La maison de l’Ange
A vingt et un ans, Harriet, une jeune aide-soignante, ne supporte plus son fiancé, qu’elle juge trop possessif.
En quête d’indépendance, elle emménage dans une maison d’un quartier mal famé de Sydney. Dans cette demeure, dont la propriétaire pratique les arts divinatoires, Harriet noue des liens d’amitié avec ses nouveaux colocataires : Pamy et son ami philosophe, Bobbie et Jim, un couple homo, Toby, un artiste… Portée par l’atmosphère bohème du lieu, Harriet s’initie aux plaisirs des sens et découvre l’amour.
En ce début des années 1960, la vie n’est pas qu’une longue fête sans fin. Quand le drame éclate, vient l’heure des choix et des engagements. Harriet, qui s’est pris de passion pour Flo, la fillette autiste de sa propriétaire, n’hésite pas. Ce petit ange de quatre ans, attachant et mystérieux, est en danger. Elle met dès lors tout en œuvre pour la protéger… Ecrit sous forme de journal, ce roman, où Colleen McCullough a mis beaucoup d’elle-même, retrace le parcours d’une jeune femme résolue à vivre le destin qu’elle s’est tracé.
Les Quatre Filles du révérend Latimer
Australie, début du XXe siècle. Les sœurs Latimer sont au nombre de quatre : Edda et Grace, les aînées, sœurs jumelles nées de la première union de leur père, un pasteur dont l’épouse est morte en couches ; Heather et Kitty, des jumelles également, filles de l’ancienne gouvernante du presbytère qui a épousé le révérend en secondes noces.
En 1925, les sœurs âgées de 18 et 19 ans fuient l’austérité du presbytère et l’autorité maternelle pour se former au métier d’infirmière dans l’hôpital de leur ville natale, en Nouvelle-Galles du Sud.
Là, chacune pourra aussi laisser libre cours à ses aspirations personnelles, dont la recherche de l’amour. Mais la Grande Dépression n’est pas loin, qui pourrait balayer bien des rêves d’émancipation dans une société encore très patriarcale…
Une grande fresque sentimentale qui s’attache à la destinée de quatre jeunes femmes énergiques et attachantes.
La maison de l’ange
A vingt et un ans, Harriet, une jeune aide-soignante, ne supporte plus son fiancé, qu’elle juge trop possessif. En quête d’indépendance, elle emménage dans une maison d’un quartier mal famé de Sydney. Dans cette demeure, dont la propriétaire pratique les arts divinatoires, Harriet noue des liens d’amitié avec ses nouveaux colocataires : Pamy et son ami philosophe, Bobbie et Jim, un couple homo, Toby, un artiste… Portée par l’atmosphère bohème du lieu, Harriet s’initie aux plaisirs des sens et découvre l’amour. En ce début des années 1960, la vie n’est pas qu’une longue fête sans fin. Quand le drame éclate, vient l’heure des choix et des engagements. Harriet, qui s’est pris de passion pour Flo, la fillette autiste de sa propriétaire, n’hésite pas. Ce petit ange de quatre ans, attachant et mystérieux, est en danger. Elle met dès lors tout en œuvre pour la protéger… Ecrit sous forme de journal, ce roman, où Colleen McCullough a mis beaucoup d’elle-même, retrace le parcours d’une jeune femme résolue à vivre le destin qu’elle s’est tracé.
L’espoir est une terre lointaine
A travers le destin de Richard Morgan (qui, selon les dires de l’auteur, a réellement existé) Colleen McCullough brosse une gigantesque fresque historique retraçant la formation de l’Australie. Mais avant tout l’espoir est une terre lointaine est l’histoire d’un homme ordinaire qui connu l’amour, la haine et les pires épreuves, un homme qui a su transcender l’injustice et les souffrances les plus terribles pour fonder une nouvelle génération de conquérants.
