La forme de l’eau
Un employé de voirie découvre un matin au Bercail – lieu de plaisirs nocturnes de la ville – un pendentif en or et, à proximité, un cadavre dans une voiture de luxe. Il s’agit de l’ingénieur Silvio Luparello, récemment nommé responsable du parti politique Démocratie chrétienne. Son ami et avocat Pietro Rizzo est prévenu, ainsi que le commissaire Montalbano. Selon la rumeur, Luparello était impliqué dans une affaire de pots de vin et Rizzo lui servait d’intermédiaire avec la Mafia. Aussi, lorsque l’autopsie révèle qu’il a succombé à une crise cardiaque (il venait de subir un double pontage), cette conclusion arrange tout le monde. Néanmoins, Montalbano obtient deux jours supplémentaires avant de classer l’affaire et découvre rapidement que c’est en faisant l’amour avec une femme que Luparello a succombé. Pour la retrouver, le policier s’intéresse au pendentif en or abandonné sur les lieux.
La danse de la mouette
Le brigadier Fazio, pilier du commissariat de Vigàta, a disparu. Montalbano découvre que son homme enquêtait sur des trafics dans le port de pêche avant d’avoir été enlevé. Tandis que l’angoisse croît, une image obsède le commissaire : celle de la danse d’une mouette à l’agonie, qu’il a observée sur la plage.
Fusillades dans un tunnel, tentative d’assassinat dans un hôpital, affrontement avec la mafia, rencontre d’une très jolie et très ambiguë infirmière : pas étonnant que Montalbano en vienne à oublier la présence de Livia, son éternelle fiancée génoise venue lui rendre visite…