Dette d’honneur et Sur ordre, Tom Clancy avait malheureusement deviné et décrit l’horreur et le terrorisme aveugle d’aujourd’hui. Frappe biologique, dont la vraisemblance géopolitique rattrape la pire des actualités, ne fait que confirmer que toute ressemblance avec des situations ou des personnages réels n’ont plus rien d’imaginaire.
Power Games (01) – Politika
La mort de son président amène la Russie au bord du chaos. Les trois hommes qui assurent l’intérim – un nationaliste, un réformiste, un communiste – se révèlent incapable d’empêcher une famine accrue par de mystérieux attentats contre des silos à grains.
Au même moment, le terrorisme frappe en plein New York, faisant des centaines de victimes. Comme si l’on voulait rendre impossible l’aide que les États-Unis s’apprête à apporter à Moscou.
Businessman à la tête d’une société de haute technologie, Roger Gordian a compris la menace. C’est à son propre réseau, composé de managers et d’experts, mais aussi d’ancien agents des services secrets, qu’il confie la mission d’enrayer cet engrenage.
Le prix à payer sera terrible. Le combat haletant.
L’auteur d’Octobre rouge nous entraîne dans les coulisses du vrai pouvoir mondial.
Power Games (05) – Guerre froide
En procédant à l’installation d’une base de recherche dans l’Antarctique, les hommes d’UpLink veulent tester un robot d’exploration ultra-performant. Mais à peine mis au point, celui-ci disparaît. C’est la première énigme d’une longue série à l’échelle planétaire : meurtres maquillés en accidents ou en suicides en Écosse, inquiétantes activités d’un consortium privé à Zurich, étrange vol au musée Picasso à Paris…. Un vaste trafic de déchets nucléaires menaçant l’équilibre écologique et géopolitique de la planète pourrait bien être la clef de ces mystères.
Mais en Antarctique, le satellite d’observation SOHO annonce l’imminence d’une gigantesque tempête solaire menaçant d’isolement la base d’UpLink. Pour Gordian et son équipe, commence une longue nuit noire, la déclaration d’une nouvelle « guerre froide » dont on ignore encore l’origine… Le pire peut toujours arriver : entre réalité virtuelle et géopolitique, espionnage et technologie de pointe, un scénario-catastrophe à couper le souffle, signé Tom Clancy.
Power Games (06) – Sur le fil du rasoir
Au cœur des combats technologiques d’aujourd’hui, un combat plus cruel encore se prépare… L’Afrique, nouveau champ de bataille du XXIe siècle. Source de profits exploitée par les multinationales qui se disputent le marché du câblage sous-marin. Au premier rang: Roger Gordian d’UpLink International.
Pour lui barrer la route : Harlan Devane, son pire ennemi, maître du marché noir, affilié aux groupes terroristes et aux États corrompus. La mainmise sur le câble lui offrirait un accès illimité à l’information. II connaît le point faible de Gordian et rien ne l’arrêtera : ni le meurtre ni le chantage.
Plus que jamais, Gordian devra faire confiance aux équipes d’UpLink pour arracher sa fille aux griffes de Devane et se débarrasser de son adversaire. Une fois pour toutes ? Entre réalité virtuelle et géopolitique, espionnage et technologie de pointe, le nouvel épisode de la série Power Games, signée Tom Clancy.
Power Games (03) – Ronde furtive
UpLink, l’entreprise de Roger Gordian, s’est diversifiée dans la recherche spatiale. Elle est l’un des principaux sous-traitants du programme de station spatiale internationale. Mais la navette Orion chargée d’emporter un de ses modules est détruite au lancement par un incendie. Simultanément, un groupe terroriste s’en prend au site de construction installé par UpLink au cœur de la forêt brésilienne. Y a-t-il un lien entre les deux ? C’est l’avis des agents d’UpLink et de la commission d’enquête de la NASA. L’heure est grave, d’autant que les Russes doivent lancer, depuis Baikonour, leur propre module de la station spatiale… Roger Gordian va devoir affronter une organisation criminelle dont le but inavoué est de se livrer, depuis l’espace, à un chantage à l’échelle internationale… Après Politika et Ruthless.com, Tom Clancy poursuit sa nouvelle grande série de technothrillers. Géopolitique, techniques de pointe astronautiques, informatique, espionnage : Ronde furtive vous mettra sur orbite entre centres spatiaux et sites de recherche high-tech…