Jules César, la violence et la passion
César donnait l’impression de pouvoir surmonter tous les obstacles qui se dressaient devant lui, de savoir utiliser au mieux ses propres qualités pour mener à bien tout ce qu’il avait entrepris.Il avait un pouvoir que Pompée ne possèderait jamais, quelque chose qui semblait couler naturellement, et tout plier à sa volonté. Voici comment Caius Julius Caesar, jeune patricien, va, à grands coups d’intrigues et de manipulations, s’imposer comme une des figures marquantes de la vie politique romaine, accédant en moins de dix ans au statut de pontifex maximus.
Holloman, ville moyenne et plutôt tranquille du Connecticut. Jusqu’à cette journée d’avril 1967, où l’inspecteur Carmine Delmonico recense pas moins de douze cadavres ! Une hécatombe… S’il ne faut que peu de temps à Delmonico et à ses coéquipiers pour résoudre quatre crimes, il leur faudra se montrer plus patients pour les huit restants, ‘autant qu’à l’époque n’existent pas encore les méthodes de profiling, les bases de données informatiques et le traçage ADN. Delmonico acquiert rapidement la certitude que tous ces meurtres sont liés. Mais quel lien entre une prostituée, trois serveurs, un PDG de multinationale, une femme jalouse, un étudiant… ? Et, comme pour lui compliquer la tâche, apparaissent agents du FBI et espions du KGB, qui semblent s’intéresser de près à une entreprise d’armement dont le PDG fait justement partie des victimes…
L’Amour et le pouvoir
110 avant J.-C.: la République est à son apogée et, pourtant, elle est déjà minée par l’argent, la cupidité et les luttes de factions. Deux hommes vont se lever. Deux hommes d’exception, avec, chacun, l’ambition de devenir le «Premier parmi les Romains», distinction accordée à de très rares occasions depuis les origines de la République. Aucun des deux, cependant, ne dispose à priori des moyens pour parvenir à ses fins. Marius a contre lui ses origines: c’est un notable enrichi et il n’appartient donc pas à l’une ou l’autre des grandes lignées patriciennes dont les représentants dominent le Sénat et gouvernent la cité depuis la chute de la monarchie. À l’opposé, Sylla est de naissance aristocratique, mais il a contre lui d’être un homme désargenté qui a décider d’oublier sa condition dans la recherche effrénée des plaisirs. De tous les plaisirs.
Les dames de Missalonghi
A 33 ans, sans beauté ni fortune, Missy connaîtra-t-elle jamais la caresse d’un regard d’homme? Car elle ignore tout de la vie, de la vraie vie. Entre sa mère, sa tante et leurs sages travaux d’aiguille, elle traîne des jours ternes et mesquins à l’image de ses éternelles robes marron… // … lorsqu’une chance s’offre à elle, la dernière peut-être. Elle s’appelle John Smith, on ne sait rien de lui, mais c’est bien l’homme le plus séduisant qu’on ait vu en ville depuis longtemps. // Missy, jusqu’alors si soumise, n’entend pas laisser échapper ce premier clin d’oeil du destin. Pour cela, rompant avec les conventions, à quel subterfuge tout à fait inhabituel aura-t-elle recours? // Tendre et fantasque Missy, une nouvelle race de femmes dans l’imaginaire de Colleen McCullough.
Un autre nom pour l’amour
Honora est une infirmière-née: le courage et la patience, un oubli total d'elle-même et de sa beauté un peu austère. Est-ce pour cela qu'on lui a confié, en cet automne 1945, une tâche entre toutes difficile dans une île du Pacifique? Là, au pavillon X, sont regroupés des soldats que la guerre a si violemment traumatisés qu'ils ne peuvent encore être rendus à la vie quotidienne. Pour ces hommes hantés d'images atroces ou d'intolérables remords, Honora est tout: une mère, une sueur, la femme avec qui peut-être ils pourraient recommencer de croire à la vie… jusqu'à l'arrivée de Mike Wilson. Sa seule présence fait du pavillon X un enfer, sa seule présence pose à Honora la bouleversante question: l'amour, pour elle, est-ce un homme… ou tous ceux qui souffrent?